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Nous avons réuni 10 tests du Dead Island. Les experts notent Dead Island 7.5/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Dead Island et d'autres Jeux PC.
L'actualité de Techland est décidément bien chargée : après un médiocre Call of Juarez : The Cartel, le studio polonais revient sur le devant de la scène vidéoludique avec un titre que l'on croyait oublié. Annoncé en 2005 sous le nom de Island of Living Dead, Dead Island a connu une longue période de silence pour émerger à nouveau en février 2011 à travers un somptueux trailer en CGI. Quelques jours après la sortie, il est temps de dresser le bilan de ce titre qui, sur le papier, a tout pour plaire. Tout commence sur l'île de Banoi. L'endroit est paradisiaque, les vacances se déroulent parfaitement et l'alcool coule à flot. Pourtant, la situation tourne au cauchemar lorsqu'une épidémie transformant les gens en zombis survient. Bien heureusement, et sans que l'on sache vraiment pourquoi, le joueur est immunisé et va devoir se sortir de la panade. C'est sur la base de ce pitch volontairement kitch et peu original que l'aventure débute. Un périple qui va d'ailleurs occuper le joueur de nombreuses heures au travers de quatre actes assez différents et dans lesquels les poncifs du genre seront présents : survie désespérée dans des avant-postes de fortune, balade dans des camions customisés, survivants psychopathes, etc.
Propulsé sur le devant de la scène par un trailer mémorable, Dead Island aura fait naître bien des attentes. Engoncé entre Dead Rising et Left for Dead, le jeu de Techland semblait devoir assumer son côté kitsch et gore tout en offrant un gigantesque terrain de jeu aux joueurs... On vous rassure, en l'état, c'est exactement le cas. Si vous avez donc le blues de vos vacances passées, il se pourrait bien que vous ayez trouvé votre prochaine destination. Dead Island, c'est l'histoire d'un groupe de personnes qui n'a vraiment pas de chance. Imaginez un instant. Vous vous dorez la pilule sur une île lointaine, le soleil brille, la brise chaude vient vous caresser le visage et le cocktail légèrement alcoolisé n'attend que vos lèvres purpurines. Et là, paf, un gars avec la moitié du visage en moins déboule et vous croque l'avant-bras. Welcome to Dead Island ! Si, dans l'absolu, on peut voir dans le scénario une sorte de version zombifiée de L'Ile Fantastique, tempérons tout de même nos ardeurs. En effet, bien que l'ambiance sonne comme celle de plusieurs films de séries B, elle n'en reste pas moins au centre du jeu en amenant progressivement de plus en plus de survivants que vous rencontrerez.
Avec son ambiance sea, sex and sun façon Ibiza, Dead Island débute sur une île paradisiaque alors que la fête bat son plein. Bouteille d’alcool à la main, on y suit, en vue à la première personne, un fêtard bien éméché qui se fait mettre à tabac après avoir tenté de s’incruster sur la scène d’un concert. Gentiment raccompagné dans sa chambre par un employé de l’hôtel, il s’écroule sur son lit sans demander son reste. En guise de gueule de bois, une invasion de zombies. Pas le temps de prendre une aspirine, il faut s’organiser et surtout survivre. Mais avant de se frayer un chemin parmi les morts-vivants, on nous demande de choisir notre héros. Peu importe l’avatar choisi, l’histoire demeurera identique. On peut le déplorer de prime abord mais il y a une explication finalement logique à cela, les quatre personnages restent constamment ensemble au cours de l’aventure, le jeu pouvant d’ailleurs se jouer à quatre en coopération. Ca n’explique pas quelques problèmes de cohérence en solo mais ne faisons pas la fine bouche. En revanche, on peut regretter que la différence entre les quatre protagonistes ne soit pas assez marquée.
