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Nous avons réuni 12 tests du The Elder Scrolls V : Skyrim. Les experts notent The Elder Scrolls V : Skyrim 8.8/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du The Elder Scrolls V : Skyrim et d'autres Jeux Xbox 360.
Débarqué en mars 2006, quelques mois à peine après la sortie de la Xbox 360, The Elder's Scrolls IV : Oblivion s'est rapidement et pour longtemps imposé comme l'un des meilleurs jeux de rôle disponibles sur consoles. Cinq ans après, la relève est enfin là avec un cinquième opus, Skyrim, bien décidé à frapper à nouveau un très grand coup. Pari réussi pour Bethesda ?Oblivion, voilà un nom que les nombreux amateurs de RPG à l'occidental ont toujours sur le bout de leurs lèvres, plus de cinq ans après la sortie du jeu sur la machine de Microsoft. Il faut dire que les développeurs de Bethesda Softworks ont frappé un grand coup en offrant une expérience incroyablement immersive et d'une richesse inégalable. S'embarquer dans les événements d'Oblivion pouvait monopoliser facilement plus d'une centaine d'heures de votre temps, voire beaucoup plus pour les plus acharnés. L'annonce d'une suite à ce monument du RPG après la parenthèse Fallout a suffi à ranimer la flamme des rôlistes, persuadés de tenir là le dernier grand jeu du genre sur cette génération de machines. Après de nombreuses heures passées à arpenter les terres de Bordeciel, le constat est sans appel : la console de Microsoft tient bien là l'un des jeux majeurs de sa ludothèque, même si l'on regrette un aspect technique légèrement en retrait.
Véritable institution pour tous les amateurs de RPG occidentaux, la saga The Elder Scrolls accueille son cinquième épisode en cette fin d'année 2011. Une fois de plus, c'est la fine équipe de Bethesda Softworks que l'on retrouve aux commandes de The Elder Scrolls V : Skyrim, pour une aventure pleine de Dragons. Ce nouvel opus est-il pour autant en mesure de ne souffler que le chaud, sans jamais tiédir ? Gigantesque, Tamriel continue de se dévoiler au fil des Elder Scrolls et c'est cette fois à Skyrim (traduit par Bordeciel chez nous), la région la plus au nord de ce continent, que le joueur est envoyé. Passée la traditionnelle étape de création du personnage (de la race au sexe en passant par la hauteur des joues, les options sont toujours aussi nombreuses), le joueur se retrouve embarqué dans un long périple qui l'amènera à constater le retour des Dragons. Le pourquoi du comment trouvera ses réponses au fil de nombreuses quêtes principales, comme dans tout bon RPG qui se respecte. Les quêtes, justement, se comptent par dizaines et se révèlent bien souvent efficaces.
Voilà qui donne le frisson aux amateurs de jeux de rôles, et qui fait forcément remonter des souvenirs en tête. Souvenirs d'heures passées devant un écran, que ce soit un moniteur ou une télé, à vivre des aventures épiques, à façonner son personnage, à maîtriser sa destinée. Oblivion, première incursion de la série sur Xbox 360 peu de temps après la sortie de la console, a été un jeu qui a probablement été source de conflit dans bien des couples tant il était difficile d'en décrocher. C'était aussi à sa sortie un choc visuel : un monde ouvert, gigantesque et cohérent, dans lequel on pouvait se perdre avec délice. Pour beaucoup c'est toujours la référence du jeu de rôle sur console. Jusqu'à aujourd'hui avec Skyrim ? Vos premiers pas dans l'univers de Skyrim, vous ne les ferez pas directement vu que c'est les deux mains attachées, assis à l'arrière d'une charrette que vous vous réveillerez. Cette charrette vous amène directement à l'échafaud en compagnie de quelques voleurs et du chef des Sombrages, un groupe de rebelles qui revendique le trône de la contrée. L'intrigue politique de Skyrim est directement posée dans cette intro et vous laisse découvrir le paysage en tant que spectateur.
