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Nous avons réuni 20 tests du Enslaved. Les experts notent Enslaved 6.9/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Enslaved et d'autres Jeux Playstation 3.
PlayLipse
Ajouté le : 11/2010
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Ninja Theory est connu pour son très sympathique Kung Fu Chaos, pour son relativement décevant Heavenly Sword (qui n'était pas mauvais pour autant) ou encore pour le nouveau DmC qui est en cours de développement mais dont le design de la version jeune de Dante divise déjà les foules. Toutefois, en attendant de pouvoir goûter à ce dernier, le studio nous offre une adaptation libre d'un Voyage en Occident portant le nom d'Enslaved : Odyssey to the West. Reste alors à voir s'ils ont réussi à en faire un bon jeu vidéo? Enslaved : Odyssey to the West est une adaptation vraiment très libre de l'?uvre chinoise Voyage en Occident qui inclut tout de même de nombreux clins d'?il que les connaisseurs auront plaisir à découvrir. Uniquement jouable en solo, le titre de Ninja Theory nous plonge dans la peau de Monkey, un personnage aux origines simiennes, qui réussit à s'échapper d'un vaisseau dans lequel il était prisonnier. Cela a été rendu possible grâce à l'intervention de la jolie Trip (aux airs de Nariko, l'héroïne de Heavenly Sword) qui tentait elle-même de s'échapper. Le destin faisant, notre homme-singe et notre passionnée de nouvelles technologies se rencontrent.
Après avoir joué la carte de l’exclusivité sur Playstation 3 avec Heavenly Sword, les développeurs de chez Ninja Theory reviennent sur le devant de la scène avec un certain Enslaved : Odyssey To The West, un titre disponible sur la console de Sony, mais aussi sur la Xbox 360 de Microsoft. Mélange des genres et jouant la carte de la coopération entre les deux personnages principaux, Trip et Monkey, il va essayer de nous faire oublier l’excellent Castlevania disponible au même moment. Un pari difficile que Namco Bandai, l’éditeur du jeu, va tenter de relever. Dans un monde futuriste, en proie à la désolation, les hommes vivent dans la peur des machines. Réduits en esclavage, ils n’ont pas d’autre choix que de se soumettre à ces monstres mécaniques jadis utilisés dans d’innombrables guerres. Emprisonnée dans l’un d’entre eux, Trip, une jeune et jolie rouquine, décide de ne pas se laisser faire. Dans une tentative d’évasion désespérée, elle entraîne dans sa fuite un jeune homme se faisant appeler Monkey (nous !). ? eux deux, ils vont tout faire pour retrouver le père de Trip, mais aussi tenter de trouver qui peut bien mettre en péril la race humaine.
Tout comme le cinéma avec les buddy movies, le jeu vidéo nous a habitué ces dernières années à nous proposer des scénarios ayant un duo hétérogène comme protagonistes principaux. Dans Enslaved, ce sont une nouvelle fois deux personnages que tout oppose que le destin va réunir malicieusement. D’un côté, on trouve Trip, charmante rouquine spécialisée dans le hack informatique et de l’autre, Monkey, athlète bougon à l’agilité si impressionnante qu'elle lui a valu ce surnom. Ce n'est pas sous les meilleures auspices que ce couple va faire connaissance. En effet, après s'être tous deux échappés d'un vaisseau esclavagiste où ils étaient détenus par des robots, ils vont échouer dans un New York de cauchemar où il ne reste plus que des vestiges de la présence humaine. Dès lors, pour survivre, la frêle Trip va, profitant de son inconscience, affubler son compagnon d'infortune d'un dispositif électronique qui va lier leurs destins. Dès lors, ils sont en communication permanente et si l'un d'eux venait à périr, l'autre le suivrait immédiatement dans son destin funeste. Le joueur contrôlant uniquement Monkey, c'est donc à lui que va échoir la tâche de veiller à ce que Trip puisse progresser sans danger dans cet univers.
