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Nous avons réuni 23 tests du God of War 3. Les experts notent God of War 3 9.4/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du God of War 3 et d'autres Jeux Playstation 3.
Trois Ans, un délais d'attente interminable, pour l'ultime épisode d'une série cultissime, D'autant plus que la fin de God Of War 2 promettait déjà monts et merveilles, mais comment surpasser son prédécesseur lorsque celui-ci reste encore aujourd'hui l'une (la) référence du Beat'em All ? Au final, GOW 3 est un projet extrêmement ambitieux mais également très casse-gueule, dû aux espoirs placés dessus. Les premières minutes absolument généralissimes, nous plongent dans une ambiance bien plus froide que par le passé ! Le moteur utilisé ici, abuse de la couleur grise, on est très loin de l'aventure « chatoyante » du second opus, un aspect qui ne plaira certainement pas à tout le monde. Cependant, la prouesse technique réalisée avec ce titre, prouve un savoir faire des développeurs, et la puissance de la console de Sony. Il faut être aveugle pour ne pas s'extasier devant une telle finition, et un soins aussi particulier au niveau des textures, effets lumineux et modélisations des divers protagonistes ! Le soucis du détail frappe d'emblée, voir Kratos recouvert de Sang après une longue bataille par exemple, reflète l'envie des développeurs d'aller au delà de ce qui s'est fait à ce jour.
Il est de ceux dont le nom suffit à faire frémir les joueurs, de ceux qui font souffrir leurs ennemis au moins autant que la console... En l'espace de deux God of War, Kratos est indéniablement devenu une légende du jeu vidéo. Après un aparté sur PlayStation Portable en 2008, le dieu de la guerre revient justement pour conclure en beauté sa vengeance initiée il y a déjà cinq ans. L'occasion de dépuceler la PlayStation 3 avec toute la bestialité qu'on lui connaît, pour le plus grand bonheur de ses spectateurs. Clôturer en beauté la trilogie God of War, tel est le lourd fardeau que porte Kratos à l'abord de ce nouvel acte. Le dieu des cendriers peut heureusement compter sur le talent des équipes de Santa Monica Studios qui, il faut bien le dire, n'ont pas failli à leur réputation. Dès la scène d'introduction qui ne montre pourtant rien du jeu, God of War III sent le travail bien fait. Et que dire de la première demi-heure, suite directe des évènements de la fin de l'épisode précédent, qui rentre directement au panthéon des séquences les plus grandioses de l'histoire du jeu vidéo ? Le jeu envoie du lourd avec des boss gigantesques, une mise en scène du feu de dieu et un rythme à couper le souffle, le tout servi par des graphismes somptueux.
Le crépuscule des dieux n'a jamais été aussi brutal ! Défiez Zeus et renversez le régime des Olympiens. L'année 2010 ne sera pas celle de l'amour, vu l'agressivité du contenu des jeux de ce premier trimestre. Quatre beat'em all en trois mois, c'est suffisamment rare pour être souligné ! Après le sexy Bayonetta, le stylé Darksiders, le challenger Dante's Inferno, voici God of War, troisième du nom, qui vient jouer des coudes dans la mêlée. Avec un tel nom et une ascendance pareille, le jeu de Sony se devait d'être incontournable. Pari réussi, malgré l'acharnement de la concurrence et un début laborieux ! La série des God of War, démarrée sur PlayStation 2, a remis au goût du jour le jeu de baston de masse, tout en le modernisant avec une mise en scène grandiloquente. Aucune limite n'avait été fixée dans le mauvais goût : les massacres à la chaîne de centaines d'ennemis étaient entrecoupés d'affrontements avec des créatures gigantesques, d'éventrations et de décapitations à tire-larigot... Conçu en Amérique, God of War reprenait les recettes classiques du genre tout en les transposant en taille XL. Et cela a marché, vu le succès commercial et critique des deux premiers épisodes.
