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Nous avons réuni 17 tests du Lara Croft et le Gardien de Lumière. Les experts notent Lara Croft et le Gardien de Lumière 8.3/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Lara Croft et le Gardien de Lumière et d'autres Jeux Xbox 360.
Deux ans après la sortie de Tomb Raider Underworld, Lara Croft s'affranchit de la licence qui a fait sa réputation et son succès pour un spin-off original sorti en août dernier sur le Xbox Live Arcade. La reprise en main du personnage par Crystal Dynamics se confirme t-elle ? Réponse (en partie) dans les lignes qui suivent ! Avec le Gardien de la Lumière, Lara Croft signe sa quatrième apparition sur Xbox 360, mais seulement sa troisième aventure inédite. Tomb Raider Legend tentait de surfer sur la sortie récente de la machine pour sublimer le premier opus développé par Crystal Dynamics et renouer avec le succès tandis que le studio américain nous proposait, quelques mois plus tard, de célébrer les dix ans du personnage dans un remake réussi du premier volet de la franchise, malheureusement simple adaptation de la version Playstation 2. Si ces deux opus ont permis avant tout d'apprécier la reprise en main du gameplay et la refonte de la jouabilité, ils n'ont néanmoins pas permis au créateur américain d'exprimer pleinement son potentiel technique, pourtant largement entraperçu à l'époque avec des titres comme Soul Reaver sur Playstation.
Après deux épisodes next-gen pas vraiment marquants, la belle Lara s'essaye aux joies du dématérialisé et débarque sur nos via le . Si l'aventurière nous revient sous une forme complètement différente de ce que nous avons connu par le passé, elle est cependant plus aguicheuse que jamais. Alors, est-il une vraie réussite ? Square Enix, le nouveau propriétaire d'Eidos et donc de la licence , a décidé de donner un coup de fouet à l'héroïne un peu fatiguée par des années passées à se reposer sur ses lauriers et ses formes généreuses. Le premier changement notable est l'utilisation de Lara Croft dans le nom du jeu, exit donc . En dehors de cet aspect purement marketing, le titre offre un gameplay totalement inédit pour la série et prend une toute nouvelle direction. On passe en effet à une vue du dessus et se rapproche plus de que d'un jeu de plateforme/action classique. Les combats ont pris une place plus importante, délaissant quelque peu les phases de grimpette de mur immense qui sont parfois fastidieuses et les énigmes tordues. Il en découle un rythme vraiment unique, qui ne laisse que peu de place au répit et prend réellement aux tripes.
GamePro.fr
Ajouté le : 08/2010
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Attention, ceci n'est pas un Tomb Raider. Il est très important de le noter pour comprendre la démarche de Crystal Dynamics qui s'est remis à développer sereinement autour de Lara Croft pour le bon épisode Underworld. Lara Croft & The Guardian of Light est donc un jeu dérivé de la série Tomb Raider, exploitant la recette sous un angle différent, au sens propre (en déplaçant la caméra au-dessus de l'action) comme au figuré (en optant pour un modèle pensé pour la coopération). Résultat, c'est avec beaucoup d'entrain que l'on se lance dans cette nouvelle aventure réservée au Xbox Live Arcade pour le moment, et à venir très vite sur le PlayStation Network et sur PC. On redécouvre en quelques minutes l'univers de la riche aventurière, on appréhende les nouveaux contrôles bien maîtrisés dans la première demi-heure, et l'on se rend vite à l'évidence : l'univers de Tomb Raider était né pour enfanter un jeu du genre, l'évolution paraissant tellement logique et naturelle. En deux temps, trois mouvements, Lara nous embarque donc avec elle et le guerrier Totec à la recherche du puissant Miroir des Brumes dérobé par une bande de pillards mal intentionnés.