Après avoir fait un détour assez oubliable par les Terres Dévastées, Bethesda revient à ses premières amours et met toute sa puissance de feu au service de sa série phare avec un cinquième épisode savamment mis en valeur ces derniers mois. Des dragons, un univers froid et neigeux qui tranche avec l'ambiance plus colorée de son prédécesseur, encore des dragons, le studio aurait-il appris des faiblesses d'Oblivion et de la controverse qui a entouré son jeu pour proposer un titre adulte faisant moins de concessions ? Les promesses n'engagent que ceux qui les écoutent... Onze Onze Onze Noir, sobre, et franchement classe, l'écran titre donne le ton. Oubliées les vertes prairies et les visages joufflus d'Oblivion. Le monde est en ruines, terne, grisâtre même. Skyrim, devenu Bordeciel en version française, se situe très au nord de l'Empire de Tamriel, là où il fait froid et où il pleut souvent. Les fans de Morrowind et de ses environnements foufous en seront pour leurs frais. Ce revirement vers un univers heroic fantasy un peu plus austère se ressent également dans l'intrigue, qui prend place environ deux siècles après les évènements d'Oblivion, alors que le Haut-Roi de Bordeciel vient d'être assassiné.
Vous êtes nombreux à avoir bavé sur les dragons de Skyrim, le cinquième Elder Scrolls de Bethesda. On les aura attendus longtemps, et maintenant les voilà. Il va falloir les combattre par la magie, les armes ou la fourberie. Et accomplir la prophétie. Alors, prêt pour enfiler la peau du héros ? Parce que là, c'est une armure lourde de chez lourde...Bonjour, moi c'est Fumble, et je ne suis pas un fanboy de la série des Elder Scrolls. Je me suis dit qu'il valait mieux commencer par établir cela, histoire que vous ne preniez pas la suite de ce test pour un discours d'illuminé. J'ai mon lot de critiques à adresser à Skyrim, heureusement, mais il m'a vraiment soufflé. Je n'ai pas joué à Daggerfall à l'époque (souci de PC), même si j'ai largement regardé un pote sortir de ces immenses donjons pour remplir sa charrette de matos (à quand le retour des charrettes dans un Elder Scrolls ?). J'ai vraiment apprécié Morrowind malgré une tonne de défauts. J'ai été très déçu par Oblivion, ses mécanismes de difficulté adaptative à la mords-moi-le-noeud et son scénario sans intérêt. Surtout, je n'ai jamais vraiment accroché au gameplay confus et trop permissif des titres de Bethesda.
La sortie de chaque nouvel opus de la saga des Elder Scrolls est un événement, et c'est d'autant plus vrai pour Skyrim, qui a la lourde tâche de succéder au volet le plus controversé, Oblivion. Réussir à contenter les fans les plus exigeants sans effrayer les nouveaux venus, inquiets de pouvoir rentrer facilement dans l'univers de Tamriel dont on leur a si souvent vanté les mérites : voilà un défi que Bethesda a relevé avec la bravoure d'un Nordique. Il se déroulera dans la région gelée de Bordeciel. Il y aura des dragons et de l'hydromel. Et ce pourrait bien être l'expérience de votre vie. Deux siècles après les événements qui ont secoué Cyrodiil, l'Empire de Tamriel est à nouveau dans la tourmente. Les faits se déroulent cette fois dans la province nordique de Bordeciel, dont le Haut-Roi vient d'être assassiné. Voilà l'occasion pour les indépendantistes d'Ulfric Sombrage de prendre les armes contre l'Empire, qui souhaite mettre son propre prétendant sur le trône. Mais cette guerre va prendre une autre dimension quand, à l'occasion de l'exécution d'un prisonnier qui se trouvait au mauvais endroit et au mauvais moment, les dragons depuis longtemps oubliés se réveillent et se mettent à menacer la région. D'après la prophétie, seul un héros appelé Dovahkiin - fils de dragon - serait capable d'affronter ces gigantesques vers cracheurs de feu.