Le dernier trimestre d'une année calendaire est économiquement une période faste, à la fois pour les éditeurs mais surtout pour les clilles que nous sommes tous malgré nous. Parfois, on arrive à faire une sélection naturelle du potentiel d'une passade vidéoludique au premier coup d'oeil, d'autres on joue à l'équilibriste avec son porte-feuille en se demandant si le salto mérite d'être tenté. Etre un acrobate du pad (et tentons de l'être également avec les mots) permet de jauger certaines productions comme Enslaved qui jongle entre les deux catégorie sus-citées et dont on a du mal à percer le talent sans avoir approfondi l'examen. Laissons-nous menotter quelques instants et devenons esclave consentant durant ces quelques lignes. Honky Monkey TownPar les temps qui courent où l'on nous sert inlassablement des sucées et resucées, c'est souvent avec un sentiment mêlant appréhension et satisfaction que l'on accueille une toute nouvelle franchise. Sans en déterminer irrémédiablement l'appréciation finale, cela permet d'aborder la tête légère et avide de fraîcheur une aventure inédite. Cela coïncide plutôt bien avec Enslaved compte tenu du dépaysement proposé par la production de Ninja Theory.
Qui ne se souvient pas de Heavenly Sword, un titre censé démontrer le potentiel de la PS3 et présenté dès l'E3 2005, soit presque deux ans avant l'arrivée de la console en Europe ? Si les premières images du jeu avaient suscité un engouement démesuré, l'expérience pad en main s'était montrée un peu moins convaincante : Ninja Theory avait certes tenu ses promesses dans le domaine graphique, mais le gameplay rigide et la très faible durée de vie du jeu lui avaient attirés les foudres de la presse spécialisée. Trois ans plus tard, le studio anglais nous revient avec un titre cette fois multiplateforme, et au gameplay mieux étudié. On y retrouve pêle-mêle l'influence de Heavenly Sword, Ico et Uncharted : un mélange risqué, mais prometteur.L'aventure contée par Enslaved se déroule dans un futur post-apocalyptique qui a vu la destruction quasi-complète de l'espèce humaine. Les rares survivants ne sont pas à la fête puisqu'ils doivent échapper à la fois à des robots bien armés et à leurs congénères dont certains cherchent à avilir le reste de l'humanité.Votre aventure démarre de manière singulière, mais pour le moins rythmée : vous réveillant dans une « capsule-prison » sur un vaisseau spatial, vous distinguez une jeune femme qui joue avec les ordinateurs de la salle où vous vous trouvez.
Après un premier essai prometteur avec Heavenly Sword sur PS3, le studio britannique Ninja Theory revient sur le devant de la scène avec son premier projet multi-supports Enslaved : Odyssey to the West. Un jeu d'Action/Aventure attendu comme le gros titre de cette fin d'année pour l'éditeur Namco Bandai. Reste à savoir si l'essai est cette fois-ci bien transformé... ou pas. Pour son grand retour sur consoles HD, Ninja Theory a donc choisi de réinterpréter à sa manière l'histoire d'un Voyage en Occident. De nombreuses références au roman seront ainsi présentes dans le jeu, même si d'entrée, on s'aperçoit que le lieu de l'aventure se déroule non pas en Chine médiévale, mais dans une Amérique post-apocalyptique. Et oui, la guerre entre l'homme et la machine a viré du mauvais côté, et il ne reste plus qu'une poignée de survivants pour faire face à la domination totale des robots sur Terre. Des robots qui n'hésitent d'ailleurs pas à faire des rafles d'humains, les capturant et les exterminant un à un jusqu'à ce qu'il n'en reste plus qu'un. C'est d'ailleurs dans un gigantesque vaisseau d'esclaves que vous débutez votre aventure avec Monkey.
Auteur du moyen mais amusant Heavenly Sword, et avant de se jeter corps et âmes dans le développement du prochain épisode de la série Devil May Cry, Ninja Theory nous propose aujourd'hui de suivre l'aventure de deux personnages atypiques, liés l'un à l'autre par d'étranges relations. Une aventure en couple qui se joue uniquement en solo se déroulant dans un monde post-apocalyptique, voilà les ingrédients principaux de cette histoire pas banale qui emmènera le joueur au delà de son imagination. Malheureusement, si la carte postale donne envie, la réalité est tout autre une fois le pad en main. À l'instar d'un certain Terminator, l'histoire d'Enslaved : Odyssey to the West, débute par un état des lieux peu réjouissant sur la condition humaine. Les machines, jadis utilisées par les humains eux-mêmes, ont pris le pouvoir sur Terre, et, dirigées par une organisation mystérieuse répondant au nom de Pyramid, parcourent notre chère planète à la recherche des rares survivants pour les exploiter à leur manière. L'aventure commence à bord d'un vaisseau, alors que Monkey, le personnage incarné par le joueur, est prisonnier dans une cellule et est destiné à servir les machines.
