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Nous avons réuni 20 tests du Driver : San Francisco. Les experts notent Driver : San Francisco 7.7/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Driver : San Francisco et d'autres Jeux Playstation 3.
Le test de Driver San Francisco, je dois vous dire que j'y allais à reculons. Pas fan de la franchise que j'ai toujours trouvée mal ficelée, trop ceci, pas assez cela. Et puis même si j'adore les jeux de bagnole, que ce soit des simus ou des jeux d'arcade, je déteste écrire dessus, pondre deux ou trois pages uniquement sur la forme, la technique et rarement sur le fond. Oui. Admettons-le : au niveau scénario, les jeux de voiture, c'est du light. Codemasters a fait un effort pour mettre un peu en avant la carrière des joueurs, mais ça reste marginal. Driver a toujours été associé à une histoire, mais j'ai oublié toutes celles des Driver auxquels j'ai joué.Là, je ne sais pas comment s'est débrouillé le développeur avec ce Driver San Francisco. On a une histoire complètement délirante, dans le bon sens du terme, qui fusionne parfaitement avec le gameplay. Du coup, je ne sais pas encore si je vais davantage parler de cette histoire, de la façon dont elle impacte le jeu ou de la technique, elle aussi au rendez-vous. Bon, je vais faire comme d'habitude, une grande séance d'improvisation en essayant au moins de savoir comment je vais terminer les phrases avant de les entamer (ah ! Je savais bien que tu racontais n'importe quoi ! ndrc).
Certaines licences ne meurent jamais. S'il elles en arrivent parfois à creuser les trois quarts de leur tombe, au final, on en revient toujours au même point : au moment où on s'y attend le moins, elle ressurgissent d'on ne sait-où, et réussissent à faire leur petit effet, nous fixant bien droit dans les yeux, l'air de dire... Mais je m'égare. Tanner est de retour. Enfin, si on veut. Aux trousses d'un certain Jéricho, notre homme n'aura pas tellement le temps de faire ses preuves, un accident le plongeant dans le coma dès le début du jeu. Mais alors, Reflections aurait-il changé de voix pour s'inspirer de la saga Trauma Center chère aux bécanes de Nintendo ? Que nenni : si le héros du jeu demeure cloué au lit, entre la vie et la mort, il n'en reste pas moins capable de rêver sa traque contre le grand méchant du moment, et de nous investir dans une trame scénaristique plutôt déroutante. Mais inutile de vous spoiler les évènements qui vous attendent. Au lieu de ça, il est sans doute plus malin de se focaliser sur le gameplay du jeu. Complètement orienté arcade, il recèle d'une nouveauté qui à elle seule arrive à porter cet épisode. Nommée Shift, elle vous permet en fait de changer de véhicule comme bon vous semble.
Série devenue mythique sur PlayStation pour vite retomber dans l'anonymat la génération suivante, Driver est le genre de licence qui a connu autant de hauts que de bas. Mais alors qu'on la pensait morte et enterrée, Ubisoft tente le pari de dépoussiérer cette vieille épave pour la remettre à neuf. Après un changement remarqué de propriétaire, cette restauration vaut-elle le coup d'oeil ? John Tanner est dans de beaux draps. Alors qu'il surveillait le transfert de Charles Jericho, son ennemi juré, depuis sa célèbre Dodge Challenger R/T de 1970, notre valeureux personnage va vite se retrouver dans un guet-apens et tomber dans le coma suite à un grave accident de la route. Obnubilé par cet antagoniste qu'il pourchasse depuis des lustres, Tanner va réécrire le scénario dans sa tête et essayer de déjouer les plans de ce méprisable personnage depuis son lit d'hôpital. L'histoire, s'éloignant quelque peu de l'esprit mafieux et underground des premiers épisodes, au grand dam des anciens, gagne néanmoins en sympathie grâce à de nombreuses cinématiques mettant en scène des personnages souvent bavards et très second degré. Un résultat qui permet au joueur de bien s'immerger dans la peau de Tanner malgré un scénario parfois tiré par les cheveux tant les raccourcis scénaristiques sont nombreux et très clichés.
