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Nous avons réuni 4 tests du Wiko Birdy 4G. Les experts notent Wiko Birdy 4G 6.3/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Wiko Birdy 4G et d'autres SmartPhone Wiko.
De la 4G à un prix plancher et en petit format, voilà le pari qu'a fait Wiko avec son Birdy. Sorti au milieu de l'été 2014, toujours disponible, le smartphone se veut être la porte d'entrée dans le monde du haut débit mobile pour les plus petites bourses. Le Birdy s'avère à la fois étonnant et frustrant. Les smartphones aux alentours de 100 € font souvent un véritable numéro d'équilibriste. Il s'agit de proposer une expérience digne de l'appellation « smartphone » tout en faisant un maximum d'économie sur le matériel et le développement. Pour Wiko, cet équilibre s'appelle Birdy, un smartphone voulu équilibré et compatible 4G. On trouve dans le Wiko Birdy un processeur Mediatek MT6582 aux quatre cœurs cadencés à 1,3 GHz, accompagné de 1 Go de RAM et 4 Go de mémoire interne (extensible via microSD jusqu'à 32 Go). L'écran tactile IPS de 4,5 pouces (11,4 cm de diagonale) affiche une définition de 480 x 854 px, ce qui lui permet d'afficher une densité de 218 pixels par pouces sur 63 % de la face avant de l'appareil. Côté photo, on retrouve une caméra 5 Mpx à l'arrière et un capteur de 2 Mpx à l'avant du téléphone. Il faudra compter sur Android 4.4.2 (KitKat) pour animer la bête ainsi que sur une batterie de 2000 mAh pour alimenter le tout. Le Birdy est en vente autour de 100 € dans toutes les bonnes crémeries du web. Les lignes du Birdy ne sont pas exactement révolutionnaires. Néanmoins, le revêtement de la coque est agréable au toucher même si son côté parfaitement lisse lui donne un côté savonnette plutôt préjudiciable. Son écran de 4,5 pouces ravira les amateurs de mobile petit format et facile à manipuler à une main, mais l'on regrette tout de même les larges bordures tout autour qui réduisent la place occupée par l'écran à un maigre taux de 63 %. La faute partiellement imputée aux boutons sensitifs sur la tranche inférieure qui, même en 2014, ne correspondait déjà plus aux codes ergonomiques d'Android. Malheureusement, on se rend bien vite compte que les finitions n'ont pas été particulièrement soignées sur le Birdy. La coque grince à la moindre pression sur les tranches latérales et il est même possible d'enclencher le bouton On/Off si l'on serre l'appareil un peu trop fort en dessous de celui-ci. Le téléphone a cependant le bon goût de ne jamais chauffer plus que raison, lors d'opération lourde la tranche supérieure se fera un peu réchauffe-main, mais rien d'handicapant...
Smartphone passe-partout, le Birdy possède un design vu et revu mais qui a au moins le mérite d'être consensuel. Libre à vous de choisir un coloris qui le fera sortir du commun (Fuchsia, Jaune, bleu, blanc…). La prise en main est agréable grâce à des dimensions contenues (132 x 67 x 9.6mm) mais aussi à la coque « uni-body » en plastique qui s'avère confortable et douce au touché. Comme prévu la finition n'est pas fabuleuse, il est possible d'infliger des flexions à la coque ou d'entendre quelques craquements en serrant l'appareil entre nos doigts, mais rien de rédhibitoire. Bon point surtout pour un produit qui se veut accessible, la coque est amovible et donne un accès rapide à la batterie de 2000 mAh ainsi qu'aux ports micro SIM et micro SD (carte jusqu'à 32 Go) pour étendre les 4 Go en interne. Un écran IPS qui manque de définition Contrairement aux précédentes générations, Wiko a eu la riche idée d'équiper son Birdy d'un écran LCD IPS. Hélas, ce dernier possède une qualité assez médiocre notamment comparé à un qui est doté du même type de dalle. Les angles de vision sont moyens et laissent apparaître un voile blanc, de plus la résolution FWVGA est pour le moins faiblarde avec seulement 854 x 480 pixels.
Wiko nous présente le modèle Birdy qui fait partie de son nouveau catalogue dans les entrées de gamme. Pour 129 euros, cette désormais célèbre société marseillaise vous propose un terminal 4G. Une alternative supplémentaire aux Wiko Kite et Wiko Rainbow, offrant également la possibilité d'une connexion internet à débit rapide. Mais cette avalanche de produits très semblables, a-t'elle vraiment son utilité ? Il faut croire que oui, puisque les goûts des consommateurs sont encore très différents, notamment sur la taille de l'écran. Bien que les diagonales de 5 pouces soient désormais largement démocratisées, elles sont encore loin de faire l'unanimité. Sur le papier, ce Wiko Birdy nous fait la promesse d'un smartphone équilibré, en performances et en confort. Les entrées de gamme Wiko se suivent, mais se ressemblent-ils vraiment ? L'esthétique générale est encore une fois caractéristique de cette nouvelle gamme de Wiko. Un design certainement un peu trop simple mais efficace à l'utilisation. Ce Birdy comme ses petits frères manque de sex appeal. Heureusement Wiko décline cette nouvelle collection de différentes couleurs assez flashy en passant du violet « disco » au jaune « poussin ».
Wiko poursuit son entreprise de démocratisation de la téléphonie mobile. Si le Birdy n'est pas le terminal le moins cher de la gamme, il coûte en effet 30 euros de plus que le Kite, il ne se limite pas aux basiques de la téléphonie. La preuve avec son processeur quatre coeurs et la possibilité de surfer en 4G. Que vaut ce mobile en termes de performances ? Voici notre test. Le Wiko Birdy entend garantir une expérience utilisateur fluide. Pour mener à bien cette tâche, il embarque la version 4.4 d'Android et la promesse est tenue : les pages Web se chargent rapidement et le smartphone se montre réactif. Dommage que la fluidité de navigationne soit pas exemplaire, mais à ce niveau de prix, cela reste supportable. Le processeur quatre coeurs Cortex-A7, cadencé à 1,7 GHz, est loin d'être le meilleur élève au jeu des benchmarks, mais à l'usage, nous n'avons pas été gênés par des ralentissements ou des temps de chargement trop longs. La grande majorité des jeux tourne correctement. Android 4.4 renforce ce sentiment de fluidité. Exit les surcouches logicielles, la plateforme est présente dans sa version d'origine.