Infinite Space
10 tests d’experts - Aucun avis d'internautes
S'abonner
0
0
Je le veux
0
Je l'ai
0
Je l'ai eu
0
Nous avons réuni 10 tests du Infinite Space. Les experts notent Infinite Space 7.2/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Infinite Space et d'autres Jeux DS.
- Ecrire un avis
- Démarrer une discussion
- Poser une question
- Demander de l'aide
Test Infinite Space
Infinite Space
Sobre et austère, Infinite Space est, comme son nom l'indique, un space opera à la sauce japonaise et ne se laisse pas dompter facilement. Derrière cette complexité parfois rebutante se cache en réalité un véritable travail d'orfèvre. En tant que Capitaine d'un vaisseau puis de toute une flotte, le joueur a la lourde tache de gérer tous les paramètres qui rythment la vie de l'équipage. Une grande partie du gameplay est ainsi tournée vers la gestion car il convient d'assigner chaque personnage au poste qui lui convient, mais aussi d'équiper au mieux les navires de guerre. Ce travail de longue haleine est vital tant les affrontements ne laissent aucune place au hasard. Longs et ardus, ils s'étoffent tout au long de l'aventure offrant des joutes spatiales où la stratégie prime sur le reste. Cependant, le gameplay phagocyte un scénario prenant mais plombé par un flagrant manque de rythme et une mise en scène inexistante. A cela s'ajoute une plastique peu flatteuse qui conjugue de sympathiques artworks à d'immondes bouillies de pixels. Mais, comme souvent pour ce genre de productions, l'intérêt est ailleurs : Infinite Space compense largement par un gameplay profond, un scénario intéressant et une ambiance prenante à souhait.
Infinite Space
Entre le jeu de rôle et la stratégie, Infinite Space cherche ses marques et perd le joueur en route. Platinum Games et Nude Maker sont deux des studios les plus en vue au pays du Soleil levant : créateurs de Bayonetta et de Steel Battalion, ils ont une réputation de légendes vivantes, à juste titre. La rencontre de ces deux studios d'exception a transporté d'allégresse les gamers du monde entier, surtout après l'annonce du concept. Un jeu de rôle spatial avec de la stratégie, ça fait instantanément vibrer le palpitant ! Sur le papier, Infinite Space est séduisant. Dans sa vraie vie de pixels, il est beaucoup moins excitant, ne parvenant pas à marier convenablement les deux styles de jeu. L'aspect jeu de rôle bénéficie d'un contexte et de quelques éléments intéressants, comme un système de navigation agréable et rapide. Mais l'histoire avance très lentement : la faute à d'interminables séquences de dialogues malheureusement indispensables... C'est en effet en discutant que l'on découvre de nouvelles planètes et les objectifs des missions. Discuter est un bien grand mot, toute la partie jeu de rôle se déroulant dans des interfaces en forme de boîte. Hormis dans les diaporamas des dialogues, on ne voit personne !
Infinite Space
Annoncé comme le space opera destiné à révolutionner le genre RPG sur DS, Infinite Space débarque discrètement mais sereinement sur nos portables à double écran. Mais est-il réellement possible de faire un space opera, et réussi digne de ce nom ?L'univers spatial a toujours été populaire et utilisé dans les jeux vidéo. On a même vu quasiment tous les genres s'y essayer. Dernièrement, avec Mass Effect, on a pu constater que le genre RPG dans l'espace a des atouts considérables dans sa manche. Mais pour réussir un jeu se déroulant dans l'espace infini, il est nécessaire de créer un background complet et fouillé, de proposer un scénario qui tienne la route et une durée de vie conséquente pour garantir une expérience inoubliable au joueur. Les développeurs du studio Nude Makers ont flairé le bon coup et ont voulu tenter leur chance sur la console portable de Nintendo.Sur le papier, Infinite Space a tout pour plaire. Se présentant comme un RPG avec un univers complet et logique, le joueur se retrouve plongé dans l'ambiance dès le début de l'aventure. Dans la peau de Yuri, un rebelle de la planète Ropesk, il faudra tout d'abord libérer la planète du régent local et la soeur du héros, Kira.
