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Nous avons réuni 5 tests du HTC Desire 626. Les experts notent HTC Desire 626 5.6/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du HTC Desire 626 et d'autres SmartPhone HTC.
En marge de ses haut de gamme tels que les One M9 et One A9, HTC a pris soin cette année d'étoffer considérablement son milieu de gamme, composé de modèles estampillés "Desire". Nous testons aujourd'hui le Desire 626, un smartphone qui propose une fiche technique somme toute classique. Même s'il porte le même nom dans plusieurs pays, le HTC Desire 626 a vu ses caractéristiques évoluer en fonction des marchés sur lesquels il est proposé. Ainsi, la version européenne que nous testons ici s'offre plusieurs améliorations en comparaison de celle qui sévit en Amérique du Nord, par exemple. Sa fiche technique comprend en effet un écran IPS HD de 5" (1280 x 720 px), un SoC Qualcomm Snapdragon 410, 2 Go de mémoire vive (RAM), une puce graphique Adreno 306, 16 Go de mémoire interne (+ microSD), un capteur photo de 13 Mpx en frontal, un autre de 5 Mpx en façade, toute la connectivité habituelle (4G Cat 4, Wi-Fi, GPS, etc.), à l'exception notable du NFC, et une batterie de 2000 mAh non amovible. L'ensemble pèse 135 g pour des dimensions des 146,9 x 70,9 x 8,19 mm et tourne sous Android 5.1 Lollipop, sur lequel le fabricant a ajouté son habituelle interface Sense, ici présente en version 7.0. Le HTC Desire 626 est disponible au prix public conseillé de 264,99 €. Au premier coup d'œil, on reconnait la patte de HTC dans le design de ce Desire 626. On retrouve en effet les deux grilles de haut-parleurs en façade, adopté par le fabricant sur la majorité de ses modèles depuis plus de deux ans. Néanmoins, la version gris anthracite que nous avons eue entre les mains affiche une mine assez tristounette. Elle plaira aux adeptes de lignes sobres et épurées, mais nous trouvons qu'elle manque vraiment d'âme. Bien sûr, cela reste uniquement une question de goût. Pour le reste, HTC a utilisé uniquement du plastique pour l'ensemble de la coque. Il s'agit ici d'un matériau de bonne facture, qui dégage une belle impression de solidité, et qui ne prête pas le flanc à la critique. En revanche, le taux famélique d'occupation de la face avant par l'écran est de 66 % seulement. Car bien que les trois touches de commande de l'OS soient directement intégrées dans l'interface, le logo du constructeur et les haut-parleurs font perdre de précieux centimètres.
La fin de l'année a beau être encore assez loin, il ne fait désormais plus beaucoup de doute qu'elle s'est avérée difficile pour HTC. Entre un One M9 aux ventes médiocres, des résultats financiers en berne et des smartphones de milieu de gamme peu convaincants, l'ancien leader des smartphones Android peine à retrouver la croissance et surtout son dynamisme d'antan. Le voilà donc aujourd'hui de retour avec un nouveau smartphone, le HTC Desire 626, qui vient tenter sa chance sur le créneau de l'entrée de gamme. HTC va-t-il réussir à bouleverser ce marché ô combien concurrentiel ? La réponse se trouve dans ces lignes. Un peu d'histoire avant de commencer. Un petit détour par nos archives nous indique que la première apparition du HTC Desire 626 remonte à février dernier, soit il y a plus de 7 mois. Dans sa version taïwanaise, le Desire 626 s'avérait être un smartphone d'entrée de gamme avec des caractéristiques très correctes et un prix inférieur à 200 euros. En février dernier, en France, aucun smartphone ne pouvait se targuer de posséder un rapport qualité-prix aussi bon. Allez savoir pourquoi, HTC a attendu le mois de septembre pour le lancer en France. Une commercialisation qui s'est accompagnée de moult communication et publicité. Sur le papier, le HTC Desire 626 se présente comme un smartphone d'entrée de gamme typique. On y trouve un écran HD, un SoC Snapdragon 410, 2 Go de RAM (ce qui est plutôt atypique pour le coup), une petite batterie de 2000 mAh et un capteur dorsal de 13 MP. Ce genre de smartphone se retrouve aujourd'hui en France aux alentours de 150 euros. Et c'est bien là le problème, puisque le HTC Desire 626 est vendu au prix conseillé de… 300 euros. Chez nous, on appelle ça se tirer une balle dans le pied. Parler de design de smartphones de HTC s'avère toujours très simple. C'est facile, il s'agit du même design que le précédent téléphone de la même gamme, à ceci près que la marque taïwanaise a légèrement déplacé les capteurs photo. Ici, en l'occurrence, il s'agit d'une version modifiée du Desire 620, sorti en début d'année en France et du Desire Eye, sorti en fin d'année dernière. Le Desire 626 n'est donc clairement pas un modèle d'originalité et encore moins de renouveau pour la marque. Pour autant, si l'on peut très facilement critiquer le manque d'imagination de HTC, on ne peut pas reprocher au Taïwanais de ne pas faire des smartphones très ergonomiques. Le Desire 626...
