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Nous avons réuni 14 tests du Homefront. Les experts notent Homefront 5.1/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Homefront et d'autres Jeux Playstation 3.
Alors que le FPS est un genre omniprésent sur console de salon, THQ se décide à venir se mêler au combat que se livrent Electronic Arts et Activision avec un titre dont l'histoire peut se targuer d'avoir été pensée par le scénariste d'Apocalypse Now. Il fallait bien ça pour entrer de plein-pied dans la guerre du FPS en 2011. Nous allons voir aujourd'hui si l'apport du scénariste suffit ou non à faire du titre un succès. L'histoire du jeu vous propose de plonger dans un conflit fictif qui oppose les USA à la Corée qui a été réunifiée afin de faire main basse sur le monde. Une introduction permet de comprendre comment le monde a pu en arriver là et pourquoi les USA se retrouvent finalement envahis par l'ennemi. Une fois cette introduction passée, vous incarnez un pilote que l'envahisseur vient de capturer afin de l'emmener dans un camp secret. Sur votre trajet, vous commencez à prendre conscience de l'horreur qui règne dans la rue en assistant à des scènes choquantes et sanglantes. La plus marquante d'entre elles étant évidemment le moment où un couple est abattu de sang-froid devant leur progéniture qui vient pleurer toutes les larmes de son corps sur leurs dépouilles.
Vous allez vous apercevoir assez vite dans la suite que je n’ai pas cédé aux sirènes du marketing THQ sur ce coup-là. Ce que THQ n’a pas hésité a annoncer comme le « Modern Warfare killer » est-il à la hauteur de son grand frère ? Hum… Après m’être battu au côté de mes compatriotes Américains pour libérer la mère patrie pendant une quinzaine d’heures, je suis en mesure de vous dire ce que je ressors de ce titre… En premier lieu, ce qui frappe, ce n’est pas le nord-coréen en colère dépeint dans le soft, mais plutôt la réalisation datée qui donne une impression de portage HD venu de la PS2 buguée. Je me demanderai certainement encore longtemps pourquoi les studios de développement sponsorisés par de si grosses maisons d’édition ne s’offrent pas une licence pour un moteur 3D cohérent au lieu de se perdre en essayant de concevoir leur propre moteur… Ensuite, vient le scénario, certes pas foncièrement mauvais, mais le fait d’en voir le bout après moins de 4 heures de jeu ferait presque regretter de s’y être investi. A priori, je ne suis pas le seul représentant de la presse vidéo-ludique à trouver le titre très moyen… Pourtant, ce Homefront réussit une belle carrière au niveau de ses chiffres de ventes.
En distillant au fil des mois trailers anxiogènes et fausses news alarmistes, THQ aura réussi à créer le buzz en ce début d'année, décidément placé sous le signe du FPS. Un scénario d'anticipation bien ficelé signé John Milius, une mise en scène de premier ordre portée par des images choc, un multi profond et stratégique mettant en scène jusqu'à trente-deux acharnés de la gâchette... Définitivement, la promesse d'assister à un renouveau du genre était belle. A tel point que les développeurs de Kaos Studio déclaraient il y a peu vouloir donner une suite à ce qui s'imposait à eux comme une nouvelle franchise. Malheureusement, au vu de ce Homefront, on en viendrait presque à espérer que ce voeu un brin précipité n'en reste qu'à l'état de projet un peu vague. Explications. Kaos Studio, les pannes d'essence et les pénuries de carburant qui se terminent en bordel mondial, ça les connaît. Ou tout du moins, cela semble les tracasser plus que de raison puisqu'on retrouve peu ou prou dans Homefront la même base qui servait de trame au scénario de leur précédent FPS : le bien-nommé Frontlines : Fuel of War.