C'était sans grande impatience après deux épisodes quelques peu décevants, que l'on attendait le retour de la belle Lara Croft dans nos salons obscurs. C'était sans compter les bonnes surprises de gameplay et le coup de jeune insufflé par Crystal Dynamics, qui propose avec Lara Croft : The Guardian of Light, un spin-off version hack'n slash rythmé des aventures de l'aventurière au poom poom short le plus sexy de la décennie.De prime abord, on serait tenté d'être quelques peu sceptiques face à ce nouvel épisode. Un jeu XBLA en 3D isométrique : voilà qui est bien éloigné de ce que l'on avait l'habitude de voir dans la saga Croft. Et pourtant... Lara Croft and the Guardian of Light démarre sur une histoire pas franchement révolutionnaire, à base de démon réveillé et très énervé, de mondes parsemés de ruines piégées et de créatures démoniaques prêtes à tout pour exterminer Lara et son acolyte Totec. Ce qui en revanche fait mouche, c'est la fluidité du gameplay qui permet d'aborder sereinement les phases plates-formes, combat et puzzle. Pour ce qui est des phases puzzle, on se retrouve avec Guardian of Light face à un gameplay très rythmé qui reprend les codes de ses aînés.
Faire tenir un tout nouveau jeu Lara Croft dans un fichier téléchargeable - même s'il est de taille, avec un peu plus de 2Go - a fatalement impliqué quelque compromis. La cinématique d'ouverture de Gardien de la Lumière est une série de plans fixes sans aucune des acrobaties surhumaines de l'héroïne et la présentation à couper le souffle que nous nous sommes habitués à attendre d'un jeu Lara Croft réalisé par Crystal Dynamics. Avant de commencer ce test de Lara Croft et le Gardien de la Lumière, on se demande si Tomb Raider peut vraiment être le même sans son côté punchy. Comme nous l'abordions dans la preview de Lara Croft et le Gardien de la Lumière, ce jeu n'est carrément pas un Tomb Raider, mais ce n'est pas une mauvaise chose. Il s'éloigne radicalement de tous les jeux de la série sortis à ce jour, à la fois par sa perspective isométrique en 3D et ses contrôles de style arcades. Pourtant, il ne fait aucun doute que c'est un jeu de la même famille : un mélange cérébral et excitant d'énigmes et d'action. Une fois que l'on est habitué aux changements de perspective, on se demande même comment les choses ont pu être différentes auparavant.
Univers Consoles
Ajouté le : 08/2010
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Sans doutes l'héroïne emblématique des jeux vidéos d'aventure, Lara Croft, l'Indiana Jones en mini-short de nos consoles préférés, s'est illustré à travers bon nombre de chapitres de la saga Tomb Raider et revient aujourd'hui dans un contexte totalement différent. Eidos/Square Enix et Crystal Dynamics ont donc choisi de faire une pause au jeu d'action/aventure conventionnelle pour faire un clin d'oeil aux titres old school, Lara Croft & the Guardian of Light était née. Une vue à la Diablo, de l'action non stop, des casses têtes si cher à la série, le tout jouable en coop à deux... Rien qu'en évoquant ces quelques mots on a déjà l'eau à la bouche, mais que vaux vraiment ce titre Xbox Live Arcade ? C'est ce que nous allons voir dès à présent ! Avec ce tout nouveau Lara Croft & the Guardian of Light, on a un peu l'impression de réitérer l'expérience visuel de l'excellent Shadow Complex. Un jeu utilisant un moteur taillé pour la compétition, mais qui par le biais d'un jeu Arcade a su se montrer sous un autre angle et ajouter quelques flèches à son carquois de compétences déjà bien fournit. Ainsi le même moteur que celui de Tomb Raider Underworld fonctionne ici à merveille pour un rendu somptueux dans un style très old school.
Pas de repos pour Lara Croft, même entre deux épisodes de Tomb Raider. En attendant de véritables nouvelles péripéties, l'aventurière aux formes généreuses de Crystal Dynamics nous revient avec un titre téléchargeable, présenté comme un spin-off de la saga et baptisé Lara Croft and the Guardian of Light. Exit l'habituelle formule qui caractérise les jeux de la franchise et place à une nouvelle manière de découvrir ce dont est capable la riche héritière, un résultat que pouvaient craindre les fans de Miss Croft mais qui au final nous en met plein la vue. Depuis le temps qu'elle court après les plus extraordinaires reliques du monde entier, on pourrait penser que Lara Croft a déjà fait le tour de la question. Il n'en est heureusement rien et c'est une fois de plus dans un temple en ruines que l'on retrouve l'aventurière dans Lara Croft and the Guardian of Light. Cette fois notre héroïne a déjà atteint son objectif, le Miroir des Brumes, mais elle se fait chiper son précieux par une bande de mercenaires imprudents. Résultat, ces derniers libèrent une force incroyable du nom de Xoltl qui menace de semer le chaos dans le monde s'il n'est pas arrêté à temps.
