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Nous avons réuni 13 tests du WET. Les experts notent WET 5.2/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du WET et d'autres Jeux Xbox 360.
Quand on lui dit Bethesda Softworks, le joueur confirmé a tendance à penser à quelques jeux de rôles magistraux tels que The Elder Scrolls IV : Oblivion ou plus récemment Fallout 3. Mais l’éditeur a dans sa besace quelques softs différents, comme le petit WET qui nous intéresse aujourd’hui. Attendu par de nombreux joueurs intéressés par un concept a priori intéressant, le titre se livre aujourd’hui à nous pour un test complet. Est-il à la hauteur de toutes les espérances ou bien va-t-il finalement suivre la tendance qui tend à se généraliser et nous décevoir ? Réponse tout de suite. Si l’on parle de Bethesda Softworks, c’est surtout le travail d’Artificial Mind & Movement (A2M), le studio en charge du développement du titre, qui fera de WET un bon ou un mauvais jeu. Et de prime abord, il faut avouer que le curriculum vitae de la société n’est pas forcément là pour nous rassurer : la firme n’a pour le moment pas développé le moindre soft sur Xbox 360 et sa meilleure performance sur une autre machine réside dans le portage DS du Seigneur des Anneaux : l’Âge des Conquêtes, qui n’a récolté qu’un piètre 4/10.
Wet met une nouvelle héroïne à l'honneur. Ruby Malone porte tous les clichés : belle et sexy, redoutable, vulgaire, mystérieuse et sans attaches. Avec une héroïne de cette acabit, Bethesda Softworks pensait sans doute séduire un public masculin ou des joueuses en mal de domination. Le choix de Eliza Dushku pour la doubler n'est d'ailleurs pas anodin, puisqu'elle aussi, dans ses rôles, a offert la même image que celle de Ruby. A trop vouloir mettre en avant leur personnage principal, Bethesda Softworks en aurait-il oublié le reste ? Car s'il n'y a rien à redire quant au charisme de la belle, le reste du jeu, lui, souffre d'avoir été mis dans l'ombre. Et malheureusement, les épaules de Ruby ne sont pas assez larges pour pouvoir porter l'ensemble sans faillir. Sur le papier, Wet a en revanche de quoi séduire. Les développeurs ont emprunté à Tarantino son ambiance qui lui est propre, un style de mise en scène, un ton décalé et une héroïne particulièrement véloce qui ne sera pas sans rappeler Kill Bill. Une référence qui ne déplaît pas en quelque sorte.
Avec son esthétique de cinéma bis et d'éternel remake, on ne s'étonnera pas d'avoir affaire à un authentique nanar. Mère porteuse de 70 ans, brebis clonée à l'infini, visage de pop star black transformé en monstre albinos... parfois, la science va trop loin. C'est encore le cas avec WET, créature hybride fabriquée de toutes pièces, à partir d'un ovocyte de Stranglehold, d'un fragment d'ADN d'Uncharted, et d'une rognure d'ongle de Madworld. On se retrouve donc devant un TPS bien violent, mêlant action et cabrioles avec bullet time intégré. Vous savez, cet effet hérité de Matrix, qui permet de ralentir le temps à chaque cascade? Autant dire qu'il va falloir vous y faire. Déjà parce que contrairement à d'autres jeux du genre, dans WET, on peut en user et en abuser autant qu'on veut, puisqu'aucune jauge ne vient en limiter les effets. Ensuite parce que les cascades, c'est un peu la raison d'être de WET. Glissade sur les genoux, course le long des murs, barres asymétriques, et surtout plongeon en avant à la John Woo, un flingue dans chaque main, en visant deux adversaires en même temps.
