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Nous avons réuni 24 tests du Pro Evolution Soccer 2012. Les experts notent Pro Evolution Soccer 2012 7.5/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Pro Evolution Soccer 2012 et d'autres Jeux Playstation 3.
PlayLipse
Ajouté le : 11/2011
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Comme tous les ans, Konami nous propose sa nouvelle itération de la licence PES. Après avoir connu une certaine chute avec les épisodes 2008 et 2009, celle-ci s'est quelque peu relevée avec l'opus de 2010, sans toutefois réellement convaincre, avant de revenir sur le devant de la scène avec une bonne cuvée 2011. Seabass et son équipe ont donc continué à travailler en promettant de prendre en compte les retours des fans pour offrir un titre de qualité. Reste alors à voir si ce Pro Evolution Soccer 2012 est le soft tant espéré ou s'il faut attendre l'année prochaine? De prime abord, ce PES 2012 ne laisse pas augurer de grandes nouveautés au niveau du contenu. On retrouve un menu horizontal assez clair, un peu plus stylé que dans le passé, des rencontres rapides, la Ligue des Champions, la Copa Libertadores, un menu de personnalisation (création et modification de joueurs, équipes, stades et compagnie, le tout étant relativement fourni), la Ligue des Masters et le mode Légendes (tous deux regroupés dans le mode Football Life) ainsi que toute la partie multijoueur et quelques fonctions sociales pour impliquer les amis. Au niveau des licences, on compte quelques ajouts ci et là, même si beaucoup de licences officielles manquent encore à l'appel.
Quelques jours après avoir reçu une grosse baffe avec FIFA 12, il est temps de vous livrer notre verdict sur la dernière édition de son éternel rival, Pro Evolution Soccer 2012. Si la série de Konami a dominé le monde du football virtuel jusqu’en 2007, la tendance s’est aujourd’hui clairement inversée avec un FIFA aux allures de simulation ultime et un PES qui continue de se chercher une seconde jeunesse. Depuis l’an dernier, la série des Pro Evolution Soccer semble en tous cas de nouveau dans le sens de la marche, avec des progrès notables et un gameplay qui commence enfin à se transformer. L’édition 2012 renforce encore cette sensation que la saga continue de remonter la pente petit à petit, sans pour autant pouvoir prétendre reprendre son trône. Explications. PES 2012 tente de renouer avec le passé de simulation footballistique de la série, avec une évolution sensible du rythme de jeu, bien plus posé cette année, qui permet de mieux construire ses actions. Le changement est sensible, à tel point que le premier match est suffisant pour démarquer clairement cet épisode des précédents volets. Les joueurs contrôlés par l’IA ont aussi pris quelques neurones au passage et n’hésitent plus à venir en soutien de votre footballeur, mais seulement si vous vous rapprochez d’eux.
Sur les terrains de football, les franchises PES et FIFA s'affrontent depuis des années. Si FIFA semble dominer le milieu, Konami n'en baisse pas pour autant les bras et tend à proposer les changements nécessaires pour se rendre appréciable aux yeux du plus grand nombre. Mais les améliorations sont longues à prendre place, les schémas difficiles à articuler. Konami ne doit pas faire face à des joueurs individualistes pour gagner une coupe du monde, mais à des défauts parfois inhérents à la franchise ou découlant des améliorations apportés. PES 2006 a marqué les esprits, PES 2011 a initié les changements utiles. Ce PES 2012 reprend les bases de son prédécesseur, ne marquera sans doute pas les annales de la franchise, mais apporte de très bons ajouts. L'ensemble est encore perfectible mais prouve la bonne volonté de Konami à aller de l'avant. Et c'est mieux que de se reposer sur des lauriers imaginaires... Soyez prévenus, les changements opérés dans ce PES 2012 ne s'affichent pas dans le contenu du titre, sensiblement le même que dans PES 2011. Rien n'a été enlevé donc, et les habitués retrouveront les compétitions habituelles : les ligues nationales, la Ligue des Champions, la Ligue Europa, la Copa Libertadores côtoient toujours les matchs d'exhibitions aux séances d'entraînement.
