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Nous avons réuni 3 tests du Toshiba OCZ RD400 512 Go. Les experts notent Toshiba OCZ RD400 512 Go 10/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Toshiba OCZ RD400 512 Go et d'autres Disque dur SSD Toshiba.
Aujourd'hui, nous testons un produit que nous voudrions tous avoir dans notre PC, à savoir un SSD NVMe. Un SSD qui envoie donc du lourd. Et ce SSD, c'est le tout nouveau Toshiba OCZ RD400 dans sa déclinaison 512 Go. Un SSD qui est donné pour 2600 Mo/sec en lecture et 1600 Mo/sec en écriture. A découvrir sans plus attendre dans nos colonnes. Aujourd'hui, on teste donc un SSD PCI Express NVMe, qui est annoncé pour des vitesses complétement folles. Ce dernier se nomme RD400 et il est le fruit de l'association de Toshiba et OCZ. Découvrons les caractéristiques du RD400 dans sa version 512 Go : Le SSD arrive dans une petite boite aux couleurs de la marque. Nous avons aussi les notices d'utilisations et une petite équerre Low Profile. Notre SSD du jour est au format M.2 2280, mais nous avons testé ce modèle sur carte additionnelle PCI EX 4X. Le carte additionnelle propose un PCB noir mat et au centre nous avons le SSD M.2. Ce dernier exploite un contrôleur Toshiba TC58NCP, 512 Mo de mémoire cache, et des puces MLC Toshiba en 15 nm. Le SSD est donné pour 2600 Mo/sec en lecture, 1600 Mo/sec en écriture, 190 000 IOPs en lecture 4 Ko et 120 000 IOPs en écriture du même type. En lecture, nous avons une moyenne de 1374 Mo/sec, le tout sur des fichiers de 64 Ko, autant dire que cette dernière est élevée, même si l'on voit que la courbe est clairement en dents de scie. En effet, nous avons des débits qui oscillent entre 840 et 1569 Mo/sec. Le temps d'accès est de 0.052 ms. En écriture, nous retrouvons la même courbe en dents de scie. Les résultats sont un peu moins bon cette fois, car le SSD propose 739 Mo/sec de moyenne, avec des pointes à 1420 Mo/sec, mais aussi des chutes à 739 Mo/sec. Le d'accès est par contre très bon, 0.035 ms. Sur le 0.5 Ko, le SSD est à 15 Mo/sec en lecture et 25 Mo/sec en écriture. Sur le 32 Ko, on passe à 850 Mo/sec en lecture et 821 Mo/sec en écriture. Au maximum, le SSD est capable de délivrer 2000 Mo/sec en lecture et 1500 Mo/sec en écriture. Avec ATTO, nous avons une lecture mini qui est de 31.4 Mo/sec, et une écriture de 36.1 Mo/sec. Ici le SSD n'est pas le plus performant, mais il reste malgré tout dans la course, surtout en écriture. Sur les débits Max, rien à dire ou redire, le RD400 envoie du pâté grave avec 2697 Mo/sec en lecture et 1610 Mo/sec en écriture. Ici, le SSD est plus que performant.En séquentiel, nous avons de nouveau des très bons résultats avec 1830 Mo/sec en lecture et...
