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Nous avons réuni 18 tests du Vanquish. Les experts notent Vanquish 8.2/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Vanquish et d'autres Jeux Xbox 360.
Studio extrêmement jeune dans l'industrie vidéoludique, Platinum Games s'est vite fait connaitre du grand public grâce à Bayonetta. Design atypique, ambiance décalée et surtout gameplay mijoté aux petits oignons ont clairement mis le développeur japonais en avant. Dix mois après ce succès, c'est au tour de leur second projet de venir titiller nos consoles HD. Avec Vanquish, le protégé de Sega a le désir de bousculer les genres et d'amener une bouchée d'air frais aux TPS. Le pari est-il réussi ?Fermé pour cause de "restructuration" par Capcom, les anciens de Clover studio n'ont pas baissé les bras et ont su rebondir avec Platinum Games. Avec cette mésaventure, on aurait pu penser qu'ils avaient perdu toutes formes d'inspiration mais ce fut tout le contraire avec des softs tels que Bayonetta, MadWorld et maintenant Vanquish. Ce dernier nous plonge dans un univers futuriste et joue, comme point de départ, sur les anciennes frictions américano-russes. Appartenant auparavant aux américains, une gigantesque station spatiale a été volée par l'Ordre de l'Etoile Russe qui lance un ultimatum après avoir détruit la ville de San Francisco grâce au canon de cette dite plate-forme. Les Etats-Unis, qui ne se laissent pas abattre, contre-attaquent de toutes leurs forces pour récupérer cette arme afin d'éviter un nouveau massacre.
Univers Consoles
Ajouté le : 11/2010
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Ne vous êtes vous jamais demandé ce que donnerai un mélange de beat'em all saupoudré de cover shooter ? Et si Marcus Fenix et la sulfureuse Bayonetta avaient une descendance, à quoi ressemblerait-elle ? Et bien cette descendance c'est Shinji Mikami, papa de bon nombre de hit parmi lesquelles la saga Resident Evil ou encore la série des Dino Crisis, qui l'a imaginé pour nous. Vanquish c'est le pari risqué de PlatinumGames (Bayonetta, Mad World...) qui déboule à un moment où bon nombre de jeux se ressemble trop. Alors l'expérience et l'ingéniosité de Shinji Mikami suffisent-elles à accoucher d'un petit bijou ? Réponse tout de suite ! Le truc classique du jeu d'action japonais, c'est qu'on est quasiment sûr qu'on aura droit aux bons quarts d'heures de vidéo d'introduction servant a planté le décor et un bon paquet par la suite parsemé dans le jeu. Classique mais efficace, la mise en bouche du jeu nous laisse comprendre qu'un certain Victor Zaitsev c'est emparé du pouvoir en Russie et a aussitôt décidé de faire une frappe chirurgicale sur la magnifique ville de San Francisco...Bref on nous refait le coup de la guerre froide qui éclate suite à un coup d'état, sauf que ce coup-ci on se retrouve dans un futur proche où les robots et la technologie de pointe sont monnaie courante.
Après avoir foutu le boxon dans le monde des Beat Them All avec le très bon Bayonetta, Shinji Mikami et Platinum Games reviennent pour tenter de botter les fesses du conservatisme des TPS en frappant en plein dans leur point faible : la lourdeur. Mais cela sera-t-il suffisant pour en faire un bon jeu ? Selon Madame Irma oui, mais par contre pour Paco Rabane, c'est mort. Il a donc fallu se retrousser les manches pour tester le jeu et découvrir la vérité vraie sur … Vanquish ! Années 21XX, la Terre a vu sa démographie exploser, dépassant allègrement les 10 milliards de personnes tout autour du globe. Beaucoup de pays ne peuvent subvenir aux besoins de leur peuple. A côté de cela, la conquête spatiale commence avec la création de stations coloniales et spatiales en orbite autour de la terre. Ces stations n'ont pas qu'un but démographique, mais possèdent également quelques avantages militaires qui font mal. C'est sur l'une d'entre elles que Sam, un agent du DARPA, équipé d'une armure prototype décuplant les réflexes et avec quelques options sympathiques, se retrouvera pour effectuer une mission de sauvetage, en plein milieu d'un conflit impliquant la Russie qui déclare la guerre aux Etats-Unis.