On peut observer deux tendances au cœur du Summer of Arcade. Il y a d’un côté les jeux indépendants, qui profitent de cette exposition pour présenter des projets au cachet artistique marginal, comme Braid ou Limbo plus récemment. De l’autre côté, il y a les gros studios, ceux qui sont normalement accaparés par leurs licences cultes. Pour eux, le Summer of Arcade peut s’apparenter à une bulle d’air, un moyen de sortir de la routine et de proposer quelque chose de différent sans prendre trop de risques financiers. Ce que l’on perd en ambition, on le gagne en sincérité et en plaisir nostalgique. On pense notamment à Shadow Complex, titre chapeauté par les gars d’Epic en personne. C’est dans cette même optique que Crystal Dynamics a décidé de bouleverser le train-train de Tomb Raider. Avec Lara Croft and The Guardian of Light, les développeurs californiens ont choisi de laisser de côté l’angle de caméra traditionnel de la saga. A la place, c’est une vue en 3D isométrique qui est proposée. Pourquoi ?
Histoire de faire patienter les fans de Tomb Raider entre deux épisodes, Eidos lâche un peu la bride de sa pitchounette anglaise. Loin d'être un sous-produit vite développé vite rentabilisé, Lara Croft and the Guardian of Light se montre incroyablement immersif grâce à une réalisation haut de gamme et un gameplay parfaitement huilé. Chronique d'un certain renouveau basé sur plusieurs valeurs sûres. Lorsqu'on jette un oeil à Lara Croft and the Guardian of Light, le premier jeu qui nous vient en tête n'est pas nécessairement Tomb Raider. On pensera en effet davantage à Diablo ou tout autre hack'n slash à jamais lié à la 3D isométrique. On pourra d'ailleurs s'étonner que les devs aient opté pour ce mode de visualisation peu compatible avec des phases de plates-formes demandant généralement pas mal de doigté et de précision. Pourtant, et pour peu qu'on ne soit pas totalement réfractaire à cet angle de caméra, il ne nous faudra pas plus d'une vingtaine de minutes pour retrouver comme dans un cocon. En effet, la maniabilité basée sur celle des précédents épisodes, se joue avec une grâce éhontée de la 3D isométrique pour se montrer rapidement à la hauteur.
Après le séduisant Underworld sorti fin 2008, on avait rudement hâte de voir ce que Crystal Dynamics serait encore capable de faire avec la série Tomb Raider. A la surprise générale, c'est avec un épisode spin-off que Lara est de retour, nous présentant un visage complètement inédit tant au niveau du gameplay que dans son look plutôt inattendu. Voilà qui avait de quoi surprendre voire décevoir, mais c'était sans compter sur le talent de Crystal Dynamics qui a réussi à mettre sur un pied un titre qui soutient la gageure de respecter l'esprit de la série tout en l'emmenant vers de nouveaux horizons. Alors que notre Indiana Jane préférée était tranquillement en train d'explorer un temple Maya poussiéreux, une bande de mercenaires débiles débarqua inopinément pour lui chiper l'artefact qu'elle était venue chercher : le Miroir des Brumes. Le hic, c'est que, ce faisant, les malotrus ont libéré Xoltl, un sorcier maléfique qui compte bien se venger dûment après avoir été emprisonné pendant plus de vingt siècles. Heureusement, son évasion a également eu pour effet d'invoquer Totec, un puissant guerrier, qui va s'allier à Lara pour tenter de remettre la main sur le miroir et se débarrasser de Xoltl avant qu'il ne fasse des bêtises, comme essayer de nous faire prononcer son nom, par exemple.
Univers Consoles
Ajouté le : 07/2010
Plus accessible...
