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Nous avons réuni 8 tests du Grand Theft Auto IV. Les experts notent Grand Theft Auto IV 9/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Grand Theft Auto IV et d'autres Jeux Xbox 360.
Ce n'est un secret pour personne, Rockstar prévoit de longue date du contenu exclusif pour la version Xbox 360 de Grand Theft Auto IV. L'annonce-symbole remonte même à la fameuse conférence E3 de Microsoft, quand Peter Moore avait révélé son biceps tatoué à la face du monde. Près de trois ans plus tard, et quelques millions de GTA vendus au passage, il était enfin temps de pouvoir goûter à ce que Rockstar considère comme un "lancement" à part entière. Premières impressions manette en main, en compagnie d'un tout nouvel héros. Nombreux sont les éditeurs qui se contentent généralement d'intégrer des missions bonus sans véritable lien scénaristique avec l'aventure originale. Après tout, Grand Theft Auto IV laisse le joueur libre d'évoluer dans Liberty City une fois bouclés les chapitres de la partie solo, comme les autres volets de la série, du reste. Pour éviter autant que faire se peut le syndrome du data disc, ou du data DLC en l'occurrence, Rockstar a choisi de miser sur un nouveau personnage et un nouvel univers, celui de Johnny Klebitz et de son gang de bikers, les Lost.
“Qui est le plus fou des deux ? Le fou ? Ou le fou qui le suit ?” C’est un peu comme cela que l’on pourrait résumer l’histoire de Niko… Des mauvais choix qui n’amènent que de la souffrance (et un peu de sexe) dans la ville qui ne dort jamais… Le jeu qui vous empêchera de dormir est la, et je vais essayer de vous en dire le plus possible ! Je ne vais pas tourner cent cinquante ans autour du pot, GTA IV est certainement (autant pour les fans du genre que les autres) un très grand jeu, il mérite les notes élogieuses de la presse et des autres sites de JVs… Maintenant il n’est pas exempt de défauts et n’est peut être pas la claque visuelle que l’on attendait, mais cela reste un moment dans l’histoire des JVs… Pourquoi ? Et bien c’est plutôt simple, on atteint avec cet opus une impression d’immersion rarement atteinte dans un jeu vidéo. Avec ce titre, le jeu vidéo tient largement la dragée haute aux films et à la télévision et prouve par la même occasion que son futur est radieux…
Mais qui est donc ce Niko Bellic, fraîchement débarqué à Liberty City ? Venu tout droit de l'Europe de l'Est, cet homme à la mine patibulaire ne séduit pas au premier abord. Et pourtant, c'est avec lui qu'il faudra passer les quarante prochaines heures de jeu. Niko Bellic est le héros de ce nouveau GTA 4 et vous devrez faire avec son côté gauche mais néanmoins efficace en cas de troubles... L'histoire de ce nouveau venu dans la série est un peu trouble. Pas très engageant, on s'attend à incarner une grosse brute sans états d'âmes particulier. Et pourtant, il ne vous faudra que peu de temps avant de découvrir que cet homme porte un lourd passé derrière lui, un passé qu'il dévoilera en cours de partie, aux moments opportuns. Très vite, vous sentirez la personnalité cachée de l'homme, ressentirez la complexité de ce personnage. Impossible de ne pas s'attacher à ce Niko, plongé bien malgré lui dans des aventures sordides.
Gamekult
Ajouté le : 04/2008
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Qu'on ait aimé ou non les précédents, qu'on ait goûté ou non la polémique, GTA IV faisait jusqu'à aujourd'hui partie des titres les plus attendus de cette génération de machines. Quoi de plus normal pour un jeu qui a défini à lui seul un genre à part entière, mais limité jusque-là par la technologie des consoles précédentes ? L'arrivée de la série sur Next Gen devait faire office de révélateur, en éliminant les soucis techniques pour mieux imposer un savoir-faire rarement (jamais ?) égalé. Pari relevé. Et haut les mains. Autant abattre le suspense froidement, sans la moindre compassion, à la Niko. Oui, GTA se révèle enfin sur Xbox 360 et PlayStation 3, comme transfiguré, pour offrir le terrain de jeu le plus gigantesque, le plus crédible, le plus détaillé qu'il ait été donné de voir sur consoles. Quand le rafiot de Niko Bellic approche des docks de Liberty City, avec les gratte-ciel à perte de vue, nul ne soupçonne encore que notre clandestin serbe marquera de son empreinte ce New York altéré.
