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Nous avons réuni 23 tests du Red Dead Redemption. Les experts notent Red Dead Redemption 9.2/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Red Dead Redemption et d'autres Jeux Xbox 360.
L'histoire de la série est un peu particulière puisque le premier épisode baptisé aurait du sortir sous la bannière Capcom, mais la firme a laissé tomber le projet en plein développement. C'est ainsi Rockstar Games qui a réussi a attraper la bête avant qu'elle se fracasse, tête en avant, dans les abysses des projets oubliés. est donc paru sur et en 2004 et ce n'était pas du tout un jeu à monde ouvert, comme pouvait l'être la série , mais un simple jeu d'action où il fallait enchaîner les niveaux. Dix ans plus tard, entre dans l'arène avec beaucoup de promesses et un changement de cap pour tenter de franchir avec succès le passage aux consoles haute définition. A l'heure où les westerns ne sont plus à la mode, ce jeu réussira-t-il à s'accaparer totalement les joueurs ?Début du XXème siècle, John Marston est désormais un homme rangé, coulant des jours de rêves dans son ranch en compagnie de sa femme et de son fils. Mais à l'heure où le gouvernement fédéral souhaite faire respecter la loi à tout prix, les choses changent radicalement. Sa femme et son fils sont enlevés par ce dernier et ils ne seront rendus qu'à une condition : retrouver mort ou vif ses anciens compagnons d'armes et ce sera bien entendu à vous que cette tâche sera confiée.
Univers Consoles
Ajouté le : 06/2010
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Attraper un jeu en fin de développement en essayant de limiter la casse ? C'était là la lourde tâche de Rockstar sur Red Dead Revolver abandonné par Capcom, un titre clairement orienté action qui prend place dans le grand ouest à grand coup de gunfight et de bullet time. Malgré tout, ce premier Red Dead ne s'en était pas trop mal sortie, mais Rockstar sans doute déçu par leur contre-performance, se sont mis en tête de créer une vraie expérience de western. L'idée d'un nouveau Red Dead était en marche, non sur les traces de sa licence Max Payne, mais plutôt sur celle de sa licence phare, Grand Theft Auto. Proposer un GTA-Like qui prend place dans les vastes étendus du grand ouest et qui essaye de retranscrire le mieux possible l'ambiance de l'époque, là étais l'ambition de Rockstar San Diego. Est-ce que les développeurs des Midnight Club et du premier Red Dead sont à la hauteur pour proposer cette expérience de jeu tant attendu avec Red Dead Redemption ? Réponse qui ne fait aucun doute dès lors qu'on connait le travail de Rockstar, mais quand bien même cherchons des éléments de réponses...
Plus qu'un jeu, ce GTA western est une histoire intense et menée avec génie, qui enthousiasme de bout en bout. Une légende. De même qu'on ne présente plus les hors-la-loi, les justiciers, les bourreaux, les légendes ou les plaines de l'Ouest, on ne devrait pas présenter John Marston, héros rangé des carrioles, ancien bandit qui veut devenir fermier, avec femme et enfant. John Marston est l'aboutissement d'une maturation. Red Dead Redemption convoque les grands anciens, convoque tout l'imaginaire populaire, tous ces films, ces livres, ces bandes dessinées, ces jeux, tout ce qui a un jour touché de près ou de loin à l'Ouest américain. L'Ouest quand il était encore sauvage, avant la mainmise de l'Etat fédéral, avant l'automobile, alors que le rêve était encore teinté de l'épique conquête. Mais un rêve pas manichéen, car, comme à son habitude, Rockstar n'oublie pas de passer au vitriol les travers d'une époque, les hontes passées et présentes, la façon, par exemple, dont les Indiens ont été « pacifiés » par ces « Anglais d'Amérique, marchands, puritains, [qui] dans leur dure inintelligence ont refoulé, affamé, anéanti tout à l'heure ces races héroïques, qui laissent une place vide à jamais sur le globe, un regret au genre humain. »
Red Dead Redemption fait partie de ces jeux qui vous transportent vers un ailleurs, vers un univers autres que ceux qui nous sont proches, autres que ceux nous plaçant dans un conflit longuement utilisé et usé, vers quelque chose de différent. Il nous fait voyager, nous amène dans un autre imaginaire que celui de notre quotidien et ne nous propose pas une énième catastrophe. Le monde du Western n'est pas ici employé pour la première fois, mais ce n'est pas non plus un style dont usent les développeurs. Lancer Red Dead Redemption, c'est donc un peu comme une invitation au voyage qui n'est pas sans déplaire. Bien sûr, il y a Western et Western, ambiance ouest américaine et ambiance ouest américaine. Il ne suffit pas de se plonger dans une époque pour en sortir quelque chose de parfait, loin de là. Mais côté ambiance et environnement, Rockstar sait en général de quoi il parle. La réputation de l'éditeur et de ses studios est telle que l'ont peut se procurer ses titres et être certains d'en éprouver un certain plaisir. Le faux pas existe, mais il est rare et ce Red Dead Redemption avait donc tout pour se présenter à nous sous les meilleurs auspices.