Dead Island n'en finit pas de créer le buzz, et ce n'est d'ailleurs pas près de s'arrêter ! Car ce croisement sérieux et flippant à la première personne entre Left For Dead, Resident Evil et Dead Rising, semble offrir non seulement une ambiance géniale mais aussi un challenge de haute volée. C'est en tout cas ce que nous avons pu vérifier lors d'une première prise en main plutôt fun... Pas le moindre bruit qui perce la jungle environnante. Pas l'ombre d'un véhicule en mouvement. Encore moins celle d'un être humain. Et pourtant... Après avoir parcouru quelques centaines de mètres sur la route principale de cette île paradisiaque, où vous passiez de merveilleuses vacances, vous apercevez progressivement des dizaines de véhicules accidentés et surtout des centaines de cadavres ensanglantés qui jonchent le sol. Pire : des corps se mettent à bouger lentement. Quelques-uns se mettent même debout... Puis soudainement se précipitent sur vous en grognant. Leur intention n'étant visiblement pas de vous souhaiter la bienvenue, préparez-vous donc à mener le combat de votre (sur)vie. Bienvenue dans Dead Island ! Divisée en plusieurs secteurs (ville, resort...) qui se débloquent progressivement, l'île de Banoi est donc le théâtre de cette invasion inexpliquée de zombies.
De mémoire de joueur, on avait rarement vu une bande-annonce déchaîner autant les passions que celle de Dead Island. Des millions de vues sur Youtube, un Hideo Kojima impressionné, un Simon Pegg (Shaun of the Dead) parlant d’un des meilleurs trailers de tous les temps, des forums qui s’enflamment. Après quatre ans de silence, Dead Island a su créer la surprise. Mais, aussi alléchant que fût cette mise en bouche, il ne s’agissait pourtant que d’un teaser en images de synthèse. On avait donc hâte de pouvoir jouer à Dead Island, histoire de cerner enfin le titre de Techland et de le comparer, logiquement, à ses rivaux de Capcom et de Valve. Banoï, océan Pacifique. Un havre de paix baigné d’une mer azuréenne. Un ilot de calme niché au cœur du paradis. Une forteresse de verdure où les cocotiers ombragent paisiblement quelques milliers de vacanciers chaque été. A ceci près qu’un virus a fait passer ces hordes d’allemands en short de l’état de citadins stressés à celui de zombis débonnaires. Un petit problème de putréfaction qui va vous placer, vous improbable survivant, face à un dilemme fatalement insoluble : périr (en vacances) ou survivre (et retourner au boulot).
Cette courte mais informative présentation a été l'occasion pour nous d'avoir un aperçu concret et immédiat du jeu. Dead Island apparaît au final comme un intéressant mélange de genre entre un Grand Theft Auto IV, un Left For Dead 2 et un Dead Rising 2. Techland s'est inspiré du célèbre titre de Rockstar Games pour son aspect bac à sable.Le concept se déroulera sur une île paradisiaque bondée de touristes et d'innombrables lieux de villégiatures. Pour des raisons qui ne nous ont pas été précisées, une infection a touchée l'île et ses habitants. Du coup, le joueur sera amené à survivre dans un environnement a priori hostile et pourra accomplir une flopée de missions principales et secondaires. Il pourra sans aucun souci explorer les décors à la recherche d'éventuels survivants. L'ensemble implique toutefois une vue subjective similaire à Left 4 Dead. Ainsi, le public pourra assister de très près aux violents affrontements entre le héros et les zombies. Cette perspective permet immerger plus encore le joueur. Cependant, le concept ne cherche aucunement à effrayer le joueur tel un Dead Space 2. Le mot d'ordre est à l'action, les combats seront donc intenses et brefs.Il existe à ce propos différents types de zombies aisément identifiables de par leur carrure physique.
C'est fou ce qu'on peut faire sur une île paradisiaque. Non content de pouvoir bronzer, on peut aussi s'amuser à se faire peur, démembrer des zombies, bricoler des explosifs, ou encore s'exprimer à grands coups de batte de base-ball... Moi, je dis comme Gilbert Montagné : sous les sunlights des tropiques, il y a toujours un grand potentiel à être joueur. Dans Dead Island, tout commence comme une escale du Love Boat. Le soleil est tellement au zénith qu'il ne manque plus que la calvitie du capitaine Merill Stubing pour parfaire le tableau. Et puis paf, catastrophe ! Les morts décident de se relever de leur tombe (ou tout ce qui fait office de tombe un jour d'apocalypse : plage, trottoir, morgue, commissariat de police, hôpital, hôtel). Du paradis sur Terre, on passe à l'enfer Zombie pur jus... À la tomate, le jus, si possible. Le joueur incarne l'un de ces touristes, prisonnier d'une île maudite qui vient de se faire envahir par une armée de zombies. Inutile de préciser que ces derniers n'ont qu'une seule chose en tête ; se nourrir de chair humaine crue. Le but du joueur ? Survivre. Enfin, survivre le plus longtemps possible en essayant de trouver un moyen fiable de partir de ce bout de terre planté au milieu de toute cette flotte.