Plutôt discret depuis son annonce il y a près de deux ans, le dernier bébé de Kaos Studios débarque aujourd'hui à grand renfort de spots publicitaires. Test complet.Dans le coin d'une rue américaine, deux soldats coréens mettent en joue une femme et un homme. Entre ces militaires, un enfant de trois ans, sur le point de voir ses deux parents se faire exécuter. La mère n'a même pas le temps de prévenir son fils qu'elle est déjà à terre, truffée de balles comme son conjoint. Leur tâche effectuée, les deux fantassins s'éloignent, tournant le dos à cet enfant qui revient en sanglots vers les corps inertes de ses parents. Les cris du petit sont alors choquants de réalisme, et nous font croire durant quelques minutes qu'Homefront va irrémédiablement marquer le jeu vidéo cette année. La chute n'est malheureusement que plus grande, et c'est au final une très grosse déception. Les développeurs new-yorkais de Kaos Studios ont véritablement mis le paquet en ce qui concerne le background. Faisant appel à John Milius, le scénariste de La Ligne Rouge et d'Apocalypse Now, Homefront propose un univers cohérent et réaliste qui se base sur l'expansion de la Corée du Nord après 2011, jusqu'à l'invasion du pays de l'Oncle Sam en 2027.
Les communistes sont revenus à la mode dans le jeu vidéo, non pas en tant que sauveurs de l'humanité, mais plutôt comme ennemis à abattre. Vanquish, Singularity ou encore Call of Duty : Black Ops en sont des exemples, bien que, heureusement, le discours ne se résume pas toujours à une guerre idéologique. Homefront s'engouffre dans la brèche en vous proposant de rejoindre la résistance alors que les Etats-Unis sont envahis par la Corée du Nord. Un point de départ original pour le titre de Kaos Studio, mais sera-t-il suffisant pour résister aux rouleaux compresseurs du FPS ? Meurs pourriture communiste En 2012, le leader nord-coréen Kim Jong-il meurt et sa place de dirigeant revient à son fils Kim Jong-un. Celui-ci réussit l'exploit de réunifier la Corée en une année, on ne sait pas trop comment, mais en tout cas c'est chose faite. Pendant ce temps, l'Arabie Saoudite et l'Iran se font la guerre, provoquant une hausse du pétrole sans précédent, celui-ci atteignant même les 20 dollars par litre à la pompe. Dans le même temps, aux Etats-Unis, le chômage atteint 30% de la population, même si on ne sait toujours pas pourquoi, ce qui entraîne des émeutes dans tout le pays.
Annoncé pour la première fois en 2009, Homefront n'est que le deuxième jeu des américains de Kaos Studio après le mitigé Frontlines : Fuel of War. Cela n'a pas empêché THQ de miser gros sur cette nouvelle licence, au c?ur d'une « vaste stratégie pluri-média » si l'on en croit l'éditeur. Encore faudrait-il nous avoir concocté un premier jet de qualité. Cela a été dit et redit lors de son développement, Homefront joue son va-tout sur son scénario. Signé John Milius (L'aube Rouge, Apocalypse Now), le bout de papier qui sert ici de synopsis nous met dans la peau d'un américain comme les autres, dans une Amérique en revanche plus vraiment comme avant. Nous sommes effectivement en 2027 et la Corée unifiée a envahi les territoires de l'oncle Sam après avoir mis une dizaine d'années à conquérir l'Asie. La puissance militaire américaine s'est effondrée comme un château de cartes suite à une attaque EMP et le pays vit ses heures les plus sombres sous le joug communiste. Parqués comme des animaux dans des camps de travail et des taudis, le peuple américain se déchire entre ceux qui ne veulent que survivre et ceux bien décidés à renvoyer Kim Jong-eun et ses hommes de l'autre côté du Pacifique.
"Par le scénariste de Apocalypse Now" clame haut et fort THQ au sujet de Homefront. Ca, c'est le genre d'arguments qui a tendance à inquiéter. Un peu comme "Par les créateurs de...". Il faut bien admettre qu'il n'y a pas grand-chose d'autre à dire au sujet du dernier-né de Kaos Studio. On admettra sans problème que Homefront démarre de fort jolie façon. Par le biais d'une intro mêlant images réelles et montages de synthèse, vous assistez à la réunification des deux Corée par Kim-Jong-un, fils de l'actuel dictateur Kim-Jong-il. S'ensuit une escalade d'évènements voyant la République de Corée prendre progressivement le contrôle de l'Asie alors que les Etats-Unis s'affaiblissent, gangrenés par la hausse du cours du pétrole. Et au final, c'est l'invasion et l'occupation. Après cette cinématique d'intro, le jeu vous plonge dans l'horreur, celle vécue par un pilote à bord d'un bus de l'armée coréenne en route pour un camp. Sur le trottoir vous avez droit à quelques tranches de mort, des exécutions sommaires en pagaille dont celle d'un couple sous le nez de leur enfant. C'est vrai, ça fait froid dans le dos.