En cette fin d'année, le joueur ne sait plus où donner de la tête. Il va passer de Rage à Batman sans transition, de Forza 4 à Modern Warfare 3, sans oublier Deus Ex, FIFA 12, F1 2011, Gears of War 3... Peut-être même va-t-il prendre Red Dead Redemption sur une console qu'il n'avait pas en édition GOTY, brancher une PS3 pour gouter à l'extraordinaire Uncharted 3. Vous l'aurez compris, avec tous ces jeux, il y a de quoi faire. Et je ne parle pas de Skyrim. Enfin si.Mais malgré cette énorme partouze ludique de fin d'année, le joueur sait rester fidèle. Difficile de ne pas lui reconnaitre cette qualité. Depuis en effet une petite vingtaine d'années, il rempile à chaque fois et replonge les pieds joints dans l'univers de The Elder Scrolls. Depuis 1994, année de sortie d'Arena et de sa quête principale (le réassemblage d'une épée brisée en sept morceaux), c'est l'événement jeu de rôle à chaque fois. Quelle que soit l'actualité, la période de l'année, on s'arrête pour un nouveau volet de The Elder Scrolls. On examine le jeu sous toutes les coutures, on regarde à quel point c'est magnifique, à quel point les mécanismes du jeu sont bien ficelés, à quel point ceci, à quel point cela, tellement ces jeux sont hors normes. On ironise d'avance sur les inévitables bugs inhérents à un jeu super ambitieux, apanage de la série depuis le premier.
S'il y a bien une série qui fait vibrer les amateurs de jeux de rôle, c'est certainement celle des Elder Scrolls. De Arena à Oblivion, en passant par Daggerfall et Morrowind, la saga n'a pas cessé de nous faire vivre des aventures épiques aux quatre coins de Tamriel. Ce continent fantastique n'a toutefois pas encore dévoilé tous ses secrets. Le cinquième volet de la série nous amène d'ailleurs dans une contrée que les joueurs n'ont pas encore eu le plaisir de fouler : il est grand temps de découvrir Skyrim ! L'un des intérêts principaux de la saga des Elder Scrolls est de nous immerger totalement dans un univers cohérent et incroyablement riche. Voilà plus de cinq ans que vous arpentez en long, en large et en travers les contrées de Cyrodiil à travers Oblivion ? Il est grand temps de mettre le cap au Nord pour découvrir Skyrim. Cette province située à l'Ouest de Morrowind n'est certainement pas la plus accueillante de Tamriel : elle est peuplée par des Nordiques plutôt rustres et parsemée de hautes montagnes balayées par la neige. Si vous n'êtes pas découragé, vous pouvez toujours vous lancer à l'assaut des vastes forêts de sapins qui recouvrent la région et affronter les multiples dangers qu'elles abritent.
On pourrait croire que jouer pour la première fois à The Elder Scrolls V : Skyrim est un super trip, mais laissez-moi vous confier un secret : c'est aussi très frustrant. Il n'était pas inhabituel de voir des joueurs passer plus de 100 heures sur Oblivion, et si l'on veut tirer le maximum du RPG unique de Bethesda Game Studios, il faut bien y consacrer une durée de cet ordre là. C'est le genre de jeu où l'on crée tout autant ses propres histoires par le biais de ses explorations qu'en suivant le scénario, et il n'est pas possible de le faire en un week-end ou même en y consacrant tous ses dimanches pendant un mois. Malheureusement, au QuakeCon 2011, je ne dispose que d'environ 60 minutes pour me faire une impression sur Skyrim. L'expérience que je décris dans cet article est donc plus proche de la panique que du plaisir de l'exploration d'un monde gigantesque. Naturellement, il n'en sera probablement pas de même pour vous parce que vous pourrez prendre votre temps pour faire joujou avec l'utilitaire de création de personnages, caresser du bout des doigts les herbes hautes et écouter l'eau couler, avant même d'avoir à penser à vous occuper d'une de ces icônes qui continuent à clignoter sur votre boussole.
