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Nous avons réuni 22 tests du The Legend of Zelda : Skyward Sword. Les experts notent The Legend of Zelda : Skyward Sword 8.7/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du The Legend of Zelda : Skyward Sword et d'autres Jeux Wii.
Cela fait plus de 25 ans maintenant qu'on est rodé avec Nintendo et The Legend of Zelda, 1 épisode au démarrage d'une console, 1 épisode quand cette dernière est à son apogée, comme pour sonner le début et la fin du règne d'une machine de la firme de Kyoto (bon ok, y'a eu les versions CD-I, pardon pour elles). Zelda, c'est avant tout le mètre-étalon d'un support, capable à lui seul de faire vendre la machine, et représentatif des évolutions et des choix en matière de game design chez Nintendo. Tout allait d'ailleurs pour le mieux jusqu'à l'arrivée de la Wii. Cette fauteuse de trouble avait osé s'approprier le dernier épisode Gamecube. Cet enfant terrible, Twilight Princess, avait été repoussé d'un an, afin de le maquiller avec du motion gaming pas franchement indispensable. Dès lors, la console ne pouvait prétendre avoir un vrai Zelda adapté au support. C'est donc plus ou moins corrigé avec Skyward Sword, 5 ans plus tard. 5 longues années de maturation pour offrir enfin un titre auquel incombe la lourde tâche d'être le digne représentant de la fin de vie de la Wii. Bon alors, The Legend Of Zelda : The Skyward Sword, apogée de la console phare du motion gaming ?
GamePro.fr
Ajouté le : 11/2011
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C'est sur Wii que nous avons découvert l'épisode Twilight Princess. Un jeu d'abord développé pour GameCube, ce qui se ressentait particulièrement dans l'utilisation limitée faite de la Wiimote. On avait donc hâte de découvrir Swyward Sword, un épisode de la Légende de Zelda tout spécialement conçu pour exploiter une reconnaissance de mouvements dopée au MotionPlus. Un nouvel épisode qui ne nous a pas déçu, tant il condense à lui seul tout l'héritage de la saga sans se priver de réinventer certains de ses passages aussi cultes qu'indémodables dans les inévitables donjons auxquels le joueur est amené à se frotter. Un très grand Zelda qui a commencé par nous faire peur. Pourquoi ? Parce qu'il nous a fallu quelques heures de jeu pour accepter son rendu visuel techniquement loin d'être irréprochable, surtout sur dalle HD. Le fait est que le style visuel choisi n'est pas fait pour atténuer l'aliasing ou améliorer l'esthétique. Pourtant, après quelques heures, impossible de ne pas oublier le fossé technique qui sépare Skyward Sword des jeux de cette fin d'année sur consoles HD (ou de la démo technique Zelda sur Wii U du dernier E3) pour se laisser embarquer par l'aventure.
Comme toujours depuis près d'un quart de siècle, chaque nouveau Zelda est attendu avec frétillement et anxiété. Non pas parce que l'on doute de ses qualités, mais parce qu'il est à fortiori probable que l'on tienne entre nos mains l'un des meilleurs jeux de la console, si ce n'est de la génération. Cinq ans après Twilight Princess, sorti également sur GameCube, la Nintendo Wii va enfin pouvoir se délecter d'un Zelda exclusif à son support. Doit-on effectivement s'attendre, avec The Legend of Zelda : Skyward Sword, à l'un des meilleurs titres de la console ? Il aura donc fallu cinq longues années à Nintendo pour réfléchir, concevoir et sortir ce nouveau Zelda. Une gestation anormalement longue pour le développeur japonais tant il a été compliqué de composer une nouvelle aventure exclusive à la Wii et à sa manette si particulière. Ces complications, on les ressent dès le début de l'aventure avec une histoire qui a véritablement du mal à démarrer, tout du moins après les deux premières heures de jeu, ne prenant son envol qu'une dizaine d'heures plus tard lorsque les trois premiers temples ont été bouclés. Sans véritablement dévoiler l'intrigue, Link va de nouveau devoir sauver son amie Zelda, alors simple habitante de la ville flottante de Célesbourg.
