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Nous avons réuni 8 tests du Tearaway. Les experts notent Tearaway 8.7/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Tearaway et d'autres Jeux PS Vita.
La PS Vita voit débouler une perle dans sa ludothèque. Tearaway est certainement un des tout meilleurs jeux de la console portable de Sony.Le monde de Tearaway est extrêmement mignon.Vous savez ce qu'il manque à la PS Vita ? Un jeu vitrine. Et maintenant que Tearaway est là, vous savez ce qu'il manque à la PS Vita ? Rien. Ce titre de Media Molecule joue le même rôle que Wii Sports pour la Wii et que Wario Ware Touched! pour la DS. C'est le rôle du démonstrateur, du jeu qui va vous montrer tout ce qu'on peut faire avec une console et qui vous incite à venir dans son univers. Teraway est le jeu sur mesure taillé pour une PS Vita qui ne manque pas de ressources. Tearaway prend possession de votre console et vous aspire à l'intérieur.Le jeu surprend déjà par sa magnifique direction artistique. Je crois que je n'ai jamais vu un jeu aussi mignon et cohérent dans les choix qu'il s'impose. On contrôle donc une petite enveloppe sur pattes dans un monde entièrement constitué de papier et de carton. C'est à la fois réussi et enchanteur. Media Molecule a aussi eu l'idée de génie d'utiliser un framerate différent pour certains éléments du jeu.
Alors que tous les yeux sont rivés sur les consoles next-gen, Media Molecule (le studio auteur des excellents LittleBigPlanet sur PS3) débarque sur PS Vita avec un jeu atypique nommé Tearaway. Il nous conduit dans un monde de papier tout mignon ou presque, de viles créatures peuplant également les contrées, dans lequel on contrôle un héros (masculin ou féminin) porteur/porteuse d'un mystérieux message pour nous, le joueur. Un peu prétexte mais riche en poésie et en symboliques, son scénario a l'immense mérite de nous intégrer physiquement dans l'univers du jeu comme un membre à part entière de l'épopée. Et pour cause : il nous conte l'union des deux mondes (virtuel et réel) via une quête initiatique utilisant de manière vertueuse la Réalité Augmentée, qui pullule sur nos appareils mobiles depuis quelques années en se cantonnant souvent au rang de simple gadget. Un parti-pris osé donc, qui nous offre une implication rare et fort plaisante. D'autant que le titre nous invite régulièrement à personnaliser ses héros, PNJ ou éléments de décor, en utilisant des formes (faites maison ou incluses) et en réalisant des motifs via des photos prises dans le monde réel.
Rendu célèbre par la série LittleBigPlanet et ses aspects créatifs et communautaires particulièrement poussés, le studio Media Molecule fait encore une fois preuve d'ingéniosité avec Tearaway, son nouveau titre exclusif à la PSVita. Préparez-vous à plonger dans un monde de papier virtuel coloré et exploitant au mieux les spécificités de la console.Une fois n'est pas coutume votre mission n'est pas ici de sauver la planète ou d'accomplir une quelconque tâche héroïque : le petit personnage que vous incarnez n'est en effet qu'une sorte de facteur dont la mission est de délivrer un message... à vous-même ! Tearaway s'amuse en effet avec un concept simple mais novateur : le monde du jeu et le vôtre sont liés, et c'est ainsi que vous existerez en fait de deux manières tout au long de l'aventure.Mais commençons donc par votre avatar virtuel appelé le Messager : baptisé Iota si vous choisissez la version masculine et Atoi si vous préférez la version féminine, son but est tout bêtement de vous rejoindre en atteignant le soleil de son monde au travers duquel on aperçoit régulièrement votre visage. Un petit tour de passe-passe évidemment rendu possible par la caméra frontale de la PSVita, exploitée ici de manière amusante.
Après un passage par la case preview, Tearaway se décide enfin à sortir sur PS Vita. Si l'apparition d'une exclusivité sur cette plateforme est déjà un événement en soi, le fait que ce titre soit développé par les géniteurs de la licence LittleBigPlanet rajoute encore plus d'intérêt à la chose. Et cela d'autant plus que, pour l'occasion, Media Molecule change radicalement de ton en abandonnant l'univers des petites poupées de chiffon pour explorer celui du papercraft. Après de nombreuses heures de jeu et un platine en bonne voie d'obtention, il est temps de vous livrer notre avis qui, on l'espère, n'est pas en carton. L'histoire de Tearaway n'a évidemment pas évolué entre notre preview et le jeu final. Ce que nous évoquions à l'époque tient ainsi toujours en peu de mots : le joueur joue un messager en papier qui doit livrer une missive au joueur qui, lui, tient la console et qui, métaphoriquement parlant, tient donc le monde entre ses mains. Ce périple, au but pas si intéressant que ça, va ainsi l'amener à vivre des aventures hautes en couleurs qui s'étalent sur 3 grandes zones découpées au total en 16 environnements différents (et très variés), pour environ 5 heures de jeu en ligne droite. C'est peu, d'autant plus que le titre est exclusivement solo.