Comme à chaque rentrée, le football est à l'honneur sur nos consoles avec deux principales franchises qui se battent pour la possession de balle. Avec le match FIFA face à PES, c'est comme un classico qui se joue sur les terrains et qui, ces dernières années, tourne clairement en faveur du bébé d'Electronic Arts. Bien décidé à rehausser son niveau de jeu, la simulation de Konami a annoncé la couleur avec une preview encourageante mais dotée de pas mal de zones d'ombre. Avec cette version finale, Pro Evolution Soccer 2012 confirme-t-il avec plus de brio ses bonnes intentions ? Avant de s'attarder sur ce que Pro Evolution Soccer 2012 tente de changer sur le fond, il convient de faire un point sur la forme, avec ce qu'il y a à se mettre sous le dent. Force est de constater que niveau contenu, cette nouvelle cuvée du jeu de Konami na va pas chercher bien loin en reprenant la plupart des éléments de son prédécesseur. Place donc aux traditionnels matchs d'exhibition, aux séances d'entraînement et aux ligues nationales auxquelles il faut ajouter la Ligue des Champions, la Ligue Europa et la Copa Libertadores mais aussi les modes Vers une Légende et Ligue de Masters, tous deux regroupés dans un nouveau menu baptisé Football Life.
Je ne sais plus trop quand ça a commencé. J'ai l'impression que ça date d'il y a une éternité, que Pro Evolution Soccer et FIFA ont toujours été opposées frontalement. On comprend évidemment qu'un jeu de foot soit comparé à un autre jeu de foot. Dans un test, c'est inévitable. C'est toujours notre objectif, à la base de chaque article, de vous dire si le jeu dont on parle aujourd'hui est le meilleur, ou pas.Mais le pire, c'est que la simultanéité des sorties des deux jeux nous contraint à choisir l'angle obligatoire de la comparaison, surtout lorsqu'il s'agit du second test. Celui de FIFA étant déjà publié, la comparaison est pour ma tronche. Je dois vous dire que je comprends à peine Konami. Pourquoi ne pas sortir son PES plus tard, histoire d'éviter la comparaison avec FIFA et plutôt axer la comparaison avec le PES précédent ? Pourquoi tout simplement ne pas sortir un PES 2012 en 2012 et redonner un peu de sens aux noms des jeux. Pourquoi chercher à se faire battre malgré d'incroyables qualités à présenter.Car ce PES est plutôt bon, on sent que depuis l'an dernier, Konami essaie de se reprendre en main. On peut même dire que c'est un des meilleurs PES depuis pas mal d'années.
Comme à chaque rentrée, les deux grosses licences de foot du jeu vidéo (PES et FIFA) se livrent une guerre impitoyable dans le seul but de prendre ou garder une place dans le cœur des joueurs. Et comme chaque année, il incombe au testeur de décortiquer soigneusement les différences de réalisme, d’animation, de licence, d’ambiance entres les deux titres pour décider de celui qui aurait la palme du jeu à la fois le plus crédible et le plus amusant. Sauf que cette année, le choix sera beaucoup plus simple. Konami a en effet décidé de donner à son nouveau PES une orientation radicalement différente de l’année dernière. Désormais quand vous parlerez de PES, vous ne parlerez plus de simulation, mais plutôt de jeu de foot. Une nuance qui a son importance, comme nous allons le voir dans ce test. Pour ceux qui n’auraient pas suivi l’actualité des jeux de foot de ces dernières années, il faut savoir que depuis son édition 2010 la licence FIFA prend nettement le dessus. Plus beau, mieux animé, plus peaufiné et plus complet, Electronic Arts semble avoir enfin compris que l’on s’impose sur un marché en mettant beaucoup de moyens derrière son développeur et qu’il faut écouter les joueurs.
L'automne est finalement arrivé. Avec lui, ses marronniers. Dans le jeu vidéo, ils prennent bien souvent la forme d'un duel PES/FIFA, que l'on sait automatiquement (ou presque) gagné s'avance par le second depuis plusieurs années. Oui mais voilà, cette fois, chez Konami, on annonçait à qui voulait bien l'entendre que la licence autrefois mythique allait revenir sur le droit chemin. Malheureusement... Qu'il est loin le temps où l'on pouvait rire de FIFA et de ses défenses à la ramasse, de son gameplay arcade, et j'en passe. En 2011, la presse est unanime (dithyrambique ?) : c'est bien le jeu d'EA Sports qui domine le genre du football virtuel, et de loin. Pourtant, l'an passé, on avait eu droit à un PES 2011 qui semblait augurer d'un regain de forme. Et puis, entre temps, vint la version preview de PES 2012, envoyée fin juillet aux rédactions, et mettant en avant la possibilité de contrôler désormais 2 joueurs sur le terrain (on ne reviendra pas sur le fait que son concurrent direct autorise à peu près la même chose depuis plusieurs années maintenant...) Et par extension, d'anticiper le jeu d'une manière plus probante, en mettant en place des appels qu'on pourra gérer de A à Z.