Au côté de sa célèbre gamme One, HTC s'évertue à proposer des terminaux moins onéreux, aux alentours de 300 euros dans sa gamme Desire. Il y a eu plusieurs incursions parfois avec un certain succès, mais au fil des années, le segment semble de plus en plus bouché, et de plus en plus concurrentiel. Difficile de faire son trou, même pour une grande marque comme HTC à l'heure où certains fabricants se sont justement fait une spécialité de couvrir ce marché. On pense notamment à Huawei, via sa filiale Honor et son récent 7, et bien d'autres de ses compatriotes. L'empire du Milieu n'a toutefois pas le monopole, à l'exception d'Apple, tous se sont positionnés d'une façon ou d'une autre dessus. HTC revient en cette rentrée avec le Desire 626, successeur donc du 620 de l'année dernière. Desire oblige, la firme reprend la marque de fabrique de cette ligne en abandonnant l'aluminium au profit d'une robe en plastique "soft touch". Chose que vient immédiatement placer le téléphone dans une gamme inférieure, alors que d'autres constructeurs ont adopté le métal sur ce segment de prix. HTC arrive-t-il malgré tout à leur faire de l'ombre ? Réponse dans ce test. Le plastique ce n'est franchement pas fantastique Disons-le d'emblée, à l'heure où l'aluminium tend à se généraliser, le plastique commence à faire franchement tache. Toutefois, il faut reconnaître que la matière choisie par HTC n'est pas franchement déplaisante au toucher. Il surtout fâcheux de remarquer que la solidité du téléphone n'est pas vraiment au rendez-vous. Sous la pression, le téléphone a tendance à se tordre de manière assez inquiétante. À n'en pas douter, dans une poche arrière, mieux vaut ne pas s'asseoir dessus sous peine de se retrouver avec un téléphone plié ou pire, brisé. On note par ailleurs que le plastique adore les traces de doigts. Apprécions tout de même les 135 grammes qui en font téléphone relativement léger pour une diagonale de 5 pouces, mais un peu épais avec 8,19 mm. Reste enfin un problème récurrent sur la gamme Desire, ces caches en plastique recouvrant les emplacements SIM et SD, ainsi qu'un deuxième emplacement SIM... condamné (et donc inutilisable) sur notre modèle français. L'emplacement est visiblement réservé à d'autres marchés. Dans la mesure où il est là, on se demande bien pourquoi HTC a décidé de ne pas laisser la possibilité d'avoir deux cartes SIM, d'autant que cela donne au consommateur le...
