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Nous avons réuni 22 tests du Metal Gear Solid : Peace Walker. Les experts notent Metal Gear Solid : Peace Walker 8.7/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Metal Gear Solid : Peace Walker et d'autres Jeux PSP.
PlayLipse
Ajouté le : 07/2010
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Après Metal Gear Solid 4 : Guns of the Patriots, deux nouveaux opus de la licence étaient en développement. L?un deux, Metal Gear Solid Rising, est un spin-off basé sur Raiden offrant une nouvelle orientation et les prémices d?une nouvelle franchise (sur PS3 et 360) associée à la licence phare de Konami. L?autre, Metal Gear Solid : Peace Walker, est censé être un spin-off PSP basé sur la coopération qui s?apparente au final à un Metal Gear Solid 5. C?est d?ailleurs comme tel que le considère Hideo Kojima. Ce dernier étant disponible sur nos consoles, il est l?heure de voir s?il est un indispensable pour tous les fans de la série ou s?il ne s?agit que d?un simple spin-off pas forcément nécessaire? Même si officiellement Metal Gear Solid : Peace Walker est un spin-off de la série qui vise à l?enrichir en faisant la lumière sur le passé de Big Boss, il faut bien avouer d?entrée de jeu que cet opus s?impose comme un MGS 5. Le joueur est projeté au c?ur des années 70 pour découvrir des événements qui se déroulent dix ans après ceux de MGS 3. Si nous n?en dirons pas vraiment plus sur le scénario pour éviter tout spoiler, nous pouvons vous affirmer que celui-ci est bien consistant, très bien écrit et qu?il tient la route.
Lorsque Hideo Kojima, le papa de , annonce son nouveau titre , une communauté de fans crie au génie. Par contre, lorsqu'il apparait que ce titre est prévu sur et se présente comme le cinquième épisode de la saga, c'est plutôt la soupe à la grimace chez ceux qui pensent que la série ne vaut le coup que sur un grand écran, vautré dans son canapé. C'est bien mal connaître le patron de Kojima Productions qui nous offre là un épisode qui, s'il n'a pas de numéro associé à son nom, a pourtant toute la saveur d'une pièce majeure du puzzle qu'est . Enfilez votre tenue de camouflage pour suivre Big Boss dans la grande Histoire. Lorsqu'on fait sa connaissance dans sur et , Big Boss est un mentor avant de devenir un menteur et un traitre. Celui qu'on a toujours classé comme le grand méchant des premiers épisodes est en fait bien plus que cela, il est la pierre angulaire de toute la saga, l'élément central qui pèse par sa présence tout au long de l'intrigue. Ce n'est qu'avec la sortie de qu'il prend enfin toute son ampleur auprès des joueurs, on retrouve alors celui qu'on surnomme le soldat légendaire dans la mission qui lui fera gagner le nom de Big Boss. Une mission qui sera tout simplement l'origine de la grande saga Metal Gear Solid.
La dernière itération sur console remonte à l'épisode le plus controversé de la saga, Metal Gear Solid 4. Véritable coup d'épée dans le dos pour certains, fantastique finish pour d'autres, cette aventure très cinématographique a clairement assumé son statut d'?uvre divisant les joueurs. Aujourd'hui avec l'arrivée de Metal Gear : Peace Walker, on est en droit de se demander à qui s'adresse ce nouvel opus PSP. Réponse dans les lignes qui suivent. Kojima aime la PSP, on ne peut le nier, après deux épisodes Acid particulier, et un épisode OPS sympathique, le voilà qu'il part à nouveau à l'assaut de la portable de Sony. Comme de coutumes, le monsieur aime parler, mettre en avant ses titres à l'aide de citations fracassantes. Pour toucher le fan, quoi de mieux que d'annoncer ce PW comme le véritable Metal Gear Solid 5 ?! La fibre « fan-boy » vibre certes à l'annonce de ce titre, mais l'impatiente augmente très rapidement après cette déclaration. Test sans langue de bois sur l'un des plus gros softs portable de l'année. Bien qu'appréciant énormément la dernière aventure de Snake en 2008, la déception fut là. Avec PW, on retrouve les ingrédients propre à la série, mais avec une volonté de faire jouer le joueur !
