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Nous avons réuni 19 tests du MotorStorm : Apocalypse. Les experts notent MotorStorm : Apocalypse 7.9/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du MotorStorm : Apocalypse et d'autres Jeux Playstation 3.
Après un premier épisode paru pour la sortie de la PlayStation 3 et permettant de courir dans un environnement désertique, Pacific Rift est arrivé en 2008 avec un tout nouvel environnement - une île jouant sur les quatre éléments - et un contenu bien plus complet. Nous voilà dorénavant en 2011 et en cette année, MotorStorm Apocalypse fait son apparition en exclusivité sur PS3 avec pour ambition de confirmer l'ascension que la franchise connait pour la porter vers les sommets. Les développeurs d'Evolution Studios ont travaillé pour cela, mais pour quel résultat ? Un pneu de vitesseDans MotorStorm Apocalypse, vous pouvez dire au revoir au désert et à l'île paradisiaque, tout en souhaitant la bienvenue à une grande métropole en pleine destruction où un tremblement de terre a lieu, entraînant avec lui, raz de marée, vents violents ou encore éclairs meurtriers. Bref, vous l'aurez compris vous allez devoir faire très attention à une multitude d'éléments susceptibles de venir vous ralentir dans votre course effrénée. En clair, cela se manifeste par des évènements scriptés qui surviennent et qui se déclenchent aléatoirement, apportant une vie sans précédent dans un jeu de course arcade.
Et de trois ! Comme quoi, la série Motorstorm, qui aida la Playstation 3 dès sa sortie à se lancer dans l'arène des consoles next-gen, reste du point de vue de Sony une valeur sure. Pour autant, si on a dernièrement plus entendu parler de ce Motorstorm : Apocalypse du fait de son report au Japon (sortir un soft prenant place dans une ambiance apocalyptiques, un sujet sensible...), il demeure bel et bien disponible chez nous depuis quelques jours maintenant. L'occasion de tirer un bilan... C'est un fait avéré : depuis sa mise sur le marché, la licence Motorstorm trône en excellente place dans le genre de la course arcade. Et ce grâce à 2 avantages cruciaux : son gameplay arcade exacerbé au possible, capable d'être maîtrisé en quelques minutes seulement, et sa réalisation graphique du tonnerre qui en aura laissé un bon nombre sur les rotules en 2007. Alors forcément, on pourrait trouver on ne peut plus logique l'attitude adoptée par Evolutions Studios avec ce Motorstorm : Apocalypse, qui a trouvé bon, au niveau du gameplay, de se reposer tranquillement sur ses lauriers. Comprenez : le studio n'a pas trouvé utile de le retoucher.
Et de trois pour la série MotorStorm qui accueille en ce mois de mars 2011 son troisième épisode sur PlayStation 3. Toujours concocté par Evolution Games, le jeu nous embarque une fois de plus dans des courses déjantées et destructrices où seules la vitesse et l'inconscience permettent de tutoyer les sommets. Attendu par de nombreux fans, ce MotorStorm Apocalypse est-il un véritable renouveau pour la série ou une simple suite sans saveur ? Après le désert et la jungle, les pilotes casse-cou de Motorstorm ont décidé de s'essayer à l'apocalypse urbaine. Comme son nom l'indique, MotorStorm Apocalypse va mettre le joueur face à une nature complètement déchaînée, synonyme de tremblements de terre, tornades et autres évènements du genre. Ce renouvellement dans les décors constitue clairement le point central de cette suite. Le mode solo principal, toujours nommé Festival, s'articule d'ailleurs totalement autour de ces groupes de pilotes venus concourir en plein « Big One », dans une mégalopole à l'américaine évacuée de ses principaux habitants. Le mode Festival se divise en trois parties représentées par trois personnages et trois niveaux de difficulté.