Fondée il y a peu, l'équipe de PlatinumGames s'est rapidement faite un nom auprès des hardcore gamers. Mais si le charme d'une sorcière suceuse de friandises capable des pirouettes les plus folles n'est plus à prouver, le constat est tout autre pour Vanquish. Le nouveau jeu du studio, réalisé par un Shinji Mikami qui revient enfin aux affaires, a en effet l'ambition de secouer le monde des TPS avec un protagoniste que les Power Rangers ne renieraient pas. Osé. Dans un futur proche où les armes de destruction massive ont l'effet d'un micro-onde géant, des extrémistes russes ne trouvent rien de mieux que de réclamer la reddition des États-Unis. Difficile de ne pas les prendre au sérieux alors qu'ils viennent de réchauffer San Francisco façon poulet rôti. Les américains n'ont plus que dix heures avant que New York ne subisse pareil sort, temps heureusement suffisant pour envoyer toute une armée sur la station orbitale des malotrus. Dans la peau de l'impétueux Sam Gideon et son armure nouvelle génération, le joueur est alors embarqué dans un conflit qui ne manque pas de partir dans tous les sens. Prétexte à deux sous plutôt qu'autre chose, le scénario de Vanquish sert de fil conducteur à une succession de scènes plus explosives les unes que les autres.
Après nous avoir offert sur un plateau d’argent d’excellents titres comme Bayonetta et MadWorld, PlatinumGames revient en cette fin d’année avec Vanquish. Le titre saura-t-il continuer dans la démesure de ses aînés, pour proposer une nouvelle fois une expérience de jeu unique ? Ce Third Person Shooter pensé par le studio japonais et orchestré par Mikami pourra-t-il s'imposer comme une nouvelle référence du genre ? La réponse tout de suite. Vanquish LorraineLa préoccupation première de Mikami et de ses comparses est rarement le scénario. Vanquish ne déroge pas à la règle et offre une histoire des plus basiques, même si elle apporte tout de même son lot de moments forts. Dans un futur pas si lointain que cela, les Russes, comme dans une ode à leur glorieux passé guerrier, se rappellent au bon souvenir des Américains en rasant San Francisco. Quelques minutes auront suffit à Zaitsev pour faire de la ville un immense champ de ruines. Les mangeurs de hamburgers réclament alors vengeance et c’est Sam Gideon, soldat d’une unité ultra secrète à l’armement de pointe qui s’y colle.
Désinvolte : voici l’adjectif qui caractérise le mieux l’attitude de Platinum Games. Pendant des années, des tonnes d’articles ont complètement descendu les FPS et TPS des studios Japonais, pointant du doigt leur incapacité à faire aussi bien que leurs homologues Américains. Shinji Mikami et son équipe n’allaient tout de même pas se laisser abattre face à de telles critiques. Ce n’est pas l’habitude de la maison. Comment ont-ils procédé, me demanderez-vous alors ? C’est simple. Ils se sont grosso modo emparés de Master Chief, cette icône des shooters occidentaux, ce représentant de la force et de la réussite de l’homme blanc dans le jeu-vidéo. Vous le mettez ensuite à poil pour ne garder que son armure, et balancez le corps dans l’arrière-cour miteuse d’un studio d’Osaka. Pourquoi garder uniquement ses fringues ? Parce que vous n’avez pas besoin de l’homme, c’est un simple détail. La valeur du héros tient à son armure, et à elle seule. Une fois l’armure en poche, cet emblème de du jeu vidéo Américain, qu’ont-ils fait ? Eh bien, ensuite, ils ont fait ce pour quoi les Japonais sont doués : ils l’ont transformée ! 18 mois plus tard, Sam Gideon apparaît dans son armure, l’Augmented Reaction Suit (ARS).