Les premiers pas dans Link ne sont pas les plus représentatifs du jeu. Vous évoluerez dans un premier temps auprès de Zelda, vivrez les prémices et les sous-entendus d'une affection qui dépasse de loin celle d'une bonne entente amicale. L'évolution de cette histoire entre Link et Zelda posera sans doute les bases et les motivations de cette nouvelle aventure, mais la mise en place du titre reste tout de même quelque peu longuette. Il faudra donc du temps à ce Zelda Skyward Sword pour déployer ses ailes et vous offrir ce qu'il a de plus intéressant. Aussi ne faudra-t-il pas juger ce Zelda sur ces premières heures de jeu. La première zone à traverser commencera tout juste à vous faire entra-percevoir ce dont le titre recèle, mais le titre se dévoilera complètement bien après votre première course d'oiseau, le fameux Célestrier. Si vous attendiez beaucoup de ces phases de vol, peut-être serez-vous déçus. D'ailleurs, vu l'importance de la course en début de partie, on pensait que cet aspect du jeu aurait plus de son importance, que nous serions amenés à voler plus souvent, dans différents contextes.
Un jeu de la série des Zelda est toujours un évènement attendu de par le monde par des fans irréductibles. Ce qu'il faut garder à l'esprit, c'est qu'un Zelda, c'est avant tout une aventure personnelle, et le charme que l'on trouvera à tel ou tel épisode est très souvent inexplicable. Certains adorent The Wind Waker, d'autres le détestent. Et ce n'est qu'un exemple qui fait qu'un test est toujours hautement subjectif, et que celui d'un Zelda l'est encore plus que de coutume.Vous l'avez donc compris, même si ce test tiendra compte des qualités intrinsèques du jeu, il sera aussi et surtout l'avis très personnel de son testeur. Skyward Sword a été décrit comme étant une sorte d'épisode sur les origines de la Légende globale de la série. En bref, vous allez subtilement apprendre quelques informations sur les origines de certains détails qui feront les principales caractéristiques du héros (comme le fait que sa tunique soit verte par exemple). Il y a donc plein de petits clins d'oeil à différents aspects en particulier et qui se recoupent avec des éléments des autres épisodes (ce sont tout de même des détails très secondaires hein, pas d'émeutes s'il vous plait !).
En 1986, sous les mains habiles de Shigeru Miyamoto, naissait un petit personnage aux oreilles pointues et à la tunique verte, même si pour le coup, à l'époque, il était difficile de reconnaître les oreilles dans ce petit tas de pixels qu'était Link. 25 ans et 15 jeux plus tard (nous omettrons bien évidemment les épisodes sur CDI), le père Link à fait bien du chemin. Tour à tour marin, fermier ou chauffeur de train, mais avant tout sauveur du monde, notre héros muet revient pour une nouvelle aventure, en tant que chevalier céleste dans ce nouvel épisode la saga : Zelda Skyward Sword. Mais une question se pose. Après tant d'aventures et tant de réécritures de l'univers, le brave Link arrive-t-il toujours à convaincre ? Avant de répondre à cette épineuse question, intéressons nous un peu à l'histoire de ce nouvel épisode. Après un Twilight Princess plutôt sombre, le premier contact avec Skyward Sword est plus léger, si l'on excepte les premières minutes du jeu, opposant un Link sans défense à une monstrueuse entité... jusqu'à ce qu'il se réveille. Tout ensommeillé, et un peu retourné par cet horrible cauchemar, notre héros prend connaissance d'une lettre de sa chère amie Zelda, lui rappelant qu'aujourd'hui se tient le vingt cinquième anniversaire de la course céleste (clin d'œil subtil s'il en est aux quart de siècle de la saga).