L’heure est au ballon rond. Comme chaque année, la dernière semaine de septembre est celle où tout se joue entre les deux licences phares du foot virtuel. La semaine où les trolls et les fanboys de tout poil se livrent une guerre acharnée sous l’étendard de leur franchise respective. On peut trouver ça franchement ridicule. Ça l’est d’ailleurs un peu. Mais il n’empêche qu’en y regardant de plus près, ce sont deux véritables écoles qui se font face lorsque l’on parle de PES et de FIFA. Car cette année, plus que jamais, un fossé s’est creusé entre les deux sagas. Pas en terme de performance globale mais bien au niveau de l’ambition, de la nature profonde de l’un et de l’autre. . Ce qui nous frappe en fait avec cet épisode, c’est justement son immobilisme, sa neutralité. Pro Evolution Soccer 2012 a décidé de camper sur des positions qui peuvent sembler arriérées et désuètes pour les uns. Mais c’est justement pour ce côté old-school, figé dans le temps et absolument cultissime aux yeux de toute une génération de joueurs, que les fans continuent d’idolâtrer la série de Konami. Que l’on soit clair d’entrée de jeu, PES 2012 est un excellent PES. Sans doute le meilleur depuis PES 6 et donc le plus abouti sur supports HD.
Alors que nous avions pu voir par le passé que la série des Pro Evolution Soccer commençait petitement à regagner ses galons qui ont fait d’elle la simulation de foot ultime sur PS2, nous allons voir aujourd’hui si Konami parvient une nouvelle fois à hisser le niveau de sa licence vers le haut afin de retrouver les sommets tutoyés par le passé. Première surprise de taille cette année pour la licence, la figure de proue du jeu n’est plus le très emblématique Lionel Messi qui enfile les buts comme les ballons d’or, mais une autre star de la Liga, le portugais Cristiano Ronaldo. Un choix qui pourra provoquer des réactions différentes auprès des joueurs pour peu que la star les agacent ou les émerveillent lors de ses matchs. Mais ce choix, en plus d’être simplement marketing, montre à lui seul la volonté d’entrer dans une nouvelle ère du côté des équipes de Seabass. Cette volonté se ressent dès les premiers instants de jeu après avoir inséré le disque dans la console. Cette année, le titre se décide à nous proposer un menu animé qui permet de voir en arrière-plan des actions se dérouler avec quelques-unes des plus grandes équipes du monde.
On finit par prendre le pli. Dans la lutte sans partage qui les oppose, FIFA et Pro Evolution Soccer rivalisent d'annonces et de partenariats en tout genre pour s'attirer à eux les faveurs des fans de foot. Trève de blabla, la rentrée est déjà bien entamée, et l'heure de faire ses preuves sur le terrain vient de sonner. Premier à passer sur le billard : Pro Evolution Soccer 2012. Tout de suite, notre verdict. Les premières sensations sont bonnes. Libératrices, même. Forcément, si vous étiez restés sur l'image d'un PES statique, avec des joueurs lourds et une inertie de brontosaure au moindre contrôle orienté, Pro Evolution Soccer 2012 a toutes les chances de vous surprendre. En termes de vivacité comme de souplesse, cette nouvelle édition se rapprocherait d'un PES 6, voire, soyons fous, des récents FIFA. Entre les passes qui filent vite et bien ou le bruit quasi inaudible du ballon, couvert par les chants de supporters, Konami n'a manifestement pas hésité à regarder ce qui se fait ailleurs. Les hommes de SeaBass ont surtout abattu un travail remarquable dans la gestion des déplacements. Plus besoin de passer des heures dans le menu Formation pour voir son latéral se sortir les tripes au lieu de draguer les spectatrices dans les gradins.