Avec God of War III vient la fin d’une époque. En effet, après un passage plus que remarqué sur PS2 et un petit détour sur PSP, le Spartiate le plus enragé de l’histoire vient finir sa route sur la dernière née de chez Sony. Car oui, ce nouvel épisode marque la fin de la saga initiée en 2005 par le studio de Santa Monica. Un adieu donc, mais un adieu en grande pompe, à la mesure de ce bon vieux Kratos. Souvenez-vous. A la fin de GOW II, le père Kratos, en compagnie de ses nouveaux potes les titans, était bien décidé à aller botter le divin fondement de Zeus, rapport à une histoire de trahison et de lame dans le bide. C’est donc tout naturellement que GOW troisième du nom débute par l’acensions de l’Olympe par Gaïa et sa famille. Ce brave Kratos pour sa part, déambule gaiement sur le bras de la mère des dieux, attendant son heure. Mais voilà, Zeus, tout chef des Dieux qu’il est, ne l’entend pas de cette oreille, et c’est pourquoi il décide de contre-attaquer, lâchant ses célèbres foudres, ainsi que ces sbires sur les titans. Bien vite, un combat titanesque (logique) s’engage entre les deux factions, provoquant chaos et désolation sur le monde. Kratos notamment, se retrouve aux prises avec une bestiole aquatique démesurée, qui renferme en son sein nul autre que Poseïdon.
Everything that has a beginnning has an end. Une phrase dont le caractère pompeux siérait à merveille à la trilogie God of War pour l'ultime épopée de ce monument de grandiloquence vidéoludique. Après deux épisodes spectaculaires tant sur le plan technique que par le gigantisme de leur aventure, nous étions en droit d'attendre une véritable apothéose; un dernier chapitre "next-gen", repoussant toutes les frontières établies en une profusion de combats dantesques (haha), soutenus par une débauche visuelle inédite. Le grand spectacle à son plus haut niveau. Or, de ce doux fantasme, il ne reste malheureusement pas grand chose. Passé une intro réellement époustouflante, nous sommes toujours face au même refrain : des salles remplies d'ennemis (toujours les mêmes), des énigmes à base de caisses et de leviers... et encore ces portes, toujours aussi lourdes (dans les deux sens du terme). Un train-train que ne vient même pas bousculer un gameplay déjà trop bien connu, et largement perfectible eu égards aux nombreux problèmes de jouabilité. Pénible. Pourtant le jeu reste efficace. Techniquement, d'abord, c'est encore une fois un sans faute, et l'une des plus grandes réussites jamais vues sur console aux côtés d'FFXIII et d'Uncharted 2.
Il aura donc fallu attendre 3 ans après God of War II : Divine Retribution pour tenir entre nos mains la fin de l'histoire du Fantôme de Sparte, Kratos. Parti à l'assaut du mont Olympe pour y conclure la vengeance entreprise contre les Dieux dans le premier épisode, en 2005, Kratos nous avait alors laissés avec la mâchoire pendante, et l'impatience piaffante. Je concluais à l'époque en disant : "la PlayStation 2 nous procure encore beaucoup de bonheur. Espérons qu'il en sera de même avec la 3", et le moins que l'on puisse dire, c'est que l'espoir porte bel et bien le premier né de Sony Santa Monica sur PS3, de bout en bout. Tout est bien qui finit bien ? N.B. : Ce test est une republication de celui paru originellement le 8 mars 2010.Vous avez sans doute tous déjà retourné la démo disponible sur le PSN. La même qui m'avait laissé un léger goût de doute après l'avoir découverte à l'E3 2009. Et pour cause : même si la plupart des fans auront plutôt été enthousiasmés par cet avant-goût, il est en réalité bien insuffisant à refléter la maestria du titre final que je viens de boucler. C'est dire, pour ceux qui s'en sont suffit, si Kratos saura leur en donner pour leur argent : car moi qui doutait, j'en suis, au final, encore à ramasser mes dents.
