10 tests d’experts - Aucun avis d'internautes
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Nous avons réuni 10 tests du Portal 2. Les experts notent Portal 2 8.9/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Portal 2 et d'autres Jeux Xbox 360.
Pas peu fier d'un premier opus aussi satisfaisant que novateur, Valve vient de prolonger l'expérience du FPS de réflexion avec un second épisode. Portal 2 de son titre, le soft propose d'incarner à nouveau la jeune Chell. Malgré sa première tentative réussie, elle est toujours captive des esprits dérangés des Laboratoires Aperture Science, avec pour seul ami son générateur de portail. Ceci, avec quelques nouveautés bienvenues et inattendues."Bravo, vous avez toute la grâce d'un aigle... qui pilote un dirigeable."Avant de se lancer dans l'aventure, il faut d'abord s'intéresser à la BD présente sur le disque, car elle a pour rôle de faire le pont entre Portal et Portal 2. Ainsi, si la jolie Chell avait enfin réussi à quitter ce maudit complexe, elle n'est hélas pas restée dehors très longtemps. Récusée dans une chambre réservée au suivi des sujets de test, elle restera en cryo-stase forcée pendant un temps indéterminé se comptant en années. Heureusement (ou malheureusement, à voir), une entité robotique responsable du secteur va se faire un devoir de sauver la belle au bois dormant, à priori unique sujet de test encore en vie. Ce qui commence par un réveil en fanfare et... une désagréable surprise. On ne change pas une recette qui gagne.
Que les choses soient claires dès le départ, je ne suis pas fier du titre juste au dessus mais que voulez vous, il fallait bien mettre quelque chose. Portal 2 c'est la suite du 1 (jusque là tout va bien) avec une histoire qui se passe environ 1 siècle après que vous ayez échappé du complexe d'Aperture Science en ayant battu l'IA GlaDos qui se trouvait là. Vous étiez un cobaye (une belle brune répondant au doux nom de Chell) et vous testiez un « Portal Gun », un pistolet capable de créer un portail orange et un autre bleu qui communiquent entre eux. Tout ce qui passe par l'un ressort par l'autre, la physique est respecté, la gravité avec, les caméras, tout ça quoi. Qui dit nouveau Portal dit nouveau Gun, et bien non, c'est le même. Notre seule et unique arme pendant vos 5h à 10h de jeu en solo reste le même Portal Gun que dans le 1, on espère que vous l'aviez apprécié. Je ne vais pas vous spoiler l'aventure (c'est pas mon genre), on dira juste que vous allez avoir « encore » des casse-tête à résoudre à base de portail à droite à gauche. Les salles possèdent les obstacles passés mais quelques nouveautés qui font du bien.
S'il y a bien un jeu que votre fidèle serviteur attendait avec une impatience non dissimulée (jusqu'à en repeindre les murs de sa chambre à l'effigie du jeu, c'est dire...), c'est bien la suite de Portal, nouveau genre que l'on peut sûrement qualifier de puzzle FPS. Le premier opus était sorti en toute discrétion aux côtés de Half-Life 2 et ses deux épisodes ainsi que team Fortress 2, tous contenus dans la Orange Box. A la base désigné comme un « essai », le jeu a vite fait parler de lui au point d'en atteindre aujourd'hui le statut de jeu culte. Aujourd'hui, après une attente à n'en plus finir, sa suite se voit enfin débarquer dans nos prairies. Saura-t-elle satisfaire les attentes élevées des joueurs ?Pour tous les inconscients (s'il en existe encore) qui n'auraient pas joué à Portal premier du nom, voici un bref récapitulatif des évènements du premier opus. Le jeu nous mettait dans la peau d'une jeune cyborg, Chell, spécialement créée pour participer à des séries de salles tests dans la mystérieuse entreprise Aperture Science. Le but était simple, pour chaque salle il fallait trouver le moyen de sortir pour passer à la salle suivante, alors que GlaDos, le robot qui nous « guidait » tout du long nous promettait une splendide fête avec comme cerise sur le gâteau, un... gâteau.
