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Nous avons réuni 17 tests du The Darkness 2. Les experts notent The Darkness 2 7.1/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du The Darkness 2 et d'autres Jeux Playstation 3.
The Darkness 2 nous offre la suite d'un jeu sorti de nulle part (si ce n'est le comics) qui avait réussi à nous convaincre. Un bon gameplay, un scénario prenant, de l'action, du fun et de l'originalité. Un cocktail détonnant qui est de retour dans ce second opus? Réponse dans la suite. Temps de jeu personnel: 16 heures Jackie aime ses croissants chauds Si vous n'avez pas joué à The Darkness 1, il va être assez dur d'accrocher au 2ème épisode. Pour faire court, vous incarnez Jackie Estacado, un type qui pour ses 21 ans a récupéré « The Darkness ». « The Darkness » c'est quelque chose qui vit en lui et qui le pousse à être violent, et pour lui faciliter la vie, Jackie possède des pouvoirs (via ses nouveaux membres ultra-flippants) lorsqu'il se trouve dans l'obscurité. On se retrouve donc avec un FPS fantastique, mélange d'armes à feu et de super-pouvoirs dark. L'histoire de TD2 est très simple: quelqu'un veut votre peau et surtout récupérer « The Darkness », à vous de les tuer, les traquer, et garder votre joujou. Ça se passe comme ça dans la mafia du 21ème siècle. L'ambiance du jeu est plutôt bien fichue.
Après un premier opus sorti en 2007 uniquement sur les consoles HD, la licence du comics The Darkness passe de Starbreeze (dont on attend le reboot de Syndicate pour les prochains jours) à Digital Extremes (co-créateurs avec Epic de la série Unreal) mais toujours édité par 2K Games. Contrairement au premier épisode à l'ambiance sombre et grise, cet opus a pris un parti graphique complétement différent avec des couleurs bien éclatantes et un design proche du cell-shading. Le pari était risqué pour un tel jeu et un tel univers mais il faut avouer que c'est plutôt réussi. Étant donné le pédigrée du studio de développement, on gagne donc aussi au passage une version PC qui est d'ailleurs celle que nous avons pu tester. Si vous n'avez pas joué au premier épisode, sachez que The Darkness II est un FPS dans lequel vous incarnez Jackie Estacado, membre d'une famille mafieuse new-yorkaise qui découvre la malédiction héréditaire qui le frappe, à savoir qu'il est habité par le Darkness, une force ancienne qui, une fois réveillée, le dote de 2 tentacules faisant office de bras supplémentaires. Outre ces attributs physiques démoniaques, le Darkness essaye aussi progressivement de prendre le contrôle de son hôte pour se nourrir de ses pulsions les plus sombres.
Jamais joué à The Darkness ? Si on ne peut que vous le conseiller, pas de panique, on peut tout à fait envisager de s’attaquer directement à sa suite. Un petit « previously on The Darkness » renseigne d’ailleurs le joueur sur les évènements passés. Ce qu’il faut retenir, c’est que le Darkness est une force maléfique qui a pris possession du corps de Jackie Estacado. S’il a acquis grâce à cette sombre créature des super-pouvoirs (via deux tentacules), il n’est plus tout à fait maître de ses mouvements et le Darkness semble peu à peu s’emparer de lui. Mais le premier volet se caractérise surtout par l’assassinat de sa petite amie, Jenny. Et bien que Jackie parvienne à se venger à la fin de l’épisode, le fantôme de sa copine reste encore bien présent… Le gameplay de The Darkness II repose en grande partie sur l’utilisation de quatre membres. En plus de ses deux bras, Jackie est affublé de deux tentacules qui lui offrent la possibilité d’effectuer diverses actions, généralement bien sanglantes. Le tentacule de droite lui permet de violemment gifler l’ennemi alors que celui de gauche peut attraper tout un tas d’objets pour les projeter violemment (bis). En attrapant un tuyau, on pourra ainsi empaler allègrement l’adversaire alors que le couvercle d’une poubelle le décapitera sans mal.
The Darkness, premier du nom, en avait surpris plus d'un en 2007 grâce à son scénario torturé et à son ambiance mafieuse réussie. Presque cinq années plus tard, les péripéties de Jackie Estacado reviennent sur nos écrans dans un épisode non pas développé par les suédois de Starbreeze mais par les canadiens de chez Digital Extremes. Un changement de studio qui a pu faire naître quelques craintes chez les joueurs attendant impatiemment une suite depuis une demi-décennie. Ces peurs sont-elles véritablement fondées ou bien The Darkness II est-il le digne héritier de son grand frère ? Intelligemment placée avant l'aventure afin de ne pas dépayser les nouveaux arrivants, une petite vidéo récapitulant l'histoire du mal qui ronge Jackie Estacado depuis l'âge de ses 21 ans accompagne le début de The Darkness II. Deux années donc que notre jeune homme mélancolique est à la tête de la mafia new-yorkaise, après s'être débarrassé de son oncle adoptif Paulie à la fin du premier opus. Ce fut d'ailleurs à ce même moment qu'il réussit à maîtriser l'entité démoniaque et à la canaliser au plus profond de lui malgré la perte d'un être cher. Pourtant, l'histoire va de nouveau se répéter dans ce deuxième épisode.
