10 tests d’experts - Aucun avis d'internautes
S'abonner
1
0
Je le veux
0
Je l'ai
1
Je l'ai eu
0
Nous avons réuni 10 tests du Metal Gear Solid 4 : Guns of the Patriots. Les experts notent Metal Gear Solid 4 : Guns of the Patriots 8.8/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Metal Gear Solid 4 : Guns of the Patriots et d'autres Jeux Playstation 3.
Il est bien plus difficile de terminer proprement une série et d'écrire le mot "FIN" à tout jamais que de commencer une nouvelle aventure. Combien de séries télévisuelles ou cinématiques et combien de jeux vidéo ont tenté par le passé cette périlleuse bascule d'un monde à l'autre pour des résultats souvent médiocres. Cette fois-ci, c'est au tour d'une des sagas les plus célèbres de l'ère moderne du jeu vidéo que nous sommes invités à la mise à mort. Et avant de placer la dernière banderille, il fallait bien que le taureau se défende un peu. Ce sont donc les dernières heures vidéoludiques de Snake qu'il nous est donné de contempler tout autant que d'y prendre part. Car si ce jeu est un des seuls à utiliser autant de données sur un Blu-Ray, à savoir une cinquantaine de gigas (!) il doit cette caractéristique à un nombre incalculable de cinématiques et autres cut-scènes disséminées au cours de l'aventure. Autant être franc tout de suite, si Snake mérite une statue dans les yeux de son créateur à la vue de ce volet, la « panthéonisation » de Kojima reste en suspens après cet épisode épique mais aussi frustrant.
Metal Gear Solid … Voici 3 mots qui forment l’histoire de 3 générations de consoles de salon PlayStation. Après une entrée fracassante sur PlayStation, deux épisodes à couper le souffle sur PlayStation 2, le bébé d’Hideo Kojima marque la fin de la série Solid (quid de Metal Gear) avec ce 4ème opus Metal Gear Solid 4 : Guns Of The Patriots. Le travail à effectuer après MGS 3 était immense pour ne pas décevoir les fans, réaliser le test du dernier (?) épisode de cette série tout simplement grandiose n’est pas une chose aisée. C’est parti pour le test de jeuxvideo.org qui ne fera pas de chichi envers les qualités et défauts du titre. On repense une dernière fois au « tactical espionage action » et c’est parti. Jouer à Metal Gear Solid 4 : Guns of the patriots prend tout son sens lorsque l’on connaît bien la série. Oui cet épisode ne surfe pas du tout sur la mode FPS actuelle, au contraire il garde des bases que l’on connaît depuis le tout premier épisode.
Solid Snake vieilli, l’air las, allume une cigarette… Le processus d’installation de Metal Gear Solid 4 : Guns of the Patriots débute. En un plan, tout est résumé. Voici l’épilogue de vingt années de jeux épiques, palpitants, bouleversants. Le visage du héros légendaire est celui d’un homme usé, malade. Les traits d’un homme qui, toute sa vie durant, se sera battu pour défendre des idéaux et des causes qui le dépassent. Simple pion désabusé au cœur d’une intrigue tortueuse née de l’imagination du réalisateur Hideo Kojima. Voici l’heure pour Snake de livrer un énième combat : son dernier combat. Cinq ans après les incidents de la Big Shell ayant ravagé Manhattan, le monde tel qu’on le connait s’est effondré. Les conflits armés ont pris une nouvelle dimension grâce à l’émergence de sociétés militaires privées, formant des soldats et régulant le trafic des armes. La lutte pacifiste et écologique entamée par Snake et Otacon près de dix ans plus tôt semble donc avoir été vaine. Après un préambule poignant montrant un guerrier abandonné et ravagé par une maladie irréversible, le jeu s’ouvre de manière magistrale au plein cœur d’une guérilla urbaine au Moyen-Orient.