En 2005, Sony Santa Monica Studio nous offrait le premier sur . Une plongée sanglante dans la Grèce antique et l'arrivée d'un nouvel anti-héros : Kratos. Après deux épisodes sur la console star de Sony, la nouvelle licence a redonné vie au beat them all occidental qui souffrait de plus en plus de la comparaison avec son homologue nippon et son . C'est sur que va se terminer cette trilogie, l'occasion de découvrir si Kratos va rejoindre le panthéon des dieux du jeu vidéo ou bien être déchu sur la dernière marche. La route vers la gloire passe de toute façon par ce test. Il y a trois ans, c'est sur ces mots que les fans quittaient , une fin qui fut à l'origine d'un grand nombre de manettes brisées tellement la dernière révélation était fracassante et le dernier plan grandiose. Si vous souhaitez absolument garder le mystère, passez au paragraphe suivant, si vous voulez connaitre la fin en question restez avec nous. Alors qu'il s'apprêtait à achever Zeus, Kratos voit Athéna s'interposer et mourir à la place de son père, celle-ci lui apprend qu'il est le fils du roi des Dieux. Désormais maître du temps, celui qu'on nomme le fantôme de Sparte se rend dans un lointain passé, à l'époque où les dieux affrontaient les titans.
Les épisodes de God of War avaient fait tourner à fond les ressources graphiques de nos PlayStation 2, et les développeurs ont bien l'intention de faire la même chose avec cet épisode PS3. Avec la sortie du dernier épisode d'Uncharted (notre test), je ne pensais pas pouvoir me prendre une baffe graphique avant un moment ... un moment qui en fait fut bien court. God Of War III est tout simplement magnifique, je ne dirais pas qu'il est plus beau ou moins beau qu'Uncharted 2 car la prouesse dans GOW III c'est la vitesse des scènes d'actions et les mouvements de fonds qui ont lieu. Dès le début vous allez être impressionné par la réalisation du jeu. Kratos est très bien modélisé, et il faut oublier les animations un peu bizarres de la démo disponible sur le PSN ainsi que les couleurs un peu pâle que l'on avait. Rien de tout cela dans la version test dont on dispose, c'est beau, la profondeur de champs est impressionnante et la capacité d'afficher un nombre important ennemis à l'écran démontre que la PS3 peut nous proposer des jeux de très haute couture. Les personnes pointilleuses remarqueront que le jeu ne tourne “qu'en 720p” GOW est un peu le haut de gamme des Beat'em all, et c'est pour cette raison que Sony devait à la fois préserver le gameplay qui fait la puissance de son jeu tout en y ajoutant des nouveautés afin de le faire progresser.
GamePro.fr
Ajouté le : 03/2010
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Il faut savoir faire preuve d'une grande maîtrise et d'un immense talent pour réussir à accoucher d'un titre de la trempe de God of War III, vu les grandes responsabilités qu'un tel jeu porte sur ses épaules. Les studios Sony de Santa Monica n'avaient en effet pas le droit à l'erreur et devaient réussir, dans un même jeu, à clore comme il se doit l'une des trilogies les plus épiques qui soient, à démontrer qu'ils sauraient survivre au départ du créateur de la série, David Jaffe, ou encore à imposer leur jeu comme le nouvel étalon graphique de la PlayStation 3. Il n'est donc pas étonnant, vu l'enjeu, que le développement de God of War III ait pris son temps. De quoi peaufiner chaque aspect du beat'em all, et profiter des dernières technologies de programmation disponibles afin de tirer le meilleur de la console. Résultat des courses, God of War III est bien cette épopée bestiale de haute volée que l'on attendait. Un titre qui, d'un bout à l'autre, prend en otage le joueur dans un tourbillon sanglant, où la vengeance de Kratos devient l'un des combats les plus impressionnants auxquels les joueurs aient été invités. Sans rien toucher, ou presque, au fond de jeu, God of War III réussit tout de même à nous donner en permanence l'impression de redécouvrir la série.