Tiens, un jeu de course offroad. "Un de plus" pourrait-on dire en contemplant la flopée de Pure, ATV Fever, et autres nail'd sortis ces dernières années. Pourtant, MotorStorm conserve un statut à part. Avec quelques autres titres comme Resistance : Fall of Man, son compagnon de bundle à l'époque, il a fait partie des nouvelles licences qui ont accompagné les débuts de la PS3 et ont contribué à forger l'identité de la console de Sony. Très impressionnant à l'époque, le titre a marqué bon nombre de joueurs qui lui restent, sinon fidèles, au moins attachés par un lien intangible. Reste maintenant à savoir si ce lien résistera à la fin du monde. Offroad, vous avez dit offroad ? MotorStorm a un concept et s'y tient. Consciente d'avoir posé quelques jalons de la course arcade moderne, la série continue sur sa lancée sans toucher à sa formule d'origine. Il est plus que jamais question de remporter des courses ultra-rapides sur les terrains les plus chaotiques possibles, en n'hésitant pas à envoyer ses adversaires dans le décor avec des embardées ravageuses ou des méchants coups de coude à la Road Rash.
Si la sortie du jeu de course apocalyptique de la PS3 a été reportée au Japon et en Angleterre, elle a eu lieu en France. Et pendant ce temps là : Motorstorm Apocalypse. Toutes proportions gardées, le troisième volet de la série de jeu de course de Sony n'a guère de chance, puisqu'alors que les premiers échos des joueurs l'ayant essayé en démo lui promettait une carrière commerciale en queue de poisson, la faute à une intelligence artificielle passive et une réalisation décevante, le jeu a finalement été suspendu à la vente au Japon et dans plusieurs pays d'Europe. Motif : son univers post-apocalyptique peut, à juste titre, évoquer les images des catastrophes qui frappent le Japon depuis le 8 mars. Pour ceux qui choisiront de passer outre et de se lancer sans arrière-pensée dans l'aventure en faisant abstraction des échos qu'elle peut donner au tremblement de terre de Sendai, sachez juste que tout le mode histoire est enrobé de petites séquences en dessin animé à l'humour destroy light, qui, au choix, ajouteront au malaise ou le désamorceront complètement.
Après un premier volet qui sentait bon la démo technique pour la sortie de la PS3 dans nos contrées (mars 2007), une version "number two" grandement améliorée (2008), mais encore perfectible et à la difficulté encore un peu trop élevée bien que mieux dosée, MotorStorm Apocalypse constitue donc sur PS3 le troisième volet de la trilogie "MotorStormienne". Un jeu de course résolument arcade, comme le veut la tradition, et qui se lâche littéralement dans cette ultime version. Alors, avons-nous affaire là à une énième version améliorée, ou à un opus totalement revu et corrigé ? Réponses dans les lignes qui suivent. Normalement.Conscient des évènements qui touchent actuellement le Japon, nous avons tout de même décidé de rendre public ce Test, pour laisser la liberté à chacun de se faire une opinion sur ce jeu de course au contenu pour le moins explicite. Tout comme chacun est libre de se le procurer, ou non. Merci de votre compréhension. On ne peut pas raisonnablement se pencher sur MotorStorm Apocalypse, sans revenir quelques instants sur le précédent opus de la série. Sorti en octobre 2008 chez nous, MotorStorm Pacific Rift sentait bon les îles boueuses... du Pacifique et offrait du off-road sur chacun des tracés, déclinés sur le thème des 4 éléments.
Le premier Motorstorm s'était révélé quelque peu décevant au regard des promesses faites par Sony plusieurs mois avant le lancement de la PlayStation 3. Qu'à cela ne tienne, Evolution Studios s'était retroussé les manches sur Pacific Rift et nous avait gratifié d'un jeu de course off-road spectaculaire et jouissif. Avec Apocalypse, le développeur britannique a d'ores et déjà le mérite de prendre un sacré risque : troquer les environnements naturels des deux premiers volets pour des paysages urbains dévastés. Cependant, ce choix n'est malheureusement pas toujours porté par une inventivité folle. Mais commençons par le commencement. Fidèles à la devise de Tina Arena, les participants de Motorstorm ne cessent jamais d'aller plus haut, voire d'en faire un tout petit peu trop. Et comme les chemins terreux de Monument Valley les ont lassés, comme les sentiers boueux des forêts tropicales les ont blasés, ces gros tarés ont décidé de se tirer la bourre dans une ville ravagée par des catastrophes naturelles. Jour de Tonerre + 2012 = Motorstorm : Apocalypse.