Réaliser par un petit groupe de passionnés de chez Crystal Dynamics, ce nouveau jeu Lara Croft offre un gameplay old-school, qui rappelle l'époque 32 bits avec des titres tels que Baldur's Gate Dark Alliance ou Diablo. Pourtant il ne s'agit pas d'un RPG, mais bel et bien d'un jeu d'action dans lequel on contrôle Lara avec une vue isométrique sans possibilité de changer d'angle de caméra. La particularité de cet épisode qui se déroule au coeur de la jungle d'Amérique centrale est d'offrir un mode Coop en plus du mode Solo, l'aventurière partageant le rôle avec un certain Totec, le gardien de la lumière. Celui-ci l'accuse d'avoir libéré un seigneur malfaisant du nom de Xoloti, lors d'une de ses fouilles pour récupérer un artefact appelé le Miroir de fumée, un objet censé garder le démon au chaud. Un prétexte de plus pour stopper ce seigneur démoniaque, ce qui impliquera une Coopération des deux personnages en les obligeant à travailler de concert. Dans le mode Coop, Lara et Totec se partagent la tâche. Sans lui, la belle ne pourra plus accéder à des hauteurs car il possède un bouclier (qu'il pose sur sa tête pour servir de marchepied) et des lances qu'il plante au mur (trois au maximum).
Star iconique du jeu vidéo, Lara Croft n'a plus vraiment à démontrer qu'elle a le feu sacré. S'étalant sur une petite quinzaine d'années, sa carrière a connu des hauts et des bas mais la popularité a toujours été au rendez-vous. Voilà précisément pourquoi la refonte complète du concept, dans le fond comme dans la forme, que propose le jeu qui nous occupe ici nous interpelle grandement. Guardian of Light est-il un pari insensé, l'énième exploitation mercantile d'une héroïne devenue depuis longtemps une planche à billets ou le renouveau salutaire d'une licence qui n'intéresse plus les joueurs purs et durs ? Premiers éléments de réponse... Dans son principe général, Lara Croft Guardian of Light sera un jeu arcade, comprenez que le but final sera d'établir le meilleur score possible. Eh oui, sur ce coup-là, les développeurs de Crystal Dynamics ont délibérément tourné le dos au gameplay de base de la série. Si les acrobaties, les combats et les résolutions d'énigmes seront toujours de la partie, seul comptera au final le total des points qu'on aura engrangés. Autre nouveauté : contrairement à ce qu'on a pu voir dans tous les autres Lara Croft, la vision du terrain de jeu ne se fera pas ici en caméra à la troisième personne mais en vue isométrique large, sorte "d'oeil dans le ciel" permettant de conserver un regard sur tout ce qui entoure le personnage qu'on dirige.
Durant la longue présentation à la presse du Gardien de Lumière, certains des jeux cités comme source d'inspiration m'ont a priori un peu déconcerté. Diablo ? Gauntlet ? Baldur's Gate : Dark Alliance ? Cela semble a priori des ingrédients bizarres à intégrer à la sauce Tomb Raider, mais redisons-le encore une fois ce n'est pas Tomb Raider. L'archéologue aristocratique emprunte une toute nouvelle direction et l'équipe en est ravie. Peu de temps après que j'ai pris la manette en main, la comparaison commence à prendre tout son sens. La nouvelle aventure de Lara a toutes les apparences d'une exploration de donjon avec une pléthore de trésors à piller - nous voyons, en vue isométrique, des lumières de torches vaciller et des essaims d'ennemis se masser sur des promontoires en surplomb, ce qui demande de réagir rapidement pour les contrôler. Ceux-ci n'abandonnent pas d'équipements à ramasser, mais des petits chiffres flottent au-dessus des ennemis vaincus, qui récompensent celui qui les a tués et servent d'enjeu motivant à la compétition. Les packs de santé, les munitions et autres objets brillent d'un éclat tentateur, comme les gemmes, cachées dans des coins sombres, qui rapportent des points.
Tomb Raider est mon jeu préféré toutes époques confondues. Bien entendu, c'est principalement parce qu'il me permet de laisser libre cours à mon fantasme d'être intrépide, acrobatique, intelligente, riche, élégante, et d'avoir de gros seins. Cela dit, c'est aussi à cause du gameplay d'action/aventure classique à la troisième personne, de l'accent mis sur les énigmes et l'exploration plutôt que sur le gunplay et les explosions, des visuels superbement détaillés et des panoramas à couper le souffle. Et puis il y a surtout l'atmosphère - l'impression d'être tout seul dans ces jungles luxuriantes et ces cavernes amplifiant les échos, simplement Lara et vous.Par conséquent, après deux minutes de la démo de Crystal Dynamics de Lara Croft et le Gardien de la Lumière, j'ai envie de pleurer. Le jeu à l'écran ne ressemble en rien aux Tomb Raider que je connais. La vue est isométrique et la caméra est fixe. Lara, qui apparaît comme un petit personnage, est trop occupée à tirer sur des ennemis pour se soucier d'appuyer sur des leviers. En plus, elle est accompagnée d'un équipier - une espèce de grand type armé d'une lance, vêtu d'un pagne et portant une queue de cheval.