Pour beaucoup de fans Playstation, Kratos et la série dont il est le héros God of war, représentent le best of du beat’em all… Alors que le troisième opus sera disponible la semaine prochaine, voici notre test de ce nouveau volet tant attendu… Réussira-t-il, avec la pression qu’il a sur les épaules, à répondre aux attentes des fans ? C’est ce que l’on va voir tout de suite ! Evidemment, on reprend en main Kratos alors qu’il s’apprête à “grimper” le long du mont Olympe pour aller foutre la branlée du siècle à son papounet d’amour (Zeus étant le père de tous les Grecs… ou presque ) avec ses potes les titans. Evidemment Zeus ne l’entend pas de cette oreille, et a lui aussi ses potes ! (En fait il a monté une équipe de Dieux) pour tenter de repousser le vil traître. Ainsi, le scénario dépeint les actions de Kratos qui essaye par tous les moyens (et avec toute la violence qui le caractérise) d’atteindre Zeus. Le scénario sans être “énorme”, reste bien écrit, avec tout de même pas mal de suspens. Mais bon le ton est donné dés le départ, et il n’y a pas vraiment de quoi partir dans une autre direction. C’est de la mythologie, version simple et efficace, à l’Hollywoodienne !
Que l'on soit ou non fan de beat-em-all, on ne peut nier les immenses qualités des deux premiers God of War sortis sur PS2 : véritables bijoux de technologie et de mise en scène, ils avaient surtout su allier plaisir des yeux et profondeur de gameplay. De fait, lorsque le troisième et dernier épisode des aventures de Kratos s'apprête à sortir sur PS3, c'est avec fébrilité que nous l'accompagnons dans son ultime quête. Difficile de débuter le test d'un jeu sans dire quelques mots sur son scénario. Le problème avec God of War III est qu'il débute juste après les évènements de son prédécesseur, si bien que trop en dire ici reviendrait à gâcher la surprise de la découverte aux nouveaux venus qui comptent profiter de la sortie de God of War Collection pour vivre les aventures de Kratos dans l'ordre... Heureusement nous avions décidé avant même la rédaction de cet article d'en dire le moins possible sur les évènements de cet ultime volet, et ce afin que vous soyez aussi surpris que nous lorsque vous insèrerez le BluRay du jeu dans votre console.Nous nous contenterons donc d'une phrase quelque peu laconique qui résume toutefois bien le synopsis du jeu : Kratos veut se venger une bonne fois pour toutes des Dieux qui l'ont trop longtemps manipulé, et il a la ferme intention de détruire l'Olympe.
En net regain de forme ces derniers temps, le beat them all tient avec God Of War III le fer de lance de son comeback dans les bonnes grâces des joueurs. Exclusif à la Playstation 3, ce troisième volet des aventures de Kratos pourrait même donner à la console de Sony un avantage définitif dans le combat qu'elle se livre avec la concurrente de chez Microsoft. Objet de bien des convoitises, God Of War III arrive enfin et impose son style musclé en faisant fi des avancées de la concurrence depuis quelques années. Santa Monica Studio nous livre donc une copie qui nous en met plein la tête du début à la fin, à défaut de vraiment nous surprendre. C'est sur une introduction mélangeant animation classique et semblant de BD que s'ouvre ce God Of War III. Grâce à cette vidéo, et à quelques autres qui interviendront ça et là dans le jeu, le nouveau venu de la série pourra se faire une idée - assez succincte - de qui s'est passé jusqu'à présent. Non pas que le scénario de God Of War soit d'une profondeur marquante, loin de là, mais se faire une petite idée des événements passés permettra au néophyte de s'approprier les personnages de cette fresque mythologique, Kratos étant évidemment en tête de file de cette galerie d'intervenants qui s'enrichit bien entendu de nouveaux personnages.
Trois années, trois longues années, c'est le temps nécessaire qu'il aura fallu aux équipes de Sony Santa Monica pour offrir un fils légitime à God of War II. Ayant effacé d'un revers de main tous les jeux d'action de la PS2, nous étions en droit d'attendre la même prouesse de la part de God of War III sur PS3 mais est-ce vraiment le cas ? La réponse en l'espace de quelques mots... En 2007, nous avions laissé le spartiate revanchard aux portes de l'Olympe, accompagné d'une horde de Titans bien décidés à prendre l'ascendant sur Zeus. Se concluant sur un insoutenable cliffhanger, Sony avait réussi son pari en créant l'attente avant même que God of War III ne soit même évoqué. Quelques années plus tard, Kratos nous revient, toujours prompt à gravir les pans imprenables d'un domaine divin afin de réclamer son dû. Suite directe du précédent volet, le quatrième épisode de la saga fait face au passé du guerrier baignant dans la culpabilité et le sang afin de construire un avenir rédempteur. Si nous nous garderons bien de vous révéler les tenants et les aboutissants d'une telle destinée, sachez que l'histoire de Kratos se veut cette fois plus profonde.