Tanner est donc enfin de retour sur nos consoles (et PC) après quelques années de disette. On se rappellera d'ailleurs que les troisième et quatrième épisodes mettaient en scène d'autres personnages, mais là, c'est sûr, c'est bien Tanner. On le retrouve tout de même dans un sale état puisque son ennemi de toujours, Jericho, vient de lui rentrer dedans à bord d'une fourgonnette blindée. Tanner est dans le coma, mais il est tout de même le héros du jeu... La grande idée de ce Driver San Francisco, c'est bien évidemment le Shift, cette fonction qui permet de se « téléporter » dans n'importe quel véhicule du jeu. Une idée qui change complètement le gameplay mais qui reste difficile à expliquer, vous l'avez sans doute constaté dans l'émission « L'Avant-Première ». Tanner est dans le coma, on nous le montre à intervalles réguliers, mais il est aussi au volant de sa Dodge Challenger en train d'arpenter les rues de San Francisco. Entre rêve et réalité, tout vous sera expliqué dans le scénario. Tanner lui, essaye d'expliquer son incroyable pouvoir à son partenaire, une séquence plutôt marrante qui fait office de didacticiel. Concrètement, il suffit d'appuyer sur une touche pour quitter le corps de Tanner et flotter tel un fantôme au dessus de la ville.
Malgré le succès mérité du premier Driver sorti en 2000 sur PlayStation, la série de Reflections a par la suite eu bien du mal à convaincre le public et la critique, la faute à des choix de design discutables, souvent mal assumés. Après le décevant Driv3r et sa suite sans surprise Parallel Lines sur PS2, nous n'attendions donc plus grand-chose des aventures de Tanner, et avions accueilli avec circonspection l'annonce d'un nouvel épisode sur PS3. La surprise n'en a été que meilleure lorsque nous avons mis la main sur la version review de Driver San Francisco !Lancée en Europe voilà plus de onze ans, la série Driver avait à l'époque redéfini la course automobile vidéoludique en remplaçant les classiques épreuves par des missions aux objectifs variés, en n'oubliant toutefois pas d'offrir un modèle de pilotage pointu et exigeant. Fort d'un succès mérité, le studio Reflections avait par la suite tenté d'élargir le champ des possibilités de son jeu en permettant notamment au joueur de sortir de sa voiture, et de participer à des fusillades malheureusement peu convaincantes. Critiqués pour leurs nombreux bugs et leur gameplay manquant d'identité, les derniers volets semblaient ainsi avoir sonné le glas de la série.
Après un troisième épisode catastrophique et un spin-off mimant Gran Theft Auto avec les moyens du bord, il restait bien des plaies à panser pour la franchise Driver, moribonde. Les aventures motorisées des deux premiers volets restent pourtant des modèles du genre « quatre roues en monde ouvert » dans le souvenir de bien des joueurs... une veine ludique que la série, à son meilleur, avait su combiner avec des références cinéphiles bien senties, de Bullit à French Connection. Conscient de ces beaux restes, Ubisoft tente une énième relance avec aux commandes Reflections, son développeur historique. Driver : San Francisco est donc clairement l'épisode de la dernière chance, assigné à une lourde tâche : réhabiliter sa franchise tout en la modernisant. Et, surprise, c'est bel et bien ce qui se produit grâce au virage fantastique qu'entraîne le pouvoir du shift, une idée nouvelle qui, si elle s'écarte de l'ambiance 70's typique de la série, offre tout de même d'excitantes perspectives aussi bien en solo qu'en multi. Retour sur la fin de Driv3r, dont ce nouvel épisode prend la suite directe : au prise avec Jericho, son ennemi de toujours,Tanner était heurté par une voiture et plongeait dans un profond coma.
Tombée aux oubliettes depuis plusieurs années, la série Driver a été ressuscitée par Ubisoft. Depuis Driv3r en 2004 et en omettant le très fade Parallel Lines, John Tanner a longtemps rongé son frein, espérant renaître de ses cendres. C'est chose faite à travers cet épisode qui s'avère être une ode aux courses poursuites typiques des films des années 70. Contrairement au titre dont il est la suite directe - les événements se déroulant six mois plus tard, Driver : San Francisco ne fait pas figure d'hybride entre jeu de courses et TPS. Afin que Driver redevienne ce qu'il fut, il a été demandé aux petits gars de Reflections, développeurs historiques de la licence, de se concentrer sur les courses et uniquement là-dessus. Les phases à pied ont été bannies, à la fois pour éviter la comparaison fortuite avec GTA et pour contenter les amoureux du premier volet dont les poursuites étaient fameuses. Ainsi, dans l'esprit, c'est un véritable retour aux sources qu'opère la franchise, sans pour autant réserver son intérêt aux fans de la première heure. En effet, malgré le lien qui unit Driver : San Francisco à Driv3r, il est tout à fait possible d'apprécier ce nouvel épisode en ignorant tout de son aîné.