Metal Gear Solid est sans aucun doute un des meilleurs symboles de la créativité vidéo-ludique. Au fur et à mesure des épisodes sur Playstation 1 et 2, la série s'est imposée dans le cœur d'une catégorie de joueurs grâce à un gameplay novateur, un scénario mature et intelligent et un souci du détail hallucinant procurant une expérience de jeu hors-norme, à l'image d'un créateur de génie conscient des possibilités offertes par le média jeu vidéo. Messages et thèmes de réflexion côtoient allègrement système de jeu complexe et moments de pure violence, sans oublier clins d'œil coquins et autres mises en abyme du joueur et du jeu. Le quatrième épisode arrive donc aujourd'hui pour clore la partie « Solid » de Metal Gear, fort d'un développement de trois ans et d'une campagne de promotion polémique, car faste en révélations (franchissant parfois la limite sacrée du Spoil). Adorée ou haïe, la série ne laisse aucun joueur indifférent. Analyse à quatre mains de la fin d'une saga épique, mémorable, monstrueuse, géniallissime, décriée, attendue, fantastique, exceptionn...
Héros d'une génération entière de joueurs et certainement l'une des figures les plus importantes du jeu vidéo lorsqu'il s'agit d'en défendre la noblesse, Solid Snake va mettre un terme à ses aventures avec la sortie de Metal Gear Solid 4 : Guns of the Patriots. Trois ans après un épisode rétro où il n'a pas fait d'apparitions, le personnage emblématique de Hideo Kojima lancé en 1987 s'apprête donc à refermer vingt années de combats, d'infiltration et de romans par codec interposés ; un évènement pour les fans mais aussi pour les possesseurs de PlayStation 3, promis à ce blockbuster exclusif depuis maintenant deux ans. Autant dire que le titre de Konami a tout intérêt à s'avérer aussi solide que promis, pour ne laisser aucun regret derrière lui. Cliquez sur l'image pour l'agrandir Ca n'est plus un secret pour personne, les joueurs et Solid Snake vont vivre avec Metal Gear Solid 4 leur ultime romance, une dernière virée à deux censée répondre à toutes les questions laissées en suspens depuis tant d'années et qui apporteront, nous promet-on, une fin en apothéose digne du vieux soldat de pixels.
GamePro.fr
Ajouté le : 06/2008
Plus accessible...
La date fatidique du 12 juin approche, celle de la sortie mondiale de ce qui est indéniablement la première grande exclusivité tiers de la PS3, Metal Gear Solid 4 : Guns of the Patriots. Pas mal de tests ont été publiés ces derniers jours, aussi bien aux USA qu’en Europe, pour un verdict quasiment sans appel : MGS4 serait LA conclusion attendue par tous les fans de la série. Pour ne citer qu’eux, nos camarades US de GamePro n’hésitent pas à parler de l’un des plus grands titres de toute l’histoire du jeu vidéo, de ceux qui font cette histoire et posent les grandes étapes de son évolution, à l’instar d’un FF VII ou d’un GTA III (les exemples sont à mettre au compte de GamePro US, merci de leur adresser directement vos éventuelles réclamations). Bref, MGS4 aurait réussi l’incroyable pari d’être à la hauteur des attentes que l’on plaçait en lui, une prouesse de plus à mettre au crédit de Hideo Kojima, le génial créateur de la série. Sauf que dans ce concert de louanges, deux choses dérangent. La première, c’est qu’il arrive à peine un mois après celui entourant la sortie de GTA IV, comme s’il n’était plus possible aujourd’hui d’apporter un peu de nuance dans la critique d’une grosse production. Ces deux titres sont bons, très bons, excellents. Mais pas parfaits, et notamment MGS4. Or c’est l’autre sujet qui fâche : à lire quelques critiques, aucun défaut ne semble entacher le quatrième volet de la série MGS. Des défauts, on en trouve pourtant… à condition de creuser un peu plus loin que le bout de la moustache de Snake.
Hanté par son tragique passé, dévoré par le virus Foxdie, Snake nous revient essoufflé en plein milieu d'une guerre où les composants nano-technologiques sont aussi importants que les balles. Relique d'une époque révolue, notre héros avance pour régler ses comptes et en finir une fois pour toutes avec son Nemesis : Liquid. Enjambant les corps, se faufilant dans l'ombre, se fondant dans son environnement, la légende nous fait l'honneur d'une nouvelle passe d'armes avec ses ennemis de toujours. Tant qu'il y aura des hommes il y aura la guerre nous disait Albert Einstein et comme pour corroborer cette citation, c'est aujourd'hui Liquid Ocelot qui prend les rênes mondiales d'une guerre depuis longtemps fomentée par des entreprises privées. Désireux d'être l'unique acquéreur d'une technologie permettant de contrôler les engagés, volontaires ou non, le côté sombre de Snake se veut plus ambitieux que jamais. De l'autre côté de la barrière, Solid Snake se montre un adversaire pathétique, affaibli par la maladie et confronté à un destin qu'on pourrait juger inéluctable.