Infinite Space
Le commandant Picard n'a qu'un seul vaisseau quand je suis déjà à la tête de trois destroyers. Pourtant, soyons lucides. L'Histoire de la nerditude ne retiendra que le chauve en pyjama qui irradie de charisme en maître incontesté de l'Enterprise-D ; pas les extrémistes du pixel qui auront sacrifié des heures à leur flotte spatiale dans Infinite Space. Alors que le genre du space opera n'a jamais été aussi populaire des deux côtés de la culture geek (un film Star Trek par J.J. Abrams pour les faux, l'intégrale de Battlestar Galactica pour les vrais), Platinum Games et Nude Maker, deux studios japonais fournisseurs de trips pour amateurs éclairés, passent en vitesse distorsion et compactent l'Espace-frontière-de-l'infini dans une cartouche de jeu pour Nintendo DS. Attention toutefois, ce jeu n'est disponible qu'en anglais.Je ne m'étais plus autant émerveillée devant des plans de coupe de vaisseaux spatiaux schématisés depuis le dossier en deux parties sur la technologie fictive de Gunbuster paru dans Animeland. A l'époque, je portais encore un appareil dentaire. Mais en jouant avec les modules d'amélioration de mon premier destroyer, je ressens quelque chose comme mes premiers émois stellaires.
Infinite Space
On a essayé de nous faire croire pendant des années que le premier garçon de ferme venu pouvait sans difficulté piloter un vaisseau spatial. N'en déplaise aux adorateurs de Mark Hamill, on n'apprend pas à manier un destroyer stellaire ni même un chasseur en deux coups de cuillère à pot. Vous pourrez d'ailleurs en faire la douloureuse expérience grâce à Infinite Space : le poste de capitaine d'une flotte spatiale est tout sauf reposant. Infinite Space est le troisième titre estampillé PlatinumGames à débarquer dans nos rayons. N'en déduisez pas pour autant qu'il s'agit là de la dernière progéniture des créateurs de MadWorld ou de Bayonetta, c'est en réalité à Nude Maker que l'on doit ce space opera sur DS. Ceux qui ont une bonne mémoire se souviennent que le studio en question s'est surtout fait connaître avec les Steel Battalion, des simulations de mécha sur Xbox qui poussaient le réalisme jusqu'à proposer un accessoire encombrant qui reproduisait les commandes de ces énormes engins. Nude Maker continue visiblement de faire dans la démesure puisqu'il nous propose désormais de prendre le contrôle de toute une flotte spatiale.
Test Infinite Space
Premier projet du studio PlatinumGames (MADWORLD, Bayonetta) sur DS, Infinite Space a pour lui un casting de choix, composé d'anciens créatifs de Capcom et de feu Clover, le tout produit par Atsushi Inaba. Une équipe qui a eu la tâche de réaliser un titre à l'ambition aussi démesurée que son cadre. En effet, Infinite Space se veut un space-opera épique dans lequel la navigation entre planètes, voire systèmes entiers, est une habitude ancrée dans la culture d'une nouvelle civilisation entièrement tournée vers l'espace. Faire tenir l'espace dans une D, visiblement le challenge n'était pas encore suffisant.Fort d'un background très complet, Infinite Space est une odyssée qui débute aux prémices de la conquête spatiale par des Terriens ne pouvant décoller leurs yeux des étoiles. Un premier pas qui aboutira plusieurs dizaines de milliers d'années plus tard à une nouvelle civilisation galactique aux codes inédits. De nouvelles religions fleurissent, l'univers s'organise et des continents/galaxies se mettent en place. C'est dans cette conquête effrénée aux accents de western futuriste que s'inscrit le héros de l'aventure : Yuri.
Test de Infinite Space
Il y a des titres dont on peut raisonnablement comprendre qu’ils ne franchiront jamais les frontières. Et d’autres, dont on se demande ce qui a pu motiver des éditeurs à les sortir dans nos contrées. On ne s’en plaindra pas, bien au contraire, puisque cela nous permet souvent d’expérimenter des jeux plus ou moins originaux. Conscient de l’étiquette «jeu de niche» que représente Infinite Space, Sega n’a pas beaucoup communiqué sur ce titre. Il n’est d’ailleurs pas impossible que vous en découvriez l’existence en lisant ce test, même si cela veut dire que vous n’êtes pas un lecteur assidu de JVN (et ça, c’est mal). De même, la firme au hérisson bleu n’a pas pensé utile de traduire le jeu (tout est donc en anglais). En limitant encore plus l’impact du jeu (aussi bien médiatiquement qu’à cause de la barrière de la langue), on se dit que Sega n’aurait pas fait mieux pour se tirer une balle dans le pied en distribuant ce jeu en France. Mais, , qui ne fait rien pour les caresser dans le sens du poil. S’il fallait trouver une ligne directrice dans l’œuvre des studios de Platinum Games (feu Clover), ce serait sans doute l’absence totale de concession qui caractérise chacun de leurs titres. L’arrivée d’Infinite Space ne viendra pas nous contredire.