Le retour de The Darkness sur PlayStation 3 se fait avec classe. La mise en scène, sublimée par une esthétique tape-à-l'oeil, sert à merveille une histoire captivante et un gameplay sans concession. Les scènes d'action sont nombreuses, rythmées et particulièrement violentes. Manier l'entité démoniaque de Jackie Estacado donne un sentiment de toute-puissance à peine amoindri par un gameplay au final assez standard et une durée de vie un poil trop courte. Si le premier volet vous a touché, vous ne serez pas insensible aux charmes du second. Il aura fallu attendre pratiquement cinq ans pour voir le retour de Jackie Estacado sur PlayStation 3. Etait-il nécessaire d'attendre tout ce temps ? Sorti en septembre 2007 sur une PlayStation 3 balbutiante, The Darkness était le premier jeu de Starbreeze sur la console de Sony. En l'absence d'une concurrence féroce à ce moment-là, le FPS avait trouvé son public. Son univers, son ambiance et sa fidélité avec le comic book en ont séduit plus d'un. Malgré ses qualités indéniables, le jeu n'a pas donné de suite l'année d'après ni même la suivante. Il aura fallu attendre jusqu'en février 2011 pour que Take Two ressuscite la licence, et attendre encore un an pour faire tourner cette suite sur notre console.
En dépit de ses défauts, le premier Darkness jouissait d'une ambiance extraordinaire. Profondément noir et cruel, le titre de Starbreeze distillait quelques scènes proprement magistrales demeurant encore dans les mémoires de nombre de ceux qui l'ont côtoyé. Le second volet, développé cette fois par les canadiens de Digital Extremes, est-il à la hauteur de ce sombre héritage ? Réponse ... en demi-teinte. Avant de nous lancer, un petit avertissement s'impose : si vous n'avez pas eu le plaisir de vous plonger dans les ténèbres du premier volet, prenez garde car le présent article en mobilisera quelques éléments scénaristiques importants. Toutes nos excuses pour les possibles spoiler émaillant ce test mais il nous est impossible de faire autrement. The Darkness II fait donc suite à son prédécesseur et reprend l'histoire deux après les tragiques évènements racontés par ce dernier. Avec l'aide de l'excentrique occultiste Johnny Powell, Jackie Estacado est finalement parvenu à faire taire le Darkness. Il règne désormais en tant que Parrain de la famille Franchetti. Mais voilà, le Darkness n'a pas l'intention de se laisser réduire au silence par son hôte et revient harceler Jackie pour qu'il refasse appel à ses pouvoirs.
The Darkness est un comics qui mérite largement son adaptation en jeu vidéo. Et le premier volet a d'ailleurs su contenter les amateurs de la bande dessinée, sans pour autant s'inscrire dans les incontournables du genre FPS. Un bon jeu d'ambiance dont voici la suite, cette fois développée par Digital Extremes, à qui l'on doit notamment Dark Sector. Avec son rendu en cel shading et du gore à revendre, The Darkness II inquiétait les fans au point de se demander s'il n'allait pas un peu trahir la bande dessinée. Ce n'est pas le cas, même s'il cache évidemment un côté obscur. Jackie Estacado est devenu le parrain d'un groupe mafieux et ses pouvoirs ont fait de lui un être craint et haï. En effet, il est le détenteur d'un Darkness, une entité maléfique violente octroyant des pouvoirs démoniaques à son porteur, qui se nourrit du malheur de l'humanité et de violence. Difficile à contrôler, elle se manifeste par le biais d'une voix dans la tête de Jackie qui tente de lui dicter sa volonté et qui le transforme en fléau armé de deux monstrueuses tentacules, offrant ainsi un gameplay à "quatre bras" dans ce FPS à l'ambiance infernale.