Avec déjà trois titres à son actif, Grand Theft Auto a maintenant bien roulé sa bosse sur les consoles HD, et il était temps pour Rockstar de changer de registre, au moins sur la forme. Avec Red Dead Redemption, le studio délaisse le monde des gangsters modernes pour nous proposer de l'action/aventure à la sauce western. Mais si Red Dead Revolver n'avait touché qu'une petite portion de joueurs en son temps, il se pourrait bien que, cette fois, le jeu de Rockstar San Diego dépasse son illustre modèle. Gros plan sur une oeuvre que Buffalo Bill lui-même n'aurait pas renié. Rockstar est fort quand il s'agit de raconter une histoire. Cela, tout le monde le sait. Et pourtant, l'aventure que représente Red Dead Redemption va peut-être encore plus loin que ce qu'ont pu réaliser les talentueuses divisions du studio par le passé, notamment à travers les différents épisodes de GTA. D'abord grâce au contexte. Ici, on est au début du siècle dernier, dans l'Amérique des cow-boys, des shérifs, et du racisme ordinaire. Les premières voitures sont encore un luxe réservé aux gens de la ville, et les principales activités ludiques restent les jeux de cartes ou le bras de fer.
Dans ce test, je ne répondrai pas à la question "Red Dead Redemption est-il un bon jeu ?". Je préfère directement passer à la question suivante : "Pourquoi Red Dead Redemption est-il le meilleur jeu du monde ?".Et j'y répond dans la foulée : Tout simplement parce que par tous ses aspects, pour tout ce qui le compose, il est brillant.Le plus étonnant, c'est qu'un média comme les jeux vidéo ait réussi à maitriser avec une telle aisance un genre tel que le western. Ceux qui regrettaient que le cinéma de John Ford ou de Sergio Léone ait complètement disparu peuvent aller bruler un cierge en pensant aux frangins Houser, les producers du jeu : ils jouent tout bonnement dans la même catégorie que les réalisateurs précités. Quant à ceux que le genre western n'intéresse pas plus que ça, ils y trouveront aussi leur compte en tant que joueurs.Dès les premières minutes du jeu, j'ai su que j'étais face à un truc gigantesque. Envoutant, bluffant, fascinant... C'était clair. Dans la scène du train -introduction du jeu-, je savais que j'allais me retrouver face à un problème : trouver des mots suffisamment forts permettant de décrire la qualité de la réalisation, l'intelligence de l'ensemble.