Après avoir fait le tour du désert de Monument Valley et dompté les quatre éléments naturels partout dans le monde, les pilotes de MotorStorm se sont lancés un nouveau défi : défier la mort en profitant du chaos semé par l'apocalypse dans des décors urbains ou offroad en passe d'être littéralement engloutis. C'est glauque mais c'est ce qui fait la personnalité de cette communauté de pilotes décidément pas comme les autres... MotorStorm, c'est un peu l'histoire d'une franchise qui mise énormément sur le dépaysement esthétique et d'ambiance, de sorte à ce que le joueur sente une évolution qu'on ne retrouve que très rarement entre plusieurs opus d'une même série. Pacific Rift était parvenu à renouveler le concept qu'on croyait déjà épuisé. Apocalypse fait aussi bien voire mieux, en mêlant courses sauvages et décors urbains, ce qui n'avait pourtant rien d'évident. Et, pour ne rien gâter, les développeurs d'Evolution Studios ont soigné le background, un peu chiche dans les premiers épisodes. Même si son importance est toute relative, Apocalypse s'appuie sur un scénario qui justifie l'organisation de telles courses suicidaires et s'anime autour de "cinématiques" qui ressemblent davantage à de grandes bulles de BD médiocrement doublées.
C’est l’une des rares franchises à avoir vu le jour avec la PS3, MotorStorm officie maintenant sur la console de Sony depuis 2007. Et la simulation très arcade de course automobile d’Evolution Games a su, au fil des épisodes, s’attirer les faveurs du public et de la presse. L’arrivée de cet Apocalypse (troisième épisode en quatre ans, rappelons-le), saura-t-elle enthousiasmer ? Rien n’est moins sûr … Changement de décor dans MotorStorm ! Finies les plaines désertiques du premier épisode ou les plages du pacifique du deuxième opus, ici, le joueur évolue dans un milieu urbain. Et le jeu ne fait pas dans la demi-mesure, les catastrophes naturelles et matérielles s’enchaînant à un rythme diabolique. Globalement, le titre est beau, il n’y a rien à redire. C’est toujours aussi fluide et les textures s’avèrent fines et réalistes. On n’atteint pas un GT5 mais ça reste agréable à l’œil. Les environnements fourmillent de détails et de vie. Ça fume, ça vrombie, ça crie. On déplore néanmoins un peu d’aliasing qui nuit légèrement à la beauté du soft. Grosse nouveauté, il arrive qu’on percute des inconscients (le terme spectateurs serait mal choisi) en plein milieu d’une course.
Souvenez-vous, lors de l’annonce la PS3, un jeu avait fait sensation: Motorstorm. Ou plutôt une vidéo du titre, aussi impressionnante que pipeautée. Cet incroyable déluge de cascades et de glissades dans la boue en avait laissé plus d’un sans voix. Si le produit final n’était certes pas à hauteur de ce trailer enjolivé, il s'est imposé comme un solide jeu de course arcade. Grâce à de larges circuits très ouverts, une belle variété de véhicules et un pilotage agréable, Motorstorm s’est rapidement imposé comme une des exclusivités les plus intéressantes de la machine de Sony. Depuis, de l’eau à coulé sous les ponts: il y a eu Pacific Rift mais également un certain concurrent nommé Split/Second. Citer le titre de Black Rock Studios n’a d'ailleurs rien d’innocent, puisque Motorstorm Apocalypse s’en inspire beaucoup, en matière de background tout du moins. Que feriez-vous si c’était la fin du monde? Certains passeraient une dernière nuit avec leur amant alors que d’autres, plus nerds, regarderaient une ultime fois la première trilogie Star Wars ou s’aventureraient dans une instance de WoW pour le loot de la dernière chance.
