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Nous avons réuni 6 tests du Alcatel Idol 4S. Les experts notent Alcatel Idol 4S 8.1/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Alcatel Idol 4S et d'autres SmartPhone Alcatel.
Si vous n'aviez jamais songé à acheter un smartphone Alcatel, l'Idol 4S et sa finition en métal et en verre est là pour vous faire changer d'avis. Ce smartphone a, sur le papier, tout ce qu'il faut pour séduire le grand public : grand écran, qualité audio excellente, capteur photo/vidéo 16 mégapixels, caméra frontale 8 mégapixels avec flash, bouton dédié pour lancer les applications, lecteur d'empreintes digitales et affichage qui se met toujours dans le bon sens quelle que soit la manière dont on saisit le téléphone. Avec un prix agressif et une fiche technique impressionnante, cet Idol 4S rivalise avec le OnePlus 3, l'un des smartphones de référence de la rédaction de CNET. À 450 euros, c'est un très bon smartphone milieu de gamme, mais il est plus cher que l'Idol 3 qui était La bonne affaire de l'année dernière. Alcatel compense en fournissant des accessoires : un film de protection pour l'écran, un casque de réalité virtuelle et des écouteurs JBL. Problème, le film altère la lisibilité et l'on préfèrerait économiser de l'argent sur le prix plutôt que de se retrouver avec une plateforme de réalité virtuelle que l'on n'a pas choisie. On peut acheter l'Idol 4S directement sur le site d'Alcatel, mais l'on peut aussi le trouver pour quelques dizaines d'euros de moins auprès d'autres marchands.Prise en main La première réaction que l'on a en prenant l'Idol 4S en main est de le trouver beau. Sa finition faite de métal et de verre n'est pas sans rappeler celle de l'iPhone 4, mais en nettement plus fin.La Boom key : c'est un bouton programmable qui permet de lancer des applications, comme l'appareil photo. Sur le papier l'idée est excellente, mais en pratique, nous n'avons pas cessé de prendre des photos accidentellement. Cette touche recèle un autre petit secret. Lorsque l'on reçoit un appel, il suffit d'appuyer dessus pour activer un mode de réduction du bruit qui améliore la qualité de la voix. Ça marche très bien, mais l'on se demande pourquoi cette fonction n'est pas active en permanence. D'autant qu'à part une légère vibration, on ne sait pas trop quand le système est en service. Du coup, il nous est arrivé de presser plusieurs fois la touche sans savoir si nous avions allumé ou éteint la réduction de bruit. L'appareil photo : les clichés sont globalement colorés et lumineux, avec de superbes contrastes. Sous un bon éclairage, la mise au point automatique est rapide et précise.
À Barcelone, Alcatel a présenté, comme en 2015, deux versions de son nouveau porte-étendard, l'Idol 4. Si la version classique peut paraître moins ambitieuse, la version « S » semble montrer de belle manière, qu'Alcatel (et TCL) ne compte pas rester dans l'ombre de ses compatriotes. L'année dernière, nous avions été agréablement surpris par l'Idol 3, notamment la version 5,5 pouces, et son design réversible, le mobile pouvant se tenir dans un sens comme dans l'autre. Une innovation technologique accompagnée d'une fiche technique milieu de gamme de bonne allure (écran Full HD, capteur Sony, haut-parleur optimisé par JBL, batterie 2910 mAh, etc.) qui n'impliquait aucun surcout puisque le smartphone était proposé à un prix inférieur à 250 euros (hors promotion). Une proposition équilibrée sur laquelle Alcatel (dépourvu de OneTouch) s'est appuyée pour présenter l'Idol 4 et l'Idol 4S. Un