Atomisé par son concurrent FIFA au début de l'ère PS3, Pro Evolution Soccer a entamé depuis deux ans une lente reconstruction sous la houlette de son géniteur Shingo « Seabass » Takatsuka. Après de nettes améliorations graphiques en 2010 et un gameplay approfondi l'an passé, on attendait beaucoup de l'opus 2012 qui, espérait-on, permettrait enfin à la série de Konami de revenir au niveau de celle d'Electronic Arts. Le souhait des fans a-t-il enfin été exaucé ?Comme souvent dans ce genre de situation, les développeurs nous ont promis à grands coups de communiqués de presse des changements significatifs pour cette nouvelle mouture. On citera en vrac une intelligence artificielle plus pointue, une meilleure gestion des collisions et des chutes, des graphismes rehaussés, de nouveaux paramètres pour affiner les passes, et un gameplay étoffé pour offrir toujours plus de possibilités. De quoi faire saliver les fans de la série, même s'il restait à juger de tout cela pad en main.Premier constat lors de la découverte du menu principal du jeu : les choses n'ont que peu bougé sur ce plan-là depuis l'an dernier. Les icônes servant à accéder aux différents modes de jeu sont identiques à celles de PES 2011, et seul le background, affichant désormais une vidéo au lieu d'une image statique, semble avoir fait l'objet d'une refonte.
Evidemment, il est facile de filer la métaphore du ballon rond quand on a à disserter sur une simulation de football. Si c'est bien sûr plus aisé, c'est aussi dans le cas de la série de Konami, Pro Evolution Soccer, tout à fait pertinent. Après une période de domination sans partage, la simulation a perdu ses marques en entrant dans l'arène HD et a dû, lentement, péniblement, retrouver ses automatismes, reconquérir son public. Tout ça face à un outsider devenu entre temps champion, le royal FIFA. L'an dernier, PES 2011 nous avait montré de belles choses et, disons le de but en blanc, PES 2012 transforme l'ess... euh... confirme la grande forme dans laquelle se trouve de nouveau la licence japonaise.Tous les entraîneurs vous le diront, quand on a des fondations solides dans une équipe, telles qu'une charnière centrale défensive qui marche de concert ou une paire de milieu qui se complète parfaitement, tout est plus simple dès lors que de nouvelles recrues se pointent : il suffit de les intégrer là où il faut combler. C'est il semblerait avec cette philosophie que les équipes de Konami se sont attelées à réaliser ce PES 2012. Les bases du titre, cette nouvelle édition les doit à PES 2011.
Chaque année, la question se pose dans l'esprit de plusieurs millions de passionnés de football : PES ou FIFA ? Il faut bien l'avouer, maintenant que FIFA est considéré par la quasi-majorité de la planète comme la meilleure simulation de football du moment, PES ne rayonne plus autant qu'il y a quelques années. Et pour cause, avec son passage raté à la next-gen, la franchise de Konami a peu à peu perdu ses adeptes, tous partis voir si la pelouse était plus verte chez Electronic Arts. La donne va-t-elle changer cette saison ? Réponse dans notre test de PES 2012.L'année dernière, PES 2011 était parvenu à réconcilier les inconditionnels de la série avec la licence qui les avait fait rêver au début du XXIe siècle. Mieux, les disciples de Seabass entrapercevaient enfin un contre-pouvoir face au mastodonte FIFA, le syndrome "Coupe de France" en quelque sorte, qui consiste à toujours défendre le « Petit Poucet » contre une équipe plus impressionnante sur le papier. Une lueur d'espoir, donc, en attendant l'arrivée de PES 2012 ? Difficile de répondre par l'affirmative, le mal étant déjà fait depuis trop longtemps, et que tout le monde était plus ou moins conscient que le seul moyen de reconquérir le coeur de la majorité serait une refonte totale du soft, ou au moins une réorientation.
