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Nous avons réuni 5 tests du Nikon CoolPix L100. Les experts notent Nikon CoolPix L100 6.1/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Nikon CoolPix L100 et d'autres Appareil photo numérique Nikon.
Très surprenant de la part d'un constructeur comme Nikon, le L100 est un modèle vraiment très particulier qui vise exclusivement le très grand public. Que peut-on en attendre ? Coté formes, le L100 ressemble à un bridge mais il est dépourvu de viseur électronique : on vise avec l'écran ! Il doit sa forme (et son poids plus important que celui d'un compact classique) à son zoom 15X, valeur clairement supérieure à ce qu'offrent ses concurrents et aussi à une alimentation par quatre éléments R6/AA (piles). Avec le L100 presque rien n'est réglable, tout étant confié aux automatismes (ou presque) même s'il existe quelques choix possibles en mode "Auto" par rapport au mode "Auto Simplifié". Autrement dit, c'est un modèle pour celui qui ne veut absolument pas entendre parler de technique mais exige néanmoins un zoom très puissant pour pouvoir tout photographier, quelles que soient les circonstances. Tous les réglages sont pris en charge par des automatismes, souvent très élaborés. L'exercice est difficile et un tel modèle ne conviendra pas à un utilisateur exigeant. D'autant moins que le L100 est proposé à un tarif très accessible ce qui implique des compromis.
Le Coolpix L100 est un compact ludique doté d'une interface dépouillée, proposant tout de même un zoom 15x grand-angle à 28mm (28-420 mm) et des automatismes avancés (Auto simplifié) qui permettent d'adapter les paramètres de prise de vue selon que l'on photographie un visage, un objet proche, un paysage.... Sur le papier, il réunit les avantages du compact automatique pour débutants et du bridge à gros zoom. Pari gagné ? Au premier contact, on note une poignée plus large que profonde, qui oblige à contracter la main dans une position peu naturelle, et le manque de revêtement adhérent donne un ensemble peu sécurisant qui menace de basculer à tout instant. Les matériaux n'ont pas été choisis pour mettre l'appareil en avant : l'ensemble tout plastique est peu flatteur. La trappe des piles a une grosse tendance à ne pas se remettre en place sans forcer et sa fixation a un jeu prononcé. A l'allumage, première surprise : un message d'erreur vous affiche en rouge "Problème dans le bloc optique. (Si le bouchon de l'objectif est en place, éteignez l'appareil, retirez le bouchon et rallumez.)".
Ces deniers temps, le constructeur nippon semble s'être davantage consacré à l'univers des reflex qu'à celui des compacts. Disons en tout cas que Nikon a moins fait preuve d'innovation sur ce dernier secteur. Il y a tout de même une référence qui correspond à nos critères : le Coolpix L100, avec un L comme ludique. Contrairement aux apparences, le Coolpix L100 n'appartient pas à la famille des bridges mais bien à celle des compacts. La raison ? Il ne possède pas de viseur électronique, l'élément nécessaire établissant le pont, bridge en anglais, entre compact et reflex. On en convient en revanche, le L100 est le plus gros des compacts du comparatif, et peut-être un des plus gros tout court. Dans un sac pas de problème mais dans une poche, ça sera plus difficile. Surtout qu'il est également deux fois plus lourd que certains compacts de notre sélection… Le revers de la médaille : c'est lui qui embarque le zoom le plus ample. Egalement un grand écran de 3 pouces et un capteur de 10 Mpix. Voilà au moins un challenger différent ! Dans ce dossier, le Coolpix L100 est celui qui propose la plus grande plage focale. Le zoom est à la fois grand angulaire, 28 mm couvrant un champ de vision de 75°, et téléobjectif avec un très généreux 420 mm qui resserre l'angle embrassé à environ 6°.
Le Nikon L100 est ce qu’on pourrait appeler un faux bridge : faux car il ne possède pas de viseur électroniques, faux car il possède néanmoins un grand nombre des caractéristiques (et le look) des bridges du moment, et on peut le présenter notamment comme une sorte d’alternative au Nikon P90. Le Nikon Coolpix L100 s’appuie sur un capteur CCD 1/2,33 pouce de 10 MP (densité de pixels qui limite finalement le parasitage du bruit) qui est stabilisé, ce qui permet d’assurer la stabilisation donc du zoom ample avec son amplitude équivalente à 28-420 mm. L’écran arrière est un écran de 3 pouces. Le processeur embarqué permet un mode rafale à 13i/s mais avec une réduction à 3 MP (résolution qui lui permet également de monter à 6400 iso), et assure toutes les fonctionnalités qu’un photographe amateur peut attendre : détection des visages et déclenchement au sourire, D-Lighting qui permet de déboucher les ombres et préserver les hautes lumières et qui est associé aux dernières générations du processeur Expeed…), optimisation de prise de vue avec les modes scènes (15) et automatique.
Il y a quelques mois, Nikon nous annonçait, avec le Nikon Coolpix L100, l’arrivée d’un nouveau segment de marché à savoir un bridge dit ludique pour les amateurs de simplicité. Dans les grandes lignes, le Coolpix L100 dispose d’un capteur 10mPix et d’un zoom x15. Voyons, dans ce test, si derrière les termes ludique et simplicité ne se cachent pas plutôt les caractéristiques simplistes et sans réel intérêt ! En tant qu’amateur d’argentique puis de reflex, je dois dire que j’ai toujours été sceptique sur ce format « entre 2 » qui n’est pas vraiment un reflex et pas vraiment un compact ! Ce Nikon L100 pourra-t-il me faire changer d’avis (et vous aussi) sur ce type d’appareils photos ? Le premier contact avec le L100 est très agréable avec sa finition en plastique aspect « peau de pêche » noire sur la majeure partie du boitier. Pour la touche d’élégance, Nikon a finement cerclé d’aluminium brillant l’objectif.