Au regard de la qualité des derniers Driver, la disparition de la série depuis plus de quatre années n'avait pas vraiment de quoi nous attrister. Ne serait-ce que pour le pathétique DRIV3R et sa cargaison de bugs, on avait de bonnes raisons d'en vouloir à Reflections pendant plusieurs générations. Toutefois, au fil de nos rencontres avec ce cinquième épisode, de jolies choses se laissaient entrevoir au point de nous faire espérer une vraie renaissance de la série, prête à rouler sur les traces de l'illustre épisode originel. Alors, Driver : San Francisco, l'épisode de la réconciliation ? Jericho m'une baleine ! Sans rien renier ouvertement, Driver : San Francisco s'inscrit totalement dans la lignée de la série et reprend l'histoire du célèbre John Tanner quasiment là où on l'avait laissée à la fin de DRIV3R. Une simple poignée de mois s'est écoulée depuis lors et le mafieux Charles Jericho, Némésis officielle de notre flic, s'apprête à répondre de ses actes devant la justice américaine. Des circonstances bien trop positives évidemment, et notre homme va trouver moyen de prendre la poudre d'escampette durant son transfert de la prison. Heureusement, Tanner est là pour veiller au grain et une course-poursuite va nous jeter immédiatement aux trousses de Jericho.
Rendez-vous est pris chez Ubisoft, en compagnie d'un petit groupe de confrères. Chacun est installé derrière un écran, et même Jean-Sébastien Décant, lead designer du jeu (revoir Hebdo 93), a fait le déplacement depuis Newcastle pour nous épauler dans cette difficile épreuve. Au menu du jour, du multi, et rien que du multi. Au total, il y aura 19 modes multijoueurs, dont 11 uniquement online. D'autres seront jouables en écran splitté, soit en coopération, soit en versus. Une multitude de modes qui prouve bien que les développeurs étaient vraiment inspirés par le concept du « shift ». Le Shift, rappelez-vous, c'est la capacité qu'a le héros de changer de voiture à n'importe quel moment. En fait, son esprit se téléporte d'un conducteur à l'autre, mais tout ça, vous l'apprendrez dans le scénario du jeu. Le Shift peut être activé de deux manière différentes : la première possibilité envoie la caméra au dessus de la ville (complètement ouverte, vous êtes libre d'aller où vous voulez), et à l'aide d'une cible, vous repérer le véhicule dans lequel vous voulez atterrir. L'autre option, dont vous vous servirez plus souvent, place la caméra dans le peloton de tête et vous pouvez choisir à l'aide du viseur le meilleur véhicule disponible. Cela peut être un camion de pompiers, un bolide, une Fiat 500 ou un semi remorque, tout est possible.
Nous étions six. Cinq journalistes et un développeur, prêts à en découdre dans les locaux parisiens d'Ubisoft. Six PS3 branchées en LAN, prêtes à faire tourner le prochain gros jeux de course de l'éditeur. Le multi de Driver San Francisco s'est offert à nos yeux, pour notre plus grand bonheur. Driver San Francisco propose 19 modes de jeu multijoueurs, dont 11 en ligne, et jusqu'à 8 joueurs peuvent s'affronter. En local, 8 modes de jeux compétitifs, et 3 modes coopération. Toutes les voitures du jeu existent et sont toutes sous licences de marques réelles. De plus, les 128 véhicules sont sujets aux dégâts. Avant chaque épreuve en ligne, une petite course détermine votre position sur la ligne de départ et vous permet d'obtenir quelques bonus en début de partie. Le Shift est la vraie nouveauté de ce Driver San Francisco. Il vous permet de prendre le contrôle de n'importe quel véhicule (voitures, camionnettes ou même camions) dans San Francisco d'une simple pression sur un bouton de la manette. Il n'y a pas de conditions météo, ni de cycle jour/nuit. En revanche, les courses se déroulent à différentes heures de la journée L'avis de BernoSi nous n'avons pas eu la chance de tester le mode solo de Driver San Francisco, nous avons pu essayer pour vous le mode multi du titre.
