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Nous avons réuni 4 tests du Sony Ericsson Aino. Les experts notent Sony Ericsson Aino 6.6/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Sony Ericsson Aino et d'autres Téléphone portable Sony.
Face aux Samsung, Nokia et autres HTC, Sony Ericsson semblait un peu en retard. Avec la nouvelle gamme à laquelle appartient le Aino, le constructeur nippon-suédois propose un mobile excellent. Non seulement la qualité vocale de ce mobile à écran coulissant est très bonne mais il offre davantage, notamment au niveau des applications multimédias. Il produit d'excellents clichés avec son capteur 8,1 mégapixels et diffuse musiques, radios et vidéos avec brio. Outre ses capacités photo et audio, le Sony Ericsson Aino intègre des fonctions Wi-Fi, GPS et dispose d'un bel écran Amoled. Néanmoins, il est regrettable qu'il faille utiliser le clavier mécanique et le pavé directionnel dès que l'on sort des applications multimédias.
Sony Ericsson s'est, pendant un temps, laissé distancer par ses concurrents dans la plupart des domaines de la téléphonie mobile. Il n'y avait guère que dans les musicphones que la marque Walkman conservait son aura. A l'heure où, enfin, SE annonce l'arrivée de ses smartphones sous Android et Windows Mobile, le fabricant suédois n'oublie tout de même pas de renouveler ses téléphones multimédias, avec le Aino, notamment. A première vue, l'Aino semble être compact à souhait. Une sensation qui se perd quand on le prend en main, avec son poids non négligeable, plus souvent constaté parmi les smartphones. Reste que le style est plutôt bien vu, tout en sobriété et élégance, la finition inspirant grandement confiance. Le revêtement extérieur, rappelant le Téflon d'un Hero par exemple, est agréable au toucher, et garantit une bonne prise en main. On regrette toutefois la présence du connecteur multifonction propriétaire SE, pas encore remplacé par du micro USB. Dommage. L'une des principales critiques à l'encontre des téléphones Sony-Ericsson, c'est sans aucun doute leur interface vieillissante -- moins toutefois que celle des Nokia sous Symbian. L'Aino annonce le début d'un rafraîchissement.
L’Aino est vendu 350€. Un prix étonnant pour un Sony Ericsson qui respire le luxe. Outre sa robe classieuse, l’Aino offre des fonctions haut de gamme : photo 8 mégapixels, caméscope VGA, casque stéréo sans fil, navigateur Internet de qualité … Un beau cadeau de Noël. Pendant des années, Sony Ericsson a produit des mobiles haut de gamme particulièrement élégants, à la pointe de l’innovation. Mais fin 2008 le constructeur a soudain perdu la main. Après une longue période de disette, Sony Ericsson renoue avec cette tradition grâce au Aino, un mobile en forme de barre de chocolat. L’Aino est doté d’un large écran tactile, qui cache un clavier coulissant. La robe du Aino est superbe. Elle ne ressemble à nulle autre. Les fonctions du Aino le placent parmi les mobiles les plus doués : navigateur web avancé, appareil photo 8 mégapxiels, caméscope filmant en définition VGA. L’Aino se distingue même, avec un casque stéréo sans fil servant à lire les MP3. Avouons-le, ce mobile a du chien ! Fait suffisamment rare chez Sony Ericsson pour être signalé : le prix du Aino n’est pas prohibitif. Il se négocie autour de 350€ sur Internet hors coffret.
L’Aino, le nouveau mobile multimédia de Sony Ericsson, capable de se connecter à une console PS3, à l'épreuve du test. L'Aino est un téléphone défini par son constructeur comme une machine à divertir. Tout a donc été mis en œuvre à cette fin. Les autres activités, celles qui relèvent de l'organisation personnelle, passent au second plan. La technologie embarquée assure tout le confort moderne, avec notamment un écran sensitif... ou pas. Nous verrons pourquoi. Et, cerise sur le gâteau, l'Aino peut -en théorie- puiser à distance dans les contenus multimédias d'une PS3. Le cas méritait d'être examiné... ce que nous avons fait. Avec les téléphones mobiles, le meilleur moment est souvent celui du déballage. Ici, on découvre dans une boîte pas très sexy, mais à l'empreinte carbone -espérons-le- modeste, programme GreenHeart oblige, que l'Aino n'est pas seul. Une base et une oreillette Bluetooth sont fournies en standard. L'oreillette est, en fait, un émetteur-récepteur Bluetooth, à suspendre autour du cou, sur lequel on branche le jack 3,5 mm du casque fourni. Une solution probablement plus saine que de s'insérer un émetteur Bluetooth directement dans l'oreille.