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Nous avons réuni 14 tests du Les Sims Medieval. Les experts notent Les Sims Medieval 6.8/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Les Sims Medieval et d'autres Jeux PC.
Une fois n'est pas coutume Electronic Arts ne s'est pas lancé dans la course à l'addon pour son Sims 3. Si une poignée est déjà sortie et qu'une autre est déjà prévue, l'éditeur prend tout de même le temps de proposer un autre genre de contenu pour sa franchise. Les Sims Medieval ne s'inscrit donc pas dans la lignée du dernier Sims sorti et se distingue même de tous les épisodes de la franchise. L'aspect gestion est réduit au minimum alors qu'un système de quêtes est d'objectif s'accapare une bonne partie du gameplay. Autant les Sims vous offrait une grande liberté dans vos agissements, autant ce Sims Medieval vous guide une fois vos choix opérés. Et puis, il y a aussi et surtout une nouvelle époque, un nouveau monde à découvrir, pour un dépaysement complet. Ce Sims Medieval reprend quelques bases de la franchise pour ne pas complètement s'en détourner mais apporte également une nouvelle approche. Le résultat n'est pas déconcertant pour les habitués et trouvera sans doute un écho pour ceux qui veulent persister avec les Sims mais qui ont besoin d'un peu d'air frais. D'entrée de jeu, le titre pose les bases.
Voici la chose la plus importante que j'ai à dire sur ce jeu, et je m'empresse de vous la livrer à la vitesse d'un dragon de glace dévalant un toboggan à eau : The Sims Medieval ne ressemble à rien de ce que j'ai pu jouer auparavant, même pas à The Sims. « Feuilleton-fleuve » est la définition qui colle le mieux à The Sims Medieval, et celui-ci a pour cadre un Moyen Âge d'opérette. Au début du jeu, on vous donne la charge d'un roi élégant ou d'une jolie princesse, dont vous choisissez l'apparence, ainsi que d'un petit château et d'une étendue de terre complètement vide. Bien que ce soit un jeu Sims, Medieval ne vous donne pas une totale liberté, qui vous permettrait seulement de progresser au fil de nombreuses auto-améliorations ou de créer un gros balèze qui parcourrait le voisinage en quête de conquêtes féminines. Au contraire, le temps passé dans The Sims Medieval s'articule autour de "Quêtes", qui, pour rester sur l'analogie du feuilleton-fleuve, pourraient être comparées à des épisodes. Une fois la quête choisie, qu'elle consiste à retrouver un garçon perdu ou à faire face à une population croissante d'hommes-crabes souterrains, on choisit un Héros (au début, le choix est limité à votre monarque) et c'est seulement ensuite que le jeu commence à le suivre dans le style traditionnel et tellement apprécié des Sims.
Oyez, oyez, damoiselles et damoiseaux, le Roy des simulateurs de vie a décidé de faire sa révolution ! Après une pelletée d’extensions diverses et plus ou moins réussies, la série d’Electronic Arts tente une nouvelle approche. Cette fois-ci, pas de voyages à l’autre bout du monde, d’îles désertes ou d’ambitions, puisque l’on quitte le confort de la modernité pour s’installer dans un château moyenâgeux. Fini, le mercantilisme dévorant, les barbecues entre voisins et le séjour à la salle de sport : les Sims Medieval vous place dans la peau d’un Seigneur, veillant sur son petit royaume. Concrètement, qu'est-ce qui change pour les joueurs ? Et bien, pas mal de choses, figurez-vous, puisque le gameplay historique de la série se retrouve quelque peu chamboulé. Pour le meilleur ? Pas tout à fait. Ce nouveau Sims délaisse en effet la gestion pointue de son avatar et de son intérieur, pour se concentrer sur des aspects beaucoup plus globaux. Encore mieux, le titre fait évoluer sa narration, par l’intermédiaire d’une série de quêtes et de chapitres, que notre suzerain devra remplir avec succès pour progresser.