Après un quatrième épisode très réussi sur la console de salon de Sony, la plus célèbre des licences d?infiltration fait son grand retour sur le devant de la scène. Cette fois, c?est sur la petite console portable de Sony que Hideo Kojima a décidé de travailler. Si la franchise s?est parfois perdue dans les méandres d?une narration terriblement pompeuse, ce nouvel épisode des aventures de Snake est l?occasion pour le créateur Japonais de véritablement revenir aux fondamentaux de la série. Mais en décidant de composer avec les limites du support portable, le pari semble quelque peu osé pour une licence de cette envergure. Seulement, quand on s?appelle Hideo Kojima, difficile n?est pas impossible. Difficile de parler de Metal Gear Solid sans parler de son scénario. Dans Metal Gear Solid : Peace Walker, c?est tout un morceau de l?histoire de la série qui sera révélé aux joueurs, faisant de cet épisode un incontournable pour tous les fans de la licence. L?épisode prend place quatre ans après les évènements de Portable Ops. Big Boss, qui est alors aux commandes de son unité d?élite Militaires Sans Frontière, se voit proposer un marché qu?il ne saura refuser : aider le Costa Rica à retrouver la paix en échange de quoi lui sera remis les clefs d?une plateforme pétrolière abandonnée située dans les eaux internationales du continent.
J'aime cet article 7 personnes aiment cet articleHideo Kojima aime brouiller les pistes, autant dans sa narration que dans la chronologie de parution des différents titres de la série Metal Gear Solid. Après un second opus qui suivait logiquement le premier, les aventures politico-génétiques de Snake - ou des Snake plus précisément - ont laissé de côté le cours logique des choses. Le troisième volet est une sorte de prologue, le quatrième fait office de suite du second et le cinquième - officieux - clôt l'épisode trois. Apportant chacun de très nombreux éléments scénaristiques, ces morceaux de la mythologie de Kojima s'appréhendent chacun très difficilement hors du contexte global de la saga. Et si Metal Gear Solid : Peace Walker fait des efforts pour être didactique, il mise ses effets de manche sur la certitude que c'est un fan qui tient les commandes. Problématique ?Développé au départ dans l'optique d'être un "véritable" épisode de la série et non un spin-off comme Portable Ops, Metal Gear Solid : Peace Walker aurait dû se nommer Metal Gear Solid 5. Sans doute à cause du support ou de modifications profondes dans l'appréhension du game design, ce nouvel épisode ne semblait visiblement pas convenir à l'arc principal.
1964 : The Boss, fondatrice de l'unité Cobra et "criminelle" ayant voulu porter atteinte à la sécurité de l'Union Soviétique, est tuée d'une balle par son propre disciple, ce dernier devenant ainsi un héros aux yeux des États-Unis. Il obtient par la même occasion le nom de code "Big Boss", qu'il avouera par la suite n'avoir jamais vraiment utilisé pour se désigner. Dix ans plus tard, c'est pourtant ce titre qui vient de nouveau tinter à ses oreilles. Alors qu'il n'est plus que le "Boss" de Militaires Sans Frontières, une organisation n'étant rattachée à aucun État et qui se contente de régler les conflits dont on lui demande de s'occuper, un membre du KGB déguisé sous l'apparence d'un professeur vient lui demander de se charger d'une affaire des plus épineuses. Celui qui fut précédemment connu en tant que Naked Snake apprend qu'un groupe apparemment armé sévirait en Amérique Centrale et dissimulerait une offensive de la CIA envers le KGB, lequel semble déterminé à séparer les États-Unis et l'Amérique du Sud en créant une base indépendante sur le lien qui les unit.Kazuhira Miller, sous-commandant MSF, tente de convaincre son ami d'aller se renseigner sur ce qui se trame au Costa Rica, d'autant plus qu'en acceptant cette mission, Militaires Sans Frontières se verrait octroyer une base d'opérations, laquelle constituera du reste une partie majeure du gameplay, nous le verrons.