successeur à l'Idol 3 (5.5) très ambitieux Le premier remplace l'Idol 3 (4,7), tandis que le second succède à l'Idol 3 (5,5) qui nous avait tant surpris en 2015, avec tout ce que cela implique comme changement dans la fiche technique. En effet, comme l'année dernière, la plate-forme du petit Idol 4, basée sur un Snapdragon 617, est clairement en retrait face à celle de son grand frère. En voici un rappel complet : Comparez au grand Idol 3, l'Idol 4S offre des améliorations dans tous les recoins que ce soit le châssis, l'écran, le chipset, la RAM, la batterie, le capteur photo principal et même la connectivité qui a été remise au gout du jour (versions plus récentes du WiFi et du Bluetooth). Tous ces changements, ainsi que la boîte dans laquelle le smartphone est vendu, un casque de réalité virtuelle type Gear VR, justifient la hausse du tarif de près de 200 euros, puisque le mobile est commercialisé 449 euros dans toutes les bonnes crèmeries. Mais est-ce que cela se justifie aussi lors de son utilisation ? Car associer un écran Quad HD avec un Snapdragon 652 est une première (au moins dans nos colonnes). Reversible et premium Avant d'aborder la fluidité du système et les performances de la plate-forme, faisons un premier tour du propriétaire. Nous remarquons rapidement qu'Alcatel a délaissé ici le plastique pour des matériaux beaucoup plus premium : le châssis en aluminium est pris en sandwich par deux plaques de verre minéral.
Avec l'Idol 4S, Alcatel tente une montée en gamme. Pour résumer, il s'agit d'une version ++ de l'Idol 4. La boîte qui se transforme en casque de VR est toujours de la partie. Pour résumer, l'Alcatel Idol 4S est une version gonflée aux hormones de l'Idol 4, séduisant milieu de gamme. Avec ce modèle, le fabricant tente de s'incruster dans le haut du panier des appareils de milieu de gamme. En témoigne le prix du mobile : 449 €. Pour justifier un tel tarif, Alcatel a doté son smartphone d'une assise technique séduisante. Dalle AMOLED de 5,5 pouces (définition 2560 x 1440 pixels), 3 Go de mémoire vive, 32 Go d'espace de stockage (extensible jusqu'à 512 Go), processeur octuple-coeur capable d'offrir un niveau de fluidité optimal, et ce même avec les tâches les plus gourmandes. Notez que comme avec l'Idol 4 Plus, l'Alcatel Idol 4S est livrée avec sa boîte qui se transforme en casque de réalité virtuelle. Le design premium répond aussi présent. L'Alcatel Idol 4S est recouvert de verre. Le mobile est cerclé d'aluminium. Le résultat est du plus bel effet. Notez que l'appareil n'embarque pas de capteur d'empreintes digitales. Avec un tel tarif, l'Alcatel Idol 4S vient se frotter aux piliers du milieu de gamme que sont le Meizu Pro 6 ou encore le OnePlus 3. Outre son casque de réalité virtuelle “cadeau”, l'Alcatel Idol 4S ne manque pas d'arguments pour séduire. Il est apte à assurer un niveau de fluidité exemplaire. Son espace de stockage conséquent vous permettra d'installer en masse des applications, et ce dès l'allumage du mobile, pas besoin d'investir dans une Micro-SD dès le début. Pour autant, le mobile n'est pas parfait. Le capteur photo a du mal à saisir des clichés nets en basse luminosité. L'autonomie n'est pas aussi intéressante que celle de l'Idol 4 (sûrement à cause de l'écran plus gourmand). Enfin, il y a beaucoup d'applications préinstallées, ce qui influe l'utilisateur débutant dans le choix de ses utilitaires. Au regard de ces défauts que l'on peut qualifier de mineurs, l'Alcatel Idol 4S est certainement l'un des smartphones de milieu de gamme les plus équilibrés.