Eh oui... C'est la reprise ! Alors que la planète football a retrouvé son rythme de croisière, c'est au tour des simulations de ballon rond d'investir notre quotidien. Toujours placé mais moins souvent lauréat ces dernières années, Pro Evolution Soccer met désormais l'accent sur le collectif et sur la liberté d'action du joueur. Alors, en 2011, l'herbe est-elle enfin plus verte chez Konami ? En progression évidente la saison passée, la série Pro Evolution Soccer a refait une partie de son retard sur l'autre simulation de foot, FIFA. En repensant le gameplay, Konami a lancé une nouvelle génération PES dont cet opus 2012 est le deuxième larron. Moins révolutionnaire mais tout aussi ambitieux que son aîné, ce volet compte bien séduire par de nouvelles idées dont la fonction est clairement de corriger les incohérences soulignées par des milliers de passionnés. L'objectif est en priorité de proposer une IA plus mobile, plus réactive et plus homogène tout en permettant à l'utilisateur d'influer en direct sur le comportement des joueurs sans ballon afin de créer du jeu et de personnaliser les déplacements.
Longtemps situé à la limite du hors-jeu, PES a su se repositionner à bon escient l’année dernière. La mouture 2011 a en effet signifié le retour au premier plan de la licence japonaise, bousculant même quelque peu l’hégémonie incontestable de FIFA. Tout avait été retravaillé, des menus jusqu’aux animations en passant par le système de passe et les modes de jeu en ligne. Après un tel chambardement, on se doutait que l’épisode suivant, PES 2012 donc, s’inscrirait plus dans la continuité que dans la rupture. Après des dizaines de matchs et plusieurs heures passées dans Pro Evolution Soccer 2012, il semble que ce soit définitivement le cas. Konami a choisi de capitaliser sur sa nouvelle formule tout en l’agrémentant de légers peaufinages et d’améliorations diverses. Pour cette preview, nous n’allons pas nous focaliser sur la base de données, les modes de jeu, tous ces éléments qui sont encore sujets à des changements. Nous ne nous prononcerons pas non plus sur l’aspect purement technique étant donné que la version reçue n’était pas définitive (et qu’Iniesta ressemblait bizarrement à un zombie verdâtre). Non, nous allons nous focaliser sur les sensations de jeu, à un peu moins de deux mois de la sortie du titre.
Gamekult
Ajouté le : 08/2011
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A quelques heures à peine de la reprise de la ligue 1, il n'y a pas que le PSG qui a des ambitions. Pro Evolution Soccer 2012 s'est livré à nous pendant une bonne demi-douzaine d'heures. Matchs amicaux fratricides, reconstitutions à la sauvage de la dernière finale de coupe du monde, transferts d'actualité, et début de championnat avec le PSG : de quoi se constituer un premier avis. En attendant la reprise " Oui, mais...". En deux mots comme en cent, voilà comment résumer l'impression générale qui se dégage de ce PES 2012. Du moins dans cette version estampillée preview : à la veille de la reprise du championnat, mais à presque deux mois de la sortie du jeu définitif, Konami a encore le temps d'effectuer de nombreux réglages. D'ailleurs, si le code qu'il nous a été donné d'essayer pendant quelques jours permet de se frotter à l'interface globale du jeu, transferts et notes de joueurs ne sont clairement pas à jour. Le genre de version à ne pas mettre entre les mains d'un parisien cardiaque : voir son équipe dépenser 80 millions pendant le mercato estival pour se retrouver avec Maurice en attaque et Edel dans les cages, ça met un petit coup au moral.
Déjà testé par nos soins lors de l'E3 2011, PES cru 2012 nous avait alors laissé comme une sorte de lueur d'espérance. Comme si l'équipe en charge de le développer avait enfin pris conscience des erreurs qu'elle répétait inlassablement depuis plusieurs années déjà. Et vous savez quoi ? Il semble que la tendance tend clairement à se confirmer ! Autant vous l'avouer tout de go : nous avons eu l'occasion de nous exercer sur une version Preview du soft durant une semaine environ. Largement suffisant pour nous faire une idée de la direction qu'il s'est cette fois décidé à prendre. Et si le chemin semble encore long pour que la licence de Konami reprenne sa place de leader face à un FIFA au sommet de sa forme, il paraît évident qu'EA Sports prend cette fois la menace bien au sérieux (allusion faite aux propos récemment tenus par Aaron McHardy, le gameplay director du soft, ayant affirmé qu'il était sain pour les 2 entités de se mener une bataille annuelle, tout en laissant entendre que Konami était gardé du coin de l'oeil). Comme ils ont raison, me direz-vous. Car PES 2012 semble disposer de plusieurs atouts dans sa manche.