Depuis maintenant plus de dix ans, Les Sims constitue une franchise à part dans le monde du jeu vidéo PC. Une franchise qui ne manque cependant pas de faire rêver des millions de joueurs en leur permettant de raconter leurs propres histoires sans être prisonniers d'un scénario écrit à l'avance... C'est pourtant ce postulat qu'Electronic Arts tente aujourd'hui de faire évoluer en emmenant nos Sims en plein Moyen-Age. Les Sims Medieval se propose effectivement de mettre les quêtes au cœur du gameplay : renouvellement providentiel ou erreur manifeste ? Transposer Les Sims au Moyen-Age a d'abord pour effet de modifier complètement le cadre des aventures de nos protégés. Il n'est donc plus question de découvrir les surburbs américaines avec leurs jardins parfaitement tondus ou de constater le désœuvrement d'une jeunesse qui passe le plus clair de son temps au centre commercial. Cela dit, les clichés restent de mise et il ne faut pas s'attendre à découvrir un Moyen-Age sombre, sale et violent... On s'en rend d'ailleurs compte dès les premières minutes de notre première partie avec la création de notre souverain. Si la procédure ressemble beaucoup à ce que proposait Les Sims 3 (même outil de modélisation), on change complètement de garde-robe et - étrangement - le maquillage a disparu.
C'est décidé, voilà donc nos Sims plongés en plein Moyen-âge ! Les quartiers résidentiels typiquement américains ne sont évidemment plus de la partie, et c'est un véritable royaume qui s'offre à nous. En début de partie il est bien vide puisque seul le palais royal y est érigé. Par la suite, il vous appartiendra de bâtir un monastère, une caserne, un marché ou encore une tour de la sorcellerie grâce aux points de royaume gagnés au fil des quêtes. Mais avant cela, il convient de choisir un souverain parmi les personnages pré-configurés ou, mieux encore, d'en générer un tout nouveau tout beau grâce à l'option Créer un Sim. On retrouve alors un outil de création très proche de celui des Sims 3, la principale différence provenant du catalogue des vêtements disponibles. Dites adieu aux habits modernes, ainsi qu'au maquillage bizarrement, et bienvenue aux tenues d'époque. Ce qui ne risque pas de faire évoluer la réputation de "jeu pour petites filles" qui colle aux Sims, car les robes de princesse se taillent plus que jamais la part du lion. Une fois notre roi ou notre reine créé(e), on dispose d'un premier crédit de 1000 Simflouz à dépenser dans le mode Meubles.
Personnellement, je n'avais pas l'impression, en voyant le top des ventes de jeux sur PC ou Mac, que les Sims avaient besoin de se renouveler pour marcher. Mais EA a décidé de prendre le risque avec Les Sims Medieval, pour offrir une expérience Sims bien différente des autres. Et alors, ça donne quoi ? Ben, du Sims différent...Aaah les Sims ! A chaque fois qu'on m'en refile un à tester, c'est une bonne occasion de ressortir ma vieille théorie sur la différence entre les jeux vidéo et les jouets vidéo. Comme si on comparait un train électrique avec un Pictionnary par exemple, l'un est un jouet, l'autre est un jeu. Et c'est pareil en matière de jeux vidéo. Pour moi les Sims sont plus des jouets vidéo. En général, je m'arrête là parce que ça ne tient pas debout et je n'ai pas d'arguments, et en fait je m'en fous, mais avouez que ça a de la gueule comme théorie. Bref, les Sims reviennent dans un nouvel épisode très très particulier. Tout le gameplay a changé ou presque, c'est une Sim révolution ! Bah alors c'est toujours un jouet ou c'est devenu un jeu ? Dans Les Sims Medieval, pas besoin de gérer son niveau de pipi et de trouver un travail. De toute façon, je sais bien comment s'amusent la plupart des aficionados des Sims : ils/elles utilisent un cheat pour avoir plein de thunes et ils explorent le jeu sans contraintes.
Parallèlement à la première génération, la deuxième génération et l'actuelle troisième génération des Sims, les joueurs ont ponctuellement eu droit à quelques spin-off : il y a bien sûr Les Sims : Histoires de ou encore les différentes aventures estampillées MySims pour la console. Mais cette fois-ci, avec Les Sims Medieval, Electronic Arts semble poser les bases d'une nouvelle série assez différente de la simulation de vie que l'on connaît bien. Enfilons tout de suite nos costumes de ménestrels et remontons le temps. Dévidez quenouilles et quenouillettes Petite nouveauté chez les Sims : la partie s'ouvre sur un arbre des ambitions. Ces ambitions correspondent à des objectifs à long terme que l'on se fixe pour le royaume : la richesse, la culture, la santé, la domination d'autres territoires... Mais au départ, il n'y a qu'un seul objectif disponible ; le reste se débloque progressivement. Il est donc temps de lancer la partie et de donner un nom au nouveau royaume. Mais que serait un royaume sans souverain ? Vient donc le moment tant attendu de la création du roi Sim. Les connaisseurs des Sims 3 sur PC ne seront pas dépaysés, puisque le menu de création des Sims dans Les Sims Medieval est très proche de ce troisième épisode.