JeuxVideo.fr
Ajouté le : 07/2011
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Au delà du controversé shift mode (quoi que relativement acceptable compte tenu de sa justification dans le scénario, cf. preview précédente), Driver San Francisco arrive avec une autre nouveauté qui ne passe pas inaperçue : un mode multijoueurs en ligne. Une partie du jeu complètement à part, qui n'a aucune interaction avec la partie solo. Largement inspiré du multijoueurs des Call of Duty, Driver San Francisco désire être une expérience riche et palpitante où la tension au volant est permanente. Soulevons le capot du bolide pour voir ce qu'il a vraiment dans le ventre à ce niveau-là... Driver San Francisco, c'est 19 modes de jeu en multi. 11 en ligne, purement compétitifs, et 8 en écran partagé hors ligne dont 5 en compétition et 3 en collaboration. En ligne, ce sont 8 joueurs qui peuvent s'affronter, alors qu'en local seuls deux amis peuvent partager la route (et l'écran). Lors de notre essai, nous avons évolué avec des PS3 en LAN, alors que le jeu est conçu pour n'être jouable que via Internet. Nous n'avons donc pas eu une expérience entièrement représentative en termes de temps de chargement ou de latence (presque inexistants lors de cette prise en main). On nous promet toutefois que cet atout, conditionné par les paramètres exceptionnels précités, sera conservé dans la version définitive du soft.
Débutée en 1999, la saga Driver a été adaptée, au fil de ses épisodes, sur quasiment toutes les plates-formes du marché vidéo ludique. Aujourd'hui, c'est au tour des consoles next-gen (sans oublier le PC) d'accueillir ce nouveau volet dont l'action prend place dans la ville de San Francisco. Bonne nouvelle : après un mode solo prometteur, nous avons enfin pu essayer quelques-uns des nombreux modes disponibles en multi. Voici donc nos premières impressions... D'abord, il faut noter que pas moins de 128 véhicules sous licence (Lamborghini, Mac Laren, Ford GT...) se retrouvent au casting de ce jeu de course/poursuite. Si ceux-ci peuvent être endommagés visuellement, en revanche les dégâts qui apparaissent sur la carrosserie n'influencent pas du tout la conduite. Et c'est probablement une bonne chose dans la mesure où la circulation se fait parfois très dense et les occasions de heurter les autres véhicules sont donc légion. Ainsi, grâce à cette conduite de type arcade, le fun demeure plus immédiatement perceptible. Même si le bolide que vous conduisez réagit parfois comme une savonnette, le pilotage avec le stick étant plutôt sensible. Attention toutefois, ce dernier point dépend non seulement du type de véhicule emprunté mais aussi des critères qui caractérisent chaque voiture.
3 : c'est le nombre de mois qui nous séparent actuellement de la sortie dans le commerce de Driver : San Francisco. Développé par Ubisoft, ce volet a évidemment pour objectif de ramener la licence sur le devant de la scène, tout en prouvant qu'il y a bel et bien de la place pour un ex-cador du genre auquel Rockstar Games a largement emprunté... Si le dernier épisode de la saga Driver ne nous avait pas franchement emballé, il se pourrait bien que ce Driver : San Francisco soit en mesure de faire mouche. Se refusant une fois encore à voir son héros mettre les pieds hors de sa voiture, il a opté pour une variation très efficace, vous permettant de vous téléporter d'un véhicule à un autre, par une simple pression sur la touche X de votre pad. Explications : alors que vous roulez en trombe au volant de votre monture, vous croisez le chemin d'un monstre embarquant on ne sait combien de chevaux sous le capot. Ni une ni deux, vous pressez la touche X du pad, et voyez la vue du soft prendre les airs, pour vous donner un aperçu de la ville à la Google Maps. Ne vous reste plus qu'à diriger le curseur qu'il vous est donné de diriger sur la voiture que vous avez repéré, et voilà : vous vous retrouvez directement transbahuté à son volant.