GamePro.fr
Ajouté le : 06/2010
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Avec une licence aussi juteuse, il ne faisait aucun doute qu'il y aurait une vie pour Metal Gear Solid, même une fois arrivé au terme de la quadrilogie. Mais en attendant de voir l'univers de Kojima revenir sur consoles HD, avec le très orienté action MGS Rising par exemple, Konami peut se targuer d'ajouter un excellent titre à sa série, et ça se passe sur PlayStation Portable. Oui, tous les fans de Metal Gear Solid, et même les autres, doivent envisager de ne serait-ce qu'essayer Metal Gear Solid : Peace Walker qui est tour à tour un excellent jeu d'infiltration et un très bon jeu d'action. Son seul véritable défaut étant d'avoir été conçu pour la PSP. En effet, le titre a beau proposer dès son entame trois styles de prise en main différents pour tenter de satisfaire le plus grand nombre de joueurs possible, aucune de ces possibilités ne permet réellement de profiter de MGS : Peace Walker sans avoir à s'en prendre à la portable. La première configuration est "pratique" pour l'infiltration, la seconde pour l'action et le shoot, la troisième ne sert pas à grand chose. Au final, des heures durant, il faudra donc batailler avec le placement de ses doigts, les crampes aux pouces, et ce sans jamais réellement réussir à trouver ni ses marques, ni une position confortable.
Avant de démarrer ce test, j'avais deux à priori très négatifs à propos de cePeace Walker : 1) il est sur PSP, 2) il est signé Kojima, l'homme qui a sabordé sa propre série avec l'attentat MGS 4 (ce n'est qu'un avis personnel). Par conséquent, ce nouvel épisode avait une chance sur deux de « réhabiliter » le créateur à mes yeux et de me faire jouer à autre chose que Monster Hunter sur la console portable de Sony. Mission accomplie. Metal Gear Solid : Peace Walker est, qu'on se le dise, le meilleur jeu de la PSP (en attendant Kingdom Hearts : Birth by Sleep) et l'un des meilleurs épisodes de la série ; mais il a la (très) mauvaise idée - précisément - d'être sur PSP. Ainsi, le jeu en lui-même n'a aucun véritable défaut mais hérite de ceux de la PSP : une ergonomie de merde, des problèmes de tendinite, des brûlures sur le pouce à cause de ce stick de merde, l'obligation de changer de position de main quarante fois ne serait-ce que pour voir ce qu'il se passe à l'écran. Les nerfs en pelote et qui induit le regret d'un tel choix de support et nous rappelle qu'en son temps, Snake Eater avait déjà entamé notre capital patience (et donc que les attaques à l'encontre de la PSP plus haut sont partiellement gratuites) !
Réécrivez l'histoire du Costa Rica sur PSP ! Snake mène la révolution du jeu d'action moderne sur une console datée. Nombreux sont les aigris qui rêvent de voir la PSP entre quatre planches, morte et enterrée au profit de l'iPhone, de la DS ou d'une PSP 2. Mais la garce bouge encore, malgré sa surcharge pondérale tellement 2005, son écran qui commence à fatiguer, son autonomie lamentable et ses UMD antédiluviens. Metal Gear Solid : Peace Walker démontre qu'elle en a encore dans le ventre, poussant jusqu'au dernier retranchement ses limites au service d'un jeu magnifique et sans concessions. Hideo Kojima, créateur de la série, signe un chef-d'oeuvre sur une console moribonde et la fait entrer définitivement dans la légende. MGSPW nous propose de rencontrer un très célèbre membre de la famille Snake, surnommé Naked Snake ou Big Boss. Mais si, vous l'avez déjà vu : c'est le héros de Metal Gear Solid 3 ! C'est surtout le père génétique de Solid Snake, d'où un certain air de famille avec le héros de MGS 4. Vous perdez pied dans cette saga familiale ? C'est normal, saint Kojima dispense un évangile que seuls les plus aguerris peuvent suivre...
