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Nous avons réuni 8 tests du BlackBerry Curve 8900. Les experts notent BlackBerry Curve 8900 7.8/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du BlackBerry Curve 8900 et d'autres SmartPhone BlackBerry.
Le Curve de Blackberry s’est imposé comme l’un des meilleurs smartphones pour la gestion des emails, grâce à son redoutable mode push et un clavier adapté à la saisie. Il revient aujourd’hui avec un design qui s’inspire directement du Bold du même constructeur. Au passage, l’encombrement a été réduit et le poids du téléphone reste modéré. Vous pourrez donc le glisser dans la poche d’un pantalon par exemple. La finition est irréprochable et on apprécie que le Curve perde cet aspect plastique qui lui collait à la peau. La prise en main est à l’avenant et on retrouve le clavier qui reste un modèle du genre, pour saisir des messages confortablement et beaucoup plus rapidement qu’avec un clavier virtuel sur un écran tactile. Côté navigation, le Curve est doté d’une petite perle assez pratique. L’interface a été épurée et sa simplicité d’emploi est grande. Il n’y a que les sous-menus sous forme de texte qui restent encore tristes.
Si la société RIM, moins connue que sa marque Blackberry a débuté dans le monde professionnel, ces dernières années et plus particulièrement, ces derniers mois, elle s’est aussi largement intéressée au marché grand public. La réputation de Blackberry n’est plus à faire. Même le dernier président des Etats-Unis ne se déplace pas sans son organe de communication à clavier. C’est dire. Pourtant, si les professionnels plébiscitent cette marque, le grand public n’y avait que très peu accès jusqu’à il y a quelques mois. Ainsi, après le Blackberry Storm doté du tout premier clavier virtuel de la marque, voici le 8900 Curve, un dérivé du modèle Bold, sorti l’année dernière. Ici, l’idée est de proposer au plus grand nombre, un appareil permettant de communiquer aussi facilement vocalement qu’en écriture grâce à un clavier physique, un large écran (non tactile), un système d’exploitation « maison », du GPS, du Wi-Fi et de nombreuses possibilités multimédia sans pour autant sacrifier ce qui a fait le succès de Blackberry, son gestionnaire de messages, de contacts et de rendez-vous.
Quelques mois après la sortie du Blackberry Bold à l'origine du nouveau design des produits de la marque, Rim rajeunit sa série best seller Curve avec le 8900. Si le form factor reste le même que le 8300, un smartphone compact avec un petit clavier Azerty, le Canadien a légèrement revu l'interface, étoffé les applications livrées avec son terminal et, une fois de plus, oublié la 3G. Mais à la différence du Bold, qui reste lourd et encombrant, le Curve 8900 sait se faire discret dans une poche ou un sac à main. Toujours très sobre, le design noir avec quelques touches de métal est un parfait exemple d'anti bling bling. Ce qui frappe immédiatement lors de la mise en route, c'est l'interface graphique devenue extrêmement basique avec les principales applications en bas de la page d'accueil. La messagerie en push (réception automatique), bien sûr, qui a fait le succès de Rim, un navigateur web ou l'icône paramétrages.
Qu’elle semble loin l’époque où RIM lançait ses nouveaux BlackBerry au compte-gouttes. Depuis septembre dernier, le constructeur canadien nous a gratifiés coup sur coup du Bold, du Flip et du Storm. Place maintenant au Curve 8900 ! Après une escapade tactile avec le Storm, BlackBerry revient au format qui a fait son succès. Ce Curve 8900 arbore en effet un clavier azerty complet sous l’écran de 2,4 pouces disposé en format paysage. Cet écran offre un superbe affichage, vraiment très fin, grâce à sa résolution de 480 x 320 pixels. En digne héritier du premier Curve, le clavier de ce 8900 est assez confortable à l’usage. Il en reprend également le gabarit mais s’en différencie grâce à une épaisseur revue à la baisse (de 2 mm) et à un design remis au goût du jour. Au gris anthracite assez quelconque de la première mouture succède un mélange de noir brillant et de chrome assez saillant.