La première demi-heure de Enslaved : Odyssey to the West pourrait susciter des commentaires cyniques et blasés chez n'importe quel fan d'action/aventure. Encore la même chose, pense-t-on, en voyant la caméra faire un travelling circulaire sur les mêmes couloirs que l'on a vu mille fois dans le même vieux vaisseau spatial rouillé. Oh ! Regardez ! un homme massif, torse nu, et les cheveux en brosse avec des épaules plus grosses que la tête. Il a les abdominaux tellement développés que l'on dirait des cloques et il brandit un grand bâton. C'est surement notre héros. Il a bien sûr un faire-valoir, en l'occurrence une rouquine canon qui n'est bonne à rien d'autre qu'à pirater des ordinateurs pour ouvrir les portes. Quand elle n'est pas occupée à cela, elle regarde notre héros musculeux les yeux ébahis et la bouche ouverte. Elle se demande peut-être si elle n'a pas déjà vu sa photo en couverture d'un magazine gay. Elle a un cul si proéminent qu'elle doit probablement rebondir plusieurs fois avant de se stabiliser quand elle s'assoit et elle est vêtue d'un pantalon moulant et d'un bustier qui soulignent bien ses formes généreuses. Le décor lui aussi est familier.
Le studio anglais Ninja Theory a récemment fait parler de lui en reprenant le flambeau de la série des Devil May Cry. La nouvelle avait de quoi en surprendre plus d'un mais ce développeur n'est toutefois pas un inconnu dans le petit monde des jeux vidéo. On lui doit en effet Heavenly Sword, une exclusivité PS3 prometteuse mais qui ne s'était pas montrée tout à fait à la hauteur des attentes qu'elle avait suscitées. Enslaved a certainement profité d'une promotion plus discrète mais s'avère finalement autrement plus alléchant. Ce n'est pas tout à fait par hasard si Namco, éditeur éminemment japonais s'il en est, s'est associé au studio anglais Ninja Theory pour accoucher de ce fameux Enslaved. En effet, l'éditeur ne se cache pas de viser de plus en plus le public occidental. Dans ces circonstances, il est forcément lourd de sens de proposer une relecture très libre du Voyage en Occident et de ne pas situer l'action dans la Chine médiévale du roman mais dans une Amérique futuriste. Ce point de départ est d'autant plus surprenant que l'univers qui nous est proposé est à mille lieues des mondes post-apocalyptiques traditionnels.
La première demi-heure d’Enslaved: Odyssey to the West pourrait raviver le cynisme épuisé de tout fan de jeux d’action-aventure. Toujours la même soupe, pensez-vous, alors que la caméra tourne encore au coin d’un énième couloir d’un énième vieux vaisseau spatial tout rouillé... Et pourtant, surprise ! Soudain apparaît un homme à la mine renfrognée, torse-nu, avec des cheveux en pique et des épaules plus grosses que sa tête. Ses abdos semblent avoir été moulés dans la pierre et il manie un grand bâton. Il se pourrait bien que ce soit notre héros. Et voici son équipière, une rouquine canon bonne qu’à hacker des ordinateurs qui ouvrent les portes futuristes. Quand elle n’est pas affairée à ses ordinateurs, elle reste, bouche bée, les yeux rivés sur le type baraqué tout droit issu d’une première page de Têtu. Durant tout le jeu, elle se balade en haut moulant, affichant sans complexes ses fesses à la J-Lo. A quand un perso féminin vêtue d’une doudoune ? Le décor aussi est familier. Nous voilà une fois de plus aux Etats-Unis, à New York cette fois, dans une ambiance post-apocalyptique. Il semblerait que des avions se soient crashés dans des gratte-ciels. On aperçoit même des drapeaux américains en lambeau.