Jackie Estacado poursuit sa lutte contre ses propres ténèbres et libère une fois de plus le Darkness dans l'espoir de revoir sa belle. Une quête personnelle en forme de romance sanglante et gore. Une suite à la limite du reboot. Sorti en 2007, le premier The Darkness était certes perfectible mais il savait en tout cas brillamment se démarquer des autres FPS. Sur les traces d'un Chronicles of Riddick, le titre mêlait corps-à-corps et une pointe de furtivité dans un environnement semi-ouvert où l'on évoluait comme un chasseur. Pour cette suite, l'optique change et notre mafieux maléfique devient la proie, harcelé par des adversaires équipés pour faire face à ses terribles pouvoirs. Du coup, on oublie la finesse et on fonce dans le tas en écharpant tout ce qui passe. Pourtant, Jackie pensait en avoir terminé avec tout ça, devenu le meneur de sa famille de truands, il s'efforce de poursuivre sa vie sans parvenir à oublier Jenny, sa petite amie sacrifiée et en gardant sous contrôle étroit son invité ténébreux, cette vilaine présence malfaisante qu'est le Darkness. Mais quand une mystérieuse organisation commence à s'en prendre à lui dans le but de s'emparer du Darkness, il n'a plus le choix des armes et libère la bête.
Le "travailler plus pour gagner plus", je dois être effectivement le dernier à l'appliquer. Certes, le sarkozysme et la malédiction qui frappe Jackie Estacado n'ont rien en commun. On a une mafia protégeant comme un seul homme le chef, un monstre sans pitié et incontrôlable... Ben, oui, je parle de The Darkness 2. Rappel : les tentacules n'aiment pas la lumière ; exposés, ils se rétractent.Tiens, ces marionnettes rappellent vaguement quelque chose...Cinq articles sur le même jeu ? Grâce à Take Two et The Darkness 2 j'ai pu faire du Fouquet's ma cantine. Je me suis cependant un peu demandé : "et si The Darkness 2 avait été mauvais ? Cinq ans de news, de previews à oublier complètement...". Ça aurait été dommage. Mais ce n'est pas du tout le cas.The Darkness 2, ce ne sont pas des graphismes très spectaculaires, c'est un peu ce que l'on reprochera au jeu, mais c'est dû à sa charte graphique. Les développeurs sont partis sur du cel-shading, pour évidemment coller à l'esprit de la BD (The Darkness, au départ, c'est un Comics). La contrepartie, c'est que tout est très lisible à l'écran. On se dit que non, ce n'est pas possible, on n'est pas train de tirer une jambe dans une direction et sur l'autre dans le sens opposé pour faire deux bouts d'homme.
Adapter un comics en jeu vidéo n'est pas une tâche facile. Pourtant, on peut aisément affirmer que Starbreeze y était parvenu en 2007 avec The Darkness. Pas exempt de défauts, le jeu avait su trouver son public, réalisant même au passage un joli score avec plus d'un million d'exemplaires vendus. L'éditeur 2K Games a donc décidé de remettre le couvert en confiant le développement de sa suite au studio canadien Digital Extremes. Si ce dernier s'est visiblement donné pour objectif de proposer une expérience solo forte, il a également pris le temps de travailler l'aspect multijoueur de The Darkness II. Le jeu disposera notamment d'un mode coop mettant en avant une galerie de personnages inédits. Voilà ce à quoi vous pouvez vous attendre. Avant d'évoquer le côté multijoueur de The Darkness II, faisons un point sur la partie solo du titre. Nous avons en effet pu jouer un nouveau passage de l'histoire. Rappelons que celle-ci est toujours écrite par Paul Jenkins, un scénariste de comics réputé, qui avait déjà œuvré sur le premier volet. Il est évidemment le garant de la fidélité au matériau d'origine ! Le jeu prend place deux ans après la fin du premier volet. Jackie Estacado est devenu le boss de la famille Franchetti.
Jackie Estacado a beau de ne pas s'entendre avec le Darkness, il n'a pourtant toujours pas coupé les ponts avec ce parasite infernal. A l'occasion de la Gamescom, les deux anti-potes faisaient un tour à la fête foraine. Comme vous le savez peut-être si vous suivez le jeu, dans The Darkness II, Jackie se trouve confronté à la Confrérie, un ordre ancien qui autrefois servait le Bien mais a fini par être corrompu par le Darkness et cherche à présent à s'en emparer et donc à s'en prendre à Jackie. Là où ce dernier manque de chance, c'est que ces braves garçons savent tout de sa faiblesse face à la lumière et n'hésitent donc pas à l'illuminer à coups de phares de voitures, de grenades aveuglantes et autres lampes torches (et qui sait, des bougies ?). C'est précisément à eux que l'on avait à faire dans cette démo de la Gamescom, tous réunis dans les restes d'une fête foraine. Comme lors de notre premier contact avec le titre, on peut dire que l'hémoglobine volait dans tous les sens. Située quelque part vers le milieu de la campagne solo, cette séquence donnait l'occasion d'en savoir un peu plus sur les aptitudes du héros. Pour commencer, on retrouve évidemment nos fameux bras démoniaques dont l'un sert à mettre de grandes volées dévastatrices et l'autre à se saisir d'un objet ou d'un ennemi.
