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Nous avons réuni 12 tests du Intel Core i7 980X. Les experts notent Intel Core i7 980X 8.5/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Intel Core i7 980X et d'autres Processeur Intel.
Intel nous a fait parvenir un Core i7-980X, au déballage pas de surprise, il s'agit bien d'un CPU destiné au LGA 1366. (heureusement soit dit en passant !) La face avant dispose toujours d'un IHS destiné à protéger le die des Thibaut utilisateurs indélicats lors du montage du ventirad. En face arrière, 1366 points de contacts (je vous laisse les compter !). Bref c'est un Core i7 comme les autres, en tout cas en apparence. Pour ceux tels Saint Thomas ne croyant que ce qu'ils voient, voici une photo côte à côte d'un Core i7-980X à gauche et de son prédécesseur au sommet de la gamme Intel, à savoir le Core i7-975XE à droite. Côté recto hormis le marquage sur l'IHS difficile de voir la moindre différence : En retournant les bêtes, on constate cette fois une différence au niveau des composant CMS soudés au centre du CPU. Bref mis à part ce petit détail difficile de différencier un Gulftown d'un Bloomfield. Un petit tour par CPUZ pour vérifier les différents états du CPU. Par défaut la fréquence du CPU est à l'instar du Core i7-975XE de 3,33 GHz pour le 980X. Le CPU utilise donc un coefficient 25 couplé aux 133,33 MHz du Base Clock.
Le Gulftown se présente avec un format au socket LGA 1366 et fait partie de la gamme Extrême Edition de la marque. Sa naissance répond à la politique Tic-Toc que suit à la lettre le fondeur. Intel annonce une TDP de 130 Watts équivalent au Core i7 975 Extreme Edition ou encore au simple Core i7 920. Il est donc intéressant de savoir comment le géant de processeur s'est attaqué au problème afin de conjuguer d'avantage de performances tout en garantissant une enveloppe thermique identique. Le Core i7-980x prend ses racines sur l'architecture Westmere qui bénéficie d'une gravure à 32 nm. Cette première information nous explique en partie comment Intel est parvenu à contenir le TDP, affiché à 130 Watts, soit une valeur équivalente au simple Core i7 920. Avec ce Core i7 980X, nous avons droit au premier processeur 6 cores à destination du grand public. Son die de 248mm2 dispose de 1,17 milliard de transistors. Sous le capot, 6 coeurs d'exécution prennent vie. Chacun d'entre eux dispose d'un cache L1 (32ko dédiés aux instructions et 32 ko dédiés aux données) et d'un cache L2 de 256 Ko. Le cache L3 se monte à 12 Mo et se voit partager dynamiquement entre les cores selon les besoins. Face à Bloomfield (Core i7-920 à Core i7-975), les spécifications du contrôleur mémoire restent identiques avec la prise en charge de la DDR-1066 en triple Channel.
L'Intel Core i7 980X est le premier processeur à six coeurs pour le marché grand public. Techniquement, il ressemble à son petit frère, le Core i7 975. On a donc toujours une fréquence de 3.33 GHz, un mode Turbo passant la fréquence à 3.49 GHz maximum lorsque tous les coeurs ne sont pas sollicités et l'Hyper-threading, qui permet de doubler le nombre de coeurs vu par la machine. La différence vient donc du nombre de coeurs qui passe de 4 à 6. Voyons voir si les performances sont au rendez-vous et à qui se destine un tel monstre de puissance. Mais avant d'entrer dans le vif du sujet, attardons-nous un instant sur la consommation énergétique. Avec ses 6 coeurs, on peut s'attendre à obtenir des valeurs folles. Dans la pratique, il en est différemment puisque ce Core i7 980X est au même niveau que l'i7 975. Dans l'absolu, les chiffres sont donc élevés avec pas moins de 141 W au repos et 255 W en activité processeur intense (d'où la note). Mais nous ne pouvons qu'apprécier l'efficacité de ce modèle qui bénéficie d'une finesse de gravure plus basse que sur l'i7 975 (32nm contre 45nm). Les résultats de nos tests ne sont pas étonnants. Le nouveau processeur hexa-coeurs d'Intel domine largement son pendant à quatre coeurs.
Après des Core 2 qui ont été un véritable succès médiatique pour Intel, le constructeur avait lancé le 3 novembre 2008 une nouvelle architecture baptisée Nehalem pour de nouveaux processeurs, les Core i7. Quatre cœurs, mémoire cache de niveau 3 partagées entre les cœurs, efficacité améliorée, HyperThreading, mode Turbo, contrôleur mémoire triple canal, les nouveautés ne manquaient pas a l’époque et Intel avait réussi à supplanter sur le haut de gamme ses meilleurs Core 2. Le tout sur un nouveau socket, le 1366. Côté mises à jour, Intel aura remplacé l’ultra haut de gamme 965X par un 975X en juin 2009.En septembre dernier, Intel avait fait une chose assez unique dans son histoire : scinder le marché du grand public en deux sockets dans une même architecture. C’était en effet le lancement des Lynnfield, une déclinaison de Nehalem utilisant cette fois-ci le socket 1156. La gamme aura été complétée en janvier par le lancement d’une série de processeurs double cœurs, les Core i3 et Core i5 dont nous vous avions parlé ici. Leur particularité principale étant de proposer un chipset graphique.Résultat, la nouvelle gamme d’Intel utilisant l’architecture Core est un peu compliquée à saisir pour les clients potentiels.