Le "hasard" du calendrier fait que cette année, PES 2012 et FIFA 12 débarqueront le même jour dans les rayons de nos crèmeries favorites. Souvent opposées, souvent comparées, les deux simulations vont d'ici là se dévoiler petit à petit et aujourd'hui, c'est un nouveau regard sur le jeu de Konami que nous vous proposons. Le match est lancé. Cette année, Konami semble avoir localisé les principaux maux des précédentes itérations de sa série fétiche. En effet, si PES 2011 s'était imposé comme une très bonne simulation de ballon rond, il traînait avec lui encore quelques casseroles dont les joueurs sont las depuis pas mal de temps maintenant. L'IA et la gestion des contacts, malgré les améliorations apportées, étaient en première ligne des critiques, la faute à un comportement rigide, parfois stéréotypé voire stupide de certains joueurs ou à un moteur de collisions poussiéreux pour ne pas dire à la ramasse. Via les nombreuses touches apportées au gameplay et à l'animation, ce sont précisément l'intelligence artificielle et les différents contacts, rugueux ou non, entre les joueurs, qui ont le plus progressé. Cela nous a sauté aux yeux durant l'essai de cette version encore en chantier. En effet, tous les modes de jeu n'étaient pas activés dont le petit nouveau dénommé "Football Life".
Que serait une fin d'année jeu vidéo sans son duel au sommet entre FIFA 12, le jeu de foot de chez EA Sports, et son concurrent PES 2012 de Konami. Comme d'habitude, les deux ténors se feront la guerre cet automne. Après avoir joué à FIFA 12 (voir l'interview vidéo du producteur David Rutter) nous avons mis la main sur PES 2012 lors d'une session de jeu d'une petite demi-heure. Bien assez pour se rendre compte du fossé qui existe entre les deux simulations footballistiques... PES 2012 reprend la plupart des systèmes de jeu déjà présents dans PES 2011. L'intelligence artificielle des joueurs sur le terrain a été retravaillée. Les attaquants anticipent mieux, les défenses sont plus resserrées. L'ambiance autour du stade a subi un petit lifting. Les animations des spectateurs, des stadiers et des entraineurs sont beaucoup plus réalistes. Peu d'améliorations graphiques et techniques ont été dévoilées. La jouabilité du titre est toujours assez rigide, les animations de joueurs toujours scriptées. Cependant leurs comportements lors des chutes par exemple sont plutôt bien rendus. L'avis de BernoNe laissons pas trainer le suspens plus longtemps : en l'état actuel du développement des deux titres, PES 2012 est bien moins convaincant que son homologue d'EA Sports.
En réalité, ce n'est pas la première fois que nous avons eu l'occasion de fouler les terrains de Pro Evolution Soccer 2012. Le titre avait en effet déjà été présenté sur le stand de Konami à l'E3 2011, en behind closed doors, mais nous n'avions pas pu y jouer suffisamment pour bien apprécier les efforts fournis par les développeurs cette année. A commencer par l'Active AI qui semble être le point sur lequel Seabass a passé des nuits blanches. Contrairement à PES 2011 où les coéquipiers se montraient incapables de prendre les espaces, il est désormais possible de jouer en mouvement et de lancer ses partenaires en profondeur, même si on déplore une nouvelle fois l'absence d'un système manuel des appels. A en croire John Murphy, le responsable de la licence PES en Europe, l'efficacité des scripts de PES 2012 permet la création de n'importe quel type d'action. Difficile d'être d'accord ou d'affirmer le contraire avec seulement quelques heures passées en compagnie du jeu, mais il est évident qu'il est plus explosif que son prédécesseur. C'est vrai que les dummy runs offrent l'occasion de créer des brèches dans la défense, sans oublier les indispensables courses croisées pour échapper au marquage de son adverse.
On ne le dira jamais assez, Pro Evolution Soccer n'a pas su gérer le dernier changement de génération de consoles de salon ; la faute à une version nullissime de PES 6 sur Xbox360 (alors que les versions PC et PS2 touchaient le nirvana) qui a ensuite servi de base à la succession, scellant définitivement le triste sort du jeu de foot de Konami. Personnellement, j'ai toujours trouvé que PES 2010 a été ce que PES 2008 aurait dû être. Moralité, depuis maintenant quatre épisodes, la licence accuse d'au moins deux années de retard par rapport à la rude concurrence d'EA Sports. Cependant, l'équipe de développement semble s'être enfin montrée sensible aux nombreuses remarques des fans. Est-ce que cela suffira à PES 2012 pour revenir au score ? C'est John Murphy lui-même (le PES Team Leader) qui nous a présenté les nouveautés pour ce dernier volet de Pro Evolution Soccer. Au premier coup d’œil, on remarque que les principales améliorations vont dans le sens de la concurrence : les appels de balle, les placements défensifs, les contacts, etc. Des évolutions notables qui répondent aux critiques des fans, mais qui rappellent cruellement les améliorations qu'ont apportées les développeurs d'EA Sports depuis des années.