S'il y a bien un genre où il est difficile d'innover, c'est bien le jeu de courses automobiles. Pourtant, depuis quelques années maintenant, il semblerait que les développeurs soient épris d'idées nouvelles, ce qui nous a permis de nous amuser avec des titres tels que Pure, Split/Second et bien évidemment la franchise MotorStorm. D'ailleurs, afin de ne pas se reposer sur leurs acquis, les développeurs chez Evolution Studios n'ont pas résisté à l'idée de piquer quelques idées chez leurs voisins. Faut-il pour autant leur jeter la pierre quand on sait que leurs jeux ont souvent fait l'objet de â?? pâles â?? copies ces dernières années, d'autant qu'ici, ils proposent surtout leur propre vision de l'apocalypse ? En effet, dans ce troisième volet de MotorStorm, imaginez que la fin du monde est proche. Les bâtiments s'écroulent, les raffineries explosent, les bateaux coulent et les gens hurlent en peine rue. Pendant que certains tentent de prendre la fuite pour essayer de survivre, d'autres préfèrent profiter de chaos total pour s'organiser en bande et enchaîner des courses de l'extrême, où chaque saut ou le moindre virage peut être fatal.
En début d'année dernière, trois talentueux studios britanniques se faisaient les avocats de la résurrection des jeux de courses d'arcades grand public. Ils considéraient que ces jeux étaient englués dans l'ornière du hardcore et prétendaient que le genre pouvait « rivaliser avec les FPS à condition d'avoir suffisamment d'ambition ». Deux d'entre eux ont ensuite sorti leurs jeux - Blur pour Bizarre et Split/Second pour Black Rock - et, même s'ils étaient tous les deux excellents, ils ont fait un bide avec des ventes inférieures à celles des simulations pointues dont ils essayaient de se singulariser. L'échec de Blur a finalement provoqué la fermeture de Bizarre il y a quelques semaines, un développeur respecté qui rend les armes au bout d'une brève existence de deux ans et demi. On peut se demander si les joueurs désirent vraiment autant les jeux de course bourrés d'action à la sauce Hollywood que ne le pensaient ces studios. Comme Criterion reste en dehors du débat et survit à ces temps de vaches maigres bien à l'abri dans le bunker imprenable du label Need for Speed, seul Evolution Studios - le studio propriété de Sony situé à deux pas des locaux désormais vides de Bizarre - reste encore en chaire pour prêcher la bonne parole, et il paraît plutôt exposé.
Troisième épisode d’une licence phare sur PlayStation 3, MotorStorm Apocalypse veut nous apporter la fin du monde sur un plateau, ou plutôt, sur un circuit. Evolution Studios nous propose ainsi un volet pour le moins explosif à 1000 lieues du cadre paradisiaque de Pacific Rift, un virage donc risqué, mais reste à savoir s’il a bien été négocié. Après avoir sélectionné la configuration de la manette parmi les 5 choix disponibles (nouveau, standard, agressif, à l’ancienne, joystick), vous découvrez une BD animée mettant en scène plusieurs personnages, faisant office de scénario pour le Festival. Une nouveauté dans la série mais qui reste anecdotique, l’histoire ayant du mal à être crédible et attrayante. Exit donc les « Tickets » ou les « Zones » des précédents volets, Evolution Studios vous propose une nouvelle façon d’aborder le mode principal du jeu, avec une BD animée entre chaque course pour suivre le fil de l’histoire.
