LostWinds
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Nous avons réuni 7 tests du LostWinds. Les experts notent LostWinds 7.7/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du LostWinds et d'autres Jeux Wii.
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Test LostWinds
Lostwinds
Concocté par les anglais de Frontier Developments, Lostwinds est un titre exclusif au service Wiiware cher à Nintendo ! Disponible depuis mai 2008 en Europe, la rédaction de WiiDSFrance se devait de rattraper son retard, surtout quand il s'agit d'un des meilleurs titres disponibles à l'heure actuelle.Basée à Cambridge, cette petite entreprise touche à tout qu'est Frontier (PC/Xbox/Kinect...) s'attaque au « marché » Wiiware courant 2008 avec la sortie exclusive de Lostwinds ! Contant les aventures du petit Toku, jeune garçon appartenant à un village modeste, les « vents perdus » mettent le joueur dans la peau de l'esprit du vent : Enril ! Enfermé malgré lui, plusieurs années auparavant, afin d'empêcher l'infâme Balasar de conquérir le monde, le temps a malheureusement joué contre lui puisque non seulement Balasar a réussi à s'échapper et il est aussi devenu plus puissant tandis que sur la même période, Enril s'est affaiblit... Inutile de le signaler mais je vous le confirme tout de même : l'intérêt de Lostwinds n'est clairement pas dans son scénario, très classique (bien contre le mal en somme) et tenant sur un ticket de métro.
LostWinds : Winter of the Melodias
Lostwinds : Winter of the Melodias est la suite du très apprécié Lostwinds, un jeu développé par un petit studio indépendant qui n’a pu publier son titre que sur le Wiiware de manière à éviter des coûts de production élevés d’une version boîte. Comme quoi les plateformes de téléchargement sont un vivier propre à révéler quelques perles inattendues. Mais l’effet de surprise étant passé la magie opère-t-elle de nouveau ? Et les défauts majeurs terniront-ils encore la note de ce second opus ? A vous de voir en bout de test. Il fut un temps la cité des Melodias était prospère et les chants des habitants ne cessaient d’égayer le quotidien. La nature était en fleur et le ciel ne pouvait être d’un bleu plus profond, la lumière faisant éclater les milles et une couleurs du paysage. Riveren faisait partie de ce peuple. Il était si curieux qu’un jour il tomba dans un trou et découvrit un objet d’une rare intensité démoniaque. Cet évènement marqua le début de la fin pour les Melodias et leur joyeuse cité d’or. Enril l’esprit du vent se souvient encore de la vie qui émanait du lieu, mais maintenant qu’il accompagne notre jeune héros Toku d’importants soucis occupent ses pensées.
LostWinds : Winter of the Melodias
J'ai joué la suite de LostWinds avec un rhume carabiné – calé profondément dans un fauteuil dans mon plus beau peignoir à carreaux façon Sherlock Holmes, planant doucement dans cet état cotonneux et propice à l'introspection dans lequel vous met l'abus de médicaments antigrippaux. Cela s'est avéré être une condition parfaite pour apprécier le dernier superbe jeu venteux de Frontier, ce qui ne veut absolument pas dire que l'on ne peut y prendre plaisir que lorsque l'on est patraque. LostWinds : Winter of the Melodias est un jeu très appréciable, qui s'appuie sur les forces de l'original et qui trouve de surcroît le temps de répondre aux problèmes qui restaient encore. Si c'est le genre de choses que le WiiWare peut faire, on en redemande. La critique récurrente faite à la première aventure de Toku était qu'elle était trop courte : c'était presque un compliment déguisé pour Frontier dès lors que cela impliquait tacitement que le noyau dur du jeu était excellent. C'est malgré tout un reproche que LostWinds 2 a pris à coeur, et l'intrigue est déjà le premier signe que c'est un morceau de fantaisie plus conséquent.