La prophétie l'a annoncé : un mal terrible qui a jadis terrorisé le pays, menacera de se lever à nouveau. Les dieux, qui avaient vaincu ce mal dans les temps anciens, avaient enfermé le pouvoir capable de le repousser dans une grande épée scellée d'un mystérieux symbole. Un héros choisi par ses dieux devra passer par de nombreuses épreuves s'il veut réclamer ce pouvoir pour lui-même et préserver l'avenir du pays. Ce héro devra aussi veiller sur une fille dont le destin est intimement lié à celui de ce même pays. Voilà l'histoire qui s'est transmise de génération en génération. « La transmission orale est la façon la moins fiable qui soit de relayer des informations », fait remarquer Fi, votre familier et votre guide dans Legend of Zelda : Skyward Sword. Fi est une entité éthérée, moitié Navi, moitié Cortana, qui habite votre épée et qui n'est pas à l'abri de répliques désolantes bien qu'exactes. Malgré tout, les prophéties se sont révélées relativement fiables dans les jeux d'aventures fantastiques classiques de Nintendo de ces 25 dernières années. Il paraîtrait que Nintendo suit une trame chronologique qui relie tous ces contes de fées bien huilés en une même histoire cohérente, mais je n'y crois pas une seconde.
Plus les années passent et plus on se rend compte que la série créée par Shigeru Miyamoto n’a aujourd’hui aucun équivalent dans son genre. A l’époque des Zelda 2D, on trouvait bien quelques titres se rapprochant des chefs-d’œuvre de Nintendo, mais depuis le passage à la 3D, la saga est devenue une marque de fabrique pour le moins unique. Seule exception, le sublime Okami. Et Nintendo ne s’y est d’ailleurs pas trompé en lui renvoyant l’hommage avec la transformation en loup de Twilight Princess. Mais cette singularité rend la série sans doute encore plus précieuse et l’arrivée forcément très attendue de The Legend of Zelda : Skyward Sword vient nous le rappeler avec bonheur. Après le torturé, mais néanmoins grandiose Majora’s Mask et l’époustouflant The Wind Waker, avec Twilight Princess, Eiji Aonuma revenait à une structure plus posée, celle initiée par Shigeru Miyamoto dans Ocarina of Time. Si on retrouvait dans ce dernier quelques passages presque malsains pour un Zelda, on sentait aussi que celui qui tient les rênes de la série avait quelque part mis de côté ses velléités subversives pour de nouveau faire rentrer Zelda dans le rang, et par là-même reconquérir son public.
Fruit de cinq ans de développement après l’épuisant épisode-somme qu'était Twilight Princess, The Legend of Zelda : Skyward Sword a sucité ces derniers mois autant d'espoirs que de méfiance. Certains craignaient que son mode de contrôle par détection de mouvement limite l'intérêt de ses combats ; d'autres prédisaient une aventure sans verve épique. Skyward Sword est pourtant bien plus qu'un simple étendard de la Wiimote +, un titre surprenant qui entremêle esprit de tradition et trouvailles fabuleuses. Passage en revue d'un grand jeu, dont la vitalité n'est pas seulement celle que l'on croit. Remontant aux origines de la saga, Skyward Sword évoque un temps reculé où les hommes furent sauvés des Ténèbres par l'intervention providentielle d'une déesse. Les survivants s'installèrent sur des îlots célestes que leur bienfaitrice arracha de la surface de la Terre, avant d'oublier peu à peu leur Histoire... Lancé à la poursuite de Zelda qui ne tarde par à se faire capturer, Link doit quitter le Royaume du Ciel pour le monde oublié qu'il découvre par la Forêt de Firone, première des trois grandes zones qui constituent la première partie de la progression.