Test Infinite Space
Les space opera sur DS ne sont pas nombreux dans la constellation des jeux d’aventure de la portable de Nintendo. Après un Bayonetta qui aura connu un succès d’estime, Platinum Games nous concocte un jeu intergalactique. Le résultat est-il à la hauteur du lieu où les vaisseaux se font la guerre ? Réponse dans le test. Le scénario d’Infinite Space ne commence pas sous les meilleurs auspices : vous dirigez Yuri, un jeune héros assez frêle qui devient par le plus grand des hasards un commandant de vaisseau afin de sauver l’univers. Rien que ça. Malgré les lois interdisant les voyages dans l’espace qui sévissent sur Ropesk, la planète du héros, le jeune homme y voit là un prétexte à partir un peu plus près des étoiles. C’est accompagné de Nia, une intrépide rebelle de l’espace, que Yuri va vouloir mettre fin au régime casanier qui sévit sur Ropesk tout en sauvant sa sœur Kira des griffes de Demid Panfilov. Ce n’est qu’après ces péripéties que l’aventure commence vraiment, avec la volonté de parcourir l’univers pour y déchiffrer le rôle des Epitaphes, des cubes magiques aux pouvoirs insoupçonnés. Si l’aventure reprend tous les clichés des RPG japonais, le jeu en lui-même possède un déroulement beaucoup plus complexe.
Infinite Space
Tenir l'univers entre ses mains est une chose d'ordinaire réservée aux dieux et autres formes d'existence supérieures censées mener la danse depuis que les hommes racontent ce genre d'histoires. L'imagination et la technologie aidant, il suffit désormais d'une console portable pour voir naître et disparaître des mondes au creux de ses paumes. Certains n'existent que dans le confinement ou la fulgurance, alors que d'autres - comme celui d'Infinite Space - ne tendent que vers l'expansion et la démesure. En promettant un space opera d'envergure sur une machine aussi compacte que la DS, les développeurs de Nude Maker ont-ils eu la tête sur les épaules ou les yeux plus gros que le ventre ? Il est de notoriété publique que personne ne vous entendra crier dans l'espace, même avec un mégaphone. Sur Terre en revanche, il est très facile d'attirer l'attention à cause d'un simple juron lâché à haute voix après avoir perdu son vaisseau principal au cours d'un des nombreux combats d'Infinite Space. Et à moins d'être un tacticien hors pair ou d'avoir une chance insolente, ce genre de situation se produira plus d'une fois au cours de l'aventure, notamment lors des premières heures de jeu.
Gamekult
Ajouté le : 10/2008
Plus accessible...
Infinite Space (Preview)
Parmi les quatre jeux que Platinum réalise pour Sega, on trouve un titre de stratégie se déroulant dans l'espace. Composé de drames humains au scénario particulièrement pointu, et de phases de combats stratégiques de vaisseaux spatiaux gigantesques, voilà un jeu qui s'annonce décidément bien loin de la norme des titres DS. Véritable ovni dans tous les sens du terme, ce space-opéra philosophico-stratégique mélange allègrement les vieilles séries spatiales qu'elles soient américaines comme Star Trek, ou japonaises comme Albator, pour nous donner un résultat improbable, quasi expérimental. Dans la version présentée sur le salon, il n'était malheureusement pas vraiment possible de goûter au coté épique du scénario promis par les diverses annonces à la presse, mais plus au système de combat assez spécifique des gros vaisseaux de combat interstellaires. A base de menus assez obscurs, il s'agit donc de diriger son lourd cuirassé spatial à l'aide d'ordres simples. Les options présentes sur cette version permettaient d'avancer, de reculer, et d'attendre d'être à bonne distance de l'ennemi pour faire feu avant d'être pris pour cible.
TestMateriel.com ne regroupe pas de serial, no cd, warez, torrent et crack pour Infinite Space. Inutile de nous contacter pour se faire rembourser d'un jeu, obtenir de l'aide pour le lancer, demander une soluce, une astuce Infinite Space.
-
Infinite Space : (7.2/10)
10 tests d’experts
Aucun avis d'internautes
À propos de nous | Presse | FAQ | Contact | © 2006-2021 TestMateriel.com