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Dans la jungle des (trop) nombreux claviers pour joueurs, Razer essaye de se démarquer avec ce tout nouveau Huntsman V2 Analog doté d'interrupteurs optiques et analogiques. Vraie révolution ou pétard mouillé, réponse dans notre test complet. Le clavier gamer Razer Huntsman V2 Analog, disponible pour 269,99 euros, reprend le même design que le Huntsman Elite sorti il y a maintenant 2 ans en lui apportant quelques évolutions ergonomiques appréciables. La vraie nouveauté se cache sous les touches maintenant équipées d'interrupteurs optiques et analogiques. Ces nouveaux interrupteurs apportent avec eux leur lot de nouveautés au niveau du fonctionnement même du clavier qui pourra se comporter comme un joystick de manette ou une gâchette. On vous explique tout dans ce test complet après quelques semaines d'utilisation. Pas de réelle surprise au déballage du clavier qui reprend tout simplement le même design que le Huntsman Elite sorti il y a plus de deux ans. À l'intérieur de la boite, on retrouve logiquement le clavier, accompagné de son épais repose-poignet, quelques documentations et un adaptateur USB C vers USB type A. Le Huntsman V2 Analog de Razer est construit autour d'un châssis en plastique dur sur lequel est installée une plaque en métal. Comme souvent dans cette configuration, les interrupteurs reposent directement sur cette plaque. Tout comme le BlackWidow V3 que nous testions dernièrement, ce nouveau modèle offre un design relativement simple et passe partout. La seule excentricité se retrouve sur les tranches du clavier qui sont parcourues par une bande lumineuse personnalisable comme on pouvait trouver sur le Corsair K100 par exemple. Razer utilise ici des touches en PBT à double injection, permettant à ces dernières d'être plus durables et résistantes. On retrouve logiquement le toucher assez granuleux de cette matière qui évite notamment d'attraper trop facilement les traces de graisse. Les touches profitent logiquement d'un éclairage RGB unitaire et personnalisable qui manque franchement de puissance. L'illumination est tout juste suffisante pour bien éclairer les caractères dans une pièce lumineuse. Les caractères sont par contre très lisibles, mais on regrette là encore le choix fait par Razer de ne pas « découper » les caractères secondaires des touches, ce qui les rend invisibles dans le noir puisqu'ils ne profitent pas de l'éclairage intégré aux interrupteurs. Dommage. Au-delà des 104...