Découvert avec le sympathique Kung Fu Chaos sur Xbox, suivi cinq ans plus tard par un Heavenly Sword exclusif à la PS3 et plutôt moyen, Ninja Theory est enfin passé au développement multi plates-formes avec Enslaved : Odyssey to the West. Aujourd'hui dans les étalages, ce jeu d'action-aventure très librement inspiré du Voyage en Occident mérite-t-il qu'on devienne son esclave ? Pas totalement, malheureusement... Un siècle et demi après notre époque, les humains ont réussi à devenir une espèce en voie d'extinction, traqués par les machines qu'ils avaient créées pour s'entretuer joyeusement à l'échelle mondiale. Si quelques individus ont réussi à survivre seuls ou en communauté, peu arrivent à éviter d'être capturés par les sentinelles mécaniques de Pyramid, une entité mystérieuse à peu près aussi efficace que Cyberdyne et Skynet pour engendrer la désolation sur Terre. Prisonnier d'un vaisseau au début de l'aventure, le héros Monkey va profiter du sabotage d'une dénommée Trip pour s'échapper de sa cellule-oeuf et atterrir douloureusement à New York, en s'accrochant à la dernière capsule de sauvetage que sa libératrice refusait de partager.
GamePro.fr
Ajouté le : 10/2010
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Enslaved, second jeu des britanniques Ninja Theory, sera d'autant plus scruté par les joueurs que l'on a récemment appris que ce jeune studio s'est vu confié par Capcom le re-boot de la série Devil May Cry. Bonne nouvelle, on peut d'ores et déjà sans aucune réticence affirmer que cet Enslaved est bien meilleur que Heavenly Sword, exclu PS3 qui leur avait mis le pied à l'étrier. En effet, Enslaved est une belle expérience, peut-être plus d'ailleurs qu'il est un bon jeu vidéo. Ce qui s'explique assez facilement au final puisque ses plus belles réussites (sa cohérence visuelle, le déroulé de son aventure, un binôme qui fonctionne bien et l'originalité des décors) ne trouvent pas suffisamment d'écho du côté des mécaniques essentielles au divertissement interactif. Les niveaux sont figés, la plate-formes convenue et dirigiste, les ennemis dupliqués à outrance et le combat assez répétitif malgré la progression par échelon de nos aptitudes et la présence de nombreux artifices (bâton, tirs plasma, bouclier, killing-moves). Aussi, le jeu ne nous lâche jamais vraiment la main, même lorsque l'on saute sur son nuage, et la coopération induite par l'utilisation de deux héros en fuite n'est que trop sommairement utilisée (une diversion par-ci, un ordre par-là).
Il y a des jeux qui promettent énormément et qui finalement vous déçoivent... C'est le cas du dernier né de chez Ninja Theory, à qui l'on doit Heavenly Sword et qui travaille actuellement sur le prochain DmC : Devil May Cry pour le compte de Capcom. En effet, le postulat de base, un héros accompagné d'une I.A dans un monde post-apocalyptique dans lequel il faut exploiter leur complémentarité pour assurer leur survie (si l'un meurt, l'autre y passe aussi) a de quoi séduire, d'autant plus lorsqu'il réinterprète Le Voyage en Occident. Bref, Enslaved - Odyssey to the West a tout du blockbuster en apparence mais dans les faits, une aventure un poil courte (7 à 8 heures de jeu), mais surtout au final décevant et au cours affublé de bugs difficilement pardonnables gâchent le tout. L'amour a ses limites !Vous connaissez le contexte du jeu que nous vous avons déjà décrit dans nos impressions sur Enslaved, alors passons directement à la réalisation globale du titre de Namco Bandai. Autant être clair, le rendu général s'avère splendide, grâce notamment a une direction artistique d'exception. Et ceci même si le jeu perd en charisme sur la fin de l'aventure avec des décors nettement moins inspirés.
Univers Consoles
Ajouté le : 10/2010
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L'inspiration tarie ? Le robinet à idées qui fuit ? Et si l'on revisitait les classiques de la littérature et du cinéma ? Une once du Roi singe par-ci, des gouttes de post-apo et des mécanismes hérités d'Ico (PlayStation 2), la décoction Enslaved sent clairement le déjà-vu, le déjà joué. Et pourtant, sous ses couches d'éprouvé/approuvé, ses airs d'ultra-codifié, le mastard de Ninja Theory taquine doucement l'originalité, esquisse un futur salement désenchanté. Nul Judgement Day ou cyborg venu du futur, l'humanité n'eut besoin que de quelques centaines d'années, de deux-trois guerres bactériologico-nucléaires et de tout autant de catastrophes naturelles pour disparaître. Là, à l'abandon dans les ruines des cités, recouverts de lichen, veillent désormais drones et droïdes, reliquats des guerres passées trop prompts à mettre en branle leurs vérins hydrauliques, à arroser de plomb tout signe de vie. Pour survivre, l'homme a dû évoluer. Encore une fois. Si une partie s'est amassée dans les communautés souterraines et spécialisée dans les techniques de piratage, l'autre, réadaptée à l'environnement sauvage, cohabite avec une flore qui a repris ses droits sur le béton et l'acier.