Nous avions un peu perdu de vue Driver San Francisco. Depuis le salon de l'E3 2010, de maigres infos nous étaient parvenus, avant que nos collègues de Joypad reviennent de NewCastle avec un dossier enthousiaste. Bref, nous revoilà enfin manette en main, prêt à passer une petite heure sur le début du mode histoire. Vous le savez certainement déjà, la grosse nouveauté du jeu s'appelle le « shift », ou la possibilité de se projeter dans le corps de n'importe quel conducteur de n'importe quelle voiture dans San Francisco. Ce petit côté fantastique / Code Quantum est justifié par le fait que Tanner est plongé dans le coma. De là à dire que tout le jeu ne serait en fait qu'une projection de son esprit, on n'en sait encore rien, attendons la version complète pour connaître le fin mot de l'histoire. En attendant, cela se traduit dans le jeu par un simple bouton à presser pour quitter le corps de Tanner, même lorsqu'il est au volant, et ainsi survoler la ville pour choisir son nouvel hôte. . En effet on peut dès lors se retrouver dans le corps d'un ado en train de passer le permis, ou d'une grand-mère conduisant sa fille quelque part. En haut de l'écran, on voit les visages des protagonistes en train de discuter, et leurs réactions changer lorsque votre style de conduite, forcément musclé, commence à les inquiéter.
Driver, c'est l'histoire d'une série qui avait débuté sur les chapeaux de roue en 1999 avant de littéralement se perdre en chemin dès sa deuxième apparition en 2000. Depuis cette lointaine époque, la licence a connu quelques épisodes baignant tous plus ou moins dans la médiocrité et a plusieurs fois changé de mains, pour finalement atterrir entre celles d'Ubisoft en 2006. Pour relancer une machine grippée depuis de trop nombreuses années, l'éditeur a décidé de revenir aux sources avec Driver : San Francisco. Une opération reconquête qui semblait avoir pris du plomb dans l'aile depuis quelques mois puisque ce nouveau volet devait à l'origine sortir fin 2010 avant d'être repoussé. Rassurez-vous toutefois, après avoir passé une bonne heure sur la version PS3 du jeu, on est en mesure de dire que le laps de temps supplémentaire accordé aux développeurs semble avoir été salutaire. Nul besoin d'avoir fait de nombreuses études de marché pour comprendre que la popularité de Driver repose exclusivement sur la qualité du premier épisode. Les quelques suites globalement ratées n'ont fait qu'enfoncer une licence dont le potentiel commercial apparaissait pourtant immense au premier abord. Tout cela, Ubisoft l'a bien sûr intégré.
JeuxVideo.fr
Ajouté le : 05/2011
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1998 : le monde vidéoludique découvre un jeu d'automobiles, en trois dimensions, dans un espace libre. Une révolution derrière laquelle se cache Martin Edmonson, papa de Destruction Derby, et futur géniteur de Stuntman. Driver a été un succès, salué par la critique et les joueurs. Les années sont passées, Driver 2, 3 et Parallel Lines aussi. La licence commence à sentir sérieusement la poussière après les ratés de certains ajouts (les séquences à pied et de tir, principalement). Reflection Software, devenu Ubisoft Reflection en 2006, a la lourde tâche de ressusciter John Tanner, au sens propre comme au figuré. Ubisoft nous a convié a une séance d'essai sur les deux premières heures de jeu de Driver San Francisco afin d'avoir une idée précise de ce à quoi ressembleront les prochaines aventures du flic infiltré. Driver San Francisco commence par une course poursuite : John Tanner essaie d'empêcher le criminel Charles Jericho de s'évader au volant du fourgon blindé devant initialement assurer son transfert. Dans l'action, le héros est victime d'un grave accident de la route et se retrouve dans le coma. Malgré tout, il va continuer de poursuivre son enquête au volant de grosses cylindrées à travers les rues de San Francisco pour découvrir qui sont les alliés de Jericho et le remettre sous les verrous.
Gamekult
Ajouté le : 04/2011
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Croisé pour la première fois à l'E3 2010 et retardé à deux reprises par la suite, le prochain Driver : San Francisco était de retour cette semaine à Londres pour une session jouable du début de la campagne solo, sur PS3 et en présence de quatre membres du studio Ubisoft Reflections. Après une heure de conduite dans la peau d'un John Tanner littéralement hors de lui, le bilan est globalement positif et vous saurez pourquoi en lisant les paragraphes ci-dessous. Driver est une série dont on se souvient en bien presque uniquement pour son premier épisode, concentré de bonnes idées, d'ambiance réussie et de prise en main agréable arrivant à faire oublier les carences techniques qui poursuivront la licence jusqu'à ses derniers épisodes alternatifs en date, Driver Parallel Lines et Driver 76. Pour Driver : San Francisco, le créateur de la saga Martin Edmondson a été rappelé par Reflections afin d'endosser le rôle de directeur créatif et reprendre l'histoire de John Tanner environ six mois après la fin de DRIV3R. Notre héros a survécu à la balle tirée dans le dos par son rival Charles Jericho, sur le point d'être jugé pour ses crimes au début du jeu.