Depuis des années, les équipes de Rockstar Games se cherchent entre deux Grand Theft Auto. D'un Bully insolent à un Manhunt sanglant, aucune licence du studio n'a réussi à égaler l'aura de sa série phare. Mais avec Red Dead Redemption, l'heure est cette fois au grand Ouest américain, celui des années 1910 où le mot cowboy signifiait encore quelque chose et où les problèmes d'honneur se réglaient dans la rue à coups de révolver. Dépaysement garanti. L'Amérique, terrain de jeu privilégié de Rockstar Games depuis des années, est une fois de plus au c?ur de cette nouvelle production. À deux exceptions notables cela dit : le Mexique a également son mot à dire et l'histoire prend place au début du siècle dernier. Or le changement d'époque fait tout dans le cas de Red Dead Redemption. Les gratte-ciels de Liberty City laissent leur place à un désert s'étalant sur des kilomètres, tandis que le mythe du cow-boy tourne à plein régime. Le joueur entre ici dans les bottes de John Marston, un écorché vif que la vie n'a pas gâté. Ancien hors-la-loi, il doit désormais payer pour ses crimes passés en démantelant ce qui reste de son ancienne bande.
Puisque la concurrence est incapable de faire trembler les frangins Houser et la série Grand Theft Auto, Rockstar Games a décidé de se mettre en danger avec Red Dead Redemption, le successeur désigné de Read Dead Revolver sorti en 2004 sur Xbox et PS2. Considéré comme l'un des titres majeurs à ne pas manquer cette année, le jeu développé par Rockstar San Diego s'est imposé comme grand défi de faire oublier la racaille et les buildings modernes de Liberty City, en emmenant le joueur visiter les Rocheuses de l'Ouest américain. Si Red Dead Redemption profite naturellement de tout le travail qui a été réalisé pour GTA IV, marque-t-il autant les esprits que les aventures de Niko Bellic ? Oui, indéniablement.John Marston, c'est une gueule, une carrure, un caractère en acier trempé. John Marston, c'est aussi le héros de Red Dead Redemption, un ancien hors-la-loi qui a décidé de se ranger afin de profiter de sa famille, de sa ferme et de son bétail. Mais avant de raccrocher définitivement son fusil à pompe, il va se lancer dans une vendetta contre ses ex-partenaires qui l'ont laissé pour mort lors d'un casse ayant mal tourné. Bill Williamson, Javier Escuella, Dutch Van der Linde, trois individus qui vont hanter tour à tour l'esprit de Marston dans une quête principale longue d'une vingtaine d'heures.
Il aura fallu six années à Rockstar pour déterrer la licence Red Dead et imaginer une suite spirituelle à l'épisode Revolver. Spirituelle seulement car Redemption, en dehors d'un dessin très proche de son aîné, n'a pas grand-chose à voir avec le jeu d'action qui était sorti sur PS2. Plus ambitieux, plus riche, plus vaste et plus mûr, ce GTA-Like se présente comme l'une des plus grosses productions de l'année 2010, en mesure de conquérir le coeur de ceux qui ont aimé les aventures d'un certain Nico Bellic. Pour réussir cette mission, Red Dead Redemption nous transporte un bon siècle en arrière, à la frontière américano-mexicaine, en pleine "Revolución". Vous êtes John Marston, un cow-boy aux traits abîmés par les cicatrices symboles de son passé de truand. En plein Ouest américain, notre héros va prendre part à une véritable chasse à l'homme à son insu. Sa femme et son fils lui ont été enlevés, le temps que John remplisse la part du contrat qui le lie aux autorités pourries de Blackwater. En effet, laissé pour mort par ses anciens acolytes, Marston n'a qu'un objectif : retrouver chaque membre de la bande et faire d'une pierre deux coups en se vengeant de l'abandon dont il a été victime et en éliminant ceux auxquels les shérifs du conté n'osent même pas se frotter.
GamePro.fr
Ajouté le : 05/2010
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Dès 2004, avec Red Dead Revolver, Rockstar proposait une version – certes inaboutie – du GTA-Like à la sauce Western. Un titre déjà plein de potentiel, notamment dans l'univers, mais proposant une action et des mécaniques alors trop répétitives pour embarquer réellement le joueur. Sa suite, Red Dead Revolver, bénéficie elle pleinement du savoir-faire de Rockstar en ce qui concerne l'ambiance, les personnages, l'écriture et la mise en scène. Résultat, le Western dopé au moteur de GTA IV s'impose comme l'immense sensation vidéo-ludique du moment, et peut-être même déjà comme le jeu de l'année. Car à ce jour, nous sommes loin d'être sûrs que même l'un des blockbusters de la fin d'année réussira à nous faire le même effet. Red Dead Redemption est un chef d'oeuvre, transcende le genre du GTA-Like et est sans doute à ce jour le meilleur jeu qu'ait proposé Rockstar. Récit d'un voyage au Far-West, dans les bottes de John Marston. Marston, ce héros Si l'univers désertique de Red Dead Redemption tranche littéralement avec le quotidien sur-urbanisé de Niko Bellic, les deux grands jeux de Rockstar sur la génération actuelle de consoles ont bien des choses en commun.