On savait que Kratos allait faire mal sur PS3, mais pas à ce point-là. Car God of War III fracasse des mâchoires par milliers, et on comprend au bout des premières minutes de jeu que l'on va assister à un spectacle qui ne perdra jamais en intensité, même pendant les quelques phases d'exploration où il faudra solliciter ses neurones. On donne l'impression de commencer notre test à l'envers, mais comment peut-il en être autrement avec une série qui a toujours tutoyé les sommets avec le Mont Olympe et ses divinités ? La question ne sera donc pas de savoir si God of War III est un excellent jeu ou pas, mais d'estimer si la franchise est enfin parvenue à atteindre la perfection en pénétrant dans l'ère de la haute-définition.Si God of War : Chains of Olympus sur PSP racontait l'époque où Kratos était encore au service des Dieux, God of War III reprend là ou God of War II nous avait laissés, avec une cinématique d'introduction dans laquelle se succèdent tous les exploits du Chauve Enragé accomplis jusqu'à présent. Lorsque l'on est fan de la série, le coeur chavire, forcément, surtout que Kratos n'est pas le seul à vouloir mettre fin au règne de Zeus et de tous ses enfants.
Il aura donc fallu attendre 3 ans après God of War II : Divine Retribution pour tenir entre nos mains la fin de l'histoire du Fantôme de Sparte, Kratos. Parti à l'assaut du mont Olympe pour y conclure la vengeance entreprise contre les Dieux dans le premier épisode, en 2005, Kratos nous avait alors laissés avec la mâchoire pendante, et l'impatience piaffante. Je concluais à l'époque en disant : "la PlayStation 2 nous procure encore beaucoup de bonheur. Espérons qu'il en sera de même avec la 3", et le moins que l'on puisse dire, c'est que l'espoir porte bel et bien le premier né de Sony Santa Monica sur PS3, de bout en bout. Tout est bien qui finit bien ?Vous avez sans doute tous déjà retourné la démo disponible sur le PSN. La même qui m'avait laissé un léger goût de doute après l'avoir découverte à l'E3 2009. Et pour cause : même si la plupart des fans auront plutôt été enthousiasmés par cet avant-goût, il est en réalité bien insuffisant à refléter la maestria du titre final que je viens de boucler. C'est dire, pour ceux qui s'en sont suffit, si Kratos saura leur en donner pour leur argent : car moi qui doutait, j'en suis, au final, encore à ramasser mes dents. La suite du récit de Kratos s'ouvre directement sur la fin du second épisode.
Bien que je doute que vous puissiez compter sur Kratos pour vous aider à réviser votre mythologie grecque avant vos examens de fin d'année, il est difficile de trouver beaucoup d'autres jeunes qui comprennent leur matériel source aussi bien que God of War. Le public de Sony, comme Homère, recherche le défoulement que peuvent apporter les actes héroïques violents, une évasion du morne quotidien vers un monde haut en couleurs où les émotions ne sont pas tant simplifiées que magnifiées. Regardez juste les animations: quand il ouvre une cage ou la cage thoracique de quelqu'un, Kratos y met tout son coeur. Ses épaules frémissent et tremblent, ses genoux s'entrechoquent sous l'effort, on entend ses cris gutturaux. Il se donne à fond et, de l'autre côté de l'écran, c'est ce que vous ferez aussi. Santa Monica Studios aussi s'est donné à fond. Avec God of War III, les fans de la série ont droit à un jeu perfectionné et étendu. Les éléments de base, dont le système de combat, l'enchaînement des niveaux et le rythme des combats de boss et des énigmes, n'ont en grande partie pas été touchés, mais tout est plus grand, plus démesuré et plus élaboré. Cela dit, l'histoire de God of War III ne saurait être plus simple : il s'agit à la base de gravir une montagne et de tuer le type qui siège au sommet.