Univers Consoles
Ajouté le : 06/2010
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Encore un Metal Gear Solid, qui va s'en plaindre. En jouant à Peace Walker, on se demande comment l'équipe d'Hideo Kojima a réussi à mettre autant de choses dans un UMD. Ce nouvel opus dédié à la portable de Sony en a dans le ventre et parvient à s'inscrire dans la série des Metal Gear Solid grâce à son scénario, son discours philosophique sur la guerre, ses phases d'infiltration/action... Cependant, les choses ne sont pas si simples et le passage sur PSP a apporté son lot de bonnes et de mauvaises surprises. Ce Metal Gear Solid : Peace Walker emboîte le pas à Metal Gear Solid 3. Toute cette nouvelle histoire nous amène dans les années 1970's juste après que Snake ait dû affronter son mentor afin de sauver la paix et l'honneur de son pays. Seulement son choix le hante encore et toujours et va affecter ses missions car il n'est pas le seul à vouloir connaître la vérité. L'histoire de ce nouvel opus est pleine de rebondissements, de personnages hauts en couleurs et de cinématiques soignées. En effet, l'histoire vous sera narrée grâce aux interventions codec qui s'avèrent moins longs que dans les jeux précédents et surtout par des cinématiques dessinées par Ashley Wood. Cela donne tout de suite un certain cachet au jeu.
Un nouvel épisode de la saga la plus furtive de l'histoire de la PlayStation (et du MSX) est toujours attendu au tournant par ses fans comme par ses détracteurs, qui s'avèrent souvent être les mêmes, d'ailleurs. Avec Metal Gear Solid : Peace Walker, comme pour les précédents Metal Gear, le scénario sera passé au peigne fin et les subtilités du jeu seront analysées sous toutes les coutures. Heureusement, il s'agit là d'un grand cru. Au Japon, on n'a pas de pétrole, mais on a Hideo. Preuve une fois de plus qu'une bonne idée vaut mille millions de polygones. Il est toujours délicat de raconter le scénario d'un Metal Gear... Il faut dire que depuis les épisodes PS2, l'une des marques de fabrique de la série reste les histoires alambiquées à tiroirs et autres retournements de situations discutables, et largement discutés sur les forums. Cette fois-ci, il s'agit d'un pan "fondateur" de la saga qui nous est dévoilé sur PSP, puisque le joueur va vivre de l'intérieur - quatre ans après les évènements de Portable Ops - la création d'Outer Heaven et la genèse de la structure militaire qui donnera naissance à FOXHOUND, entre autres.
Depuis « Metal Gear » premier du nom, la longue série d'action/infiltration de Konami a fait un bon bout de chemin sur les sentiers obscurs de la guerre moderne, toujours à la pointe d'une technologie sans limites. Multipliant les allés-retours temporels, les retournements de situations-minute et tapant à grand coup de révélations aussi captivantes et obscures qu'un épisode de Lost, la série revient une fois encore sur le passé trouble du borgne légendaire. Les méandres et la finalité de la saga n'ont maintenant plus de secret pour grand monde, enfin... surtout pour ceux qui ont su suivre à la virgule près le moindre petit indice narratif distillé par Hideo Kojima himself. Après un Metal Gear Solid : Portable Ops lui aussi sur PSP, Metal Gear Solid : Peace Walker, ce nouveau chapitre de la saga du célèbre dévoreur de serpent ouvre une nouvelle page d'histoire en vue directe sur les seventies. Comme vous l'avez compris, ce n'est pas Solid Snake, mais le charismatique Big Boss alias Snake Eater que vous contrôlez dans cette aventure. Comme dans Metal Gear Solid 3, Snake se retrouve en pleine jungle, mais cette fois, c'est un univers beaucoup plus chaud que celui de la Russie qui s'ouvre à nous, puisque le morceau de verdure tropical à parcourir est situé en Amérique Centrale, au Costa Rica.