Edité par Bethesda Softworks, à qui l’on doit notamment la série des Elder Scrolls, et développé par Artificial Mind + Movement, WET est attendu comme l’un des grands jeu de la rentrée. Campagne de pub bien réglée et promotion alléchante, tout est fait pour appâter le chaland et lui faire miroiter la promesse d’un grand moment vidéoludique dans un univers « Tarantinesque ». Quelques heures de jeu et quelques coups de Katana distribués plus tard, place au verdict. WET place le joueur dans le jean ultra moulant de la belle mais vulgaire Ruby Malone. Le jeu débute par une réunion entre deux protagonistes et leurs hommes de mains. Ceux-ci s’échangent une mallette contre de l’argent avant que l’un des participants ne tue l’autre pour s’enfuir avec le pognon et le sac mystère. C’est ce moment que choisit Ruby pour arriver bien décidée à s’approprier l’argent et le contenu secret de la fameuse mallette. Une fois cette mission accomplie, un an s’écoule et Ruby est contactée par un mafieux désireux de récupérer son fils devenu bad boy professionnel en Chine. L’occasion de poser les bases d’un scénario très inspiré par la vengeance, la trahison et l’humour cynique mais surtout par l’œuvre cinématographique du maître du genre, le sieur Tarantino.
Lorsque l'on parle de WET, un sentiment étrange nous empare : qu'est-?ce que c'est que ce jeu? un pastiche? un hommage? un défouloir ? la réponse n'est pas si simple tant le jeu proposé est complexe sous son apparente simplicité. Pour se faire une idée rapide, il suffit d'imaginer les développeurs de Stronglehold qui auraient pris de la drogue avec les gars du jeu Godhand ou encore un Total Overdose que l'on aurait rendu plus fou. Le fun et la folie destructrice semblent alors marcher main dans la main avec le charisme des personnages. Ces associations sont-?elles aussi partenaires de l'idée que l'on se fait d'un bon jeu? Notre compagnon de massacre sera la belle Ruby (Sa voix originale est celle d'Eliza Dushku). Cette mercenaire est rebelle à toutes autorités et les seules mots qu'elle maîtrise sont des insultes. Ses seuls vrais amis sont des indics douteux et ses flingues. Avec une facilité rare, vous pourrez les dégainer et virevolter dans tous les sens. Dans ce jeu, pas le temps de marcher. Il faut courir, sauter et glisser tout en tirant pour tuer tout le monde. Les animations ne sont pas au top de la fluidité mais on prend plaisir à faire un peu n'importe quoi dans les arènes de jeu ou encore, dans les couloirs.
Surfant sur la vague des titres qui aiment à proposer un bon nombre de scènes d'action au ralenti, voire de ceux qui vous demandent d'escalader toutes sortes de bâtiments, Wet débarque sur Playstation 3 et Xbox 360. C'est donc au côté de la très sexy, mais non moins efficace Rubi Malone, que nous allons passer un peu de bon temps… quoique ! Rubi, c'est donc le petit nom de l'héroïne que nous allons accompagner tout au long de cette aventure. Travaillant pour un peu d'argent, voire pour son propre compte, cette dernière manie les armes, blanches ou à feu, à merveille. Capable de nombreuses prouesses, Rubi se lance donc dans une aventure qui va l'amener à voyager autour du monde. De Hong Kong à Londres, elle va donc faire parler la poudre. Car il faut bien le dire, même si la belle manie avec élégance le katana, ce sont avant tout les armes à feu, et notamment ses deux pistolets que vous allez utiliser le plus souvent. Ici tout est fait pour que vous ne lâchiez plus la gâchette de votre manette. En effet, après avoir exécuté une acrobatie (pression sur A et B sur Xbox 360 et Croix et Rond sur Playstation 3) l'action passe au ralenti vous permettant de tirer sur tout ce qui bouge.