Le plus compliqué lors de la réalisation de la suite d’un jeu à succès, c’est d’arriver au moins au même niveau que le prédécesseur, voire de le surpasser. C’est pourtant le défi qu’a choisi de relever Valve en s’attaquant à la suite de Portal, jeu acclamé lors de sa sortie notamment pour son originalité et son humour. Alors, challenge accompli ? Avec Portal 2, on prend les mêmes et on recommence. Les évènements se déroulent une centaine d’années après le premier volet dans lequel Chell, le personnage incarné par le joueur, avait apparemment tué GLaDOS et détruit une bonne partie des locaux d’Aperture Science. Le générique de fin de Portal laissait cependant suggérer que cette dernière était toujours en vie. Après un sommeil de 100 ans, Chell se réveille dans une chambre d’Aperture Science et ne tarde pas à rencontrer un nouveau personnage, Wheatley, petit robot sphérique qui nous apprend que les lieux sont à l’abandon et qu’une catastrophe se prépare. Il va donc falloir tenter de quitter l’endroit rapidement. C’est l’occasion de parcourir les ruines d’Aperture Science, ses salles de test ou encore ses chaînes de fabrication de tourelles....
En 2007 Valve avait, une fois encore, surpris son petit monde avec la sortie de Portal. Véritable OVNI vidéoludique, ce FPS d'un genre un peu nouveau était uniquement basé sur la résolution d'énigmes à base de portails et n'avait pas tardé à faire l'unanimité chez les joueurs. Étrangement, il aura fallu attendre plus de trois ans pour voir débarquer une suite qui, au fil des ans, a su faire monter l'impatience chez les joueurs désireux de savoir ce que Valve pouvait bien faire de cette licence atypique à fort potentiel. Entre la promesse d'un solo plus long et l'apparition d'un mode coopération à deux joueurs, Portal 2 s'est rapidement imposé comme l'un des jeux les plus attendus de l'année. Fraichement débarqué, tient-il finalement toutes ses promesses ? L'attente valait-elle vraiment le coup ? Verdict après un petit morceau de gâteau. Le moins que l'on puisse dire c'est que le début de Portal 2 est relativement brutal. Le joueur se réveille dans sa chambre de cryostase après un sommeil d'une durée indéterminée, interpellé par un étrange robot-oeil répondant au doux nom de Wheatley. Ce dernier, en panique totale et au débit verbal impressionnant, tente d'exposer la situation qui semble bien mal engagée.
Attention, chef-d'oeuvre en approche. Si certains doutaient de l'intérêt d'offrir une suite à Portal, petit bijou unique en son genre, Valve leur prouve à quel point ils avaient tort. Portal 2 est sans doute l'un des jeux les plus intelligents, originaux et drôles qui ait vu le jour depuis de nombreuses années. Immanquable, tout simplement. En guise de préambule, sachez que l'on tâchera d'éviter toute forme de spoiler dans ce test, ne soyez donc pas étonné si, par moments, les descriptions vous semblent un peu vagues. Il serait ensuite bon de rappeler brièvement le contexte de Portal 2 qui se déroule une bonne centaine d'années après le premier volet. En guise de récompense pour avoir brillamment réussi les tests du centre d'enrichissement personnel d'Aperture Science, Chell se réveille dans une chambre en piteux état et fait la connaissance de Wheatley, robot tout rond chargé de veiller sur les sujets de test endormis. Une rencontre hilarante qui préfigure la suite de vos rapports avec ce qui aurait pu être le 7ème membre des Monty Pythons. Sans entrer dans les détails, une sombre catastrophe et un abandon total des lieux ont fait du centre une ruine que vous allez vous efforcer de quitter.
Quand Vavle a annoncé la sortie de Portal en 2007 un vent de fraîcheur a soufflé sur le monde du FPS. Imaginez ! Un jeu de tir à la première personne en 3D où le but n’est pas de tout détruire sur son passage à coup de pistolaser et autres joyeusetés. Au contraire même, on vous demande de faire preuve d’habileté et d’ingéniosité. Une formule qui a fait paraître un tout nouveau genre et c’est avec beaucoup d’ardeur qu’on attendait le deuxième épisode. Il semble en effet très prometteur grâce notamment à son mode coopératif. Nous avons d’ailleurs pu le tester lors de cette preview. Prêt à refaire un tour dans le laboratoire d’Aperture Science ? Caché au fond de la salle du showcase d'EA derrière un énorme kakémono représentant le logo du jeu, Portal 2 était à l’essai sur PS3 et Xbox360. L’absence sur plateforme PC m’a laissé un petit goût amer puisqu’il aurait été intéressant de tester les différences de maniabilité, mais ce qui est clair c’est qu’en matière de manette pas de jaloux. On prend donc place sur un siège libre et on récupère au hasard le pad de la 360. Le studio manager de chez Valve, Thad Wharton, se tient à disposition pour nous guider et en attendant que mon co-équipier à côté s’installe confortablement j'en profite pour admirer les graphismes du jeu sur téléviseur 50 pouces.