Après l'Idol 4 testé il y a quelques jours, c'est maintenant au tour de l'Idol 4S de s'inviter à la rédaction. Sa fiche technique assez alléchante sera-t-elle à la hauteur des attentes suscitées ? Réponse au fil du test. Annoncé en même temps que l'Idol 4 lors du Mobile World Congress de Barcelone en février dernier, l'Idol 4S est la star de la gamme d'Alcatel. Ce smartphone représente en effet la première incursion du constructeur dans les modèles à plus de 400 euros, soit le haut du panier pour le milieu de gamme. Évidemment, pour justifier cette montée en gamme, le fabricant a doté son dernier-né d'une fiche technique à la mesure de ses ambitions. On y retrouve ainsi un écran Amoled de 5,5" WQHD (2 560 x 1 440 px), une puce octocœur Snapdragon 652 (4 cœurs Cortex-A72 à 1,8 GHz & 4 cœurs Cortex-A53 à 1,4 GHz), 3 Go de mémoire vive (RAM), une puce graphique Adreno 510, 32 Go de mémoire interne, des capteurs photo de 16 Mpx (principal) et 8 Mpx (frontal) et une batterie de 3 000 mAh. Toutes les connectivités du moment telles que la 4G+ (cat 6), le NFC, le Wi-Fi ac et le Bluetooth 4.2 sont de la partie. L'ensemble tient dans des dimensions de 153,9 x 75,4 x 7 mm (149 g) et tourne sous Android 6.0 Marshmallow. L'Alcatel Idol 4S est disponible au prix public conseillé de 449 €. Il est livré dans une boite en plastique qui se transforme ensuite en véritable casque de réalité virtuelle. À peu de choses près, le design de l'Idol 4S est identique à celui de l'Idol 4. On retrouve donc ici les mêmes lignes épurées, l'avant et l'arrière en verre organique, le contour en aluminium qui donne du cachet à l'ensemble, ou encore le léger décroché entre ce contour et le reste de la face avant. Pour un look classieux et réussi au final. Le 4S disposant d'un écran plus grand que le 4 (5,5" contre 5,2"), il se montre logiquement un peu plus imposant. Tout en restant dans la norme pour une phablette. D'autant plus que son poids se montre lui assez léger pour la catégorie, à 149 g. Avec 72 %, le taux d'occupation de la face avant par l'écran n'est pas le meilleur qui soit, mais cela ne gêne pas ici, car personne ne s'attend à pouvoir manipuler facilement une phablette d'une seule main. Passons maintenant aux sujets qui fâchent. Et principalement à la touche "Boom", située sur le côté droit de l'appareil, dont nous vous avions détaillé les fonctions dans le test de l'Idol 4. Nous disions alors d'elle qu'elle était...
Lors du MWC 2015, Alcatel (OneTouch, à l'époque) a présenté un Idol 3 qui a laissé de très bonnes impressions. À l'époque, le constructeur a décliné le smartphone en deux tailles - 4,7 et 5,5 pouces - mais il a voulu marquer encore plus la différence cette année avec l'Idol 4 et l'Idol 4S, aux caractéristiques bien différentes. Le 4S est le mieux équipé, et c'est justement celui que l'on décortique dans ce test. L'an passé, l'Idol 3 s'est montré plutôt bon côté construction, et on s'attendait évidemment à encore mieux cette année avec l'Idol 4S. Et Alcatel remplit une partie du contrat en optant pour des matériaux de meilleure qualité, puisqu'on retrouve une tranche métallique, et des surfaces en verre. Ce cerclage en aluminium brossé semble d'ailleurs tout droit sorti de la même usine que celui d'un Samsung Galaxy S7, si ce n'est que les différents ports se placent d'une autre manière. Mais comme l'Idol 3, ce smartphone laisse apparaitre des grilles de haut-parleur en haut et en bas, et quelle que soit la face visible, et qui ne sont pas à la même hauteur que la démarcation du début de l'écran. Vous m'accorderez que la chose est difficile à décrire, et l'impression visuelle laissée est celle d'un