Pour débuter la présentation, les développeurs ont tenu à nous assurer que le « feeling » unique de Driver serait bel et bien de retour. Les voitures sont lourdes, dérapent longuement, et possèdent des amortisseurs ultra souples. Maintenant si ce style de voiture ne vous convient pas, pas de panique, vous pourrez prendre le volant de n’importe quel véhicule. Car la vraie nouvelle idée de ce Driver : San Francisco, c’est le « shift », qui permet au héros de se téléporter d’une voiture à l’autre en un clin d’œil. Le héros, c’est toujours Tanner, et cette habilité vient d’une idée simple : Tanner est dans le coma et il obtient ce pouvoir, paf, comme ça. On avait même un peu l’impression que les développeurs eux même avaient du mal à justifier ce pouvoir. Et à la limite, peu importe : le résultat c’est surtout une idée de gameplay imparable qui donne un jeu de course . L’action se passe toujours à San Francisco, toujours plus rigolo avec les bosses, et l’adversaire de Tanner est toujours Jericho. Au moins, on est en terrain connu. Ensuite, il est possible de « dézoomer » jusqu’à obtenir une vue aérienne de la ville et ainsi voir les missions qui vous sont proposées, via des petites vidéos.
Licence culte parmi les licences cultes, la série Driver s'est malgré tout quelque peu fourvoyée ces dernières années. Rachetée par Ubisoft à un Atari moribond, la voilà prête à faire son come-back en misant sur... un état comateux. Comme son titre l'indique assez clairement, ce nouvel opus se déroule donc à San Francisco, charmante bourgade partiellement reproduite et qui offre pas moins de 320 kilomètres de bitume à parcourir, du speedway aux collines qui ont fait le succès de nombreux films. D'ailleurs, les développeurs ne cachent pas que des films comme Bullit ou French Connection comptent parmi leurs influences directes. En dehors de son design et de son ambiance très 70's, qui suffisent déjà à lui attirer une certaine sympathie, Driver San Francisco se distingue surtout pour une feature qui fut le principale objet de sa présentation à l'E3 : le shift. Pour comprendre de quoi il retourne, il faut avant tout préciser une chose : suite à un accident, ce bon vieux Tanner est plongé dans le coma, sauf que lui, il en sait rien et qu'il a l'imagination qui tourne, ce qui explique qu'il soit capable de changer de voiture sans avoir à se garer sur le trottoir pour ensuite aller en voler une.
Gamekult
Ajouté le : 06/2010
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Avec Driver : San Francisco, Ubisoft nous fait également le coup du reboot. Retour donc à la case départ ou presque pour Driver, propriété de l'éditeur français depuis mi-2006, et pour Tanner, son protagoniste qui repart aux trousses de son ennemi juré : Jericho. Et cette fois-ci, le théâtre des poursuites sera San Francisco, comme on pouvait s'en douter avec un tel titre. Premières impressions à chaud après quelques minutes de jeu. Concocté par Reflections, le studio anglais à l'origine de la saga, ce cinquième épisode de Driver a donc choisi la ville californienne de San Francisco comme point de départ aux nouvelles aventures motorisées de Tanner, un lieu qui fait évidemment office de clin d'oeil au tout premier Driver. Si l'on continuera d'ailleurs de lorgner vers les années 60 et 70 avec des voitures à la conduite très survireuse (mais facile d'accès) en hommage à cette époque et aux films de poursuites automobiles Bullit ou French Connection, le scénario se situera néanmoins à notre époque, dans une ville non pas reproduite à l'identique, mais adaptée. On retrouvera en tout cas dans un monde entièrement ouvert le centre-ville et ses immenses buildings, co-habitant notamment avec une zone moins urbaine et propice à un peu de tout-terrain ou encore une autre où s'enchevêtrent les autoroutes pour des courses à haute vitesse en supercar.
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