12 tests d’experts - Aucun avis d'internautes
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Nous avons réuni 12 tests du White Knight Chronicles. Les experts notent White Knight Chronicles 5.5/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du White Knight Chronicles et d'autres Jeux Playstation 3.
Pour son passage sur Playstation 3, le talentueux studio Level-5 s’est mis dans l’idée de nous proposer un RPG se jouant grosso-modo 50% hors ligne, et 50% en multi. Un pari osé, qui n’a visiblement pas réussi à offrir le résultat escompté. Et pourtant, tout avait plus ou moins bien commencé : après avoir créé son avatar via un éditeur assez complet (mais forcément touché par le style JRPG, ce qui est loin d’être une gageure en 2010), on se retrouve plongé dans un univers léché, rapidement secoué par une histoire de prise de Royaume. Et devinez qui devra justement empêcher cette prise ? Non, pas vous, mais votre “comparse” Leonard, le Chevalier Blanc dont il est question... Bref, si les premières minutes de jeu semblent augurer du meilleur (univers chiadé, cliché, mais pas trop quand même), on se rend rapidement compte que notre héros, ayant hérité d’un charisme équivalent à celui d’une moule, passera son temps à garder ses lèvres fermées. Level-5 a certainement pensé que pour une fois, il pourrait être agréable de diriger un avatar aussi transparents qu’une vitre... Inutile de faire durer le suspense, c’est d’ailleurs là le plus gros défaut du jeu : le manque de cachet ressenti à la fois du côté des personnages que du scénario.
Ahhh Level 5!!! Je n?ai joué qu?à un seul de leur jeu mais alors il m?avait scotché pas moins de 50 heures à l?époque, je parle bien sur du petit bonhomme avec sa clé à molette : Dark Chronicles. Sachant ce que cette équipe est capable de faire, je me suis lancé le c?ur confiant dans ce titre datant quand même de 2008. WKC s?impose comme un RPG et comme chacun d?entre eux, ils ont un système de jeu spécifique. Au tout début de la partie vous devrez créer votre « avatar » (décidément ce mot est à la mode en ce moment), pour cela vous disposerez d?un système complet vous permettant de le personnaliser jusqu?à quasiment la racine des cheveux. Prenez en bien soin car ce personnage fraichement sortie de votre imagination vous accompagnera en mode solo mais aussi en mode multijoueur. En revanche, le scénario est centré sur l?un de nos compagnons, Leonard qui travaille dans la ville de Balandor alors en pleine effervescence. La fête organisée par le château pour la majorité de la princesse Cisna s?annonce somptueuse. Mais, comme vous l?avez sans doute déjà deviné, des trouble-fêtes débarquent, mettent la ville à feu et à sang, assassinent le roi et tentent de s?en prendre à la jeune héritière. Elle sera sauvée par Léonard, qui se souvient bien d'elle pour l'avoir croisée quelques années auparavant.
White Knight Chronicles n'est qu'une histoire de mauvais choix. Non content d'arriver chez nous 14 mois après sa version japonaise, il a jugé bon d'enfiler son armure en même temps que Final Fantasy XIII. Si la comparaison n'a pas lieu d'être, elle permet toutefois de mettre en exergue une réelle différence de talent. Là où FFXIII ose et fait évoluer le genre, WKC ne propose qu'une resucée maladroite du 12ème épisode de la saga de Square Enix.Car le constat est le même que pour FFXII : on joue à un MMORPG offline. Un scénario minimaliste et sans enjeux, noyé au milieu d'interminables phases de level-up dans des environnements certes vastes et agréables à regarder, mais désespérément redondants. Résultat : on s'ennuie. Le gameplay n'a pourtant rien pour déplaire, et offre de nombreuses possibilités de customisation sur bien des aspects. Seulement voilà, à aucun moment de l'aventure le joueur n'aura l'occasion d'en voir la couleur, la faute à une difficulté frisant le ridicule, et à un manque de variété des situations. Le jeu nous bombarde donc de subtilités de gameplay qui se retrouvent au final obsolètes devant la pauvreté des combats. Mais ce qui handicape le plus le titre de Level-5 est sans aucun doute sa volonté naïve d'intégrer le RPG occidental à une recette japonaise où il n'a pas sa place.
Le jeu dispose d'un mode en ligne, ce qui a pour beaucoup rappelé, dans son schéma, Final Fantasy XII. Si vous n'appréciez pas, ou n'avez pas la possibilité de jouer en ligne on ne va pas vous mentir le jeu va voir son intérêt diminuer fortement avec une durée de vie pas exceptionnel, il faut compter une trentaine d'heures pour avoir fait le tour du jeu. L'intrigue du jeu offre un potentiel intéressant, votre personnage voit son royaume se faire attaquer par des ennemies, il va alors passer un “pacte” avec son armure afin de pouvoir profiter de la puissance du chevalier blanc. Même si depuis la sortie du jeu on n'entend pas parler de suite, le scénario fait une place suffisamment grande à celui pour pouvoir lui offrir une belle trilogie. Ce n'est pas non plus au sein de la réalisation graphique qu'on retrouvera des grandes critiques à émettre, les environnements sont très vastes et leur réalisation est plus qu'honnête. On peut se balader à notre guise au sein d'un monde un brin fantastique. On est par contre guère convaincu par le mélange RPG/MMORPG, je ne suis pas un grand habitué mais le nombre d'informations disponibles à l'écran est tout bonnement ahurissante et peut vite vous déstabiliser.
