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Nous avons réuni 11 tests du The Darkness 2. Les experts notent The Darkness 2 6.7/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du The Darkness 2 et d'autres Jeux Xbox 360.
Il est des jeux dont on attend la suite plus que d'autres. The Darkness fait partie de ceux là. Développé par Starbreeze à qui l'on devait l'excellent Riddick, The Darkness reçut un excellent accueil critique et public, réussissant le pari un peu fou de sortir de l'archétype des FPS classiques en proposant une aventure riche, libre, et poignante. Beaucoup de joueurs se sont enthousiasmés à l'annonce officielle de la mise en chantier de sa suite. Malheureusement, le génial studio suédois géniteur du premier épisode ne fut pas reconduit. Et le doute commença à se répandre insidieusement dans le cœur des fans du premier opus, nourri par un changement radical de direction artistique et par l'abandon de la part des nouveaux développeurs de tout ce qui faisait l'originalité de The Darkness. Cette suite était presque promise à sombrer dans les ténèbres... The Darkness est à l'origine une adaptation du comics homonyme dessiné en 1996 par Marc Silvestri. Le personnage central de ce comics s'appelle Jackie Estacado, un tueur de la mafia qui découvre à 21 ans un sombre héritage. Il est l'hôte d'une entité séculaire, personnification du mal, créature assoiffée de sang et de violence : le Darkness (Ténèbres).
Doté d'un scénario bien construit et touchant qui explore la personnalité d'un héros complexe, The Darkness II est un jeu qui prend aux tripes (au sens propre comme au figuré) et qu'il est difficile d'évaluer facilement. Coup de coeur de ceux qui sauront entrer dans son univers, il risque de décevoir les autres faute de ne proposer réellement autre chose que des scènes de boucherie scénarisées. Néanmoins, il faut reconnaître que Digital Extreme n'a pas bâclé son travail et a su respecter l'oeuvre originale de laquelle le titre est issu. S'appuyant sur une histoire torturée et des scènes d'actions grisantes, The Darkness II n'est pas le FPS parfait mais il dispose d'une personnalité suffisamment forte pour mériter que l'on s'y attarde. Après un premier épisode réussi, la suite développée par un autre studio tient-elle la comparaison ? Presque cinq ans après la sortie du premier opus qui, bien que perfectible, avait su grâce à son ambiance contenter les fans du genre, The Darkness nous revient dans un tout nouvel épisode. Entre temps, l'éditeur est toujours le même mais le développeur a quant à lui changé. Ce ne sont plus les suédois de Starbreeze qui sont aux commandes, mais désormais le studio Digital Extremes (Dark Sector) qui s'est vu confier la difficile tâche de reprendre en main la licence.
The Darkness, premier du nom, en avait surpris plus d'un en 2007 grâce à son scénario torturé et à son ambiance mafieuse réussie. Presque cinq années plus tard, les péripéties de Jackie Estacado reviennent sur nos écrans dans un épisode non pas développé par les suédois de Starbreeze mais par les canadiens de chez Digital Extremes. Un changement de studio qui a pu faire naître quelques craintes chez les joueurs attendant impatiemment une suite depuis une demi-décennie. Ces peurs sont-elles véritablement fondées ou bien The Darkness II est-il le digne héritier de son grand frère ? Intelligemment placée avant l'aventure afin de ne pas dépayser les nouveaux arrivants, une petite vidéo récapitulant l'histoire du mal qui ronge Jackie Estacado depuis l'âge de ses 21 ans accompagne le début de The Darkness II. Deux années donc que notre jeune homme mélancolique est à la tête de la mafia new-yorkaise, après s'être débarrassé de son oncle adoptif Paulie à la fin du premier opus. Ce fut d'ailleurs à ce même moment qu'il réussit à maîtriser l'entité démoniaque et à la canaliser au plus profond de lui malgré la perte d'un être cher. Pourtant, l'histoire va de nouveau se répéter dans ce deuxième épisode.
Jackie Estacado poursuit sa lutte contre ses propres ténèbres et libère une fois de plus le Darkness dans l'espoir de revoir sa belle. Une quête personnelle en forme de romance sanglante et gore. Une suite à la limite du reboot. Sorti en 2007, le premier The Darkness était certes perfectible mais il savait en tout cas brillamment se démarquer des autres FPS. Sur les traces d'un Chronicles of Riddick, le titre mêlait corps-à-corps et une pointe de furtivité dans un environnement semi-ouvert où l'on évoluait comme un chasseur. Pour cette suite, l'optique change et notre mafieux maléfique devient la proie, harcelé par des adversaires équipés pour faire face à ses terribles pouvoirs. Du coup, on oublie la finesse et on fonce dans le tas en écharpant tout ce qui passe. Pourtant, Jackie pensait en avoir terminé avec tout ça, devenu le meneur de sa famille de truands, il s'efforce de poursuivre sa vie sans parvenir à oublier Jenny, sa petite amie sacrifiée et en gardant sous contrôle étroit son invité ténébreux, cette vilaine présence malfaisante qu'est le Darkness. Mais quand une mystérieuse organisation commence à s'en prendre à lui dans le but de s'emparer du Darkness, il n'a plus le choix des armes et libère la bête.