En voyant débarquer le troisième opus d'une série à succès sur la même console, on s'attend généralement à retrouver la recette de ses prédécesseurs légèrement affinée : il faut bien le reconnaître, rares sont les développeurs à prendre des risques avec leur saga fétiche ! Mais une fois n'est pas coutume, Evolution Studios a fait quelques choix osés pour MotorStorm Apocalypse, au risque peut-être de rebuter les fans de la première heure.Première surprise, ce troisième volet de la série délaisse les environnements naturels proposés par ses prédécesseurs pour nous plonger au coeur d'un décor beaucoup moins sexy : celui de The City, une ville ravagée par des catastrophes naturelles et dont la majorité des habitants a été évacuée. De l'aveu même des développeurs, cette nouvelle aire de jeu est largement inspirée de villes de la côte ouest des Etats-Unis comme San Francisco, qui pourraient un jour se retrouver séparées du continent si la faille de San Andreas continue à grandir. Mais revenons-en à The City où les organisateurs du Festival MotorStorm ont décidé de planter leurs tentes : alors que la ville a été vidée ou presque, il ne reste que quelques jours avant qu'un gigantesque tremblement de terre ne finisse de la détruire.
Motorstorm Apocalypse c'est de la course off-road de haut niveau. Allez comprendre qu'on se retrouve loin des circuits tracés de GT5 et qu'on doit faire de la course urbaine sur des routes en parties démolies. Le jeu porte bien son nom puisque c'est dans une ville californienne en proie à divers cataclysme que vous courrez au volant de véhicules assez variés (dirt bike, quad, buggy, voiture de rallye, camionnette, muscle car, 4×4, semi-remorque, monster truck, superbike, chopper, supermini). Chaque véhicule possède des caractéristiques bien particulières et suivant votre façon de conduire ainsi que la piste sur laquelle se passe la course, vous ne choisirez pas tel ou tel monture. Vous imaginez bien qu'à bord d'une moto, il est plus difficile de rivaliser avec un camion dans un chemin étroit (non?). Tout serait bien simple si le jeu se résumait à ça, pour pimenter le tout la ville s'effondre au fur et à mesure des courses, vous empêchant d'emprunter le même chemin durant les tours successifs. Par la même occasion, l'armée vous tire dessus et des civils vous lancent des cocktails molotov. Un joyeux n'importe quoi qui augmente la pression alors que vous essayez de dépasser un adversaire et que votre moteur surchauffe.
Gamekult
Ajouté le : 02/2011
Plus accessible...
Micromania et Sony organisent en ce moment des sessions de jeu un peu spéciales dans toute la France. Leur but est de mettre en avant la 3D sur les jeux PlayStation 3 en permettant à tous d'essayer quelques titres en boutique avec une TV 3D dernier cri, et les lunettes adéquates. L'occasion d'essayer une version plus avancée de MotorStorm : Apocalypse que celle que nous avions pu voir à l'E3 en juin dernier. Voici donc nos impressions mises à jour. MotorStorm est l'une des licences les plus emblématiques de la PS3, et même si le jeu ne fait pas l'unanimité, c'est avec un plaisir non dissimulé que nous l'avons retrouvé l'espace de quelques tours de circuits. Ce troisième volet ne sera toutefois pas une révolution : comme dans MotorStorm Pacific Rift, la "conduite" MotorStorm sera conservée. Comprenez par là que certains trouveront les suspensions un peu molles et les démarrages mous du genou. On aime ou on n'aime pas, mais cela a au moins le mérite de rendre le titre accessible à tous, car dans un tel jeu, l'aspect spectaculaire est au moins aussi important que les trajectoires et la précision de la conduite. Plus arcade que jamais, MotorStorm : Apocalypse va surtout essayer de nous en mettre plein les yeux.