Rarement la fébrilité nous aura autant gagnés au moment de glisser la galette dans les lecteurs PS3 et Xbox 360. GTA IV, le nom suffit à déstabiliser tant on s'est imaginé ce que pouvait cacher le jeu le plus attendu de l'année. Trois longues années et quelques mois après San Andreas, la série pose ses valises à Liberty City, métropole inspirée de New York déjà théâtre des évènements de GTA III. Mais la comparaison n'ira guère plus loin, ce nouveau volet revisite un lieu déjà culte, pour lui apporter le soupçon de vie et de mystère qui vont émerveiller plus d'un joueur. Un vaste terrain de jeu transformé pour l'occasion en véritable enfer. Place aux règlements de compte. Taille et corpulence moyenne, barbe de deux jours, look banal et négligé, physique pas franchement avantageux... Niko Bellic n'a rien du héros qui roule des mécaniques et fait tomber ces demoiselles par dizaines. Aux antipodes de ce que dégageaient les Tommy Vercetti, Carl Jonhson et compagnie, le personnage que le joueur va incarner pendant plusieurs dizaines d'heures met de côté des clichés d'un autre temps.
Le 29 avril 2008 s'annonce d'ores et déjà comme l'une des dates, si ce n'est la date, de l'année vidéo ludique. La sortie de Grand Theft Auto IV est en effet notée et surlignée sur l'agenda de nombreux joueurs mais aussi gravée dans la mémoire de tous les décideurs de l'industrie comme l'épicentre d'un séisme dont tout projet de parution doit s'écarter sous peine de mort commerciale. Principalement attendu pour son épopée solo, soigneusement mise en valeur au travers de différents trailers, le titre de Rockstar l'est beaucoup moins pour son multijoueurs, pourtant l'une des grandes nouveautés de cet opus, exception faite d'une première tentative réalisée sur PSP avec Vice City Stories. C'est néanmoins cette dimension du titre que Take Two nous a invités à découvrir dans les locaux londoniens de Rockstar. En tant qu'indécrottable réfractaire à la saga, votre humble serviteur partait avec une certaine indifférence à la rencontre du titre.
Gamekult
Ajouté le : 04/2008
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Les joueurs n'auront plus besoin de sortir les versions PSP de Liberty City et Vice City Stories pour se faire un petit GTA avec leur gang. Et Multi Theft Auto va pouvoir partir en retraite anticipée. Sur PS3 et Xbox 360, Grand Theft Auto IV s'offre une remise à niveau à base de vrai multi, en ligne et peinard. Et pour ce que nous avons pu en voir à Londres, durant quatre à cinq heures de trahisons et de crasses tout juste interrompues par un ravitaillement pizza, le multi de GTA IV s'annonce lui aussi plein de promesses. Pléthorique, c'est le mot qui vient à l'esprit quand apparaît la longue liste des 15 modes de jeu prévus pour ce nouveau Grand Theft Auto, en multi. Le dernier reste même à dévoiler, mais pas le droit d'en dire plus sous peine de voir surgir deux grosses limos au coin de la rue. Six d'entre eux nous ont été présentés tour à tour pour cette longue session, avec à chaque fois assez de manches pour prendre la température. Quand les thermomètres ont la forme d'AK-47, on sait de toute façon que le mercure n'aura aucun mal à grimper.
Gamekult
Ajouté le : 01/2008
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Nous gardions un mauvais souvenir de notre précédent rendez-vous avec Grand Theft Auto IV, comme deux amants déçus se quittent sur un malentendu. Techniquement à la rue, le jeu semblait encore une fois trop ambitieux, même pour les plates-formes actuelles. Depuis, Rockstar a pris le risque de repousser le jeu le plus important de son catalogue pour nous épargner un nouveau DRIV3R-gate. Et à raison, tant l'écart est grand entre ce que nous avions vu cet été et la version qui nous a été présentée ces derniers jours. Nouvelles impressions, revues et corrigées. Ce n'est pas qu'on focalise outre mesure sur la technique, mais s'agissant de GTA et d'un genre qui a tout à gagner du passage à la nouvelle génération, voir la bête pédaler dans la semoule nous avait sensiblement refroidi. Ce n'était plus le cas de cette préversion Xbox 360 qui avait corrigé en partie les hoquets de frame rate et le clipping de fou tout en gardant le souci du détail qui fait déjà la force et l'identité de ce New York revisité, Liberty City.
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