smartphone encore plus grand qu'il ne l'est déjà (153,9 x 75,4 mm). Voilà qui joue aussi sur le ratio écran-façade, qui n'est ici que de 71,9 %. L'idée la plus farfelue qu'ont eue les concepteurs de cet Idol 4S, c'est d'intégrer le bouton Boom Key sur la tranche droite, pile à l'endroit où l'on s'attend à avoir le bouton d'allumage. Ah, justement, le bouton d'allumage se trouve quant à lui tout en haut de la tranche gauche, autant dire là où il est presque inaccessible à moins d'avoir les mains de Lebron James. Le problème d'ailleurs, c'est qu'il est possible d'utiliser le bouton Boom Key comme bouton d'allumage - mais pas pour éteindre et verrouiller l'écran - et qu'il existe d'autres fonctions (on le verra plus tard) plus pertinentes à lui attribuer. Bref, voilà qui gâche franchement la prise en main de ce mobile. Parce que l'arme cachée de cet Idol 4S, c'est qu'il est possible de répondre au téléphone en le prenant dans n'importe position. Pratique lorsqu'on saisit, par exemple, le téléphone en pleine nuit, l'écran se retournant pour nous laisser parler comme on le souhaite. Cela veut aussi dire qu'on peut parler et entendre côté coque, mais on a plus de mal à comprendre comment on peut se...
Avec l'Idol 3 sorti il y a un an, Alcatel avait placé son smartphone parmi les meilleurs modèles à moins de 250 euros. Avec ce nouvel Idol 4S, le constructeur chinois voit plus haut et affiche un prix de 450 euros. Est-ce justifié ? A gauche l'Idol 3, à droite, l'Idol 4S. En sortant l'Idol 4S de sa boîte, son design ne donne aucun doute sur la finition plus haut de gamme du modèle. L'avant et l'arrière de l'appareil sont tout en verre, tandis les tranches sont en métal. Les côtés droits et gauches sont arrondis pour mieux tenir en main (façon Galaxy S7). En haut et en bas du téléphone un léger décroché fait apparaître deux rangées de perforations permettant au son de sortir du haut-parleur et d'entrer dans le micro. Signalons également la finesse de l'appareil : seulement 7 millimètres. En revanche l'objectif photo dépasse légèrement du dos, ce qui nous rappelle cette fois-ci le Samsung Galaxy S6, par exemple. Aucun doute, Alcatel a réussi son coup sur le point du design. On regrette en revanche le placement du bouton de verrouillage. Il est situé tout en haut de la tranche gauche et difficilement accessible. Il fait d'ailleurs doublon avec un autre bouton plus proéminent, placé au beau milieu de la tranche droite. Un appui court permet d'allumer l'écran (comme l'autre bouton donc), un appui long de lancer l'appareil photo. Etrange choix ergonomique. Tout comme le design, l'écran de 5,5 pouces (1 440 x 2 560pixels ) est lui aussi une réussite. Utilisant la technologie AMOLED, il propose donc un contraste parfait et des noirs profonds. Sa luminosité de 668 cd/m² est tout simplement la meilleure de notre sélection de smartphones à moins de 450 euros. Il est ainsi lisible en toutes situations, notamment à l'extérieur en plein soleil. Malgré son impression de modèle haut de gamme donnée par son design et son écran, l'Idol 4S n'est cependant équipé "que" d'un processeur Snapdragon 652 cadencé à 1,8 Ghz, d'une puce graphique Adreno 510 et de 3 Go de RAM. Cette configuration est toutefois parmi les plus solides des smartphones à ce niveau prix. Cela se vérifie d'ailleurs grâce à d'excellentes performances. Sur le test graphique Epic Citadel, il affiche en moyenne 45 images par seconde, de quoi jouer aux jeux 3D gourmands sans souci. L'ensemble est d'ailleurs très réactif, aussi bien sur l'interface générale que pendant la navigation sur Internet. Le nouveau modèle d'Alcatel s'en sort également très bien en...