Gamekult
Ajouté le : 07/2011
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Le coup classique. Pendant que les fans de foot profitent bourgeoisement de leurs congés en cochant la date de la reprise, la presse jeu vidéo tue le temps en essayant tranquillement les prochains millésimes des jeux de foot. Chienne de vie.Rendez-vous était pris cette fois dans le coeur de Paris pour découvrir Pro Evolution Soccer 2012, une nouvelle version qui s'annonce d'office plus dynamique, et plus spectaculaire, que l'année passée. Explications. En rodage A chaque simu de foot son grand chantier. Chez FIFA le moteur de collisions, pour PES l'Intelligence Artificielle. Comprendre : le comportement des coéquipiers, qui, et cela n'aura pas échappé aux joueurs de PES 2011, avaient une fâcheuse tendance à rester figés dans les starting blocks quand un boulevard s'offrait à eux. Se refusant encore et toujours à la gestion manuelle des appels pour décloisonner le jeu, Konami a choisi cette année de retravailler les scripts, pour faire en sorte que les actions s'enchaînent naturellement. Et c'est vrai que les progrès sont flagrants dès les premières parties. Fini le latéral qui s'arrête cueillir des bolets en pleine action : les mouvements se mettent en place beaucoup plus facilement, sans être contraint de bidouiller des heures dans les options pour obtenir une animation de jeu correcte.
Aux abonnés absents depuis 2008, la licence PES tente doucement mais surement de remonter la pente, face à un FIFA toujours plus arrogant. Pourtant, de l'aveu de son producteur, ce cru 2012 de la licence de Konami n'affiche pas d'ambitions démesurées. Mais n'allez pas croire que la firme a finalement baissé les bras, bien au contraire... Tiens donc, à croire que les grands esprits se rencontrent. Cette année, FIFA a décidé de se doter d'un nouveau moteur physique, balayant sans mal les bases posées par son prédécesseur. Plus probant, plus réactif, plus mieux : ce que nous avons pu en voir nous a scotché. Littéralement. Et bien, croyez-le ou non, mais Konami nous livre cette année le même son de cloche : oui, les développeurs de PES 2012 ont réalisé un travail conséquent sur les animations de leurs joueurs, et sur la physique de leur jeu ! Si le producteur du jeu, avec qui nous avons pu nous entretenir le temps de quelques échanges de balle (virtuelle) avoue avoir perdu en gameplay ces dernières années, il semble cette fois bel et bien décidé à offrir à sa production un gameplay solide.
Sur le stand Konami, PES 2012 se faisait plutôt discret. Les équipes de développement sont toujours au boulot sur le jeu afin qu'il remonte un jour sur la plus haute marche du podium, dorénavant occupée par FIFA. Jon Murphy, le directeur du projet, nous a reçu en nous expliquant étape par étape les points essentiels à améliorer sur leur jeu. Après avoir atteint un niveau technique satisfaisant, ce qu'ils veulent maintenant c'est ramener le fun des anciens PES ! La présentation commence donc par (équipes techniques, public, équipes de caméramen...). Sur le terrain par contre, . Leur teint blafard n'est pas du meilleur goût, même si chez Konami on se vante de la transpiration qui apparaît maintenant petit à petit sur les footballeurs. Les choses ont de toute manière encore le temps de s'améliorer, donc intéressons-nous plutôt au gameplay. La première chose marquante concerne les appels de balle de vos coéquipiers. Leurs mouvements sont réalistes, et provoquent ainsi des trous dans la défense adverse, ce qui vous donne aussi la possibilité d'aller tout seul vers les buts. Les écarts entre les lignes se resserrent, et dès qu'un adversaire tente une percée, il est automatiquement pris en chasse par un de vos hommes.
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