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Le Mercury Extreme d’OWC est, comme bon nombre des concurrents dans ce test, doté d’un contrôleur Sandforce SF-1200. Il semblerait que l’architecture sans cache utilisée par ce fabricant apporte pas mal d’avantages en termes de performances. Comme nous l’avons expliqué dans de précédents articles, les contrôleurs Sandforce surprovisionnent la capacité de stockage afin de s’assurer de disposer de suffisamment d’espace pour gérer intelligemment les données et éviter toute dégradation des performances due à l’amplification des écritures. Les performances du Mercury Extreme sont pratiquement identiques à celles de l’OCZ Vertex 2 (100 Go) et du G.Skill Phoenix 100 Go, mais ce SSD est nettement plus cher que ses concurrents, ce qui lui confère des rapports performances/prix et prix/capacité peu flatteurs. Qui plus est, comme ce modèle (ou à tout le moins l’exemplaire que nous avons reçu) n’est pas correctement optimisé pour les écritures aléatoires de blocs de 4 Ko, vous risquez d’acheter un produit à la fois plus cher et moins performant. Côté consommation, on se trouve un peu au dessus des modèles Indilinx.