Les previews de Red Dead Redemption se suivent et ne se ressemblent pas. Après avoir découvert le mode multijoueur il y a trois semaines, et assisté à moultes présentations du jeu auparavant, nous avons enfin pu profiter de la bête de longues heures durant. Manette en mains, nous avons passé toute une journée dans les locaux londoniens de Rockstar Games à arpenter le jeu en toute liberté. Et le moins qu'on puisse dire, c'est que nous avons déjà hâte de reprendre les rênes de cette fantastique chevauchée !Notes d'harmonica, mélodie sifflée, locomotive à vapeur, Stetsons et gueules balafrées : dès la séquence d''introduction le ton est donné, et l'ambiance posée. Tous les délicieux clichés du western sont mis à contribution pour plonger le joueur dans cet univers particulier, sans jamais provoquer pour autant un effet de déjà-vu trop prononcé. Il faut dire que les développeurs de Rockstar San Diego nous ont concocté quelques compagnons d'aventure bien frappés. Du chercheur de trésor nécrophile au bonimenteur atteint de logorrhée, la plupart des donneurs de quêtes et autres personnages secondaires ne manquent pas de personnalité. Le beau rôle reste tout de même dévolu à John Marston, le héros que l'on incarne.
Après s'être ouvert à nous en solo, le très attendu Red Dead Redemption devait nous révéler certains de ses modes multijoueurs. Rendez-vous était donc pris pour l'occasion chez Rockstar, du côté de Londres. Lors des précédentes présentations de Red Dead Redemption, nous avions bien senti que la formule réduisant ce jeu à un "GTA au Far West" avait bien du mal à être acceptée par les représentants de Rockstar. Mais quoi de plus normal quand on est partie prenante dans la création d'une oeuvre quelle qu'elle soit (jeu, film, livre...) de ne pas apprécier de la voir résumée en trois mots par un journaliste sans doute tout fier d'avoir trouvé une bonne accroche ? Non seulement c'est compréhensible mais c'est aussi parfaitement légitime. Donc nous sommes d'accord : Red Dead Redemption n'est pas qu'un GTA avec des cow-boys. Et pourtant, avant même que ne commence la session de jeu sur les modes multijoueurs de Red Dead Redemption, l'un des membres de l'équipe londonienne de Rockstar a cité le multi de GTAIV comme étant "la référence immédiate" ayant servi au développement de ce nouveau titre. Et comme vous allez pouvoir le constater, c'est on ne peut plus juste. Le premier des modes en multi n'en est pas un à proprement parler.
Prise-en-main multijoueur Cela commence comme il se doit par un duel au Mexique. Six hors-la-loi à la peau cuivrée se tiennent immobiles en cercle, les mains crispés sur leurs holsters, tandis que six joueurs au visage bien pâle sont en équilibre sur le bord de leurs chaises, les doigts crispés sur des gâchettes de contrôleurs de Xbox. La caméra passe d'une vue plongeante à un cadrage serré sur le visage buriné de mon cow-boy, dont les yeux plissés évaluent successivement chacun de ceux de ses rivaux, puis fait un plan d'ensemble avant de se fixer sur la vue traditionnelle à la troisième personne. Une dernière pause, puis une fusillade d'enfer explose à l'écran tandis que chacun essaye d'adopter un semblant de stratégie au milieu de la fumée et du déluge de balles. Certains s'effondrent au sol presque immédiatement, d'autres reculent précipitamment en se tirant dessus mutuellement et en priant pour que leurs balles fassent mouche. Dans le même temps, quelqu'un semble avoir adopté une tactique consistant uniquement à s'enfuir aussi vite que possible sans regarder en arrière, un plan qui fonctionne bien jusqu'à ce qu'une balle tirée de loin par le seul autre combattant restant vienne inévitablement lui fracasser l'arrière du crâne.