LostWinds : Winter of the Melodias
Un vent de légèreté souffle à nouveau sur la Wii. Un an et demi après le premier LostWinds, les Anglais de Frontier nous gratifient d'une suite tout aussi adorable. Un mélange de plates-formes et d'exploration placé sous la bénédiction du dieu Éole. Comme son prédécesseur, LostWinds : Winter of the Melodias possède une particularité qui est son principal atout : il utilise pleinement les capacités de la Wiimote avec des contrôles originaux et très plaisants. Non pas que ce soit trop rare, mais c'est toujours important à signaler. Dans ce jeu d'aventure, Toku, le petit héros, ne saute pas, il décolle à l'aide de courants d'air que le joueur dirige avec sa télécommande. On utilise le souffle non seulement pour déplacer son personnage, mais aussi pour résoudre des petites énigmes. Le climat fait des siennes et il faudra gérer astucieusement le passage de l'hiver gelé à l'été fleuri pour se frayer des passages dans le petit monde de Mistralis, représenté sur une carte avec les points de rendez-vous. LostWinds 2, c'est aussi une ambiance très zen servie par un joli travail de design sur les personnages et les environnements. L'ensemble tranche avec les autres productions WW, souvent un peu je-m'en-foutistes dans ce domaine.
Lostwinds: Winter of Melodias
Une petite aventure délicieuse, aux graphismes et à la prise en main impeccables. Mais tout cela serait-il trop parfait? Le deuxième chapitre du déjà acclamé Lostwinds vient prolonger de bien belle façon une série déjà culte. A l'aide du joystick, on y balade le jeune Toku dans un environnement charmant, superbe même, pour de la Wii, et avec la Wiimote, on incarne l'esprit du vent, Enkil, qui a à cœur d'aider ce petit bonhomme sans défense. Avec quelques mouvements de poignets et autant de courants d'air, on peut par exemple le faire sauter, double, «triple-sauter» même. En traçant un cercle autour d'un ennemi, on le neutralise. Autour d'un flocon de neige, on roule une bonne grosse boule. A vous aussi de savoir tirer parti des éléments, comme des torches ou de l'eau, ou encore des cailloux «chantants» capables de faire fonctionner quelque antique mécanique d'une civilisation disparue, pour résoudre des énigmes simples. Et pour la première fois, on peut alterner les phases d'été avec celles d'hiver, dévoilant au passage de nouveaux environnements glacés tout aussi adorables.
LostWinds
Dès les premières secondes de jeu, l'atmosphère est installée. Sur fond de musique instrumentale relaxante, teintée de sonorités celtiques, Lost Winds impose son ambiance. En agitant votre wiimote, vous intéragissez avec l'environnement. Le vent s'engouffre dans la végétation, la faisant vasciller dans une harmonieuse et lénifiante douceur. Dès ces premières secondes, un souffle léger envahit le cœur des joueurs les plus rustres et laisse présager une quête unique, entre apaisement et émotion. LostWinds - Wii Frontier Development. Un nom, un jeu, une empreinte. Lost Winds. Ils ont conçu ce qui s'avère être pour moi une des expériences majeures de cette génération. Hymne au jeux vidéos, entre la force émotionnelle d'un Ico, le gameplay d'un Mario Galaxy et la simplicité conceptuelle d'un Zelda, le jeu prouve, s'il était nécessaire, que la 2D est immortelle. Comme un enfant du nouveau millénaire, j'ai constaté avec émerveillement qu'il était possible pour un développeur de me surprendre avec un jeu de plateforme d'apparence classique. J'attendais cela depuis longtemps. On sent que Frontier aime ce genre, on sent qu'ils en ont compris l'essence, la substantique moelle.
LostWinds
Considéré à juste titre comme le titre le plus attachant parmi tous ceux disponibles pour le lancement du WiiWare en Europe, LostWinds fait souffler un vent de fraîcheur sur la console de Nintendo. Disponible pour 1000 points seulement, il se pare d'une touche de poésie qui n'est pas sans rappeler ICO ou Okami. Pourquoi avoir cité ces deux titres qui sont sans doute parmi les plus grands chefs-d'oeuvre du jeu vidéo ? Probablement parce que, dès les premières secondes, LostWinds nous plonge dans un univers mystique où la nature omniprésente nous envahit. Elle nous apaise et nous charme par des moyens bien inoffensifs, comme une brise légère qui souffle dans les branches, une feuille qui danse dans les airs et un jeune garçon roulé en boule qui dort paisiblement sous un arbre magnifique. Ce personnage s'appelle Toku. Vêtu d'un poncho clair et coiffé d'une toque en laine, ce gamin au faciès lunaire semble dormir debout, peu enclin en tout cas à vivre une aventure hors du commun.
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