Enregistrez la vidéo d'un TPS bien achalandé mais relativement classique, passez ensuite la bande en vitesse accélérée et vous obtenez Vanquish. Le studio PlatinumGames a pour habitude de ne pas ménager nos nerfs. Il nous avait en effet déjà proposé Bayonetta qui avait tout d'un Devil May Cry survitaminé. Le voilà qu'il accouche d'un titre qui s'apparente à un Lost Planet totalement dopé aux amphétamines. Le studio PlatinumGames n'a eu aucun mal à se faire rapidement un nom. Il faut dire qu'il a été fondé par des anciens du studio Clover, l'équipe à qui l'on doit des petites perles telles qu'Okami ou Viewtiful Joe, et qu'ils ont vite été rejoints par d'autres créatifs de génie tels que Shinji Mikami, le père notamment de la série des Resident Evil. Pour ne rien arranger, les premiers bébés de ce studio ont été deux jeux exceptionnels : Madworld et Bayonetta. Le premier est un jeu d'action assez violent qui a bousculé les habitudes des possesseurs de Wii tandis que le deuxième est un beat'em all survolté qui prend un malin plaisir à jouer avec nos nerfs. Les petits gars de PlatinumGames n'ont visiblement pas réduit leur consommation de boissons énergisantes et nous reviennent aujourd'hui avec un TPS totalement surboosté.
Pendant des années, nous avons décrié les shooters en vue subjective ou à la troisième personne des studios japonais : ils essayaient de se mettre au niveau de leurs équivalents américains, sans jamais y parvenir tout à fait. Cela dit, Shinji Mikami n'est pas du genre à pousser humblement le premier shooter de son équipe au milieu de la scène en courbant le dos et en implorant : « se pourrait-il, ô vénérable maître américain que notre Vanquish soit suffisamment bon ? ». Ce n'est vraiment pas dans les manières de Platinum. Qu'est-ce qui est dans ses manières, vous demandez-vous ? Eh bien, par exemple, kidnapper le Master Chief, cette icône des shooters occidentaux contemporains, cet emblème de tout ce qui est fort et réussi dans les jeux vidéo de l'homme blanc et l'incarnation même du héros mâle viril maniant un fusil. Ensuite, le déshabiller totalement pour ne conserver que ses vêtements. Pourquoi seulement ses vêtements ? Parce que vous n'avez pas besoin de l'homme. Le Master Chief n'a en lui-même aucune importance, c'est son armure qui est vraiment emblématique.
Entre MadWorld, Bayonetta et même Infinite Space, le studio PlatinumGames s'est bâti une réputation de sérieux, en mariant savamment originalité graphique et gameplay aux petits oignons. Nouvelle étape dans ce parcours du combattant, Vanquish est le fruit d'une association de prestige entre le studio d'Atsushi Inaba et Shinji Mikami, l'illustre créateur de Resident Evil. Mais point de zombies à l'horizon : dans l'univers de Vanquish, mieux vaut ne pas rester trop longtemps immobile, sous peine de prendre un missile entre les deux yeux. Oui, ça se passe comme ça, les frappes chirurgicales dans le futur. Ces salauds de Ruskoff ont encore frappé ! D'un geste, d'un seul, un groupuscule d'extrêmistes a rayé San Francisco de la carte au nom de la mère patrie, et s'apprête à faire de même avec New York. Pas le temps de convoquer l'ONU pour appeler au calme. Fille cachée de Margaret Thatcher et Hillary Clinton (enfin...), la Présidente des Etats-Unis a décidé de ne pas transiger avec ce mégalo de Zaitsev. Il faut frapper vite et fort, envoyer les meilleurs hommes sur la station orbitale de l'enflure pour l'abattre, en sauvant au passage François Candide, le scentifique qui a mis au point l'Augmented Reaction Suit.