Level-5 s'est construit une solide réputation au fil des années, sa renommée n'ayant cependant atteint nos frontières que lors de la sortie en Occident de Dragon Quest VIII. Certains auront pu être séduits deux ans plus tôt par un Dark Chronicle presque plus confidentiel mais néanmoins très attachant. Rogue Galaxy fut la dernière (très bonne) production du développeur nippon sur PS2. Nous étions alors en 2005, et après l'annulation de True Fantasy Live Online sur Xbox, on se demandait comment Level-5 allait rebondir. La réponse nous sera parvenue sur consoles portables, et plus particulièrement sur Nintendo DS, où le Professeur Layton et ses énigmes auront été brillamment introduits, une série comptant à l'heure actuelle quatre épisodes et dont le succès ne s'épuise pas. Mais en revenant vers Sony et sa PS3, il était nécessaire pour Level-5 de retrouver de l'ambition, qui devait se traduire par le développement d'une nouvelle production léchée, avec une mise en scène de qualité, un gameplay innovant et plaisant, sans oublier une histoire qui tienne la route. Les premiers instants de jeu de White Knight Chronicles peinent malheureusement à convaincre.
Sony tente l'innovation avec un jeu de rôle pétri de bonnes idées... mais qui ne tient pas ses promesses. Réputé pour la série des Professeur Layton, Level 5 est également un studio à l'origine de nombreux jeux de rôle, dont la plupart n'ont connu qu'un succès confidentiel. White Knight Chronicles marque leur retour sur consoles de salon, en l'occurrence sur PlayStation 3 où ce titre figure en exclusivité. A l'heure de Final Fantasy XIII, l'étroitesse technique de WKC se remarque instantanément. La modélisation correcte mais un chouia has been des personnages, surtout au niveau de leurs traits, saute aux yeux. L'animation est parfois entachée de ralentissements, courts mais cependant visibles. Il y a cependant un réel effort de recherche graphique, avec une cohérence visuelle se retrouvant dans l'apparence des personnages et des décors. Le vaste monde de Balandor regorge d'habitants et de lieux uniques : le plaisir de l'exploration et de la découverte est réel. La carte, très lisible, permet d'arpenter le monde sans risquer de se perdre. On regrette juste l'absence d'une boussole désignant le point de quête, mais le jeu n'est pas pensé pour les débutants.
Passage plutôt cassant pour les studios japonais centrés sur le RPG, la première arrivée sur les consoles de salon actuelles est un pari que beaucoup ont perdu. Entre Blue Dragon sympathique mais très recroquevillé sur un passif devenu bien trop classique, The Last Remnant déséquilibré et mal pensé malgré de bonnes idées, et Star Ocean : The Last Hope insupportable durant sa seconde moitié, Mistwalker, Square-Enix et tri-Ace ont tous très mal négocié le virage de la haute-définition. Après son très décevant Rogue Galaxy, Level-5 semble loin d'être armé pour ce bizutage éclairant les limites de la production de RPG japonais ambitieux. Peut-être est-il celui qui les sauvera tous ?Sorte de concept bicéphale, White Knight Chronicles est conçu sur des bases de RPG à l'occidental avec des éléments de gameplay typiquement japonais. Rejoignant Final Fantasy XII sur bien d'autres points que celui-ci, le jeu de Level-5 réutilise également un principe de combat en temps réel dans des zones très ouvertes ; le tout agrémenté d'une customisation poussée des actions disponibles en combat, ainsi que d'une propension importante au "looting" sauvage.
2006, Level 5 dévoile son premier projet PlayStation 3 et fait forte impression auprès de la communauté de joueurs friands de RPG. Décembre 2008, White Knight Chronicles débarque au Japon où il est plutôt bien accueilli. 26 février 2010, c'est au tour de l'Europe de goûter aux joies de cette aventure unique qui ne plaira sans doute pas à tout le monde.Le jeu commence par la création de votre avatar. Jusque là rien de bien particulier : vous définissez votre style, votre apparence, de la couleur de votre peau à la taille de vos oreilles en passant par l'espacement entre vos sourcils, ce ne sont pas les possibilités qui manquent. Mais chose étonnante, une fois la partie lancée votre avatar est mis en retrait : c'est Leonard, le «héros» du jeu que vous contrôlez, votre personnage ne fait que tapisserie. Il apparait dans les scènes cinématiques, il est à vos côtés durant les batailles, mais il ne décroche pas un mot et montre à peine des signes de vie quand on le voit à l'écran. Un brin perturbant ! Même s'il est considéré comme un combattant de votre équipe que vous pouvez configurer et même contrôler, on se demande dès le début pourquoi on a passé autant de temps à le créer.