Motorstorm a su évoluer à chaque épisode, passant du désert aux volcans et aux plages du Pacifique sur PS3, sans oublier un détour par les glaces de l'Alaska sur PSP et PS2. Nouveau changement de cap cette fois puisque les fondus de courses de l'extrême vont courir dans une ville au bord de la destruction dans Motorstorm : Apocalypse.Ce nouvel épisode de la franchise de Sony semble être un mélange subtil des meilleures idées de chaque épisode. On y retrouve ainsi le turbo qui chauffe encore plus vite en zone de chaleur avant de refroidir lorsqu'on roule dans l'eau, mais aussi les environnements destructibles de Arctic Edge à une toute autre échelle. Il faut avouer que dévaler l'avenue d'une ville désertée à toute allure alors que le sol commence à craquer a de quoi faire monter l'adrénaline. Ceci dit, ce n'est rien comparé à ce qui se produit au virage suivant lorsqu'un bâtiment s'effondre littéralement sur le passage, donnant un léger avantage à ceux qui sont passés avant la chute et un gros retard aux malheureux qui subissent les pluies de débris accompagnant l'immeuble. Il faut alors slalomer entre les épaves et les ruines, le tout dans un nuage de fumée. Motorstorm : Apocalypse porte véritablement bien son nom.
Univers Consoles
Ajouté le : 09/2010
Plus accessible...
Après un deuxième volet au succès mitigé, la série revient sur les chapeaux de roues avec cet épisode dévastateur. Attention, grand spectacle à l'horizon ! MotorStorm fut l'un des touts premiers titres de la PlayStation 3, et personne n'a pu oublier la claque prise en découvrant les superbes canyons où se déroulaient les courses du jeu. Bref, tout le monde s'est jeté dessus (3,5 millions d'unités vendues dans le monde), ce qui laissait présager un avenir radieux pour la série. Hélas, le deuxième volet (MotoStorm : Pacific Rift) fit beaucoup moins bien que son aîné, tant sur le plan technique que commercial (900.000 unités). Du coup, on pouvait craindre que le studio Evolution n'en reste là, échaudé par le désamour des joueurs et l'arrivée d'une importante concurrence. L'annonce d'un troisième volet constitue donc une petite surprise, et l'on peut s'empêcher de se demander si le jeu aura les épaules assez larges pour se frotter à ses adversaires. A priori, oui ! Après les canyons rocheux et les îles paradisiaques du Pacifique, la compétition MotorStorm se déplace cette fois dans un cadre beaucoup moins idyllique, celui d'une ville (fictive) de la côté ouest américaine ravagée par un immense tremblement de terre.
Le championnat MotorStorm troisième génération est né. Après s'être affrontés dans le désert, au milieu d'un volcan en éruption ou au sommet de hautes montagnes, les pilotes ont élu domicile dans ce qui pourrait être le dernier théâtre de leur folie : une ville en train de disparaître au rythme d'une apocalypse qui fait leurs affaires. Il faut bien l'avouer, les petits gars d'Evolution Studios vont finir par faire passer les pilotes de MotorStorm pour des kamikazes puérils et déséquilibrés, inconscients du danger qui les entoure. Et finalement, ce n'est pas plus mal car un jeu de courses arcades n'a pas besoin d'être cohérent pour être bon ! Dans Pacific Rift, ces furieux avaient décidé d'aller défier les éléments (rien que ça...) dans des environnements aussi périlleux que variés. Cette fois, ils n'ont pas trouvé mieux que de continuer leurs gamineries motorisées en ville ! Mais pas n'importe quelle ville. Pas question ici de venir troubler la monotonie d'une grande cité noyée sous un trafic constant. Au contraire, l'idée est plutôt d'habiter un lieu qui croule petit à petit sous le déchaînement des éléments. On ne parle pas de contexte post-apocalyptique où les gravats témoignent de ce qu'était l'espace avant sa destruction mais bien d'apocalypse en temps réel !
TestMateriel.com ne regroupe pas de serial, no cd, warez, torrent et crack pour MotorStorm : Apocalypse. Inutile de nous contacter pour se faire rembourser d'un jeu, obtenir de l'aide pour le lancer, demander une soluce, une astuce MotorStorm : Apocalypse.