Après notre aperçu du mode solo, c'est au multi que l'on s'est attaqué en répondant à l'invitation de l'éditeur THQ désireux de nous en mettre plein la vue lors d'une journée folle à New York. Le FPS Homefront nous transporte dans un univers contemporain mais fictif où la Corée envahit les Etats-Unis. Dans le mode multijoueur, on joue donc soit les forces US, soit les Coréens. Autant ne pas y aller par quatre chemins, les parties en ligne de Homefront font incroyablement penser à celles de Call of Duty Black Ops en termes d'intensité et de pression liée aux enchaînements des tués sans y laisser sa peau. On débloque aussi des armes au fur et à mesure pour personnaliser ses classes de personnages, on choisit ses atouts, et pour couronner le tout on débloque des bonus en cours de partie selon ses performances. Mais Homefront a aussi ses propres subtilités et apporte à l'expérience multijoueur son lot de sensations fortes. Les parties en ligne accueillent jusqu'à 32 joueurs sur des cartes plus grandes que celles du titre d'Activision et l'emploi de véhicules, voire la progression liée au changement de place des objectifs à capturer sur le champ de bataille, lui confère même un petit côté Battlefield.
Le jeu de tir à la première personne made in THQ fait une nouvelle fois parler de lui. Invités à essayer le jeu dans les locaux du tout nouveau studio de développement de l'éditeur à Montréal, nous ne nous sommes pas fait prier pour entrer dans la peau d'un résistant... Depuis le temps que ce jeu est en développement et que l'on vous en parle, vous devez savoir de quoi il en retourne. Pour résumer, afin que les nouveaux venus ne soient pas à la traîne, Homefront est un FPS avec une ambiance particulièrement immersive puisque basée sur un scénario crédible à haute teneur en émotions diverses et variées. Supervisé par un ancien agent de la CIA, le script du jeu raconte comment dans un futur proche, la Corée réunifiée s'est lancée à l'assaut du monde capitaliste dans un conflit qui n'est pas sans évoquer la Seconde Guerre mondiale et la conquête boulimique de l'Allemagne nazie. L'action du jeu se déroule aux États-Unis, et vous incarnez un pilote d'hélicoptère que les événements vont pousser à rejoindre la résistance. Le jeu commence par une sorte de cinématique en caméra libre (façon Half Life), alors qu'un groupe de soldats coréens vient perquisitionner votre domicile et vous emmène de force à l'extérieur...
Le rêve américain s'est éteint. Surpuissante, la République de Corée à pris le contrôle des ?tats-Unis. Il ne reste plus rien, ou presque, des valeurs du pays de l'Oncle Sam. Avec Homefront, THQ nous propulse dans une fiction à la fois immersive et dérangeante. Pour la première fois, nous avons pu prendre la manette et pénétrer dans cet univers pour découvrir les forces et les faiblesses de ce qui s'annonce comme l'un des jeux les plus attendus du début de l'année prochaine. Le climat est orageux, l'ambiance oppressante, je me trouve dans un bus scolaire transformé en cercueil ambulant. Il est rempli de prisonniers qui, comme moi, préfèrent dégueuler sur ce drapeau communiste plutôt que de se plier aux lois du nouveau régime. Cela fait maintenant trois ans qu'ils ont pris le pouvoir. Dehors, c'est le calme, un silence de mort administrée par plusieurs coups de feu. Les Coréens vident les maisons, brisent des familles et vous ôtent la vie gratuitement à la moindre contestation. Des drapeaux communistes flottent à tous les coins de rue dans une ambiance post-apocalyptique.