Petite séance de rattrapage, pour ceux qui n’auraient pas épluché la preview exclusive qu’avait rédigée Bruno, premier journaliste français à avoir vu Enslaved. Le jeu de Ninja Theory s’articule autour d’un scénario d’Alex Garland (La Plage), lui-même librement inspiré d’un conte chinois Voyage en Occident. On peut d’ailleurs dire que ce conte a été un terreau particulièrement fertile, faisant office de matrice à des œuvres aussi diverses que Dragon Ball, Love Hina ou encore Le Royaume interdit (film avec Jet Li et Jackie Chan). Dans Enslaved, point de kaméhaméha mais un monde futuriste où le sort de deux personnages va être inextricablement lié, au propre, comme au figuré. Enslaved vous propulse sur une planète Terre désespérément magnifique. Les robots ont pris le pouvoir et les rares humains encore vivants ont été réduits à l’état d’esclaves. Deux d’entre eux vont réussir à s’échapper d’un cargo. Un homme et une femme, la force et la fragilité, la souplesse et l’intelligence, le duo a tout pour se compléter naturellement. C’est bien évidemment une alliance que le scénario va forger, non sans une pointe d’ironie.
Après un plutôt décrié, peut-être parce qu'il ne remplissait pas les attentes que les joueurs avaient mises en lui, Ninja Theory revient avec un nouveau projet nommé . Le jeu est inspiré d'un livre plutôt ancien comptant les pérégrinations en Inde d'un voyageur qui sera amené à rencontrer divers monstres pendant son voyage. Si vous ne connaissez pas cette oeuvre, sachez qu'elle a fait l'objet de plusieurs adaptations plus ou moins libres, dont Dragon Ball qui s'inspire de l'histoire. Le titre de Ninja Theory saura-t-il convaincre ou non ? Nous en avons eu un premier aperçu et vous livrons dès à présent nos impressions. Tout d'abord, sachez que fait plutôt partie des adaptations libres du roman de Wu Cheng'en. L'histoire se déroule en effet dans le futur et plus particulièrement dans un monde post-apocalyptique, ravagé par les guerres et les conflits nucléaires. C'est dans cette atmosphère où seuls les robots ont survécu ou presque, que Monkey, accompagné de la jolie Trip, va devoir aller d'un point A à un point B en essayant de survivre. Pour être plus précis, la demoiselle a en fait pris le contrôle de son compagnon à l'aide d'un diadème magique afin qu'il se batte pour elle. C'est donc le bonhomme plutôt musclé que vous dirigerez, en suivant les ordres de Trip mais également en lui en donnant.
Univers Consoles
Ajouté le : 06/2010
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Une once du Roi singe par-là, des gouttes d'Ico (PS2) par ici, la décoction Enslaved sent clairement le déjà-vu, le déjà-joué. Et, pourtant, sous ses couches d'éprouvé/approuvé, ses airs d'ultra-codifié, le mastard de Ninja Theory taquine doucement l'originalité, esquisse un futur salement désenchanté. Ninja Theory, dites-vous ? Il est vrai que nous n'avions guère entendu parler des développeurs du mésestimé, et pourtant magnifique, Heavenly Sword (PS3) depuis la sortie dudit jeu. Normal, en secret, Tameem Antoniades, chef de la création, et Mike Ball, chef technique, tous deux fondateurs du studio, bichonnaient un nouveau projet, Enslaved. Loin de donner dans la redite ou la suite peu inspirée, Ninja Theory a fait table rase du passé, changé d'univers, remisé épées, arbalètes et heroic fantasy au placard pour embrasser le genre post-apocalyptique. De fait, l'action d'Enslaved débute après plusieurs guerres mondiales et autant de catastrophes écologiques. L'humanité a quasiment disparu, laissant à l'abandon ses drones de combat, toujours opérationnels, et ses cités ravagées, écrasées par une végétation proliférante. La fin du monde, donc. Seules rescapées de l'hécatombe, quelques communautés disséminées sur le territoire américain et une poignée d'êtres humains redevenus sauvages, violents, brutaux.