Une production Level-5 sur PlayStation 3. Voilà qui, a priori, aurait de quoi faire rêver les amateurs de RPG : on se souvient encore de Rogue Galaxy et de son gameplay dynamique et percutant qui avait su illuminer le crépuscule de la PS2. Sorti en 2008 au Japon, White Knight Chronicles daigne enfin s'aventurer en Europe et nous entraîner dans sa quête loin d'être à la hauteur de nos attentes. Véritable défilé de clichés et de déjà-vus plus ou moins assommants, le titre de Level-5 étonne par un manque d'inspiration que le gameplay a le plus grand mal à combattre. Mais une lumière pourrait bien briller au bout de ce tunnel solo. On a presque du mal à y croire tant le pitch est suranné, mais White Knight Chronicles, c'est l'histoire du sauvetage d'une princesse, enlevée le jour de ses dix-huit ans lors du bal organisé en son honneur. Témoins de cette infamie - et de l'incroyable chaos déchaîné par ses instigateurs -, le jeune Léonard et ses compagnons décident de partir sur les traces de l'immense vaisseau qui emporte la molle Cisna loin de son peuple. Au-delà d'une témérité certaine, notre héros à la coupe de cheveux improbable (mais d'où sort cette queue de cheval ?!), aux traits et à la nonchalance rappelant Tidus, est surtout guidé par des sentiments amoureux venus de nulle part qui viendront rajouter une couche de romance mielleuse sur la trame de base qui tente de mettre en place un complot politique aussi grossier que basique.
Avec White Knight Chronicles, le studio Level-5 (Dragon Quest VIII, Rogue Galaxy) a décidé de mettre son expérience du jeu de rôle à l'épreuve en réalisant son premier RPG destiné à la PS3. Un titre qui doit beaucoup à Final Fantasy XII et qui tente de compenser sa faible durée de vie par la présence de fonctionnalités online. Sorti fin 2008 au Japon, White Knight Chronicles devait être le premier volet d'une trilogie exclusive à la PS3. Depuis lors, force est de constater que l'on n'entend plus beaucoup parler du bébé de Level-5, le second opus ne bénéficiant toujours d'aucune date de sortie dans son pays d'origine. Le fait est que White Knight Chronicles n'a pas totalement convaincu les joueurs nippons, la faute à un système de jeu mollasson, davantage orienté vers le multijoueur en ligne que vers le solo. Qui plus est, le découpage en épisodes successifs ne se justifiait pas vraiment. Quoi de plus rageant, en effet, que de voir l'histoire rester en suspens après seulement 30 heures de jeu ? Il faudra donc attendre patiemment la sortie du second volet pour connaître la suite d'une intrigue pourtant prometteuse.
White Knight Chronicles est un J-RPG trop japonais. Comprenez qu'il affiche tous les travers des productions nippones : une flopée d'adolescents surpuissants aux coupes de cheveux ridicules et une princesse potiche au look de soubrette 19ème, des transformations de mecha sans justification scénaristique, et toute la lenteur et la rigidité dont sont capables nos amis du Soleil Levant. Si le titre est avantagé par l'offre famélique en matière de jeu de rôle typiquement japonais d'envergure sura Playstation 3 (du moins pour le moment), on ne peut pas dire qu'il tire réellement profit de cette position de choix, et manque cruellement d'envergure...Ne vous fiez pas aux tout premiers instants de White Knight Chronicles, ils sont trompeurs pour ne pas dire mensongers. Vous allez en effet passer de longues dizaines de minutes à vous composer un avatar, masculin ou féminin, attirant ou amusant, mais qui correspondra au mieux à l'idée que vous vous faites d'un héros de RPG. Ça, c'est pour ceux qui ne connaissent rien au jeu et qui s'imaginent très innocemment que le Chevalier Blanc dont parle le titre du jeu, ce sera eux. Détrompez-vous, car votre joli personnage n'a aucune chance de voler la vedette à l'une des pires inventions du Japon moderne.
Revenir dans le monde de White Knight Chronicles après presque un an pour voir ce qui avait changé dans la version internationale a été totalement perturbant. J'avais oublié que jeu vous fait patauger pendant près de deux heures dans une introduction absurde avant de vous laisser jouer avec son système de combos créatif sans parler des transformations d'un robot géant dont je me rappelais avec émotion. Bref -si j'ose dire-, j'ai perdu 20 minutes à chercher comme un demeuré dans les menus toutes les options manquantes .Le jeu met du temps à trouver son rythme, mais quand il y parvient il est aussi agréable maintenant qu'il l'était en février dernier quand la version d'import japonaise avait récolté un 8/10.. Il possède cette légèreté pleine de couleurs et cette créativité qui font malheureusement défaut dans le genre aujourd'hui. Pourtant, une année entière s'est écoulée. Vous vous doutez bien qu'il n'a pas fallu tout ce temps-là pour traduire quelques absurdités sur des princesses kidnappées et des armures possédées - nous avons droit à une version plus grande et plus complète de White Knight Chronicles que celle du lancement, étoffée par tous les correctifs et les contenus en ligne dont Level-5 a abreuvé le public japonais entre-temps.
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