Entre épisodes à répétition et extensions en tout genre, la série Les Sims allait bien parvenir à lasser même les fans les plus endurcis, autrefois avides d'add-on ajoutant en vrac animaux, kits d'objets ou nouveaux environnements aux jeux de base. Electronic Arts l'a bien compris, et tente de dépoussiérer le tout en changeant non seulement d'époque, mais surtout de mécanismes de jeu. Verdict. Dans Les Sims Medieval, le joueur n'aura jamais autant endossé le rôle enviable de dieu vivant. Dès le début de l'aventure, on vous fait comprendre qu'il est temps d'orienter l'évolution de ces stupides humains en contrôlant tour à tour dix héros à débloquer au fur et à mesure, au sein d'un Royaume en plein coeur du Moyen Age. Les deux premières heures de jeu vous familiariseront avec ce nouveau système, grâce à un tutoriel un peu rébarbatif, mais nécessaire. Car il ne s'agira plus de gérer la vie d'un Sims ou de sa famille en s'assurant que leurs petits besoins triviaux soient remplis, du moins plus vraiment. Il faudra voir plus grand, et penser au Royaume dans son ensemble, c'est en tout cas la première impression qui se dégage du titre, avant que nos petites habitudes s'installent...
Halte, vils malandrins et fieffés coquins, l’Observateur vous accueille enfin en son sein ! Pour la première fois depuis la création de la franchise, les Sims changent littéralement d’époque pour revenir aux temps des chevaliers et des dragons. Les Sims Medieval fait également le choix de modifier la ligne directrice de la saga pour se risquer dans un titre à la frontière du jeu de rôle et du jeu de gestion. Aura-t-on le droit à une transition réussie ou à un bide monumental ? On vous dit tout dans ce test. L’Observateur est une entité omnisciente qui veille à chaque instant au bien-être de ses fidèles. C’est en quelques sortes le dieu des Sims. Et je vous le donne en mille, l’Observateur, c’est vous, et il va falloir garder constamment un œil sur vos protégés qui tenteront de créer un royaume prospère, riche, puissant ou encore craint de ses voisins. Comme dans tout Sims qui se respecte, on commence avec le strict minimum : un grand terrain vierge et abondant en ressource où l’on posera rapidement son château. Puis, petit à petit, en collectant des Points de Royaume (récupérés en accomplissant des quêtes), on fera bourgeonner de nouvelles structures comme la Caserne, l’Hôpital ou encore la Forge.
Jusqu'à présent, Electronic Arts s'était contenté d'exposer fièrement la nouvelle direction prise par la série des Sims avec l'épisode Medieval. Des présentations réellement prometteuses qui demandaient toutefois confirmation. C'est pour cette raison que l'éditeur américain nous a conviés à un nouvel événement permettant enfin de prendre en main le titre. Après quelques heures passées au côté de notre avatar à mettre des sujets au pilori et à confectionner des plats à base de rat, on peut affirmer que le résultat semble à la hauteur des ambitions affichées. Il faut bien l'admettre, depuis son apparition au début des années 2000, la série des Sims était progressivement devenue une sorte de refuge pour Electronic Arts. Un endroit où le géant américain se savait en sécurité. Qu'il s'agisse d'épisodes principaux ou d'extensions, que ces titres soient ou non de qualité, le succès était au rendez-vous. Une prise de risque minime systématiquement récompensée par des gains impressionnants. En témoigne la réussite commerciale fabuleuse des Sims 3, sorti en 2009. Il faut dire que le concept de la série est ingénieux et que chaque jeu bénéficie d'une replay value exceptionnelle leur conférant une durée de vie infinie.
