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Nous avons réuni 5 tests du Amazon Kindle. Les experts notent Amazon Kindle 8/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Amazon Kindle et d'autres Livre électronique Amazon.
Numéro un des ventes d'ebooks au pays de l'Oncle Sam, le Kindle (exalter, attiser en anglais) a débarqué récemment en France, dans sa version plus compacte. Au pays où tout est plus grand, on peut aussi acheter le Kindle DX avec écran de 9,7 pouces? Modèle qui, on vient de l'apprendre, devrait être disponible dans l'hexagone vers le 19 janvier. Mais pour l'heure, 6 pouces suffiront à nos standards de frenchies ! Le Kindle a comme un air d'iPod : un beau plastique blanc devant et une coque en aluminium brossé derrière. Sauf que le bébé d'Amazon est déjà bien grand : plus de 20 cm de haut et 13,5 cm de large, c'est le plus imposant et lourd (291 g) du comparatif. Heureusement, c'est aussi le plus fin (9,1 mm). Au final, ce gabarit procure une bonne prise en main. Amazon a veillé à ce que la qualité du produit soit irréprochable, un soin qui a porté ses fruits puisque le Kindle est magnifiquement assemblé : rien ne dépasse ni ne grince, tout est rigide à souhait ! Et pour assurer une protection optimale, Amazon livre une jolie couverture en cuir dans laquelle le Kindle vient se clipser. AffichageComme ses confrères, le Kindle emploie la technologie d'affichage E-Ink.
Le Kindle d'Amazon a débarqué dans nos contrées gauloises à grand renfort de buzz et d'articles disséminés dans toutes les presses. Leader sur le sol américain, avec plus de 65% de part de marché (devant Sony et ses Reader), l'ebook version Amazon possède pas mal de bonnes idées. Pourtant, quelques freins ennuyeux nous font clairement douter de son succès de ce côté de l'Atlantique. Après trois semaines d'utilisation, voici les avantages et inconvénients du Kindle. Le Kindle revêt une allure assez sommaire. Habillé de blanc et d'aluminium brossé, l'appareil présente un aspect plus rudimentaire que le premier Reader de Sony, bien plus esthétique. Néanmoins, la finition est tout à fait correcte et le livre inspire confiance. Si le Kindle souhaite clairement s'afficher comme le pendant de l'iPod pour les livres, il lui manque encore cette petite touche design, qui ferait qu'on le choisirait lui plutôt qu'un autre. Il est livré avec une protège-livre noir, qui ajoute quelques grammes supplémentaires au livre puisqu'avec, le Kindle pèse 450 grammes. Impardonnable, le carton, tout droit importé des Etats-Unis, n'inclut pas d'adaptateur électrique européen, pourtant nécessaire pour pouvoir recharger sa liseuse.
L’ebook d’Amazon, le Kindle, est disponible en France (et dans 100 autres pays à travers le monde) depuis le 19 octobre. Par disponible, Amazon entend qu’il est possible de le commander sur le site américain amazon.com. Si le site français présente bien le Kindle, il renvoie aussitôt vers le site aux Etats-Unis. Il est alors possible de le commander pour 259$. Tarif auquel, il faut ajouter les frais de port. C’est donc un unique modèle du Kindle qui est distribué à travers le monde. Revers de la médaille, tout est en anglais (navigation ; achat de livre, magazine ou quotidien, etc.). C’est la première chose à avoir en tête : le Kindle s’adresse aux personnes maîtrisant l’anglais. La boîte du Kindle contient le lecteur, le câble micro USB, ainsi que l’adaptateur pour le recharger directement sur une prise de courant. Ce dernier est au format US, il faudra donc investir dans un adaptateur français ou se contenter de recharger le livre numérique via un ordinateur. Le Kindle se présente sous la forme d’une petite tablette à la façade en plastique blanc et au dos en métal brossé de 203.2 x 134.6 x 9.1mm pour un poids de 290 g. L’écran de 6 pouces (15,24 cm) occupe l’essentielle de la surface.
Annoncé officiellement ICI pour l’International en début de mois, j’ai personnellement craqué pour le produit. En fait, je ne pensais en faire un test mais hier, j’ai juste voulu en parler sur mon blog perso et j’ai réalisé que ce qui devait juste être un petit texte enthousiaste s’est transformé en test alors autant le partager avec le plus grand nombre, hein ? Bref, si vous m’avez un peu suivi depuis l’annonce du produit ou sur mon Twitter, vous savez déjà que j’ai craqué pour un Kindle, le livre électronique d’Amazon. Avant même la présentation presse, je l’avais déjà commandé, du coup, la présentation presse n’était là que pour me conforter dans mon achat … C’est tellement geek tout ça, craquer pour un produit, l’acheter, l’adorer et essayer de se rassurer derrière quand les tests arrivent enfin ! Dure dure la vie d’Early Adopter. A vrai dire, j’avais déjà craqué en début d’année aux Etats-Unis lorsque je l’avais découvert au CES 2009. J’avais été surpris par la lisibilité de ce type d’écran avec la technologie de l’encre électronique. Malheureusement, ce n’était réservé qu’aux américains.
Rien n’est plus tentant que de transporter sa bibliothèque avec soi et d’acheter des livres en deux clics. Le Kindle est un livre électronique qui se charge de contenus via une liaison de données 3G. Une fois l'appareil acheté – pour environ 240 euros, frais de ports et droits de douane compris –, son coût d'utilisation se résume à l'achat de livres, ce qui suppose l'ouverture d'un compte Amazon. L'appareil n'a jamais besoin d'être relié à un PC, et, s'il sait lire quelques types de documents bureautiques et, à titre expérimental, des PDF, ces fichiers doivent lui être envoyés par courrier. Sa prise micro-USB ne sert ainsi qu'à recharger sa batterie. Il s'agit bien simplement d'un appareil américain disponible en France, et le Kindle ne prétend pas être adapté au public français, mais, pour qui lit couramment l'anglais, cette solution est envisageable. Reste à voir dans quelles conditions. Premier contact avec le Kindle : la tablette est très fine, à peine plus de 9 mm d'épaisseur, l'écran n'occupe qu'une partie limitée de la surface totale, et l'ensemble pèse 290 g, soit 20 % de plus qu'un livre de poche moyen.