Media Molecule revient pour une création originale, un jeu exclusivement pensé pour la PS Vita, Tearaway. Techniquement, l'écran et le pavé arrière tactiles, l'effet gyroscopique, la caméra, et le microphone sont utilisés avec ingéniosité. Heureusement, ceux-ci ne servent pas uniquement de vitrine technique. Grâce à Tearaway, la magie des contes à feuilleter vient de se numériser. Les âmes vont voler et les coeurs vont chanter avec de nombreuses surprises à déballer. Préparez-vous! Un monde unique et enchanteur va, sous vos doigts, se déplier. Mais que peut bien cacher Tearaway, sous toutes ces couches de papier?Le message devient messager :Votre PS Vita est allumée. Oubliez que vous êtes sur petit écran, un grand voyage va commencer. Une voix vous emporte dans l'univers merveilleux de Tearaway. Un monde de papier arrive entre vos mains. Et du ciel, vous l'observez. Quelque part derrière le soleil, votre regard amusé est dévoilé. Bienvenue au grand VOU! Vous venez d'arriver, et un messager attend, avec une livraison à votre nom, enfermée dans sa tête d'enveloppe. Choisissez Atoi, la fille ou Iota, le garçon, pour vous identifier.
Doit-on encore présenter Media Molecule qui, avec la saga LittleBigPlanet, a prouvé à qui de droit qu'elle jouait dans la cour des grands. Toutefois, si son nouveau bébé, Tearaway, officie également dans le genre plates-formes, on pouvait se demander ce qu'allait donner cette nouvelle franchise exclusive à la PlayStation Vita. Censé utiliser les capacités de la console tout en proposant un univers original, Tearaway était une vraie curiosité portant en elle les attentes d'une société et accessoirement les espoirs des possesseurs de la machine. Eh bien, n'allons pas par quatre chemins, Tearaway est bel et bien la petite merveille à laquelle on pouvait s'attendre et se présente comme l'un des must-have de la console, tout simplement. Faisant partie intégrante du patrimoine vidéoludique, le genre plates-formes parvient encore aujourd'hui à séduire via des valeurs sûres comme Mario ou le « reboot » réussi de Rayman. Si Tearaway n'a nullement à rougir face à ces ténors, notons qu'il opère un certain changement dans la continuité grâce à son univers de papier.
Malgré ses innombrables facettes, LittleBigPlanet a longtemps été l'unique visage de Media Molecule. Tout en faisant joujou avec un projet secret taillé pour la PS4, le studio britannique a consacré une bonne partie de ces trois dernières années à la confection de Tearaway, jolie exclusivité souhaitant exploiter au maximum le potentiel de la PlayStation Vita. Et comme la matière semble obséder l'équipe "cosmopolitiquement" liée à Sony, tout se déroulera désormais dans un monde de papier aussi magnifiquement animé que cohérent et coloré. Hormis Paper Mario et dans une moindre mesure Rakugaki Showtime, les jeux vidéo ayant parié sur un rendu "papier" sont rarement restés dans la grande histoire. Paper Galaxy, Paper Monsters, Paper Wars : Cannon Fodder, Pop Island ou encore Pop-Up Pursuit ont vite plié bagage, bien que plusieurs d'entre eux étaient assez amusants. Arrive aujourd'hui Tearaway avec ses cascades de feuilles roulées, ses ennemis fabriqués à partir de journaux, ses protagonistes principaux à tête d'enveloppe, son soleil troué où apparaît régulièrement votre visage.
Si Sackboy est aujourd'hui une star incontournable de la galaxie PlayStation, c'est parce qu'il a su plaire à un public aussi large que diversifié. Aujourd'hui l'imagisphère tourne presque toute seule, Media Molecule faisant de plus en plus appel à des studios externes pour l'étendre, alors l'heure était donc venue pour les "molécules" d'explorer de nouveaux horizons, l'expédition fût-elle moins ambitieuse. Et dès lors quoi de mieux pour trouver l'inspiration qu'une feuille de papier et un crayon ? Surtout s'il est tenu par Rex Crowle, un griffonneur compulsif en grande partie responsable de l'allure bizarroïde des créatures de LittleBigPlanet.A l'origine de ce projet, il n'y a que quelques bouts de papier. Quand on y pense, c'est bien peu de chose, du papier, à l'ère du tout digital, pourtant son invention a changé l'histoire de l'humanité. Car aussi banal soit ce matériau de nos jours, il a constitué le support fondamental de l'écriture et du dessin. Autrement dit, la surface immaculée d'une page planche, souvent intimidante, est l'un des principaux réceptacles de la création. Une fonction que Tearaway décline à sa manière, puisqu'il utilise le papier comme matière première pour construire l'ensemble de son univers.
TestMateriel.com ne regroupe pas de serial, no cd, warez, torrent et crack pour Tearaway. Inutile de nous contacter pour se faire rembourser d'un jeu, obtenir de l'aide pour le lancer, demander une soluce, une astuce Tearaway.