Après avoir dépoussiéré le beat'em all avec Bayonetta, les petits gars de PlatinumGames s'attaquent désormais au TPS avec Vanquish. Une démo disponible sur le PSN et le Xbox Live vous mettra l'eau à la bouche en vous dévoilant le début du jeu qui est plutôt mouvementé. Nous avons eu l'occasion de mettre la main sur une version qui en montrait un peu plus et on peut d'ores et déjà vous affirmer que le rythme effréné de ces premières minutes n'est pas près de retomber. Autant vous prévenir, les équipes de PlatinumGames n'ont pas vraiment pris des gants pour plonger le joueur dans le scénario de Vanquish. La cinématique d'intro vous permettra d'assister tout simplement à la destruction de San Francisco. La ville californienne est en effet la cible d'un rayon qui fait bouillir les eaux du Golden Gate et qui transforme les habitants en véritable pop-corn humain... Les responsables de ce carnage sont les membres d'un groupe de terroristes communistes qui viennent de prendre le pouvoir à Moscou. Ces vils gredins ont envoyé toute une armée de robots pour détourner une station spatiale capable de produire ce genre de rayon mortel.
Après nous avoir séduits au cours d'une brève rencontre à Los Angeles, Vanquish s'est carrément invité à la Rédaction avec l'intention de dévoiler encore un peu plus ses charmes au travers d'une version provisoire. L'intégralité du premier acte s'est ainsi offerte à nos mains avides pour quelques heures de gaming passionné. Raaaaah ... Pendant une petite interview, Shinji Mikami nous avait assuré que Vanquish serait un jeu story driven et qu'il fallait s'attendre à un enchevêtrement d'intrigues entre les divers protagonistes. Après avoir bouclé le premier acte de l'histoire, soit un total de 7 missions et 2 boss, il faut bien avouer que les prémisses jetés par cette version preview ne nous ont pas plus emballés que ça. Un terroriste russe du nom de Zaitsev s'empare d'une station orbitale américaine, crame San Francisco et menace de casse la gueule à New-York si les Etats-Unis ne capitulent pas sous 8 heures. Évidemment, la présidente américaine n'a pas l'intention de céder face à un terroriste en combinaison moulante et envoie ses space marines soutenus par Sam Gideon, un agent du DARPA équipé d'une armure de combat ultra-sophistiquée.
Gamekult
Ajouté le : 09/2010
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Né de la collaboration entre le talentueux studio PlatinumGames (Bayonetta, Infinite Space, MadWorld) et le facétieux Shinji Mikami (Dino Crisis, God Hand, P.N.03, Resident Evil), Vanquish avait dévoilé une petite partie de son potentiel lors d'une première présentation à Tokyo, avant de se laisser prendre en main il y a deux mois. Alors que la démo jouable de l'E3 arrive aujourd'hui sur le PlayStation Store américain, nous avons eu l'occasion de tâter à une version preview contenant l'intégralité du premier acte du jeu, qui met encore plus l'eau à la bouche. Third person shooter, robotique et vitesse sont les mots-clés de Vanquish, un titre puisant aussi bien dans l'héritage de Gears of War, Lost Planet et Metal Gear Solid que dans celui de Casshern et Macross. Après un rapide didacticiel en salle d'entraînement virtuelle pour se familiariser avec les aptitudes de Sam Gideon et sa combinaison hi-tech, on découvre les enjeux de l'histoire à travers une cinématique façon blockbuster catastrophe estival. Pour résumer, un groupuscule russe a pris le contrôle d'une station spatiale américaine équipée d'un canon à micro-ondes et s'en est servi pour transformer San Francisco en hammam mortel.
