7 tests d’experts - Aucun avis d'internautes
S'abonner
0
0
Je le veux
0
Je l'ai
0
Je l'ai eu
0
Nous avons réuni 7 tests du Undead Knights. Les experts notent Undead Knights 5.5/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Undead Knights et d'autres Jeux PSP.
Vous le croisez partout : dans les transports en commun, dans les salles d'attente, dans les cinémas, parfois dans les bars. Totalement insensible à l'environnement qui l'entoure, le pouce souple, le regard concentré sur son écran, cet être un peu à part, c'est l'utilisateur, généralement masculin, généralement adulte, de PSP. Vous le croisez partout, et bien que son visage soit souvent différent, les jeux sur lesquels il passe le temps, eux, ne changent pas. A part les dernières versions de FIFA ou de PES, un des GTA ou un quelconque casse-briques (Tetris a encore de beaux jours devant lui), l'utilisateur de PSP ne semble pas s'intéresser à grand-chose. Manque d'ouverture d'esprit ? Manque de titres de qualité, plutôt. Malgré un début d'année prometteur, avec le débarquement d'une ribambelle de produits inédits, la ludothèque de la portable Sony reste désespérément pauvre en jeux indispensables. Bien qu'exclusif à la machine, Undead Knights ne relève pas le niveau.Combien de temps perdu, combien de destins brisés, combien de batailles, bref, combien d'erreurs ont été commises au nom d'une paire de gros seins ? Si l'obsession mammaire n'a pas encore provoqué la ruine complète de l'humanité, gageons que nous ne sommes pas toujours passés très loin du drame.
A la croisée des chemins d'un Evil Dead 3 : L'Armée des Ténèbres et de Dynasty Warriors, Undead Knights délaisse le héros propre sur lui pour nous balancer trois guerriers ayant soif de vengeance. Un parti-pris sympathique trouvant écho dans la possibilité de diriger une troupe de morts-vivants. Cependant, sous ses dehors décomplexés, Undead Knights tient-il la distance ? Toutes les histoires se déroulant au Moyen-Age ne débutent pas par "Il était une fois" et ne se terminent pas forcément bien. C'est le cas de celle d'Undead Knights nous contant les déboires de Romulus Blood injustement assassiné par le roi Kirk Gradis après que le preux chevalier eut averti ledit roi de se méfier de son épouse Fatima. Résultat, Romulus mange désormais les pissenlits par la racine aux côtés de son frère Remus et de sa femme Sylvia eux aussi passés de vie à trépas pour l'occasion. Tout aurait pu s'arrêter là sauf qu'une vile créature démoniaque apparaît pour sceller un pacte avec les trois pauvres hères. Ces derniers n'hésitent pas une seule seconde afin de mener leur quête vengeresse et peuvent dès lors commander une armée de morts-vivants pour punir ceux qui ont commandité leurs meurtres.
Le beat’em all est un genre de jeu particulier. Véritable défouloir, il a le mérite de faire passer le temps sans avoir à jongler dans des centaines de menus pour paramétrer son personnage de manière optimale. Si God of War : Chain of Olympus s'est rapidement imposé comme la référence du genre sur PSP, Undead Knights apporte un brin d’originalité au genre grâce à une ambiance particulière. Reste à voir si le titre de Tecmo a d’autres arguments à faire valoir. Le scénario d’Undead Knights tient en quelques lignes : Remulus Blood, l’un des trois personnages jouables, a eu la mauvaise idée de vouloir épouser la princesse Sylvia. Si l’envie de se marier est toute à son honneur, c’est sans compter sur le père de la future mariée qui est possédé par une sorcière et qui, sous son emprise, exécute les futurs tourtereaux. Et puisqu’un malheur n’arrive jamais seul, Romulus, frère de Sylvia (et accessoirement témoin du mariage) est lui aussi voué à un sort funeste. Ce trio d’enfer est donc celui que vous incarnez, avec la possibilité de choisir le personnage que vous voulez avant chaque mission.
Après être parti à l'assaut des États-Unis puis du Japon, c'est sur le Vieux Continent que Undead Knights s'attaque aux PlayStation Portable. Petit nouveau dans la grande famille des jeux Tecmo, ce beat'em all d'apparence classique tente pourtant de jouer la carte de l'originalité pour un titre du genre en plaçant des mort-vivants au c?ur de son concept. Contrôler ses zombies tel un Overlord qui dirige ses minions, cela a t-il du bon sur la nomade de Sony ? Narrée par une bien jolie cinématique, l'histoire de Undead Knights n'est pas du genre à s'embêter d'une quelconque subtilité. Tout commence lorsqu'un roi, qui n'a plus toute sa tête à cause d'une sexy mais très manipulatrice sorcière, décide de mettre à mort sa propre fille. Cette dernière est alors sur le point d'épouser un certain Remus Blood, une union qui n'a pas le temps d'être célébrée puisque l'armée du souverain tue les deux amants ainsi que Romulus, frère de Remus et accessoirement malheureux témoin du mariage. Mais lorsque l'on appartient au clan Blood, on n'accepte difficilement de s'être fait assassiner à son mariage, alors on revient d'entre les morts pour se venger.