Conçu par Rockstar Games, studio créateur de la série Grand Theft Auto, Red Dead Redemption est le deuxième volet d'une série qui a bien l'intention de s'imposer comme l'une des nouvelles références du jeu open world. Alors que son prédécesseur s'avérait plutôt classique dans sa mise en forme, Red Dead Redemption se veut lui bien plus ouvert et surtout plus riche dans ses possibilités. C'est lors d'une cavalcade au Far-West ou plutôt d'un aller-retour à Londres que nous avons pu essayer l'un des points qui a été le moins développé dans les différentes informations publiées sur le jeu, à savoir le mode multi.Majoritairement orienté vers son mode solo, qui s'annonce comme une sorte de GTA dans un contexte de western, Red Dead Redemption disposera également d'une partie multijoueur dans lequel la loi de l'Ouest sera définie par chacun des joueurs. Ne faisant pas vraiment dans la nouveauté au niveau des principaux défis aperçus dans sa courte liste, à savoir un mode Deathmatch et un classique Capture the Flag, le jeu de Rockstar Games possède en revanche une course aux trésors qui change un peu les habitudes.
Gamekult
Ajouté le : 04/2010
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Nous vous avons déjà parlé de Red Dead Redemption, le jeu d'action de Rockstar que l'on pourrait comparer en grossissant le trait à un "Grand Theft Auto au Far West". Cette fois, le développeur nous a conviés à découvrir le mode multi de son titre prometteur, au sein même de ses locaux londoniens. L'occasion de partager nos nouvelles impressions. On le sait, Rockstar est depuis longtemps passé maître dans l'art de raconter des histoires, mais l'éditeur compte bien faire de Red Dead Redemption un titre également convoité pour sa partie multi, un critère souvent décisif quant à la durée de vie d'un jeu. Et pour nous montrer le soin apporté à cet aspect, le développeur a mis les petits plats dans les grands en nous conviant à une longue session manette en main spécialement dédiée aux défis à relever à plusieurs, qu'il s'agisse de coopération dans les missions, ou d'affrontements mettant les joueurs en compétition. Autant être franc, même si tout n'a pas été encore dévoilé, le multi de Red Dead Redemption s'annonce certes plutôt classique sur le papier, mais aussi très complet. On y trouvera ainsi du deathmatch seul ou en équipe, un capture the flag maquillé, et des modes un peu plus originaux.
Encore un aperçu de Red Dead Redemption ? Effectivement mais nous avons d'ores et déjà deux bonnes nouvelles. D'abord ce ne sera pas le dernier d'ici la sortie du jeu prévue pour avril 2010. Ensuite, nous avons enfin pu prendre une manette en mains et faire bouger John Marston de nos petits doigts empressés. Allez, en selle ! Petit rappel des faits : Red Dead Redemption est un shoot à la troisième personne se déroulant dans une ambiance western et dans lequel Rockstar recycle les recettes qui ont fait le succès justifié de GTA. Niveau scénario, on dirigera John Marston, un malfrat repenti qui va devoir ressortir son artillerie pour retrouver ses anciens complices. Il y est forcé par un mystérieux organisme d'état baptisé "Le Bureau" et certainement ancêtre du FBI qui a enlevé sa petite famille pour l'obliger à obéir. On se demande bien contre qui notre héros va se battre à la fin de sa quête... Lors de cette nouvelle vision organisée par Rockstar dans un hôtel parisien, un vrai choc nous attendait. En effet, le rendu graphique de Red Dead Redemption s'est grandement amélioré depuis la dernière fois que nous l'avions vu. Les couleurs sont moins criardes ce qui confère un certain réalisme à l'ensemble.