Ruby Malone ne rigole pas, si son agilité aurait pu lui offrir une brillante carrière d'acrobate chez Pinder c'est le travail qui laisse du sang sur les mains qu'elle a choisi. Et considérant la quantité de sang qu'elle fait couler, elle doit acheter du savon noir par kilos. Pour avoir une idée de ce qu'est WET, il faut imaginer la rencontre entre Max Payne, Prince of Persia et Tarantino. Si, si, faites un effort. Maintenant, vous éjectez le héros dépressif ou exotique pour le remplacer par Ruby, une héroïne trash qui se soigne en avalant de grandes rasades de whisky. Comme Max Payne, Ruby a pour principal objectif dans la vie de truffer de plomb quiconque se pointe dans la rue mais elle, elle choisit de le faire en faisant des pirouettes, plongeons et autres glissades, courses sur murs ou roulades sur barres fixes. Vous comprenez donc le rapport avec Prince of Persia. Lorsque Ruby se lance dans un mitraillage en règle alors qu'elle effectue une acrobatie, elle profite d'un bullet time qui durera tant que les cabrioles seront enchaînées et les malotrus massacrés. L'idée étant donc de faire un maximum de cartons avec le maximum de classe.
Rubi Malone n'est pas une héroïne classique de jeux vidéo. Elle est une synthèse de plusieurs héroïnes classiques. Comme Lara, elle a des formes rebondies et des talents acrobatiques. Comme BloodRayne, elle est habile à l'épée. Comme son alter ego de Mirror's Edge, elle a la capacité peu plausible de voir des chemins potentiels surlignés de rouge dans des environnements, comme un des Experts cherchant des traces de sperme. Comme elles toutes, elle porte des vêtements qui sont légèrement trop petits. Malgré tout, l'héroïne avec laquelle elle a le plus de choses en commun n'est pas du tout un personnage de jeux vidéo. La principale source d'inspiration de WET, ce sont les films Kill Bill, et, comme la Mariée, Rubi est une mercenaire adepte du Katana, passée maître dans l'art des coups de pied fouettés en hauteur et des attaques dévastatrices, qui abat des hordes d'ennemis d'un seul mouvement rapide. Comme Kill Bill, WET offre des frissons bon marché dans le style « bastons à la pelle », mélangeant de nombreuses références aux films de série B et à ceux de Tarantino avec une ultra violence de dessins animés et une bande-son assourdissante.
Disponible dès à présent, WET est un jeu d'action pour consoles HD que nous propose Bethesda Softworks. Dans la veine de Max Payne ou, plus récemment, de Stranglehold, le titre nous propose de flinguer des centaines d'ennemis à travers des missions alliant combats et plate-forme. Une formule pas toute neuve, mais WET compte aussi sur son héroïne sexy et sur son ambiance particulière pour séduire les amateurs du genre. Des arguments suffisants ? Rubi Malone, la vedette de WET, est une tueuse redoutable d'agilité assez comparable à l'héroïne de Kill Bill, pour poser le tableau grossièrement. Une comparaison qui n'a rien d'étonnant quand on découvre le jeu puisque WET se veut "tarantinesque" à plus d'un titre, avec une atmosphère gunfight/swordfight/whisky directement inspirée des films du maître, et des personnages hauts en couleurs, qu'il s'agisse de l'héroïne ou des principaux ennemis qu'elle croisera sur sa route. En dehors de cette ambiance marquée aussi bien au niveau des cinématiques que des musiques, le titre se contente par contre d'un gameplay plus classique, même si ses concepteurs ont tenté de tirer leur épingle du jeu en piochant des bonnes idées à droite et à gauche, ou en proposant quelques variations de rythme.
Bethesda Softworks nous a laissé prendre en mains son prochain jeu d’action à la troisième personne, à savoir WET. Développé par A2M, ce shoot à la troisième personne marche sur les traces d’un certain Max Payne pour nous offrir des fusillades de haute volée. Bilan de cette démo jouable lors de la GamesCom 2009. Tout commence par un deal visiblement peu recommandable entre des hommes encore moins fréquentables. Notamment en la personne d’un certain Simmons. Il est venu acheter une mallette contenant on ne sait quoi mais, au moment du paiement, il préfère vider son chargeur sur ses interlocuteurs plutôt que ses poches. Une fusillade éclate, un feu commence à prendre dans la pièce et c’est cet instant que choisit Rubi, notre héroïne, pour faire une entrée fracassante. Intéressée elle aussi par la fameuse mallette, elle se lance à la poursuite de Simmons. Mais ce dernier laisse traîner derrière lui des hommes de main comme le petit poucet sème ses cailloux. Il va donc falloir en venir à bout. On profite de la piétaille pour apprendre les mouvements de la sculpturale Rubi qui peut enchaîner glissades, sauts et courses murales sans temps mort.