Plus compact et moins coûteux qu'un Bold, le Curve 8900 peut-il pour autant rivaliser avec lui ? Dénué de haut débit, il se contente du Edge, un point qui peut s'avérer fâcheux pour celles et ceux qui surfent sur le Web régulièrement. Ses qualités feront-elles oublier ce choix assumé par RIM ? Qu'est-ce qui différencie un terminal estampillé RIM d'un autre smartphone de la marque ? Pas grand-chose. A l'instar de Nokia, un téléphone Blackberry se reconnaît au premier coup d'oeil. Si nous consédons un effort apporté en vue de séduire une cible plus grand public, on ne peut pas dire que, ni la fantaisie ni le goût du risque, font partie du cahier des charges des designers RIM. Si certains pourront trouver trop austère le look de ce Curve, nous ne pouvons qu'apprécier l'éviction de la faute de goût et la différenciation de ce téléphone assez loin des codes utilisés jusqu'à l'usure par d'autres marques. Le Curve porte néanmoins une robe soignée pour un téléphone catalogué "moyen de gamme".
Sorti il y a plus d’un an, le Blackberry Curve commençait à se faire un peu vieux, notamment en termes de connectique puisque seul le réseau Edge était pris en charge. Il lui fallait donc un remplaçant. RIM a donc développé le Curve 8900, un smartphone plus en adéquation avec son temps. Toutefois, ce Blackberry parvient-il à s’imposer face aux ténors de la firme que sont les Bold et Storm ? Le coffret de livraison est comme souvent avec les terminaux Blackberry assez pauvre. A l’exception des accessoires indispensables, on ne retrouve aucun élément superflu. Dommage car nous aurions bien apprécié la présence d’une carte mémoire ou d’un chargeur allume-cigare, afin de pleinement jouir de la fonction GPS et surtout de ne pas être handicapé par l’autonomie parfois peu vaillante. En termes de design, on ne peut pas dire que les terminaux Blackberry joue la carte de l’originalité. En effet, à l’exception du Pearl ou du tout récent Pearl Flip (le premier modèle à clapet), l’ensemble de la gamme adopte une forme plutôt imposante et très rectiligne.
Quelques mois après la sortie du Blackberry Bold, RIM distribue le Curve 8900 (nom de code Javelin), son jumeau presque parfait. Les différences ne sautent pas aux yeux, même si elles sont significatives. Avec le Bold, on croyait que le constructeur canadien avait élaboré le nec plus ultra de la famille Blackberry. Hypersonique en 3G+, équipé d’un GPS, design léché, il a presque tout pour plaire. Le Curve 8900 n’est pourtant pas le parent pauvre de la lignée Curve. Son apparence est encore plus racée, les espaces ont été réduits, lui donnant une meilleure compacité et prise dans la main, tout en gardant un excellent clavier AZERTY. Plus léger et plus mince (de 6mm) que le Bold, on apprécie toujours la qualité des matériaux utilisés. En pratique, l’absence de module HSDPA (3G+) n’est pas gênante pour la réception des mails et la navigation. Rappelons en effet que la technologie Blackberry repose sur des serveurs compressant et découpant les données transmises, spécialement pour des terminaux mobiles, le flux de données se révèle donc beaucoup plus faible qu’avec un smartphone classique, tout en conservant une bonne autonomie (3/4 jours).
Après avoir réduit le prix de son PDA, RIM a sacrifié la 3G au profit de l’autonomie. Est-ce le bon choix? En dépit du non support de la 3,5G, RIM tente de séduire avec son nouveau BlackBerry, le Curve 8900, un smartphone proposé à petit prix. N'est-ce pas pénalisant pour l'utilisateur? Les offres proposées par les opérateurs sont en effet indifférentes à cette baisse de régime (les offres 3,5G ou Edge sont les mêmes). La première chose qui séduit avec le nouveau Curve, c'est son design. Si les précédents modèles faisant clairement vieillots (le Curve 8300 chez Bouygues, le Curve 8310 chez SFR), le 8900 séduit. Mais bon, le design c'est bien beau, mais l'essentiel est ailleurs. Car ce que l'on demande à ce type d'appareil c'est d'apporter tout un ensemble de services et de tenir la route. Chez RIM, on n'a pas peur de se la jouer «Edge». Pourquoi? La réponse tient en un mot: l'autonomie. Ça n'a l'air de rien mais un téléphone qui ne tient pas la journée, ça agace!