Jusqu'à présent, Electronic Arts s'était contenté d'exposer fièrement la nouvelle direction prise par la série des Sims avec l'épisode Medieval. Des présentations réellement prometteuses qui demandaient toutefois confirmation. C'est pour cette raison que l'éditeur américain nous a conviés à un nouvel événement permettant enfin de prendre en main le titre. Après quelques heures passées au côté de notre avatar à mettre des sujets au pilori et à confectionner des plats à base de rat, on peut affirmer que le résultat semble à la hauteur des ambitions affichées. Il faut bien l'admettre, depuis son apparition au début des années 2000, la série des Sims était progressivement devenue une sorte de refuge pour Electronic Arts. Un endroit où le géant américain se savait en sécurité. Qu'il s'agisse d'épisodes principaux ou d'extensions, que ces titres soient ou non de qualité, le succès était au rendez-vous. Une prise de risque minime systématiquement récompensée par des gains impressionnants. En témoigne la réussite commerciale fabuleuse des Sims 3, sorti en 2009. Il faut dire que le concept de la série est ingénieux et que chaque jeu bénéficie d'une replay value exceptionnelle leur conférant une durée de vie infinie.
Et si... le nouvel épisode des Sims est né de cette simple hypothèse émise par les développeurs. Et si nous faisions remonter le temps à ces personnages dont les amateurs de simulation de vie sont si friands. Le résultat, c'est Les Sims Médiéval, un volet qui se déroule pendant le Moyen Age. Mais plus qu'un simple changement d'époque, la série subit avec ce spin-off une véritable réorientation. Fini le train-train quotidien du XXIème siècle, bienvenue au royaume des chevaliers, des châteaux forts et des guerres de territoire. Etonnant, voilà l'adjectif qui correspond le mieux au nouvel épisode des Sims. Mais contrairement à ce que l'on pourrait penser, ce n'est pas tant le passage au Moyen Age qui surprend mais le gameplay en lui-même. Ceux qui pensaient gérer leurs petits avatars comme d'habitude, mais à une autre époque, risquent d'être déçus. Avec Les Sims Médiéval, la série opère réellement un virage à 180°. Ce volet s'apparente beaucoup plus à un jeu de gestion accessible au plus grand nombre. Si l'ambition des développeurs demeure toujours de raconter des histoires à propos de divers personnages, la manière dont ils s'y sont pris a totalement changé.
Gamekult
Ajouté le : 08/2010
Plus accessible...
Le succès de la série Les Sims n'est plus à prouver et si l'on se fie au rythme de sorties des add-ons, pas prêt de s'arrêter. L'arrivée d'un nouveau venu dans la franchise n'aurait donc pas dû surprendre grand monde, même si le côté spin-off expérimental des Sims Medieval a suffit à faire lever quelques sourcils dans la communauté. Découvert pour la toute première fois à la gamescom de Cologne, cette énième aventure des Sims s'est d'ailleurs montrée plus intéressante qu'on aurait pu le croire aux premiers abords. Immédiatement transporté dans un voisinage typique de la série, mais en version médiévale, on découvrait tout d'abord une patte graphique revue à la hausse depuis Les Sims 3 avec des modélisations plus poussées et un travail nettement plus réussi sur les textures. Cette évolution technique se reporte d'ailleurs sur les deux premiers personnages que l'on croisait - à savoir un Roi plongé en plein duel avec un Chevalier énervé et contrôlé par le joueur - puisque le niveau de détails atteint sur les visages mais aussi sur les vêtements de ces Sims du Moyen-Âge était d'une qualité sans précédent dans la franchise.
On ne compte plus vraiment le nombre de titres dédiés aux Sims, ces personnages virtuels dont on doit gérer la vie au quotidien. Entre aventure exotique (Histoires de Naufragés), élevage de bestioles (Animaux & Cie), création d'entreprises (La Bonne Affaire) ou encore études universitaires (Académie), l'amateur de simulation de vie en société est proche de l'overdose. Et pourtant... Avec Les Sims Médiéval, la série prend une nouvelle tournure qui risque de surprendre même les plus blasés... Si le titre est encore actuellement en développement, il faut reconnaître que les premières phases de jeu dévoilées apparaissent aussi surprenantes que prometteuses. D'abord, l'action se déroule pendant le Moyen Âge et s'inspire des livres d'histoire mais aussi de nombreux films célèbres comme Le Nom de la Rose avec Sean Connery. Comparé aux précédents jeux Sims, le titre s'oriente davantage vers une large série de quêtes à accomplir qui apporte de nombreuses récompenses, plutôt que vers l'évolution pure et dure des personnages. Si les personnages peuvent donc se marier et avoir un enfant, en revanche il n'y a pas de système de générations.
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