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Vous le savez, la Chine, c'est l'usine du monde. Ils sont très largement présents, pour ne pas dire quasi monopolistiques, sur le hi-tech. Ils travaillent pour les plus grandes marques, sous forme de sous-traitance. Il n'est pas même nécessaire de tenter de citer les dites marques, le catalogue serait trop long. Un exemple parmi d'autres, Foxconn, qui travaille pour Apple, vient de commercialiser son propre petit téléphone qui, sur les forums spécialisés, emballe les foules car pour 100 euros, nous avons là un excellent téléphone. Somic décide de faire de même dans un domaine plus proche de nous, plus proche de nos préoccupations de gamers : les casques. En effet, Somic, qui travaille pour d'autres marques, lance sa propre marque : Easars. De façon à découvrir un peu la gamme, nous avons reçu deux modèles. Nous commencerons aujourd'hui par le Vortex. Force est de constater que le packaging ne comporte rien de particulièrement asiatique. Easars propose un emballage aux codes esthétiques classiques. Le casque est largement présenté sur la face avant, toutes diodes allumées. Au dos, nous retrouvons quelques explications techniques accompagnées des spécifications techniques. Le casque est livré avec une petite pochette cartonnée qui contient le bundle : un guide de l'utilisateur, tout le laïus relatif aux clauses de garantie ainsi qu'un topo chinois et un petit CD de pilotes.Finalement, le casque, sorti de son emballage, bénéficie d’un look, somme toute, plaisant. La finition n’appelle pas franchement de critiques au premier regard. En effet, l’ensemble est bien fini de manière générale. Toutefois, sans remettre en cause la finition, en y jetant un œil plus circonspect, il s’avère que c’est plus le côté plastique, trop plastique que le casque marque le pas. Exemple concret : les pivots sont en plasticier, et c’est assez visible. L’arceau opte pour une forme assez connue : deux tringles métalliques gainées de caoutchouc noir, insérées dans une partie de plastique noir, un bandeau, skaï badgé sur la face extérieur et tissu maillé sur la face interne. Deux pièces, à nouveau en plastique aspect laqué noir, maintenues solidaires par une vis, reçoivent les fils d’acier gainés translucides qui feront office de suspension, liées à des élastiques. De chaque côté, deux pivots en plasticier fixent les oreillettes à l’arceau. Ils autorisent une petite liberté angulaire, quelques degrés. Le look...