Si en 2007, les concepteurs de Portal n'avaient visiblement pas parié un kopeck sur son concept, compte tenu de sa sortie en catimini pour ne pas dire expédiée, il n'en est rien de ce deuxième épisode très attendu. Non seulement il devrait présenter une campagne solo diabolique bardée de nouveautés et surtout bien plus longue (les concepteurs l'ont promis !), mais il y aura aussi un mode coop inédit, lequel vient de nous être dévoilé. Et tout laisse à penser que ce sera un must. On adore ou on déteste mais en général, on adore. Portal fait partie de ces jeux qui mélangent judicieusement les genres en apparence incompatibles, FPS et réflexion, et qui font perdre le nord au joueur en bousculant les lois de la physique. Pour rappeler aux retardataires le principe de ce puzzle-game, il s'agit de trouver la sortie d'une pièce, apparemment sans issue et parsemée d'obstacles et de pièges, avec comme seule aide le Portal Gun, une arme qui a la capacité de créer des portails à travers les murs. Ces portails qui fonctionnent par paire (une première salve sur une paroi crée un portail-entrée, une seconde sur une autre paroi crée un portail-sortie, les deux étant identifiés par deux couleurs distinctes) ouvrent bien des perspectives pour progresser : traverser un mur pour atterrir sur une plate-forme ancrée dix mètres plus haut devient un jeu d'enfant, tout comme passer par le sol pour revenir par le plafond...
De toute évidence, l'une des attractions de la gamescom 2010 se nomme Portal 2. Après être parvenu à imposer son concept comme l'un des plus populaires de ces dernières années dans Portal, Valve sera de retour début 2011 avec Portal 2. Et après avoir établi un premier contact (seulement visuel à notre grand dam), on vous l'assure : ce ne sont pas les bonnes idées qui manquent ! Traditionnellement, la présentation d'un jeu nécessite l'intervention d'un développeur, d'un producer, qui sais-je, d'un type pas trop mal renseigné et capable de sortir un nombre record d'"exciting" à la minute pour vanter les mérites du produit à la presse spécialisée. Portal 2 est décidément un cas à part à bien des égards puisque les petits gars de Valve ont jugé suffisant de planter une cinquantaine de journalistes devant un long trailer de gameplay du jeu de réflexion, exhibant successivement plusieurs phases de jeu qui font appel à des mécanismes absents du premier volet. La stratégie est risquée mais originale et finalement payante au son du silence qui régnait dans la petite casbah improvisée. En effet, voilà l'exemple d'un titre capable de rafler prochainement toutes les récompenses possibles et imaginables tant les trois années de développement qui lui ont été consacrées ont accouché de mécanismes ingénieux et d'un level design tout simplement hors du commun.
Après une surprise hautement hypée et tombée complètement à plat pendant la conférence E3 de Sony, Portal 2 se dévoilait plus en détails lors d'une courte présentation en compagnie d'Erik Johnson de Valve Software. L'occasion d'en apprendre un peu plus sur cette suite à l'O.V.N.I. qui accompagnait jadis la fameuse Orange Box des créateurs de la série Half-Life. Salement amochés à la toute fin de Portal premier du nom, les laboratoires d'Aperture Science serviront une fois de plus de décor à nos nouvelles aventures interdimensionnelles dans Portal 2 malgré un démantèlement partiel et l'intrusion imprévue d'une végétation venue reprendre sa juste place sur les lieux de notre duel fatidique contre GlaDOS. Les installations d'un blanc immaculé ne resteront pas à la merci des mauvaises herbes bien longtemps cependant, puisqu'une procédure de reconstruction sera très vite lancée par une vieille connaissance pas ouvertement agressive mais indéniablement rancunière. Les décors traversés au fil de cette présentation étaient du coup nettement moins statiques et visiblement un peu plus ouverts qu'autrefois, offrant la promesse d'une variété architecturale et thématique plutôt rare dans le premier épisode.
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