Ne serais-ce qu'en terme de diversité, SEGA ne s'est pas mal tiré de son contrat pour quatre jeux avec Platinum Games. Nous avons un terrain de jeu pour sadiques qui aiment se battre pour le score le plus élevé dans MadWorld, Infinite Space nous a proposé à RPG dans l'espace pour les joueurs accrocs et obsessionnels, Bayonetta est une héroïne d'action démesurée et dénudée à souhait. Enfin, Vanquish, un shooter à la troisième personne qui se déroule dans une station spatiale avec pour cadre une guerre froid du futur, ne ressemble à aucun d'eux. Bien entendu, ses soldats de l'espace massifs rappellent Gears of War, tout comme le gameplay basé sur le tir et la mise à couvert, mais il a aussi une vague ressemblance avec Lost Planet. Les déplacements et les tirs ont la même matérialité, et le robot géant transformable qui apparaît à la fin de la démo laisse à penser qu'il pourrait aussi avoir dans la manche quelques boss impressionnants. Cela dit, Vanquish s'écarte de ces mécanismes solides et éprouvés de shooter à la troisième personne avec un combat rapproché au ralenti étrangement chorégraphique. C'est un mélange bizarre, mais cela semble être manifestement une réussite.
Une guerre ouverte entre les Etats-Unis et la Russie. Une extrémité qui a alimenté de nombreux films, jeux ou romans et qui semblait avoir disparu avec le déplacement des conflits actuels vers le Moyen-Orient. C'était sans compter sur Vanquish qui remet à chauffer la Guerre Froide dans un contexte de conquête spatiale. Sorte de Gears of War accéléré et mixé avec un soupçon de Bayonetta, Vanquish pioche ses inspirations chez les grands noms du jeu vidéo de ces dernières années. Un choix qui n'empêche pas le jeu, à l'image de l'armure de son héros, de se transformer en quelques chose de nouveau. Le soldat Sam a besoin de vous.Membre actif du DARPA (Defense Advanced Research Projects Agency), une agence américaine responsable du développement de technologies militaires que les amateurs de la série Metal Gear Solid connaissent déjà, Sam est parachuté dans une guerre féroce. En effet, dans un futur proche, la Terre se meurt et manque cruellement de ressources. Un destin qui oblige l'Humanité à chercher des nouvelles planètes d'accueil, mais pas forcément dans une logique où chacun serait main dans la main. Les Américains et les Russes vont effectivement commencer une course à l'exploration qui va s'illustrer par la construction de diverses stations spatiales en orbite autour des astres convoités.
Non, ce n'est pas parce que nous passons tout le temps durant lequel nous n'écrivons pas à tester un maximum de titres différents que nous maîtrisons totalement tous les jeux que les éditeurs nous présentent. Parfois, nous en prenons plein les dents. La preuve avec Vanquish... Au cas hautement improbable où le nom de Sjinji Mikami n'évoquerait rien pour vous, permettez-nous de vous rappeler que ce monsieur a juste créé Resident Evil et qu'il a également participé à l'élaboration de jeux tels que Devil May Cry, Viewtiful Joe ou Phoenix Wright pour ne citer qu'eux. Autant dire que c'est avec une certaine fébrilité que nous attendions de voir Vanquish, sa prochaine création au sein de Platinum Games, le studio qui nous a donné Madworld et Bayonetta. En ce qui concerne la forme, Vanquish sera un jeu de shoot avec une caméra à la troisième personne. Au niveau du scénario, sachez que l'action se déroulera en grande partie dans le 52ème état des États-Unis : la station orbitale Providence. Ce gigantesque vaisseau spatial a pour raison d'être de capter les rayons du soleil et d'en livrer l'énergie vers l'Amérique du Nord afin que ce pays dispose d'un palliatif aux restrictions énergétiques qui ont suivi la raréfaction des sources d'énergie fossiles.