Depuis maintenant 25 ans, la série The Legend of Zelda s'est fait une place dans le panthéon vidéoludique grâce à son excellence. Une place que personne ne peut contester tant la saga a su perdurer avec une constance extraordinaire. Bien sûr, cette dernière phrase n'est à prendre en compte que si vous arrivez à comprendre qu'aucun épisode n'est jamais sorti sur CD-I. Jamais ! Bref, attelons-nous dès à présent à ce fameux Skyward Sword, qui en a déjà fait crier quelques-uns de par son design, le genre de critiques qui n'avaient pas empêché de briller un certain Wind Waker d'ailleurs. Ce qui importe, c'est que ce nouvel opus nous propose un univers profond et attachant doublé d'une quête qui nous émerveille. Mais est-ce vraiment le cas ? L'aventure débute sur un terrible cauchemar de Link, mettant en scène une sombre créature démoniaque. Avant de comprendre ce qu'il se passe réellement, le héros se réveille, révélant ainsi sa petite chambrée dans l'Ecole des Chevaliers de Célesbourg. Ce village sera l'un des cadres principaux du voyage visuel qui s'offre à vous. Mais pour le moment, il faut bouger ses fesses de feignasse somnolente car aujourd'hui est un grand jour : la 25ème édition de la Chevauchée Céleste !
1986 - 2011. Pour fêter dignement ses 25 ans, Zelda s'offre un dernier rendez-vous avec la Wii. Rencontre harmonieuse entre l'esthétique naïve de Wind Waker et le passage à l'âge adulte de Twilight Princess, cet épisode sous-titré Skyward Sword se pose avant tout comme la synthèse absolue de la spécificité de la Wii : le mouvement. Equipé du Wii MotionPlus et sa reconnaissance absolue, vous ne vous contenterez plus d'accompagner Link, vous enfilerez littéralement sa légendaire tunique verte. Vous serez son bras armé. Avec ses nombreuses forces, mais aussi quelques faiblesses...Alors que la Wii s'apprête à tirer sa révérence d'ici quelques mois, Nintendo souhaitait lui offrir son dernier présent. Un joyau qu'il aura fallu 5 longues années à ciseler. De l'aveu même du maestro Shigeru Miyamoto, il s'agit d'ailleurs là du plus ambitieux projet d'une firme habituée à l'excellence. Proposer une aventure épique, un voyage inoubliable tout en parvenant à rassembler l'ensemble des leçons de la Wii au fil des années. Le défi était de taille. N'oublions pas non plus que Zelda aura été l'alpha et l'omega de la machine. Initialement prévu pour la GameCube avant d'être rapidement adapté pour la prise en main à la Wiimote, Twilight Princess n'avait ainsi pu aller au bout de l'idée.
A l'image de Mario, Zelda est souvent considéré comme le bras armé de Nintendo pour imposer ses consoles sur le marché, et faire en sorte qu'elles s'écoulent à des millions d'exemplaires à travers le monde, même lorsqu'elles sont incapables d'afficher des graphismes en HD. La Wii n'a pas besoin d'un tel coup de main, évidemment, et le challenge est d'une tout autre ampleur pour Eiji Aonuma et ses équipes, puisque The Legend of Zelda : Skyward Sword est le premier épisode de la série à être réellement conçu sur Wii. En plus d'apprivoiser le Wii MotionPlus et le Nunchuk, les développeurs vont surtout devoir convaincre les joueurs que Paul Cézanne a beaucoup plus de classe que la haute-définition. Une mission délicate mais pas impossible sur laquelle on revient ici, sans aucun spoil qui plus est.Nintendo aura donc mis cinq ans pour sortir un nouveau Zelda sur Wii, après un The Legend of Zelda : Twilight Princess tout bonnement divin, mais qui était avant tout destiné au GameCube, ne l'oublions pas. A ce prix-là donc, on s'attendait à un chef-d'oeuvre du même calibre, bien que nous soyons conscients que la comète de Halley ne passe pas tous les soirs dans le ciel de Cherisy.