En parallèle de la récurrente et juteuse, mais néanmoins qualitative, licence , Rockstar s'essaie à des genres nouveaux. Enfin pas si nouveaux que ça, puisqu'il s'agit souvent de jeux à mondes ouverts. Ici encore, la résurrection de la licence , rachetée à Capcom, se fera par la voie de la liberté, ses ambitieux développeurs souhaitant "redéfinir le jeu à monde ouvert", tout en proposant "la carte la plus grande jamais créée" dans un jeu du genre. Vous pouvez ressortir chapeau, chemise, bottes et éperons et venir à la rencontre des grands espaces dans les Etats-Unis du début du 20ème siècle, tandis que nous vous narrons nos impressions après une heure de démo commentée.La période western/cowboys et conquête de l'Ouest touche à sa fin. La technologie commence à rattraper les garçons de vaches et les desperados, qui vivent donc leurs derniers moments de gloire. Vous incarnez John Marston, bandit plus ou moins repenti, dont la mission de fond consistera à retrouver les anciens membres de sa bande pour une raison encore quelque peu obscure. Vos pérégrinations vous mèneront sur trois immenses territoires, dont un à la frontière du Mexique et qu'il nous a été possible de voir : Nuevo Paraiso. Il est possible de traverser toutes ces zones sans le moindre temps de chargement et est a priori accessible tout ce qui est visible.
Rockstar caressait doucement l'espoir un jour de créer un jeu se passant dans le Farwest. C'est bientôt chose faite avec Red Dead Redemption qui devrait voir le jour fin Avril dans nos chères contrées. Mais quel est le principe du jeu, un GTA avec des Cowboys ? Pour le savoir nous avons assisté il y a une semaine environ à une présentation gameplay du jeu nous présentant brièvement la majeure partie de ses possibilités. John Marston sera votre hôte durant tout le jeu. Cet ancien hors-la-loi devra (pour une raison encore assez obscure) retrouver des anciens membres de son clan de bandits. Quoiqu'il en soit il aura l'occasion de se balader dans un territoire divisé en 3 grandes régions dans un lointain Mexique. L'une des spécialités de Rockstar est la création d'univers ouverts avec de nombreuses interactions possibles. Red Dead ne devrait pas faillir et proposerait même une expérience encore plus riche qu'avec un simple GTA. Honneur et notoriété seront deux aspects importants à gérer. Selon votre comportement et vos actions ces deux derniers pourront augmenter ou baisser, vous privant alors éventuellement d'avantages par la suite.
Dès qu'on évoque Rockstar, on a en tête les jungles urbaines qu'ils nous ont fait parcourir en long, en large et en travers dans les différents GTA. Changement de décor avec Red Dead Redemption, puisque cet éditeur va nous envoyer vers les grands espaces de l'Ouest américain au temps des cowboys. Changement de décor, d'accord, mais pas forcément changement de propos comme nous avons pu le constater lors d'une récente présentation de ce projet. Niveau scénario, Red Dead Redemption nous racontera l'épopée de John Marston, un hors-la-loi qui profite de sa retraite mais qui devra remettre le pied à l'étrier pour retrouver ses anciens complices. Les détails sont encore très vagues mais il semblerait que le héros soit obligé de mettre la main sur ses compagnons de débauche pour le compte d'une agence gouvernementale. Mais, au fond, ce n'est pas le plus important. L'élément essentiel de cette présentation, ce fut sans doute notre tête quand nous nous sommes retrouvés face au décor et que, quelques fractions de seconde plus tard, nous avons appréhendé son étendue, et que l'on pourra partir dans n'importe quelle direction pour chevaucher durant des kilomètres, monter au sommet de toutes les dépressions visibles, etc.