Jolie surprise de l'été 2007, The Darkness avait fini par retourner dans l'ombre, délaissé par Starbreeze, son développeur d'origine accaparé par d'autres projets. Cela n'empêcha pas 2K Games d'envisager la sortie d'une suite confiée à Digital Extremes, à qui l'on doit notamment le très sanglant et visqueux darkSector. Au fil des mois, des annonces et autres présentations, on a fini par craindre pour l'esprit de la licence qui semblait sérieusement malmené. C'est donc avec une légère angoisse que l'on attendait The Darkness II. Maintenant que le démon est sorti de sa boîte, l'heure du jugement dernier a enfin sonné. My dark passenger De longues années ont passé depuis les sombres événements du premier The Darkness. Jackie est désormais à la tête d'une organisation mafieuse qui a réussi à prospérer grâce à la peur qu'inspiraient ses pouvoirs surnaturels. Pourtant, avec le temps, notre homme torturé a fini par réussir à dompter le démon au fond de lui, au point de le faire taire pour de bon ; tout du moins, espérait-il naïvement. Victime d'une violente tentative d'assassinat, Jackie va en effet devoir relâcher le Darkness dont les pouvoirs pourront panser ses blessures mortelles.
Adapter un comics en jeu vidéo n'est pas une tâche facile. Pourtant, on peut aisément affirmer que Starbreeze y était parvenu en 2007 avec The Darkness. Pas exempt de défauts, le jeu avait su trouver son public, réalisant même au passage un joli score avec plus d'un million d'exemplaires vendus. L'éditeur 2K Games a donc décidé de remettre le couvert en confiant le développement de sa suite au studio canadien Digital Extremes. Si ce dernier s'est visiblement donné pour objectif de proposer une expérience solo forte, il a également pris le temps de travailler l'aspect multijoueur de The Darkness II. Le jeu disposera notamment d'un mode coop mettant en avant une galerie de personnages inédits. Voilà ce à quoi vous pouvez vous attendre. Avant d'évoquer le côté multijoueur de The Darkness II, faisons un point sur la partie solo du titre. Nous avons en effet pu jouer un nouveau passage de l'histoire. Rappelons que celle-ci est toujours écrite par Paul Jenkins, un scénariste de comics réputé, qui avait déjà œuvré sur le premier volet. Il est évidemment le garant de la fidélité au matériau d'origine ! Le jeu prend place deux ans après la fin du premier volet.
Il y a quelques mois, nous vous présentions avec un certain enthousiasme The Darkness II. Nous avions été séduits par le bon rythme du jeu, des éléments de gameplay ultra funs (deux armes + deux tentacules = la puissance de feu d'un porte-avions, la dualité ombre / lumière...), une fidélité à la BD d'origine avec la même violence complètement assumée.On a donc reçu une invitation de 2K Games pour un nouveau niveau. Je suis plutôt partagé sur ces présentations « nouveau niveau ». Petit à petit, la dose d'enthousiasme que j'ai envers un jeu se tarit, tous les superlatifs sont épuisés, il ne me reste que des mots un peu pourris, bas de gamme. Pour corser le tout, il n'y a pas énormément de choses à dire sur un chapitre que l'on découvre, une fois que l'on a parlé de l'environnement et des deux ou trois ennemis que l'on voit pour la première fois.Or, derrière le terme de « nouveau niveau », l'éditeur avait plein de choses à nous montrer en plus sur le jeu en lui-même. Lors de la première preview du jeu, on avait évoqué l'alternance d'ombre et de lumière (celle-ci provoquant un malaise physique du héros ayant pour conséquence la rétractation des tentacules). En gros, ce que l'on a vu la dernière fois, c'est le tutoriel.