Intel a lancé l’architecture Nehalem en septembre 2008 avec les Core i7 de la série 900 accompagnés du chipset X58. Cette plateforme haut de gamme n’a ensuite plus vraiment évolué et l’arrivée des Core i7 et i5 Lynnfield laissait présager un avenir relativement incertain au support LGA 1366… Lors de nos premiers tests, l’intérêt du triple contrôleur mémoire nous avait semblé assez modeste au regard des surcoûts engendrés dans la complexité de la carte mère. De plus, les Core i7 de la série 800 et le chipset P55 arrivés en septembre dernier offrent généralement des performances d’un niveau comparable pour un coût nettement inférieur. Malgré des avantages comme 36 lignes PCI-Express 2.0, le X58 allait-il tomber dans l’oubli ? Pas vraiment étant donné qu’Intel a choisi le support LGA 1366 pour lancer le Core i7 980X, le premier processeur à 6 cores gravés en 32 nm… Les processeurs basés sur l’architecture Nehalem ont évolué. Les premiers Core i7 900 « Bloomfield » sont gravés en 45 nm et embarquent un triple contrôleur mémoire. En démocratisant cette architecture, Intel a intégré le contrôleur PCI-Express dans les Core i7 et i5 « Lynnfield » toujours produits en 45 nm.
Il n’y a pas trente-six manière de le dire, vous commencez à connaître le refrain : à l’heure actuelle, Intel domine le marché des processeurs, et ce, pour une simple et bonne raison : ses modèles sont les plus rapides. Les Core i5 et i7 quad-cores sont sans égal dans le segment des processeurs pour ordinateur de bureau, ce qui explique qu’ils coûtent plus cher que les Core i3 et i5 dual-cores (« Clarkdale ») ou, bien entendu, que l’ensemble de la gamme Phenom II d’AMD, jusqu’au modèle haut de gamme du fondeur, le Phenom II X4 965 Black Edition. Alors certes, quand on parle des « processeurs les plus rapides », cela dépend en réalité du benchmark. La domination d’Intel est particulièrement marquée dans les applications d’encodage vidéo, de compression/décompression multithreadée et de rendu 3D comme 3ds Max. En matière de jeux, par contre, un processeur AMD est tout à fait capable de se mesurer à une puce Intel. Bien sûr, certains sites poussent le vice jusqu’à effectuer des mesures en 640x480 afin de mettre en lumière certaines différences entre les deux marques. Et de fait, on note certains écarts de performances imputables aux processeurs jusqu’en 1920x1200.
Après avoir été les premiers à commercialiser un processeur double cœurs, les premiers à commercialiser un processeur à quatre cœurs (grand public), Intel récidive en étant avec le Core i7-980x le premier à lancer un processeur pourvu de six cores. Il faut cependant bien l’avouer, le succès n’aura pas été toujours au rendez-vous sur ces premiers processeurs, on retiendra surtout que le premier Pentium D était très peu véloce, que le QX6700 était un bon processeur mais très exclusif du fait de son positionnement tarifaire. Autant le dire tout de suite le Core i7 980x que nous vous proposons de découvrir aujourd’hui n’est lui aussi pas pour toutes les bourses. En effet vous retrouverez ce processeur dans le commerce pour environ 1000€, soit le prix du petit ‘x’ dans la dénomination commerciale, mais aussi le prix de l’exclusivité et de la démo technologique (le prix à payer pour se la péter un peu quoi ...). Mais arrêtons un peu le bavardage, nous allons donc nous intéresser à ce nouveau Core i7-980x au travers d’une brève inspection de sa fiche technique et de ses nouveautés. Puis nous passerons à notre séance de benchmarks de performances ainsi qu’à une évaluation de sa consommation et de son potentiel d’overclocking.
Présenté il y a de nombreux mois, le fameux processeur connu sous le nom de code Gulftown est enfin dévoilé par Intel. Dernière évolution de l'architecture Nehalem, celui-ci exploite la nouvelle finesse de gravure en 32 nm qui est exploitée sur les processeurs de la marque depuis le début de l'année, tout en proposant pas moins de six coeurs. L'architecture reprend le meilleur de la génération Bloomfield (Core i7 900) mais aussi certains points INtéressants de la génération Clarkdale (Pentium G, Core i3 500/ i5 600) lancée en janvier dernier. Pour le grand public, elle sera pour l'instant proposée uniquement au sein d'un Core i7 de la gamme Extrême Edition, le 980X. Cette nouvelle puce est ainsi avant tout une vitrine technologique permettant à Intel de mettre en avant tout son savoir-faire, tant en termes de finesse de gravure et de maîtrise de la consommation, que d'évolution de ses architectures. C'est aussi le premier modèle doté de six coeurs à pouvoir fonctionner sur une plate-forme accessible au grand public, composée du chipset X58 et du LGA 1366, lancés avec l'architecture Nehalem, fin 2008.