Zelda est une série où l'histoire est relativement ténue par rapport à l'immensité des aventures, mais Nintendo a appris à susciter les émotions des joueurs par d'autres moyens : grâce à l'efficacité redoutable d'un doux mélange totalement assumé de nostalgie et de nouveauté. Ce Zelda Skyward Sword semble perpétuer la tradition. Comme le savent les fans des premiers jours, dans Zelda, plus les choses changent et plus elles restent les mêmes. Loin d'être l'indice d'une panne d'imagination, le côté familier apaisant de la série est au contraire un canevas au succès constamment renouvelé que Nintendo triture à l'infini pour provoquer cette « surprise » dont Miyamoto dit toujours qu'elle est son objectif créatif. Le plus gros changement dans Legend of Zelda : Skyward Sword est d'ordre mécanique. C'est le premier titre important de Nintendo - en dehors des compilations de mini jeux - construit exclusivement pour le MotionPlus, une amélioration de la Wiimote vieille de deux ans que les créateurs de jeu ont en grande partie ignorée. Il s'avère que le nouveau jeu Skyward Sword n'était même pas censé le supporter à la base, mais il est finalement bien là et ses effets se font sentir dès que Link manie sa première épée d'entraînement.
JeuxVideo.fr
Ajouté le : 10/2011
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The Legend of Zelda : Skyward Sword a beau être l'un des derniers titres mastodonte de la Wii et son étendard gamer en cette fin d'année, nombre de joueurs l'attendent plus que jamais au tournant. Certains craignent que son game-design accaparé par l'exploitation de la Wiimote +, accouche d'un gameplay casualisé. D'autres interprètent la première zone présentée, la mignonnette forêt de Firone, comme le signe d'un Zelda plus cloisonné et anecdotique que jamais, dénué d'élan épique. Nous avons pu nous essayer aux 6 premières heures jusqu'au troisième donjon ; le temps de se rendre compte que si certaines craintes se révèlent fondées, Skyward Sword charme d'emblée tout en laissant des signes clairs de l'ampleur qu'il prendra par la suite. Débuts difficilesOn est bien obligé de l'admettre, les toutes premières heures passées à explorer les trois premières zones terrestres surprennent, déçoivent même. Le level-design, en « bassine » plutôt qu'en « chemin » y semble immédiatement plus léger et chaotique qu'à l'accoutumée, produisant même une gêne tenace : quelque chose semble avoir changé dans le tempérament de la série.
Les fans de la série le savent, un nouveau Zelda est toujours l'assurance de bonnes idées de gameplay et d'un level design aux petits oignons. Les risques pris par Nintendo sont souvent considérables et Skyward Sword ne dérogera pas à la règle. Heureux que nous sommes, nous avons pu y jouer quelques heures afin de nous rendre compte des changements initiés par ce nouvel opus. Voilà ce qu'on en a pensé. Ayant déjà manié brièvement ce nouveau Link par le passé, l'idée de parader fièrement, épée à la main, pendant une longue session de jeu ne pouvait être qu'excitante. Nous avons donc découvert le début de l'aventure (jusqu'à la fin du deuxième donjon), une partie suffisante pour découvrir avec plus de précision de ce que nous réserve Skyward Sword. Après un étrange cauchemar, l'histoire s'ouvre, comme de coutume, sur le réveil de notre héros aux oreilles pointues. On découvre alors l'île volante de Célesbourg, cité paisible et agréable où tout le monde se connaît. On comprend vite que l'on doit participer à un événement très important pour la ville, la Chevauchée Céleste, sorte de course à dos d'oiseaux. Autant vous garder la surprise sur les situations que cela va déclencher, mais le plus important à savoir, c'est que la Princesse Zelda va, ô surprise, disparaître.
Autant l'avouer tout de suite, nous ne vous dirons pas tout sur The Legend of Zelda : Skyward Sword. Tout d'abord parce que Nintendo ne nous l'autorise pas, et puis parce que la sortie du jeu est fixée au 18 novembre prochain, soit dans un peu moins d'un mois. Oui, nous préférons clairement économiser nos munitions en vue de notre test de The Legend of Zelda : Skyward Sword. Mais comme il s'agit d'une licence remplie d'histoire, comme il s'agit d'un jeu attendu par tout un peuple, on a quand même décidé de vous faire part de nos premières impressions sur le jeu, manette en main.Les deux premiers donjons, point barre. Les consignes de Nintendo sont claires, et reflètent l'immense attente que suscite The Legend of Zelda : Skyward Sword, qui est quand même le premier épisode de la série à être développé sur Wii ; ce qui n'était pas le cas de The Legend of Zelda : Twilight Princess plutôt qualifié de portage chargé d'assurer le lancement de la console en 2006. Du coup, on n'est pas étonné de voir que les développeurs se sont appuyés sur le Wii MotionPlus pour rendre les combats moins linéaires. En effet, il ne s'agira pas de gesticuler bêtement devant l'écran du salon - ou de la chambre pour ne pas déranger madame -, puisqu'il faudra prêter attention à la garde des adversaires.