Après une présentation très réjouissante du mode solo de Homefront, le célèbre éditeur THQ nous a conviés à une démonstration toute aussi alléchante du mode multijoueur de son prochain FPS. Et à 16 comme à 32, une chose est claire, ça va canarder sec sur nos bécanes ! Comme nous vous l'avons déjà précisé ces derniers mois, Homefront c'est avant tout un scénario en béton signé John Milius (Apocalypse Now, Conan le Barbare, Miami Vice...) magistralement mis en valeur par une réalisation des plus convaincantes. Nous sommes dans un futur proche ; Les années 2020 pour être précis. Les États-Unis d'Amérique ne sont plus qu'un pays décadent miné par les crises économiques et les intrigues politiques. Lâché par ses anciens alliés et militairement sur le déclin, l'ancien leader mondial est dans une situation de vulnérabilité sans précédent dans son histoire. De leur côté, les deux Corée se sont réunies en un seul état dont l'influence ne cesse de s'étendre. Son armée compte des millions d'hommes et sa puissance est telle que le monde entier tremble devant lui. En 2025, tout bascule. La Grande Corée envahit les États-Unis qui, ne pouvant opposer une résistance efficace, deviennent rapidement un territoire occupé.
Après Metro 2033, THQ s'apprête à nous proposer un autre FPS à l'ambiance très prenante : Homefront. Nous l'avons vu une nouvelle fois et nous en sommes ressortis à la fois très intéressés par le jeu en lui-même et un rien angoissés par son scénario... Avant de lancer le joueur dans la partie, Homefront raconte en détail comment, entre 2012 et 2027, les États-Unis sont devenus un territoire occupé par les troupes de la Corée du Nord. Trouvant ses origines dans une idée de John Milius, le réalisateur du Conan avec Arnold Schwarzenegger et surtout de L'Aube Rouge qui abordait un sujet similaire, explique par le menu le processus qui a mené à cette situation. On ne va pas vous gâcher la surprise mais sachez que cela débute par la mort de Kim Jong-Il, le président de la Corée du Nord, et se termine par le déséquilibre complet de la balance des forces en présence. En effet, au moment de l'invasion, les forces coréennes rassemblent trente millions de soldats dont cinq millions rien que pour les forces spéciales alors que l'armée américaine ne comprend plus que huit cent mille hommes. Le plus intéressant, c'est la logique qui amène au contexte tel qu'on le vivra dans le jeu puisque celui-ci débute deux ans après la défaite américaine.
Gamekult
Ajouté le : 06/2010
Plus accessible...
Homefront était incontestablement la vedette du showfloor côté THQ. La foule se bousculant pour voir le titre, nous avons nous aussi voulu en savoir plus. Voici nos impressions après avoir pu assister à une petite démo du jeu. Les FPS sur consoles ne manquent pas, c'est le moins que l'on puisse dire. Pour démarquer leur produit de la concurrence, les développeurs de Kaos Studio ont ainsi décidé de faire appel à John Milius (Apocalypse Now, Conan...), pour écrire une histoire qui interpellera le joueur. Le joueur américain plus précisément. Le titre permettra en effet d'incarner un natif des Etats-Unis, perdu face à l'enfer de la guerre, le pays ayant été envahi par les Coréens. Le scénario un peu futuriste (quelques dizaines d'années après notre époque), nous montre ainsi un monde où les deux Corées réunifiées ont progressivement étendu leur territoire pour finalement aller planter leur drapeau directement aux USA. Regroupés dans des petits campements, les civils encore en état de riposter se livrent à des actes de résistance contre l'envahisseur, et c'est là que débutera l'aventure pour notre héros, un type comme tout le monde.
Adepte des scénarios catastrophe, Kaos Studio nous propose sa vision d'une Amérique sous le contrôle de la Corée du Nord, un parfait prétexte pour un FPS survolté. S'éveillant sous le regard de deux résistants paniqués, le joueur attend gentiment que sa vision s'éclaircisse pour tenter de comprendre ce qui lui arrive. Face à lui, les deux soldats improvisés s'inquiètent de sa présence, lui dont le nom figure sur une mystérieuse liste. Pourtant, nous voilà rapidement conduit au chef de camp local que l'on suit docilement à travers les restes d'une gentille banlieue américaine où s'amoncellent les carcasses de voitures, les panneaux solaires, les éoliennes et autres jardins de fortune. Une balade qui prend fin lorsque débute une attaque des forces d'occupation. Terminée la pause bucolique, place au grand n'importe quoi. Des soldats sortent de tous les coins, provoquant l'arrivée toute aussi massive de résistants bien équipés.
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