GamePro.fr
Ajouté le : 05/2008
Plus accessible...
Metal Gear Solid 4 sortira officiellement dans le monde le 12 juin prochain sur PS3. Une échéance que les fans attendent avec la plus grande impatience, pour plusieurs raisons. La première, c’est évidemment qu’il s’agit du volet qui marque le passage de la série à la nouvelle génération. Après deux épisodes sur PS2, Hideo Kojima fait le grand saut et affronte les capacités techniques de la PS3, censées donner un nouveau souffle à l’univers MGS. La seconde, c’est que de l’aveu même du maître, MGS 4 doit être la conclusion d’une époque, la fin d’un chapitre débuté voilà plus de 20 ans sur MSX 2 et NES, et transcendé par son passage sur PS One il y a… 10 ans. Un double anniversaire donc, pour une série que Kojima a l’obligation de clore (provisoirement ?) de la plus belle des manières. Y arrivera t-il ? Telle est la question que l’on garde bien au chaud pour le test, même si l’on a déjà une idée de la réponse. En attendant, voilà un petit tour d’horizon du début de l’aventure, tel que l’on a pu le vivre la semaine dernière dans un grand hôtel parisien. Avec Hideo Kojima en surveillant général…
JeuxVideo.fr
Ajouté le : 04/2008
Plus accessible...
BonjouR, je me prénomme habituellement Damien, mais pour cette mission je vais devoir m'appeler Snake. Cela, en référence bien sûr à l'un des plus charismatiques héros que le jeu vidéo connaisse, et qui a été, grâce à son créateur Hideo Kojima, le principal étendard d'un genre atypique (aujourd'hui bien réputé auprès des joueurs) : l'infiltration. Ce pseudonyme ne sera pas de trop pour vous parler d'un évènement top secret auquel j'ai pu participé : pendant trois journées, j'ai pu jouer à Metal Gear Solid 4 dans sa quasi-intégralité au sein d'un camp retranché en pleine campagne japonaise, dans laquelle nous avons été en compagnie pratiquement permanente de Kojima-san. Une rencontre hors norme, une première pour Kojima Productions (studio dirigé par qui vous savez), pour un titre sur lequel repose bien des espoirs, autant au niveau des fans de la série que des acquéreurs actuels ou à venir de Playstation 3. Voici mon histoire...
Gamekult
Ajouté le : 02/2008
Plus accessible...
Depuis son annonce l'année dernière pour le vingtième anniversaire de la série Metal Gear et malgré une certaine discrétion médiatique, le développement de Metal Gear Online n'a pas manqué d'attiser les curiosités de tous bords, balayant un large spectre de fantasmes de la part des aficionados de la série créée par Hideo Kojima. Le jeu - une dénomination impropre puisqu'il se pourrait bien qu'il finisse livré, au moins partiellement, avec Metal Gear Solid 4 : Guns of the Patriots - cristallise en effet un vieil espoir de retrouver l'univers et la philosophie de la série dans des parties multijoueurs, un véritable défi que n'auront de toute évidence jamais su relever les modes multijoueurs des récents opus. Après un premier contact favorable lors du Tokyo Game Show, revoici donc Metal Gear Online dans les locaux de Konami France pour une démonstration en bonne et due forme assortie de quelques fusillades manette en main ; l'occasion de mieux cerner le potentiel du jeu, évidemment, mais aussi (surtout ?) ses véritables intentions.
TestMateriel.com ne regroupe pas de serial, no cd, warez, torrent et crack pour Metal Gear Solid 4 : Guns of the Patriots. Inutile de nous contacter pour se faire rembourser d'un jeu, obtenir de l'aide pour le lancer, demander une soluce, une astuce Metal Gear Solid 4 : Guns of the Patriots.