Hideo Kojima est décidément un personnage bien surprenant : après avoir juré que Metal Gear Solid 4 était le dernier opus de la série, le voilà qui nous ressort Snake dans un nouvel épisode disponible exclusivement sur PSP. Le bonhomme a-t-il menti pour autant ou s'est-il prêté, une fois de plus, à l'une de ces facéties dont il a le secret ?Si vous êtes fan de la série, vous devinez sans doute la réponse : MGS4 est effectivement le dernier volet « chronologique » des aventures de Snake, puisque Peace Walker se déroule après les évènements narrés dans Snake Eater et Portable Ops ! Vous l'aurez compris, ce n'est pas Solid Snake (celui de MGS1) que vous incarnez ici, mais Naked Snake, aussi connu sous le pseudo de Big Boss.Le scénario du jeu est relativement simple et, une fois n'est pas coutume, accessible à tous. Bien sûr il est préférable de bien connaître la saga pour comprendre certaines références et flashbacks utilisés en cours de jeu, mais un parfait néophyte devrait toutefois réussir à suivre la trame de l'aventure.Après les évènements de Snake Eater et Portable Ops, Snake a quitté son pays pour créer un groupe armé baptisé Militaires Sans Frontières ou MSF. Contacté par un représentant du Costa Rica, notre héros apprend qu'une armée y est secrètement constituée par la CIA dans un but encore inconnu.
Décidément, Hideo Kojima (créateur de la série Metal Gear) aime la PSP. En effet, après deux opus Ac!d potables, un très bon Metal Gear Solid Portable Ops accompagnée par une extension stand alone orientée multijoueurs et même deux bandes-dessinées digitales (Metal Gear Solid : Digital Graphic Novel 1 et 2), la portable de Sony est tout simplement le support qui a le plus eu droit aux titres estampillés « Metal Gear ». Avec Peace Walker, Kojima nous a promis un vrai cinquième Metal Gear Solid, supposé être indispensable aux amateurs de la saga, disposant d'une orientation coopération inédite. Pour déceler le vrai du faux, Jeuxvideo.fr a joué les espions en interceptant une communication secrète entre le Colonel Lecteur et un rédacteur, un mystérieux Damien, qui raconte son expérience au front... ...Connexion au Codec JVFR, fréquence 110.69... Eh bien, oui, mon Colonel. Bien qu'ayant un sous-titre pouvant faire vaguement référence à une série tv mettant en scène l'invincible Chuck Norris, Metal Gear Solid : Peace Walker est bien intégré à l'histoire de la série de Kojima. Clairement affilié au scénario de MGS 3 : Snake Eater (qui fait office de préquelle aux opus Metal Gear 1 & 2 et Metal Gear Solid 1, 2 & 4), il se déroule au Costa-Rica, en 1974, soit environ 10 ans après le combat final de ce même troisième volet.
Après un Portable Ops sympathique et surprenant, Kojima et ses équipes reviennent avec un nouvel opus portable de leur série d’infiltration. Avec Metal Gear Solid : Peace Walker, nous découvrons un nouveau pan de l’histoire de Snake, ou plutôt Big Boss, qui, dix ans après la mort de The Boss (voir Metal Gera Solid 3 : Snake Eater) se retrouve à la tête d’une armée privée, une entreprise militaire qui se voit confier sa première mission. Accompagné de Kaz Miller, Big Boss dirige désormais une petite entreprise de mercenaires. Encore très restreinte, il ne dispose ni de personnel ni de beaucoup de matériel et encore moins d’une base d’opération. Toutefois, l’arrivée de Paz, une jeune fille originaire d’Amérique du Sud va tout changer. L’adolescente contacte Militaire Sans Frontières (le nom de la boîte du héros) pour qu’elle lui vienne en aide au Costa Rica. Une de ses amies est prisonnière sur place et elle souhaite la libérer avant qu’il ne soit trop tard. D’après ses dires, la CIA a débarqué sur place avec ses gros sabots et prépare quelque chose de pas clair du tout, vu le dispositif déployé, vraiment impressionnant.