A la rentrée 2009, le jeu d'action aura un nouveau visage, celui de Rubi, l'héroïne de WET. Nous avions déjà pu admirer cette bad girl sous toutes les coutures lors d'une récente présentation. Et quand on nous a donné rendez-vous pour la prendre en main, il n'était pas question pour nous de lui poser un lapin... Comme vous n'êtes qu'une bande de petits sacripants qui se sont amusés à alimenter le forum ouvert lors de notre premier aperçu de ce titre avec des jeux de mots scabreux entre WET (humide, mouillé...) et le fait que le héros de ce jeu soit une héroïne, nous vous le disons sans ambages : ça n'a rien à voir ! En l'occurrence, WET est le diminutif de Wetworks, mot anglais désignant des opérations clandestines menées par des agents très spéciaux. C'est en tout cas ce que nous ont confié les développeurs et nous ne voyons absolument aucune raison de mettre leur parole en doute quand ils nous affirment qu'il n'y a pas là le moindre double sens. Ben voyons... Ce premier essai manette en mains s'est déroulé exactement sur les mêmes niveaux qui nous avaient été présentés par Bethesda en avril 2009 lors de la révélation du jeu à la presse.
Pour tous ceux qui n’ont pas envie de lire l’article en entier et qui ont prévu de ne jeter un oeil qu’aux premières lignes (on n’a pas toujours le temps, ça se comprend), nous avons pensé à vous en résumant WET de façon brève et à peine caricaturale. Prenez donc Stranglehold, le jeu d’action chorégraphié de Midway, remplacez John Woo par Quentin Tarantino pour les influences et vous aurez une bonne idée de ce qui vous attend. WET ne fait donc pas dans le concept ex nihilo, mais plutôt dans les emprunts tous azimuts. Nous n’en tiendrons pas rigueur à Bethesda (Oblivion, Fallout 3) qui se risque au genre pour la première fois, c’est quand même le cas de la plupart des productions actuelles. Le pitch ? Une jeune femme fatale (dans tous les sens du terme) nommée Rubi se fait grassement payer pour accomplir des missions périlleuses et explosives à San Francisco. En gros, elle massacre tout ce qui bouge à l’écran avec ses flingues et son épée. Première influence évidente du maître Tarantino, Rubi fait furieusement penser à l’héroïne de Kill Bill, sanglante et sans pitié envers ses ennemis d’origine asiatique.
Gamekult
Ajouté le : 07/2009
Plus accessible...
En sa qualité d'éditeur, Bethesda Softworks veut se diversifier et va bientôt accoucher de WET, un jeu d'action à la troisième personne comme on en voit régulièrement sur les nouvelles consoles. ¨Pour se démarquer d'une concurrence très forte sur le secteur, les équipes d'Artificial Mind + Movement ont misé sur une ambiance assez spécifique couplée à un gameplay favorisant les combos les plus esthétiques possibles. Petit tour du propriétaire. Ruby, la vedette de WET, est une redoutable mercenaire assez comparable à l'héroïne de Kill Bill, pour poser le tableau grossièrement. Une comparaison qui n'a rien d'étonnant quand on découvre le jeu puisque WET semble parti pour être "Tarantinesque" à plus d'un titre avec une atmosphère gunfight/swordfight/whisky directement inspirée des films du maître, et des personnages hauts en couleurs, qu'il s'agisse de l'héroïne ou des principaux ennemis qu'elle croisera sur sa route. En dehors de cette ambiance très agréable qui semble travaillée aussi bien au niveau des cinématiques que des musiques, le titre se contentera par contre d'un gameplay plus classique, même si ses concepteurs espèrent tirer leur épingle du jeu en piochant des bonnes idées à droite et à gauche, ou en proposant quelques variations de rythme.
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