Gamekult
Ajouté le : 05/2010
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Exclusivité PS3 particulièrement soutenue par Sony, Heavenly Sword avait beaucoup fait parler de lui pour sa plastique, au détriment d'un gameplay un peu trop mollasson et d'une durée de vie trop juste. Trois ans plus tard, les développeurs de Ninja Theory reviennent avec Enslaved : Odyssey to the West, un jeu d'action-aventure très librement inspiré par Le Voyage en Occident, un roman chinois déjà adapté à toutes les sauces. Conçu cette fois sur PS3 et Xbox 360, le titre s'est laissé découvrir au Level Up barcelonien de Namco Bandai et de ce qu'on a pu en voir, il s'annonce plutôt prometteur. Petite séance de rattrapage pour les personnes ayant loupé l'annonce d'Enslaved : un siècle et demi après notre époque, l'humanité a quasiment disparu de la surface de la Terre après un conflit mondial ravageur à coups de drones ultra-sophistiqués. Si le règne végétal a repris ses droits sur les ruines de la civilisation, les machines de guerre autonomes sont toujours actives et chassent les survivants pour en faire des esclaves. C'est d'ailleurs ce qui est arrivé à Monkey, membre musclé d'une communauté américaine vivant des ressources de la nature et n'hésitant pas à démanteler les carcasses de robots pour se défendre contre les agressions mécaniques.
Ninja Theory, le studio à qui l'on doit Heavenly Sword, s'apprête à revenir sur le devant de la scène avec un titre destiné aussi bien à la Xbox 360 qu'à la PS3. Enslaved est une adaptation très libre du Voyage en Occident, le célèbre roman traditionnel chinois. Le rapport avec la légende en question ne saute pas vraiment aux yeux puisqu'il s'agira ici d'un jeu alliant l'action et la plate-forme dans un univers post-apocalyptique. Le background d'Enslaved n'est pas vraiment joyeux : vous êtes projeté 150 ans dans le futur alors que notre belle planète a été totalement ravagée par la guerre et les catastrophes écologiques. L'humanité vit vraisemblablement ses derniers instants mais quelques communautés continuent d'organiser leur survie ici ou là. Il n'est en effet pas évident de se débrouiller seul dans ce monde qui grouille de dangers : de nombreux drones et d'autres créatures mécaniques qui servaient autrefois à faire la guerre sont restés en activité et attaquent désormais tout ce qui passe à leur portée. Monkey, le personnage que vous incarnez dans Enslaved, est certainement le seul humain assez fou ou téméraire pour essayer de faire face seul à ces monstres.
Heavenly Sword nous invitait à une plongée épique dans un monde Médiéval Fantastique. Enslaved en est le parfait contre-pied. Le nouveau Ninja Theory verserait plutôt dans la SF tendance Jugement Dernier écolo. 150 ans dans le futur, la civilisation telle qu'on la connaît a disparu depuis bien longtemps, engloutie par des guerres nucléaires oubliées. Mais si le monde prend des allures de désert dans Fallout ou de cendre noire sur La Route de McCarthy, ce n'est pas le cas de celui d'Enslaved. Sans personne pour la dominer, la nature a repris ses droits et elle s'épanouit désormais sans limites sur les ruines des mégapoles d'antan. Et l'humanité dans tout ça ? Réduite à quelques poches de survie, elle tente de subsister en petites communautés, évitant les villes de peur de mourir sous le feu de milliers de robots sentinelles, ultimes vestiges de la dernière guerre. Pour couronner le tout, des esclavagistes viennent régulièrement enlever des membres de ces communautés. Ils leur placent des bandeaux de contrôle par la douleur et les emmènent par bateau vers l'Ouest, d'où personne ne revient jamais. C'est dans ce tableau fataliste que prennent place les personnages d'Enslaved. D'abord . Sachant qu'elle ne peut survivre par elle-même, Trip reprogramme le bandeau de Monkey dans son sommeil de sorte que i.
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