JeuxVideo.fr
Ajouté le : 06/2011
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L’arrivée d’un nouveau Zelda sur console de salon est déjà un évènement en soi. Malgré les concessions et autres étrangetés de game-design qui ont fait de Twilight Princess un épisode parsemé de grandioses fulgurances mais déséquilibré et malade, savoir la talentueuse équipe d’Eiji Aonuma au travail sur un véritable premier épisode pour la Wii suscite un grand espoir. Espoir de découvrir de nouveaux espaces merveilleux (le continent céleste ?), de nouveaux moyens d’explorations surprenant après le bateau de Windwaker mais aussi de nouveaux concepts malicieux. Notre première prise en main du futur Zelda n’a pas répondu à toutes nos questions, loin s’en faut, mais nous a tout de même rassuré sur la tenue de son approche graphique et sur le ludisme de son utilisation du motion +. La démo du showfloor se divisait en trois sections à la thématique bien distinctes. La première permettait de découvrir une séquence à dos d’oiseau, prenant manifestement place au début du jeu sur le continent céleste. Assez amusante bien qu'un peu simple, elle consistait à courser un oiseau tout en zigzagant entre des ilots volants ; sans trop d’accroc, la Wiimote + permettait de naviguer dans les airs avec aisance, même si son utilisation a d'avantage brillé lors des séquences de maniement de l’épée.
Après une présentation ratée sur scène l'an passé lors de sa conférence E3, Nintendo avait pour mission de nous redonner foi en The Legend of Zelda : Skyward Sword. Le jeu était à nouveau jouable sur le salon cette année, et nous avons pu l'essayer à travers différentes phases de jeu. Voici nos dernières impressions. Quick Link La nouvelle démo E3 de The Legend of Zelda : Skyward Sword présentée sur le salon se divisait en trois parties distinctes. La première était sans doute la plus simple puisqu'il s'agissait juste de participer à une petit jeu. Link devait se précipiter dans le vide et grimper sur un oiseau géant pour en rattraper un autre afin de récupérer une statue. Notez que la récompense de ce mini-jeu était remise par la belle Zelda en personne, ce qui est toujours motivant. La phase de vol se contrôlait bien sûr à l'aide du pointeur de la télécommande. En la secouant, on pouvait aussi faire battre l'oiseau des ailes pour qu'il prenne de l'altitude. Un peu anecdotique, ce passage avait en réalité surtout pour but de donner un aperçu du jeu qui proposera dans sa version finale beaucoup de choses en marge des habituels donjons.
The Legend of Zelda a beau traditionnellement se baser sur une histoire d'elfe héroïque plutôt modeste et de princesse, ce que nous venons de voir à l'E3 était tout sauf enfantin.Quand Epona s'est remis à cavaler à travers la brume, on aurait dît qu'un portail transdimensionnel venait de s'ouvrir dans le Nokia Theater, situé dans le centre-ville de Los Angeles. Des millions de fanboys en sueur en train de manger des Curly criaient leur enthousiasme de l'autre côté.Zelda passionne, et il est très difficile de savoir si, oui ou non, la série a besoin d'une petite révolution - de savoir si ses mécanismes adorés par les joueurs du monde entier commencent à montrer leurs faiblesses, ou si la répétition indéfinie des mêmes rituels est la clé de tout le charme de la série.Nintendo semble déjà avoir trouvé une réponse à la question et a décidé qu'il était temps de moderniser quelques éléments - au moins en ce qui concerne les contrôles. Dans une drôle de présentation audacieuse et plutôt ratée, Miyamoto a expliqué que le nouveau jeu, baptisé Skyward Sword, est considéré comme un "tournant clé dans la longue histoire de la série des Zelda".