Gamekult
Ajouté le : 12/2009
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Croisé pour la première fois en début d'année et instantanément placé en bonne position sur notre radar des futurs hits potentiels de 2010, Red Dead Redemption vient réchauffer notre mois de décembre grâce à une seconde présentation. Si celle-ci n'était hélas toujours pas jouable, elle nous a tout de même permis de retrouver le futur bébé de Rockstar Games en grande forme et de jeter un oeil sur un bon paquet de petits détails inédits. Toujours pas jouable pour cette seconde présentation, Red Dead Redemption abandonnait les grandes étendues de l'Ouest américain pour s'exiler un peu plus au sud : on découvrait cette fois-ci la partie mexicaine du futur titre de Rockstar Games. Toujours en compagnie du taciturne et extrêmement classe John Marston, on se retrouvait en plein milieu d'une guerre civile opposant l'armée gouvernementale à un groupuscule de rebelles bien remontés. On ne surprendra évidemment personne en annonçant que ce conflit sera l'occasion pour notre héros de trouver de nouveaux employeurs, même s'il reste dans l'absolu en quête de ses anciens partenaires de crime pour le compte du Bureau, le F.B.I. de l'époque.
Oubliez le sympathique mais largement perfectible Red Dead Revolver de 2004, Rockstar Games reprend la série à zéro et fait en sorte d'y insuffler son savoir-faire des mondes ouverts acquis avec la série GTA. Bien qu'il s'agisse du studio Rockstar San Diego (Midnight Club) qui s'occupe du développement, et non pas Rockstar North, la touche GTA est réellement palpable sur la version de Red Dead Redemption que nous avons pu découvrir la semaine dernière. Sensation immédiate de liberté dans de vastes environnements, dialogues ciselés, violence brute et sans détour, pas de doute, il s'agit bien d'une production Rockstar. En introduction de la présentation, les représentants français de l'éditeur nous affirment d'ailleurs que Red Dead Redemption représentera la prochaine étape du genre lors de sa sortie en avril prochain. Et au vu de ce que nous avons vu, nous sommes plutôt disposés à les croire.Le cadre : Amérique du Nord, début du XXe siècle, la conquête de l'Ouest est terminée, la civilisation commence à bien s'installer dans toutes les terres sauvages et le grand ménage des hors-la-loi a commencé. John Marston était l'un d'eux, mais il s'est repenti.
En termes de journalisme, la partie de l'article que vous êtes en train de lire et dont la fonction est de servir d'introduction au "gros du texte" s'appelle un chapeau. En l'occurrence, on serait tenté de préciser qu'il s'agit d'un Stetson, chapeau de cow-boy par excellence... On le sait, le cinéma et le jeu vidéo entretiennent des relations qu'on pourrait qualifier d'intimes. Nous en avons eu une nouvelle preuve lors de la présentation de Red Dead Redemption qui a débuté par la projection d'un montage rassemblant, comme nous l'ont précisé les représentants de l'éditeur Rockstar, des extraits des westerns qui ont inspiré l'ambiance de ce jeu. Au programme, du Sergio Leone, du Sergio Leone et encore du Sergio Leone. Seule exception à ce défilé un rien monomaniaque, la présence de Sam Peckinpah. Mais comme il s'agissait de "La Horde Sauvage", on peut dire qu'on restait dans le même ordre d'idée...
Gamekult
Ajouté le : 05/2009
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Récupéré à la dernière minute chez Rockstar Games après son abandon par Capcom, Red Dead Revolver était un sympathique jeu d'action de la génération précédente de consoles, qui avait en plus l'intérêt de nous inviter dans le milieu finalement assez peu exploité du Western Spaghetti. L'annonce d'une suite baptisée Red Dead Redemption pour nos consoles HD est donc une sympathique surprise, d'autant plus que Rockstar est maintenant impliqué d'entrée de jeu sur le développement avec l'ambition d'en faire "un titre 100% Rockstar". Il n'en fallait pas plus pour éveiller notre intérêt, et ça tombe plutôt bien, puisque l'on a pu découvrir une première version - hélas non jouable - du jeu dans les locaux londoniens de l'éditeur. Pour mieux retranscrire leur volonté de s'approprier une franchise qui appartenait initialement à un autre éditeur, Rockstar a décidé de se dissocier complètement de Red Dead Revolver d'un point de vue scénaristique et contextuel.
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