A chaque nouveau volet, Hideo Kojima nous assure que ce sera le dernier. Mais manifestement, le génial game-designer a bien du mal à lâcher sa série. Alors que Metal Gear Solid 4: Guns of the Patriots semblait la conclure en beauté, voici qu’arrive Metal Gear Solid: Peace Walker sur PSP. Mais loin de s’essouffler, on sent bien que Kojima a encore des choses à dire, tantôt en creusant davantage certains de ses thèmes de prédilection, tantôt en levant le voile sur certaines zones du scénario restées dans l’ombre. Retour en arrière donc. Les évènements se déroulent en effet dix ans après ceux de Snake Eater. Dix ans après qu’ait eu lieu ce combat mémorable entre Snake et The Boss. Peace Walker raconte en fait l’histoire d’un deuil impossible. Celui de Snake qui, inconsolable, cherche à comprendre les actes de celle qui l’a jadis formé. Renommé Big Boss depuis qu’il a vaincu The Boss, Snake ne supporte pas ce surnom et ne cesse de refouler le passé. Celui-ci va subitement ressurgir lorsque le Costa Rica fait appel à son groupe, «Militaires Sans Frontières», car une mystérieuse arme, nommée «Peace Walker», s’est établie dans le pays.
Emboîtant le pas à Metal Gear Solid : Portable Ops, Peace Walker se veut bien plus ambitieux. Ainsi, si le titre de la Kojima Team exploite et fait exploser le concept du jeu d'infiltration/gestion, il s'attache à apporter sa pierre à l'édifice de Metal Gear Solid. Le résultat, imparfait mais diablement généreux, nous montre que la PSP en a encore sous le capot. Comment faire suite à l'émouvant Metal Gear Solid 4 sans pour autant verser dans une redite scénaristique des plus gênantes ? En posant ses valises dans les années 70 pardi, soit quelques temps après les événements narrés dans Metal Gear Solid 3. Un bon moyen pour revenir sur le passé de Big Boss après que celui-ci ait été confronté au choix le plus cornélien de toute son existence. Bien que le contexte politique soit omniprésent dans Peace Walker, il sert une fois de plus à amener une galerie de personnages haut en couleur dont quelques têtes bien connues. Si on ne vous dira rien de plus sur le synopsis du titre qui nous offre quelques révélations fracassantes dès les premières minutes, sachez que la mise en scène s'avère délectable.
Metal Gear. Une saga gargantuesque, de celle qui façonne le paysage ludique mondial depuis plus de 20 ans maintenant. Pourtant malgré toutes ses qualités, la série divise. Amour. Haine. En effet s'il est impossible de ne pas respecter le panache de la réalisation, difficile de ne pas souligner certaines errances narratives ou de gameplay ayant parfois entaché l'épopée de Snake. En se concentrant sur la PSP, Hideo Kojima et ses équipes ont souhaité revenir aux sources. Se focaliser sur la créativité, le gameplay, bien avant la prouesse technologique. Une approche salvatrice. Avec Metal Gear Solid : Peace Walker, Big Boss décroche son plus beau rôle... Ce test est une mise à jour de nos impressions sur la version définitive française. Au même titre que Dragon Quest IX, Monster Hunter ou Yakuza Project K, Metal Gear Solid : Peace Walker participe à une tendance lourde du marché du jeu vidéo japonais. De plus en plus de licences fortes connaissent ainsi le succès, voire développent leurs "vraies" suites non pas sur consoles de salon... mais bien sur portables. Si en occident, la réaction initiale serait de considérer ce mouvement comme un recul, au Japon, les ambitions des développeurs n'ont quant à elles pas été réduites par cette transition. Metal Gear Solid : Peace Walker en est le symbole le plus évident.
Gamekult
Ajouté le : 06/2010
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Un nouvel épisode de la saga la plus furtive de l'histoire de la PlayStation (et du MSX) est toujours attendu au tournant par ses fans comme par ses détracteurs, qui s'avèrent souvent être les mêmes, d'ailleurs. Avec Metal Gear Solid : Peace Walker, comme pour les précédents Metal Gear, le scénario sera passé au peigne fin et les subtilités du jeu seront analysées sous toutes les coutures. Heureusement, il s'agit là d'un grand cru. Au Japon, on n'a pas de pétrole, mais on a Hideo. Preuve une fois de plus qu'une bonne idée vaut mille millions de polygones. Il est toujours délicat de raconter le scénario d'un Metal Gear... Il faut dire que depuis les épisodes PS2, l'une des marques de fabrique de la série reste les histoires alambiquées à tiroirs et autres retournements de situations discutables, et largement discutés sur les forums. Cette fois-ci, il s'agit d'un pan "fondateur" de la saga qui nous est dévoilé sur PSP, puisque le joueur va vivre de l'intérieur - quatre ans après les évènements de Portable Ops - la création d'Outer Heaven et la genèse de la structure militaire qui donnera naissance à FOXHOUND, entre autres.