Jusqu'à présent dominé par le Samsung 950 Pro, le marché des SSD M.2 NVMe voit débarquer un nouveau concurrent à priori très intéressant : l'OCZ RD400 (ex-RevoDrive 400) de Toshiba. Dévoilé – sous son ancien nom – lors du Computex de juin 2015 et présenté cette année lors du CES, le SSD RD400 a été peaufiné par son fabricant. L'influence de Toshiba est d'ailleurs visible derrière cette longue période de mise au point et d'optimisations avant la commercialisation. Basé sur un Toshiba XG3 – un SSD destiné au marché OEM -, le RD400 a largement bénéficié de l'expérience acquise sur le XG3 et des retours des utilisateurs. Test SSD : comparatif des meilleurs modèles Contrôleur et mémoire flash Toshiba Disponible dans des capacités de 128 Go, 256 Go, 512 Go et même 1 To, le RD400 est proposé seul pour les ordinateurs (fixes ou portables) équipés d'un slot M.2 2280 adapté, ou bien livré avec une carte additionnelle au format PCI-Express 3.0 4x. Ce SSD compatible NVMe 1.1b embarque un contrôleur 8-canaux Toshiba TC58NCP, des puces de mémoire flash NAND MLC de 128 Gbit gravées en 15 nm par Toshiba, mais également une puce de mémoire LPDDR3-1600 fabriquée par Samsung. À l'arrivée, on obtient un SSD capable d'atteindre des débits théoriques de 2,6 Go/s en lecture séquentielle et jusqu'à 1,6 Go/s en écriture séquentielle. En accès aléatoires 4K, Toshiba annonce fièrement des performances culminant à 210 000 IOPS en lecture et 130 000 IOPS en écriture. Endurance et garantie Côté endurance, l'OCZ RD400 ne s'en sort pas trop mal. Ce SSD, garanti cinq ans, supporte ainsi entre 74 To et 592 To écrits au cours de sa vie, selon la capacité. Cela représente entre 40 Go et 324 Go écrits par jour. Relativement bons, ces chiffres restent toutefois légèrement inférieurs à ceux présentés par Samsung pour son 950 Pro (200 To écrits pour la version 256 Go, et 400 To écrits pour le modèle 512 Go). Attention d'ailleurs à un petit détail qui a son importance : la garantie de cinq ans tient compte de la quantité de données écrites sur le SSD. En d'autres termes, si vous atteignez la limite de données écrites avant les cinq ans (ce qui reste, avouons-le, difficile en utilisation classique), votre SSD ne sera plus sous garantie. La partie logicielle Le « SSD Utility » (c'est à dire la boîte à outils pour SSD) de Toshiba reconnait bien entendu déjà le nouvel arrivant, et les possibilités sont plutôt...
Le RD400 est le SSD qui étrenne le changement de stratégie de Toshiba vis-à-vis d'OCZ. Soucieux de son image de marque, la société souhaite désormais mettre en avant son nom plutôt que celui d'OCZ. Le RD400 est ainsi le premier SSD haut de gamme sous l'appellation Toshiba OCZ, un modèle NVMe au format M.2 2280 livré seul ou sur une carte adaptatrice PCIe. Le RD400 se présente donc comme un SSD M.2 2280 fonctionnant sur bus PCI Express 3.0 4x. Cela permet de pousser la bande passante de 0,75 Go/s sur bus SATA à 3,9 Go/s dans le cas présent. Évidemment, l'interface utilisée est de type NVMe et non pas AHCI comme sur les SSD classiques. Le NVMe est conçu spécialement pour les supports de données flash. Il permet d'augmenter le nombre de commandes et de files d'attente, passant de 32 et 1 sur AHCI à 65 536 et 2 sur NVMe. Côté technique, nous avons droit à du tout Toshiba. Le petit PCB renferme ainsi deux puces de 256 Go de mémoire MLC Toshiba gravée en 15 nm, des puces similaires à celles utilisées sur le Zotac Sonix. Le pilotage de ces puces est laissé à la charge d'un contrôleur Toshiba TC58NCP070GSB qui est accompagné d'une puce de 512 Mo de mémoire cache signée Samsung. Aucun système de turbo n'est présent. Nous l'avons vu, le RD400 se présente sous la forme d'une carte M.2, tout comme celle du Samsung 950 Pro. S'il est possible d'acquérir ce modèle sous ce format, la société propose également un pack avec une carte fille au format PCIe. C'est parfait pour les utilisateurs dont la carte mère ne propose pas de connecteur M.2. Le pilote NVMe de Windows 8.1 (et supérieur) supporte parfaitement bien ce modèle. Toshiba propose tout de même un pilote qu'il qualifie d'optimisé. Nous avons mené nos tests avec les deux pilotes de manière à observer d'éventuelles différences. Sur sa série RD400, Toshiba propose une garantie de 5 ans assez confortable, d'autant plus qu'elle est accompagnée du service Advanced Warranty, anciennement ShieldPlus. En cas de SSD défectueux, l'utilisateur remplit un formulaire en ligne. Suite à cela, un nouveau SSD est directement envoyé par Toshiba, accompagné d'un bon de retour préaffranchi pour retourner celui qui est défectueux. L'utilisateur profite donc d'un service très rapide et, surtout, sans frais. Par ailleurs, l'endurance sur cette version de 512 Go est annoncée à 296 To, ce qui est assez important puisque cela représente 162 Go de travaux...