De nombreux dilemmes se présentent à nous tous les jours, la question est de savoir si l'on fait le bon choix, aujourd'hui, celui qui m'est donné n'est vraiment pas le plus désagréable. Au contraire, je me vois confier la tache de donner mes premières impressions sur la démonstration de God Of War III. Si jusque là, vous n'y voyez qu'un acte chanceux, je nuance ce dernier. Les magnifiques souvenirs laissés par les deux précédents épisodes, entraînent une impatiente des plus folles. La version finale sortant seulement en Mars 2010, cet avant goût pouvait soit approfondir cette douleur, soit la faire disparaitre ! Autant vous le dire de suite, les quatre prochains mois vont être longs, très longs même ! Je fais partie des trop peu de joueurs à avoir la chance de découvrir la démonstration faîte à l'E3 dernier. Les conditions idéales sont là, seul sur un canapé, casque sur les oreilles, immergé pendant quelques minutes dans un univers que j'ai du abandonné à mon grand désarrois. La dernière sortie de Kratos fut en 2008 avec l'épisode PSP ! Aujourd'hui, on a franchi un cap, on se trouve sur la console HD de Sony prêt à reprendre du service aux commandes du plus célèbre héros Spartiate !
Il va de soi qu'il nous est tous déjà arrivé d'arracher des têtes auparavant. Quasiment tous les jeux vidéo incluent des séquences où il faut arracher les têtes (à l'exception peut-être de Léa Passion Bébés). Cependant, aucun autre exemple ne me vient pour le moment à l'esprit, parce que le seul arrachage de tête vraiment mémorable est la décapitation furieuse à mains nues du pauvre vieux conducteur de char Helios par Kratos dans God of War III. Helios est un beau gosse impétueux et hostile, mais quand on voit sa peau être tordue en vrille et déchirée, comme des chairs en pâte à modeler dans un film de George Romero, on ne peut pas s'empêcher de compatir à son malheur. Sa mort n'a en fait que relativement peu d'importance dans la démo de God of War III que nous avons joué cette semaine à l'Eurogamer Expo, mais sa tête est très utile – on peut l'utiliser pour éclairer des recoins secrets et éblouir les squelettes hostiles dans des cavernes sombres. Ce n'est pourtant que l'une des nombreuses idées qui peuvent vous venir à l'esprit dans une démo riche d'une pléthore de possibilités d'interaction – que ce soit le tir de trébuchet bien calculé qui descend le chariot d'Helios, ce qui le conduira à perdre sa tête, où l'utilisation des Harpies comme plates-formes mobiles, où la chevauchée sur un Cyclope pour écraser une phalange de gardes protégeant un Titan blessé.
S'il y a un titre exclusif à la PS3 que la majorité des possesseurs de la console attendent avec impatience c'est bien God of War 3. Il faut dire que les deux premiers volets sur Playstation 2 ont littéralement bluffés les millions de joueurs qui y ont pu y gouter. Spectaculaires, beaux, rythmées, ils ont repoussés les limites du beat'em all. Et ce troisième volet reprend ces recettes éprouvées mais sur PS3 cette fois ci : on a donc droit à des graphismes haute définition de toute beauté et à une débauche d'effets spéciaux ! Attention les yeux, Kratos est de retour plus beau que jamais ! C'est l'une des stars du stand Sony de cette gamescom 2009 : God of War 3 attise toutes les convoitises et le jeu est littéralement pris d'assaut par des troupeaux de curieux pressés de voir si le jeu est vraiment aussi beau et nerveux que le laissent penser les différents aperçus qui fleurissent ici et là. Eh bien la réponse à cette question est simple : oui, God of War 3 promet d'être une pure tuerie à sa sortie ! Déjà parce qu'il est de toute beauté avec des monstres modélisées à la perfection, des boss gigantesques et des décors léchés sans la moindre trace d'aliasing, mais aussi grâce au rythme de folie à laquelle se déroule les parties !