Gamekult
Ajouté le : 09/2009
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Pas de repos pour les braves. Indispensable au bon fonctionnement de Konami, Snake - ou plutôt Naked Snake - reprendra du service dans Metal Gear Solid : Peace Walker, le prochain épisode PSP en préparation. Direction le Costa Rica pour le légendaire Big Boss, à la tête d'une troupe de mercenaires baptisée Militaires Sans Frontières, pour la préservation de ce petit pays dépourvu d'armée. Présenté comme un épisode de Metal Gear "à part entière" par son créateur, Hideo Kojima, Peace Walker se dévoilait en version jouable au Tokyo Game Show 2009, en solo comme en multi. Le virus Monster Hunter aurait-il contaminé les bureaux de Kojima Productions ? Toujours est-il que Metal Gear Solid : Peace Walker viendra bientôt grossir les rangs des jeux placés sous le signe de la coopération. Les cerveaux de la Team Kojima ont même trouvé un acronyme approprié pour l'occasion, en parlant de CO-OPS, pour COoperative OPerationS, rien que ça. Les trois missions mises au point pour ce TGS étaient évidemment conçues pour illustrer ce concept puissant. Premier point : chaque joueur incarne un clone de Big Boss, mais tous ne partent pas avec le même armement.
Konami nous ayant ouvert les portes de Metal Gear Solid : Peace Walker, nous avons pu y jouer quelques instants aussi bien en coopératif qu'en solo. Une bonne occasion pour vous présenter nos premières impressions sur ce qui s'annonce être un épisode orienté coopératif. Kojima l'avait annoncé, Metal Gear Solid : Peace Walker sera bel et bien un véritable épisode de la saga en apportant plusieurs réponses sur les quelques pans d'ombres scénaristiques restant encore à éclairer. Ainsi, on le rapprochera plus facilement de Metal Gear Solid Portable Ops dont il reprend le moteur graphique ainsi que la plupart des éléments de gameplay. Pour le reste, c'est du nouveau, c'est du tout beau. Ainsi, l'histoire se déroule en 1974 et met en scène le bien nommé Big Boss qui, aidé de plusieurs de ses clones et de Miller (celui-ci étant en contact permanent avec nous via l'indéboulonnable Codec), va devoir mener à bien diverses missions se situant pour la plupart au Costa Rica. C'est d'ailleurs ici que débute la démo que nous avons pu essayer, sur une plage plus précisément, où s'entraînent les membres de Militaires sans frontières.
Il aura donc fallu attendre le Tokyo Game Show 2009 pour mettre la main sur Metal Gear Solid : Peace Walker, le nouvel épisode de la saga développé sur PSP et qui est censé faire perdurer la légende de Solid Snake. Dans la peau de Big Boss cette fois-ci, le joueur va devoir prendre part à une aventure qui se situe plusieurs années avant le chapitre originel de la série. Voici nos toutes premières impressions sur le titre de Konami. La démo de Metal Gear Solid : Peace Walker que nous avons pu essayer, et qui peut être récupérée en téléchargement directement sur le stand de Konami durant tout le Tokyo Game Show, comporte pas moins de quatre missions. La première s'ouvre sur une séquence durant laquelle Big Boss se retrouve sur l'une des nombreuses plages du Costa Rica, avec sa moto et une clope au bec pour assurer le style. C'est là-bas que les membres du groupe Militaires Sans Frontières s'entraînent quotidiennement, un prétexte tout trouvé pour les développeurs afin d'introduire un pseudo-tutorial qui permet de se familiariser avec toutes les commandes du jeu.
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