Histoire de ne pas laisser les fans de notre Indiana Jones au féminin, Crystal Dynamics s'est mis en tête de développer un épisode en quelque sorte intermédiaire. Un épisode que le studio destine aux plateformes de téléchargement (PC, PS3, Xbox 360) et qui devrait arriver avant la fin de l'été. Tout juste annoncé, ce Lara Croft And The Guardian Of Light faisait déjà une première sortie à l'occasion de la Game Developers Conference. Alors que ce Lara Croft And The Guardian Of Light vient tout juste d'être annoncé, cette première sortie en marge de la GDC aura d'abord été l'occasion de voir combien le jeu était avancé. En réalité, la plupart des seize niveaux que comportera le jeu sont déjà terminés et l'ensemble était parfaitement jouable même si les responsables de Crystal Dynamics qui nous ont accueillis n'ont jamais voulu lâcher la manette Xbox 360 pour que l'on puisse nous faire la main... Tant pis ! Lara Croft And The Guardian Of Light se présente donc comme un opus de transition alors que la seconde équipe Crystal Dynamics semble déjà travailler sur un nouvel opus majeur de la série.
A l'annonce d'un épisode des aventures de Lara Croft à bas prix disponible uniquement en téléchargement, nous avons eu un peu peur. Conviés à assister à une présentation très privée lors de la GDC de San Francisco, nous avons été conquis par un titre d'une qualité époustouflante ! Après une heure passée en tête-à-tête avec la productrice du jeu, on en sait beaucoup plus sur cet ovni dans la ludothèque de l'Indiana Jones en jupon. Avant de vous décrire en détail la jouabilité du titre, petit passage obligé par son scénario, pour le moins original. Au cours de ses recherches archéologiques, Lara tombe (elle était facile) sur une légende faisant état de l'existence d'un miroir de fumée servant de porte spatio-temporelle entre notre monde et celui du chaos. Gardé par une divinité Maya, ce dernier tombe entre les mains d'un mercenaire nommé Vasco qui libère malgré lui un être maléfique. Par chance, la divinité Totec revient à la vie et s'associe avec Lara pour sauver notre monde d'un destin on ne peut plus sombre. Le titre, dans lequel le joueur contrôle une Lara en vue isométrique, sera jouable en solo, mais c'est à deux que Lara Croft and the Guardian of Light démontrera son véritable potentiel ludique.
Gamekult
Ajouté le : 03/2010
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Malgré quatorze années dans les jambes, et déjà neuf aventures, pas question pour Lara Croft de s'accorder du repos. Son nouvel éditeur, Square Enix, ayant visiblement décidé de presser le citron aussi fort qu'a pu le faire Eidos dans le passé, c'est donc sans réelle surprise qu'un épisode de la franchise Tomb Raider sortira en 2010. Mais les ventes décevantes de Tomb Raider Underworld, le dernier opus sorti à ce jour, ont peut-être révélé la lassitude du public face aux trop maigres évolutions de la saga. Les développeurs de Crystal Dynamics ont donc décidé d'y remettre un coup de fouet, avec un épisode téléchargeable (de transition ?) intitulé Lara Croft And The Guardian Of Light, axé autour d'énigmes en coopératif. Un hors-série assumé et finalement plutôt bienvenu, que nous avons pu approcher pour la toute première fois. On ne se faisait guère d'illusions : tout juste annoncé, le nouvel opus de Lara Croft n'était naturellement pas accessible aux journalistes pour sa première sortie publique. Plutôt avancée, la version présentée était pourtant jouable par les responsables de Square Enix - l'occasion de cerner quelques subtilités du gameplay, qui a connu au passage sa plus grosse (r)évolution depuis la naissance de la série.
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