Avec le Desire 626, le constructeur HTC promet une vie en haute définition avec un appareil photo 13 Mpixels et un écran 5 pouces HD 720p. Selon le constructeur, ce smartphone 4G est le meilleur des modèles abordables, positionné sous la barre des 300 euros. Voyons dans le détail si les promesses sont tenues. Le Desire 626 se prend bien en main mais son design fait la part belle au plastique avec une coque brillante qui se révèle sensible aux traces de doigts. Seule consolation, nous avons le choix entre quatre couleurs (blanc, noir, rouge, bleu). Les séries de petits trous placés en haut et en bas laissent penser qu'il y a deux haut-parleurs, comme sur le One M9, mais hélas il n'en est rien. Le Desire 626 ne comporte qu'un seul haut-parleur et délivre un son de qualité moyenne. Il est possible de retirer la coque mais la batterie n'est pas amovible. De plus, l'insertion de la carte nano SIM s'effectue en retirant un cache placé sur le côté droit. Le cache donne également accès au lecteur microSD (jusqu'à 128 Go) pour augmenter la mémoire interne de 16 Go, dont seulement 7,5 Go sont disponibles pour l'utilisateur. En revanche, le smartphone n'accepte pas les clés USB OTG. L'écran 5 pouces offre une définition suffisante (720 x 1280 pixels), de bons angles de vision et un taux de contraste satisfaisant (1103 pour 1). Il manque juste de luminosité (419 cd/m²) pour une utilisation à l'extérieur, en particulier en plein soleil. Nous avons apprécié la bonne réactivité et la fluidité de l'interface. Pas de problème pour utiliser Android 5.1, et HTC apporte deux fonctions pratiques : Sense Home et BlinkFeed. Le Widget Sense Home n'affiche sur l'écran d'accueil que les applis dont on a besoin, notamment en fonction de l'endroit où nous nous situons : travail, domicile ou ailleurs. Pratique, BlinkFeed affiche sur l'écran d'accueil, sous formes de vignettes, les fils d'actualités et de réseaux sociaux. Au cœur du Desire 626 se trouve un processeur quadricoeur Snapdragon 410 à 1,2 GHz et 2 Go de mémoire vive. Il offre une puissance suffisante pour la plupart des applications, voire pour les petits jeux. En revanche, il aura du mal à offrir une bonne fluidité d'affichage avec un jeu 3D gourmand en ressources. Ainsi, il obtient avec le test Epic Citadel un score moyen de seulement 30,8 images par seconde. Côté autonomie, les résultats sont satisfaisants en communication (15 h 30 min) et pour surfer sur le Web (près de 10...
Il y a deux semaines, juste avant l'ouverture de l'IFA de Berlin, HTC annonçait l'arrivée en France du Desire 626, un smartphone entrée de gamme qui reprend le flambeau du Desire 620. Le prix public annoncé est alors 299 euros. Nous avions alors deux remarques face à ce produit. D'abord le délai entre la sortie asiatique et européenne : le mobile est proposé depuis le début de l'année à Taïwan, alors qu'il a fallu attendre la fin de l'été en Europe. Ensuite le prix. Pourquoi positionner un mobile entrée de gamme à ce prix, notamment quand la concurrence est aussi forte sur ce segment de prix (et même sur celui en dessous) ? Et pourquoi multiplier par deux le prix du Desire 626 entre l'Asie et la France. À Taïwan, il est positionné à 170 euros et à Beijing il est proposé à 180 euros. Adaptation locale À la première question, nous avons un semblant de réponse. Les plates-formes taïwanaise, chinoise, américaine et européenne ne sont pas les mêmes, d'où un certain temps de développement pour chacune. La version américaine repose sur un Snapdragon 210 et 1,5 Go de RAM. La version chinoise sur un MediaTek MT6752 et 2 Go de RAM. La version taïwanaise sur un Snapdragon 410 et 1 Go de RAM. Et chez nous ? Voyez donc la liste des caractéristiques techniques ci-dessous : Le Desire 626 français, compromis entre la version taïwanaise et chinoise, n'est pas un mauvais produit en soi, comme nous le verrons. La recette du Desire 620 se voit même améliorer en plusieurs points : plus de stockage, plus de RAM, des dimensions plus réduites et un meilleur capteur photo. Mais il est clairement trop cher, à l'image du Wiko Highway Pure, testé dans nos colonnes et disposant de caractéristiques techniques similaires. Le Moto G 3e gen est vendu 229 euros avec 16 Go de stockage et 2 Go de RAM également. Un design soigné Après cette présentation, faisons le tour du propriétaire. Le châssis du Desire 626, en polycarbonate mat assez élégant, s'appuie sur le langage ergonomique habituel de la marque taïwanaise (avec ces larges bordures autour de l'écran si caractéristiques). De face il reprend le design du Desire 620 avec les deux grilles de haut-parleur entourant la dalle tactile. Notez, en parlant de ces deux grilles qu'il ne s'agit pas ici d'un couple de haut-parleurs Boomsound, comme nous pourrions en trouver sur des modèles HTC plus haut de gamme. Seule la grille inférieure cache un haut-parleur, l'autre étant simplement...