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Nous avons réuni 2 tests du WeSC Bongo. Les experts notent WeSC Bongo 7/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du WeSC Bongo et d'autres Casque WeSC.
WeSC, pour We are the Superlative Conspiracy, est une marque de vêtements sportswear suédoise. Ce fut une des premières à lancer sur le marché, voici quelques années, des casques audio fashion et à avoir anticipé la tendance actuelle. Si quelques-uns de ses modèles sont à éviter, nous pensons (entre autres) au Maraca dont la qualité sonore est exécrable, d'autres sont plus intéressants comme l'Oboe ou le Bongo. Le Bongo que nous testons ici est un grand classique de WeSC (tout comme l'Oboe d'ailleurs), une valeur sûre, indémodable, au catalogue depuis plusieurs années, s'habillant à chaque saison de nouveaux coloris. Sa construction un peu à l'ancienne est basique, mais solide. L'armature est faite de tiges et lames métalliques et le serre-tête est un simple bandeau de plastique. Le confort qui en découle est donc minimaliste. Cependant, le Bongo a pour qualité d'être assez léger et la peau plissée des coussinets de ses haut-parleurs laisse respirer les oreilles sans les échauffer.L'aspect fonctionnel n’a pas non plus été oublié. Le Bongo possède un cordon de 0,5 mètre et il est livré avec une rallonge qui peut être remplacée par un câble optionnel avec microphone permettant de prendre les appels téléphoniques.
Classique parmi les classiques, le Wesc Bongo est une véritable institution. Décliné en une infinité de tons et de motifs, les diverses discussions à son sujet le présentent avant tout comme un bel objet avant d’être un bon casque. Mais, si tant de gens semblent subjugués par cet accessoire, le son doit forcément en être une des raisons, non ? Ou tout du moins ne doit pas handicaper l’argument du design et le laisser naviguer seul. Vérifions cela tout de suite sans oublier de bien présenter la bête.Ah, Wesc. Collectif Suédois de gentils riders insouciants devenus chef de file d’une révolution dans le paysage audio nomade. Le mouvement était prêt, cela depuis des années. Il attendait son heure, laissant les mastodontes Allemands, Japonais et Américains continuer à se partager seuls un gâteau encore bien maigre. Grandissant, certes, mais majoritairement laissé à une frange audiophile. Puis en un instant tout s’est emballé. Monster, Skullcandy, Wesc, chacun dans l’optique non pas de conquérir un marché, mais de le réinventer, d’y apposer l’empreinte du design, de capter une cible infiniment plus large et versatile.L’école scandinave n’avait déjà plus rien à prouver en la matière, son expérience centenaire nous assurait une réussite totale, à base de design rétro, de lignes épurées, de légèreté.