Comme moi, vous êtes nombreux à aimer la série depuis ses débuts. Comme moi, vous êtes nombreux à attendre son arriver sur les consoles dernière génération. Comme moi vous suivez la moindre actualité concernant God of War III. Seule différence entre nous : j’y ai joué, moi. Dans le petit monde du jeu vidéo, il est certains héros qui se taillent littéralement la part du lion. Kratos est de ceux-là et tranche dans le vif de ses lames ravageuses pour se faire une place au soleil. Mais ce n’est pas là le seul argument du fantôme de sparte pour débiter ses ennemis et la concurrence. La série de Sony a toujours prouvé sa maestria à tous les niveaux : graphismes à la pointe de la technologie, gameplay étoffé, mise en scène fabuleuse, bande son tonitruante. Les points forts de God of War ne manquent pas et ce n’est certainement pas ce troisième opus qui dérogera à la règle. Durant la trop courte demi-heure de jeu qui m’a été offerte j’ai pu constater que toutes les qualités précitées sont présentes. Mieux encore, la claque revient plus forte encore que par le passé ! Graphiquement impeccable, le niveau de détails atteint ici est stratosphérique.
JeuxVideo.fr
Ajouté le : 06/2009
Plus accessible...
Assurrément l'une des quelques exclusivités PS3 les plus attendues par les possesseurs de la machine de Sony, God Of War III était l'une des attractions phares du stand Sony. Plutôt que de poireauter dans l'interminable file d'attente formée devant les bornes de démonstration, nous avons biffurqué dans une meeting room réservée par Sony où le titre pouvait être pratiqué dans de meilleures conditions. Après avoir sillonner l'intégralité de la version présentée, nos impressions sont à la hauteur de nos espérances ! Premier épisode à voir le jour sur PlayStation 3, God Of War III suscite tout naturellement de sacrées exigeances. Mais en tant que troisième opus d'une série à succès, le titre de Santa Monica Studio joue avant tout la carte de la sécurité. Au terme d'une bonne demi-heure de jeu, le sentiment qui domine est celui d'un travail exemplaire mais somme toute assez timide. Les environnements entrevus nous ont paru, par exemple, extrêmement proches de ceux parcourus dans les deux premiers volets.
Attendu par tous les fans de la série et certainement par tous les possesseurs de Playstation 3 en général, God of War III est enfin apparu en version jouable. Nous ne nous sommes donc pas fait prier pour retrouver Kratos et le suivre dans sa quête de vengeance contre les dieux de l'Olympe. God of War III ne s'embarrasse d'aucune pirouette scénaristique comme on en voit souvent dans les suites de séries à succès. Le jeu reprend exactement là où s'est arrêté le second volet, et nous permet donc de retrouver Kratos durant son ascension du Mont Olympe. L'objectif reste le même : atteindre Zeus et l'éliminer une fois pour toutes. Dans le passage que nous avons pu découvrir (situé à une ou deux heures de jeu dans l'aventure) Kratos devait faire face à plusieurs légions d'ennemis divers et variés envoyés par le père de tous les dieux. Groupes de squelettes, harpies, centaures ou même chimères, rien ne peut arrêter un Kratos plus déchaîné que jamais.
Il suffisait d'entendre les cris des fans en délire lors de la conférence Sony dès que son nom était évoqué pour comprendre que God of War III est bel et bien l'un des deux ou trois jeux les plus attendus du catalogue à venir de la PS3. Archi-populaire, Kratos nous a laissé entrevoir de quoi devrait être faite sa prochaine grande aventure à l'occasion de ce salon qui a été le théâtre d'une nouvelle démonstration de force. Mais pouvait-il en être autrement ? Après avoir pu tâter correctement la version démo E3 de God of War III, un seul mot vient à l'esprit : boucherie. On savait que Kratos n'était pas un enfant de coeur, mais la violence inouïe retranscrite par cette vingtaine de minutes de gameplay est telle qu'elle peut laisser sans voix, quand bien même on a déjà bousillé des milliards d'ennemis à travers des années de jeux en tous genres. En fait, dans God of War III, on ne se contente pas de tuer. On mutile, on arrache, on fait pisser le sang de hordes de monstres.
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