Jackie Estacado a beau de ne pas s'entendre avec le Darkness, il n'a pourtant toujours pas coupé les ponts avec ce parasite infernal. A l'occasion de la Gamescom, les deux anti-potes faisaient un tour à la fête foraine. Comme vous le savez peut-être si vous suivez le jeu, dans The Darkness II, Jackie se trouve confronté à la Confrérie, un ordre ancien qui autrefois servait le Bien mais a fini par être corrompu par le Darkness et cherche à présent à s'en emparer et donc à s'en prendre à Jackie. Là où ce dernier manque de chance, c'est que ces braves garçons savent tout de sa faiblesse face à la lumière et n'hésitent donc pas à l'illuminer à coups de phares de voitures, de grenades aveuglantes et autres lampes torches (et qui sait, des bougies ?). C'est précisément à eux que l'on avait à faire dans cette démo de la Gamescom, tous réunis dans les restes d'une fête foraine. Comme lors de notre premier contact avec le titre, on peut dire que l'hémoglobine volait dans tous les sens. Située quelque part vers le milieu de la campagne solo, cette séquence donnait l'occasion d'en savoir un peu plus sur les aptitudes du héros. Pour commencer, on retrouve évidemment nos fameux bras démoniaques dont l'un sert à mettre de grandes volées dévastatrices et l'autre à se saisir d'un objet ou d'un ennemi.
E3 2011, l'heure de la présentation de The Darkness II sonne : nous entrons dans une salle de présentation décorée avec des images de fête foraine glauque… Pour remettre un peu en perspective, The Darkness était une nouvelle IP plutôt sympathique, mais qui n’avait pas vraiment marquée les esprits à l’époque. Le fait de voir une suite pointée son nez peut être une bénédiction comme une erreur. C’est Tom Goltz, Chief Designer sur le titre qui nous fait la démonstration de son bébé : il nous explique un peu les tenants et les aboutissants du jeu. On reprend le contrôle du héros Jackie Estacado deux ans après les événements du premier opus. Celui-ci a réussi jusqu’ici à repousser les ombres en lui. Mais une étrange confrérie (nommée du coup Brotherhood dans le jeu) entend bien prendre possession des pouvoirs de Jackie. Du coup les membres de cette dernière connaissent le point faible de Jackie : la lumière. Je rappelle qu’en pleine lumière, Jackie n’a plus accès aux pouvoirs d’ombres et même prend plus de dégats. On nous explique aussi que le grand méchant de l’histoire est Victor Valente, soit l'actuel leader de la confrérie. Il semblerait qu’il possède également des pouvoirs d’ombres.
Développé par les papas des Chroniques de Riddick, The Darkness fut une excellente surprise en 2007, le jeu étant très fidèle au comics d'origine. Pourtant, le tout n'était pas parfait (qui a parlé de la vitesse de déplacement du personnage ?) mais pouvait présager une suite. Bonne nouvelle, le second volet arrivera en octobre prochain. L'E3 tombait donc à la bonne date pour dresser un des derniers bilans avant l'arrivée du soft. Les développeurs avaient ainsi choisi de balancer Jackie Estacado dans un gigantesque parc d'attractions pour nous démontrer par A + B que ce second épisode versera plus facilement dans le politiquement incorrect tout en étant plus proche de la BD. De fait, outre un design en cel shading étudié pour coller davantage au matériau de base, les deux tentacules du Darkness se montraient encore plus revêches avec Jackie et impitoyables avec les ennemis. Il est clair que The Darkness II jouera la carte de la surenchère gore en maximisant sur les gunfights démentiels. Pour le coup, on était vraiment servi durant cette présentation entre les arrachages de têtes, de colonnes vertébrales, les ennemis découpés en deux dans le sens horizontal ou vertical sans parler de ce Darkling urinant sur une dépouille.
Jackie revient et il n'est pas content ! Toujours possédé par une entité démoniaque qu'il a du mal à maîtriser, le bougre nous est apparu plus en forme que jamais dans la présentation du titre à laquelle nous avons assisté pour vous à la GDC de San Francisco. Premier contact avec la suite de l'adaptation du comics éponyme et première claque. The Darkness II ne fait pas dans la dentelle et si vous êtes effrayé à la vue du sang ou que les scènes de torture et autres démembrements vous font tourner de l'œil, ne vous aventurez pas plus loin dans la lecture de cet aperçu. Vous êtes encore là ? Alors c'est parti ! L'action de cette séquelle se déroule deux années après les événements contés dans le premier opus. La démo commence alors que votre personnage est littéralement crucifié à l'aide de clous gigantesques à une planche dans un lieu inconnu. Votre ennemi ne tarde pas à se dévoiler derrière le bourreau et avec lui une revendication bien simple : il veut récupérer votre pouvoir, le fameux Darkness. Mais voilà, pour ce faire, il faut que vous lui transmettiez volontairement.
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