Il y a un peu plus de 16 mois, Intel lançait en grande pompe ses nouveaux processeurs Intel Core i7. Utilisant une nouvelle plate-forme LGA1366, ces processeurs quad-core gravés en 45nm étaient basés sur une nouvelle architecture baptisée Nehalem. En ce début d’année 2010, Intel récidivait en déclinant l’architecture Nehalem en 32nm et en dual-core au travers des Core i3 et i5 LGA1156 (nom de code Clarkdale). C’est aujourd’hui au tour du LGA1366 de voir débarquer un processeur 32nm, le Core i7-980X, qui est compatible avec les cartes mères X58 existantes via une simple mise à jour de bios. Par rapport aux premiers Core i7 LGA1366, les Bloomfield, la principale différence se situe donc au niveau du nombre de core, passant de 4 à 6, et du cache L3, qui passe de 8 à 12 Mo. Le tout se retrouve donc dans un die de 248mm² comprenant pas moins de 1,17 milliards de transistors gravés en 32nm ! Un Gulftown est donc plus petit qu’un Bloomfield puisque les 731 millions de transistors de ce dernier occupaient 263mm² du fait de la gravure en 45nm. Le TDP est pour sa part identique, avec 130 watts en charge, alors que la consommation au repos est annoncée à 12 watts seulement.
Premier en 2006 à commercialiser une version Quad Core en processeur grand public, Intel récidive avec cette fois-ci le premier processeur à 6 Cœurs, devançant ainsi AMD et son Phenom II X6. L'occasion pour la marque de montrer son savoir-faire et d'être le premier sur ce territoire des processeurs Hexa Core, mais aussi de mettre en hausse les performances des processeurs dans les applications tirant profit du Multi-Cœurs. Alors que nous sommes passés du Mono Core au Dual Core, puis Quad Core, la nouvelle ère du 6 Cœurs vient de démarrer, sous le nom de Hexa-Core. De l'autre côté, le constructeur AMD suit la même trace, accordant un léger décalage d'environ un ou deux mois après la sortie de celui de son concurrent, les processeurs Hexa Core d'AMD seront dévoilés sous le nom de code Thuban, en Phenom II X6. Intel continue de suivre son planing du "Tock et Tick" qu'il avait mis en avant lors de l'annonce de sa nouvelle Architecture Nehalem, qui était sortie à la fin 2008. Dans la même base architecturale que du Nehalem, le "Tick" a donné lieu à la révision du Westmere, qui marque le passage à la gravure en 32nm.
Intel profite du mois de mars, et donc de l'arrivée du printemps, pour faire éclore un nouveau bourgeon dans sa gamme de micro-processeurs. Et pas n'importe lequel puisque le processeur qui nous intéresse aujourd'hui est une nouvelle référence haut de gamme dans la lignée des Core i7 Extreme Edition. Alors que la gamme Core i7 a largement évoluée ses derniers mois avec l'arrivée des Lynnfield puis la sortie des Core i3 et Core i5 grâce aux processeurs Clarkdale, Intel avait quelque peu laissé de côté le haut de gamme. La dernière sortie d'un processeur Core i7 Extreme Edition remonte effectivement au mois de juin dernier avec le Core i7 975 Extreme Edition. Le nouveau venu, Core i7 980X est intéressant à plus d'un titre puisqu'il ne s'agit pour une fois pas d'une simple montée en fréquence. Intel apporte en effet une finesse de gravure supérieure alors que le Core i7 980X est le premier micro-processeur doté de six c?urs d'exécution x86 ! Six c?urs d'exécution? pour quelles performances ? C'est précisément la question qui nous préoccupera tout au long de cet article.
Intel lance officiellement aujourd'hui son Gulftown, aussi connu sous le nom de Core i7 980XE. Il s'agit du premier CPU à 6 coeurs disponibles en version « grand public ». Il fait parti de la série Extrême Edition du constructeur, cela signifie deux choses : son coefficient est totalement débloqué et son prix également : 999$ ! Passons donc à la présentation du CPU avant d'enchainer sur les tests face à une belle sélection de challengers ! Contrairement aux autres Core i7 900 le Core i7 980XE est basé sur une architecture Westmere (comme les Core i3 500 et i5 600) gravée en 32nm, es Core i7 900 sont eux gravés en 45nm. Ce changement de finesse de gravure permet à Intel de garder un TDP de 130Watts pour le 980XE. Le CPU comporte donc 6 coeurs physiques et peut gérer simultanément 12 threads grâce à l'Hyperthreading, un record ! Comme tous les CPU Core i7 900 il est équipé de la fonction Turbo qui permet d'overclocker automatiquement un ou plusieurs coeurs en cas de sollicitation intense, dans la limite du TDP évidemment. Le Core i7 980XE ne déroge pas à la règle des Core i7 900 et peux monter son coefficient de deux crans si un seul coeur est utilisé, un seul cran par contre avec plusieurs coeurs sollicités.