Revenu aux affaires avec un trailer choc réalisé par le studio Axis Animation, le mordant Dead Island était présenté en fin de semaine dernière dans les locaux parisiens de KOCH Media, à la fois éditeur et distributeur du jeu. Monté chez Techland, une équipe connue pour ses séries Call of Juarez et Chrome, mais aussi le récent nail'd, ce jeu de survie à la première personne sur une île victime d'une épidémie de "zombification" s'est laissé approcher - mais pas prendre en main - pendant une grosse demi-heure. Impressions. S'il fallait résumer Dead Island en quelques mots, on pourrait parler d'un mariage entre Dead Rising 2 et Left 4 Dead, avec quelques éléments de RPG à l'occidentale. Construit autour de la dernière version du Chrome Engine de Techland, ce titre au ton plutôt grave proposera une aventure en vue à la première personne sur l'île fictive de Banoï, frappée par un mal qui a transformé une bonne partie des résidents en morts-vivants. Parmi les personnes ayant échappé à la contamination, on trouve les quatre héros mystérieusement immunisés de l'histoire, décrits comme : un assassin, un touche-à-tout, un meneur d'hommes et un balèze, par Vincent Kummer, brand manager chez Deep Silver.
En développement depuis plusieurs années, Dead Island a été sujet à ce que l'on appelle communément un reboot dans le monde du jeu vidéo. Autrement dit, les concepteurs ont décidé de revoir entièrement leur copie suite à la signature d'un partenariat avec Koch Media. C'est ce même Koch Media qui nous a d'ailleurs permis de découvrir la nouvelle version du jeu à l'occasion de la Game Developers Conference. De l'ancien projet ne reste donc que le pitch : une île paradisiaque, un complexe touristique, des vacanciers et... des zombies... beaucoup de zombies ! Conçu par les Polonais de Techland, Dead Island nous propose ainsi d'incarner un survivant alors que l'île autrefois enchanteresse n'est plus que chaos. En début de partie, il est possible de choisir parmi quatre personnages notre futur compagnon d'infortune et si Techland nous a parlé « d'un assassin, d'un costaud, d'un polyvalent et d'un leader », nous n'avons pour le moment pu voir que le costaud. Prénommé Sam B, il s'agit d'un chanteur que l'on imagine tout droit sorti d'un groupe de hard rock et histoire de parfaire le tableau, c'est après une mémorable cuite qu'il est réveillé par des vacanciers effrayés.
Avec une bande-annonce surprenante, le titre de Deep Silver développé par Techland a suscité la curiosité de toute la communauté d'amateurs de jeux vidéo. C'est à la GDC de San Francisco, que nous avons eu la chance d'assister à la toute première présentation du titre. On vous dit tout ! Dead Island est un jeu d'action en vue à la première personne se déroulant sur une île paradisiaque. Le genre de destination idyllique pour des vacances de rêve avec plages de sable fin, eau turquoise et confort d'un complexe hôtelier cinq étoiles. Seulement comme vous vous en doutez, les héros de cette aventure, au nombre de quatre, ne vont pas vraiment avoir le temps de profiter du bien-être régional. Au début du jeu, quelle que soit la classe de personnages que vous avez choisie (tank, assassin, passe partout ou leader), vous découvrirez avec stupeur que l'île est désormais infestée de zombies. Quatre joueurs en coopératif et zombies, inutile de vous faire un dessin, le titre tire son inspiration de Left 4 Dead ou encore Dead Rising. Mais ne vous y trompez pas, la vue à la première personne n'en fait pas un FPS pour autant. Pour une question de réalisme, les armes à feu seront limitées et les munitions plus encore.
TestMateriel.com ne regroupe pas de serial, no cd, warez, torrent et crack pour Dead Island. Inutile de nous contacter pour se faire rembourser d'un jeu, obtenir de l'aide pour le lancer, demander une soluce, une astuce Dead Island.