Grâce à la fusion entre Tecmo et Koei, il n'est désormais plus obligatoire de s'appeler Gundam ou Ken pour profiter de mélanges expérimentaux, preuve en est avec ce beat'em all satanique mâtiné de casse-tête. A l'époque de Grand Theft Auto : Chinatown Wars ou encore Kingdom Hearts : Birth by Sleep, est-ce qu'un petit jeu original sans license peut se faire un nom sur la PSP ? Un mariage, c'est jamais évident à organiser. Les invités qui oublient de répondre, les traiteurs qui gonflent la facture, les potes qui se sentent obligé de vous offrir des réjouissances à l'hygiène douteuse, les membres de la famille qui ne s'aiment pas... c'est chaud ! Mais c'est toujours moins chaud que d'épouser la fille d'un roi manipulé par une sorcière. C'est ainsi que le chevalier Remus Blood, sa future épouse la princesse Sylvia et son frère Romulus, témoin du mariage et lui aussi chevalier émérite, furent massacrés par ordre du souverain. Mais c'était sans compter la soif de revanche de nos deux frères et de la princesse, revenus d'entre les morts. Ces revenants à la peau pâle et légèrement décomposée n'arrivent pas les mains vides, puisqu'ils possèdent le pouvoir de transformer en zombie chaque ennemi tombé au combat.
Gamekult
Ajouté le : 09/2009
Plus accessible...
Undead Knights : un titre semblant sorti d'un générateur bidon, des visuels qui font penser à une simple retranscription de PlayStation Home dans un monde médiéval, et surtout un jeu qui, d'une manière générale semble sorti de nulle part. Et pourtant, on tient là peut-être le "GOTY" des hardcore gamers fans d'action folle et de concepts originaux. C'est dans un petit recoin du stand Tecmo Koei caché sous une passerelle que se cachait ce titre que Puyo m'avait demandé d'aller voir vite fait. Une bonne demi-heure plus tard, je suis toujours accroché à la PSP de démonstration de ce titre incroyablement simple, et pourtant si fascinant. Il faut dire que le principe de base avait de quoi séduire : le joueur incarne un personnage ténébreux qui a le pouvoir de transformer ses ennemis en zombies obéissants. Représenté comme un PlayStation Home, le jeu commence alors que vous êtes seul face à des soldats décidés d'en découdre avec le démon que vous êtes. Une petite pression du bouton rond, et voilà que le soldat le plus proche de vous voit son énergie vitale aspirée, pour devenir un mort-vivant attaquant automatiquement les ennemis autour de vous.
Quand Tecmo décide de se la jouer à la Koei, cela nous donne Undead Knights, sorte de mix entre Dynasty Warriors et Le jour des morts-vivants. Le tout aurait donc pu se passer sur les consoles nouvelle génération sauf que la firme nipponne a opté pour la PSP afin de proposer ses batailles de masse. Si Dynasty Warriors : Strikeforce ne vous a pas vraiment convaincu, peut-être vous laisserez-vous tenter par Undead Knights. Mettant en scène les dénommées Remus ou Sylvia (non jouable dans la démo), le titre nous propose de charcler des nuées d'ennemis n'ayant pour autre ambition que de nous barrer la route. Fragile dans son concept forcément répétitif, Undead Knights se révèle pourtant relativement fun une fois la console en mains. Et justement, tout commence alors que Remus se retrouve seul sur une route de campagne. Surviennent alors plusieurs soldats ennemis qu'il va vous falloir éliminer proprement à l'aide de votre épée. Une pression sur croix pour une attaque simple, une pression sur triangle pour une attaque forte : les enchaînements pleuvent et les corps s'éparpillent. Jusque-là, rien de bien passionnant sauf qu'Undead Knights dispose d'un petit plus qui fait toute la différence.
TestMateriel.com ne regroupe pas de serial, no cd, warez, torrent et crack pour Undead Knights. Inutile de nous contacter pour se faire rembourser d'un jeu, obtenir de l'aide pour le lancer, demander une soluce, une astuce Undead Knights.