Gamekult
Ajouté le : 06/2010
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Après avoir mis un violent coup de fouet aux beat'em all avec Bayonetta, PlatinumGames semble à présent parti pour donner quelques coups de crosse aux TPS. Si le genre n'a guère souri aux studios japonais depuis qu'il est devenu roi, le studio de Shinji Mikami a mis tous les atouts de son côté pour faire la synthèse de tout ce qui a plu depuis l'avènement du genre.Jeu aux multiples références assumées, Vanquish s'annonce aussi saignant que Gears of War, aussi carré qu'Uncharted 2, aussi stylé que Metal Gear Solid 4, avec un système hyper rodé et une réalisation maîtrisée comme Platinum sait les faire. Rien que ça. Nos impressions revues et corrigées, manette en main cette fois. Petit rappel depuis mars dernier, lorsque nous avions pu découvrir le jeu pour la première fois chez PlatinumGames à Tokyo. Vanquish n'est autre que le quatrième projet du studio, après MadWorld, Infinite Space et Bayonetta. Mais comme on peut le voir dans avec cette vidéo, le contexte est cette fois futuriste, tendance anticipation. Sanglé dans une armure exosquelette capable de décupler ses capacités physiques, Sam Gaiden est envoyé lui et les membres du DARPA mettre un terme aux agissements des Russes.
Après Bayonetta et Madworld, le studio PlatinumGames est sur le point de revenir sur le devant de la scène avec un TPS survolté répondant au doux nom de Vanquish. On ne savait pour l'instant pas grand-chose concernant ce titre mais Shinji Mikami et Atsushi Inaba viennent de lever le voile sur leur dernier bébé. Le créateur de la série des Resident Evil et celui des Viewtiful Joe se sont en effet une nouvelle fois retrouvés pour notre plus grand bonheur. A moins d'avoir passé les derniers mois dans une grotte, il est difficile d'ignorer qu'une partie des développeurs les plus créatifs de Capcom se sont fait la malle pour fonder leur propre studio : PlatinumGames. Les bougres ne sont pas restés les mains croisées puisqu'ils ont déjà accouché de Madworld et de Bayonetta, deux titres aussi jouissifs que déjantés. Le fait de voler de ses propres ailes a visiblement plutôt réussi à cette fine équipe qui s'est rapidement forgée une solide réputation auprès des joueurs avides d'action. Il faut dire que les membres de PlatinumGames sont loin d'être des inconnus : Vanquish, leur prochain projet, rassemble ainsi Shinji Mikami et Atsushi Inaba.
Gamekult
Ajouté le : 03/2010
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Il y a un peu moins de deux ans, Sega avait annoncé une collaboration avec le jeune studio PlatinumGames pour la sortie de quatre jeux. Si Bayonetta, Infinite Space et MadWorld sont déjà disponibles, le quatrième projet est sorti pour la première fois de sa cachette fin janvier, sous la forme d'une courte vidéo assez intrigante. Presque un mois plus tard, c'est dans une des tours de Roppongi à Tokyo que nous avons pu véritablement découvrir le jeu pendant une petite demi-heure, en compagnie de son directeur Shinji Mikami. Peu enclin à faire des apparitions publiques et encore moins à se déplacer pour rencontrer la presse, Shinji Mikami était pourtant tout sourire et en pleine forme la semaine dernière à Tokyo lors de la présentation de Vanquish, son nouveau gros projet après quatre longues années d'absence. On avait en effet quitté le game designer japonais en 2006 sur un God Hand qui avait relativement divisé les joueurs et les critiques. Un poil rancunier, l'ancien employé rebelle de Capcom ne s'est d'ailleurs pas privé pour "remercier" le rédacteur d'IGN présent pour leur test de God Hand, avant de préciser à toute l'assemblée que Vanquish n'était en aucun cas P.N.03. Une fois cette mise au point opérée, il s'est fait un plaisir d'offrir une démo de son prochain jeu, Dual Shock 3 en main.
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