En développement depuis la sortie d'Oblivion, le nouveau volet de la grande saga de jeux de rôle The Elder Scrolls nous invite cette fois à visiter les territoires du nord du continent de Tamriel. L'heure est donc venue de chausser vos bottes fourrées en poils de ragondin géant afin de partir découvrir ce qui s'annonce tout simplement comme l'une des plus grosses tueries vidéoludiques de ces dernières années. Il est vrai que s'il y a bien un jeu que nous avions vraiment envie de découvrir lors de cet E3, c'est bien The Elder Scrolls V : Skyrim. Encensé par ceux qui ont déjà eu la chance de croiser sa route lors de précédentes présentations, le nouveau bébé de Bethesda semble effectivement plein de promesses et prend d'ores et déjà des airs de Graal pour les passionnés de jeux de rôle. Hélas, la démonstration à laquelle nous avons pu assister sur le salon était somme toute assez semblable à ce que nous avions déjà pu voir de la bête il y a quelques semaines. De fait, ne vous attendez pas ici à de grandes révélations. Il s'agit avant tout pour nous de vous communiquer nos impressions sur le dernier bébé de Bethesda. Présenté dans sa version 360, Skyrim impressionne tout d'abord par sa tenue graphique.
Attendu comme le messie par les amateurs de jeux de rôle dont nous faisons partie, Skyrim, le prochain épisode de la saga des Elder Scrolls s'est offert à nous lors d'une longue session avec le producteur du titre aux commandes. Parce que l'on aime partager, on vous dit tout ce que vous devez savoir pour rendre l'attente jusqu'à sa sortie insoutenable ! Rares sont les jeux auxquels on peut revenir après une longue pause et se sentir comme chez soi. Oblivion fait partie de cette catégorie de Meta jeu, n'ayons pas peur des mots, ces titres si complets qu'ils vous tiennent en haleine des dizaines d'heures durant. En développement depuis la sortie de ce dernier, sa suite nommée Skyrim se propose de nous faire visiter les territoires du nord du continent de Tamriel. Cette localisation a un impact direct sur l'aspect graphique du jeu. En d'autres termes, vous pouvez vous attendre à une ambiance très viking et une topographie faisant la part belle aux montagnes enneigées et autres cavernes de glace. Mais sans plus attendre, entrons dans le vif du sujet qui n'est autre que la retranscription de la première heure et demie du jeu. Une immersion dans cet univers heroïc-fantasy qui vous donnera l'occasion de découvrir les nouveautés de cette suite tant attendue...
De temps en temps, nous devons nous confesser. Des secrets tellement lourds pèsent sur nos épaules qu'on ne peut pas les garder pour nous seuls. Plutôt que d'aller me livrer à la police ou me confier au curé du coin, j'ai décidé de vous en faire part car je n'en peux plus de vivre avec ce péché honteux. Ceci n'est pas une provocation, c'est la réalité.J'ai détesté Oblivion.Enfin, j'ai surtout détesté la façon dont on y entrait. Et ça m'a pesé tout au long des parties que j'ai pu faire. Je les entends déjà les autres membres de la rédaction et vous, lecteurs (je suis très très déçu. Tu es mort, Léo, ndrc). Je sais, c'est scandaleux, c'est du GOTY, du lourd, de l'indispensable à la culture vidéo ludique. Mais vraiment, les toutes premières impressions, j'ai pas pu saquer. Et avant de me faire lyncher, j'ai encore deux ou trois trucs à dire. Tout d'abord que Bethesda semble vaguement me donner raison. En effet, tout ce qui m'ennuyait au plus haut point semble s'être évaporé.Commençons par le premier truc insupportable. La création du personnage. Vous vous en souvenez probablement. On vous demandait de choisir une origine, habituel dans un jeu de rôle, un sexe, du grand classique.
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