L'annonce d'un nouveau Zelda est toujours un événement, quelle que soit la machine concernée. Après The Legend of Zelda : Spirits Tracks sorti l'an passé sur DS, Nintendo a dévoilé lors de sa traditionnelle conférence pré-E3 The Legend of Zelda : Skyward Sword, le prochain volet de la série destiné à la Wii. Si Shigeru Miyamoto a quelque peu lutté pour démontrer les qualités du jeu sur scène, la démo jouable disponible sur le stand de Nintendo a encore une fois prouvé que les équipes d'Eiji Aonuma allaient faire mal en 2011.C'est à la roundtable tenue par Shigeru Miyamoto, Eiji Aonuma et Hideki Konno qu'il fallait se rendre pour en apprendre un peu plus sur le scénario du prochain The Legend of Zelda : Skyward Sword. Dans ce nouvel opus de la saga, Link est originaire d'un royaume céleste baptisé Skyloft et va être contraint de descendre sur Terre afin d'affronter des forces venues des ténèbres. L'une de ses principales motivations sera la légendaire Skyward Sword, une arme d'une puissance phénoménale et qui, durant l'aventure, sera amenée à devenir la Master Sword. Eiji Aonuma a avoué que la Skyward Sword était dotée d'une intelligence et qu'elle pouvait prendre une forme quasiment humaine, précisément celle qui se trouve sur le fameux artwork révélé l'année dernière.
S'il y a un titre que les joueurs attendaient à l'E3 2010, c'est bien le nouveau Zelda. Nintendo l'a d'ailleurs parfaitement compris, et ce n'est pas pour rien que le constructeur a choisi d'ouvrir sa conférence par la présentation du jeu orchestrée par le père de la série lui-même, le très joueur Shigeru Miyamoto. Après une phase d'explications et quelques minutes de jeu Wiimote en mains, voici nos toutes premières impressions sur The Legend of Zelda : Skyward Sword. En montant sur scène pour présenter le nouveau Zelda à un parterre de journalistes du monde entier, Shigeru Miyamoto nous a bien fait comprendre que le titre lui tient particulièrement à cœur. Si la démonstration live du maître aura été entachée par quelques soucis techniques de liaison sans fil, les inquiétudes se sont bien vite envolées lorsque nous avons pu à notre tour nous emparer d'un couple Wiimote/Nunchuk pour suivre Link dans sa nouvelle aventure. Il faut savoir que le bout de jeu auquel nous avons eu droit a été spécialement mis sur pieds pour les besoins de l'E3. Il ne représente pas le produit final aussi bien en ce qui concerne la technique que l'équilibre du jeu, véritablement axé sur les combats.
Gamekult
Ajouté le : 06/2010
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Dire qu'un nouveau Zelda est attendu relève de l'euphémisme et Nintendo l'a bien compris en choisissant de dévoiler hier The Legend of Zelda : Skyward Sword en ouverture de sa conférence E3, avec cependant quelques ratés techniques. Heureusement, les bornes accessibles dès la fin du show et la nouvelle démonstration organisée en comité plus réduit à la fin de la première journée du salon ont permis d'être rapidement rassuré sur la prise en main du successeur de Twilight Princess, parti pour changer quelques habitudes des adeptes de la saga. Cela n'aura échappé à aucun joueur ayant assisté à la conférence Nintendo, The Legend of Zelda : Skyward Sword tourne énormément autour de la reconnaissance de mouvement, assurée par la combinaison Wiimote-Wii MotionPlus-Nunchuk. Contrairement à Twilight Princess, ce nouvel épisode a été pensé dès le départ pour la Wii, avec une optique de fluidité dans la prise en main. Concrètement, cela se traduit par un inventaire circulaire d'objets pas inédit, mais accessible d'une simple pression sur B et ne coupant pas l'action. Pour s'équiper, il suffit de pointer ou de tourner la Wiimote vers l'équipement de son choix pour voir Link le sortir de ses poches magiques.
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