Troisième production présentée sur le stand 2K de l’E3 2011, The Darkness 2 n’a clairement pas à rougir face à ses camarades Bioshock Infinite et XCom. Durant une bonne vingtaine de minutes, nous avons en effet pu découvrir un titre au gameplay rodé, à la réalisation soignée et à l’ambiance délicieusement provocatrice. Du jeu original, les développeurs ont gardé le plus important : le background chiadé et l’humour noir implacable. Mais, heureusement, ils semblent s’être attachés à gommer ses principaux défauts. The Darkness, premier du nom, était en effet un excellent jeu d’atmosphère, mais restait un FPS très moyen, la faute une certaine mollesse dans les gunfights. Le niveau présenté s’est donc évertué à nous prouver que sa suite sera un cette fois-ci vrai bon jeu d’action. Avant de faire parler la poudre et les tentacules, plaçons rapidement le décor : The Darkness 2 débute lorsque Jackie a 21 ans. Il est, suite au premier épisode, devenu le Don local. La mort de sa petite amie vengée, l’anti antihéros peut enfin profiter d’un peu de repos. Mais son côté sombre va vite reprendre le dessus à cause d’événements pour le moment inconnus.
Développé par les papas des Chroniques de Riddick, The Darkness fut une excellente surprise en 2007, le jeu étant très fidèle au comics d'origine. Pourtant, le tout n'était pas parfait (qui a parlé de la vitesse de déplacement du personnage ?) mais pouvait présager une suite. Bonne nouvelle, le second volet arrivera en octobre prochain. L'E3 tombait donc à la bonne date pour dresser un des derniers bilans avant l'arrivée du soft. Les développeurs avaient ainsi choisi de balancer Jackie Estacado dans un gigantesque parc d'attractions pour nous démontrer par A + B que ce second épisode versera plus facilement dans le politiquement incorrect tout en étant plus proche de la BD. De fait, outre un design en cel shading étudié pour coller davantage au matériau de base, les deux tentacules du Darkness se montraient encore plus revêches avec Jackie et impitoyables avec les ennemis. Il est clair que The Darkness II jouera la carte de la surenchère gore en maximisant sur les gunfights démentiels. Pour le coup, on était vraiment servi durant cette présentation entre les arrachages de têtes, de colonnes vertébrales, les ennemis découpés en deux dans le sens horizontal ou vertical sans parler de ce Darkling urinant sur une dépouille.
Surveillé d'un oeil inquiet par les fans du premier épisode depuis son annonce, The Darkness II se voulait rassurant à cet E3 où l'on a pu le découvrir en behind closed doors. L'occasion de découvrir une suite qui s'est certes écartée de son prédécesseur, mais qui semble tout de même bien plus intéressante que l'on aurait pu le croire aux premiers abords. Explications. C'est le Darkness ! Repu de sa vengeance exercée en 2007, l'ami Jackie avait depuis décidé d'y aller mollo sur le Darkness pour vivre une vie paisible de parrain de la mafia. C'était sans compter sur l'intervention d'une organisation secrète - la confrérie - qui obligera notre gentil mafieux à réutiliser ses pouvoirs mystiques pour survivre à une tentative d'assassinat. Apparemment chargés depuis plusieurs millénaires de capturer puis de sécuriser le Darkness, les membres de la confrérie ont un peu perdu la boule à force de contact avec l'entité maléfique qui loge actuellement à l'intérieur de Jackie et tente maintenant de s'emparer de ce pouvoir ancestral pour semer le chaos. Notre protagoniste devra du coup faire son possible pour échapper à ces maniaques et à leur leader - le très étrange et bavard Victore Valente - en se méfiant tout particulièrement de leurs méthodes de combat spécialisées dans la lutte contre le Darkness.
Gamekult
Ajouté le : 03/2011
Plus accessible...
Sympathique FPS basé sur un personnage venu du monde des comics, The Darkness va se payer un second tour sur les machines actuelles, non plus sous la direction de Starbreeze, mais entre les mains de Digital Extremes. Le studio responsable de darkSector et de la série Pariah a été mandaté par 2K Games pour réaliser une suite à l'orientation différente que nous avons pu découvrir hier - sans pouvoir y toucher - dans les locaux français de l'éditeur. Pendant les deux années qui se sont écoulées depuis la fin de The Darkness, Jackie Estacado a eu le temps de gravir les échelons et de prendre la tête de la mafia Franchetti, mais c'est cloué par les mains à une planche en bois qu'on le retrouvait au début de la démo de The Darkness II. Face à des hommes prêts à tout pour extraire l'entité maléfique de son corps, il va revivre par flashbacks les évènements qui l'ont mené jusqu'à sa douloureuse crucifixion. Entre deux séances de torture dans une pièce sombre, on se retrouvait donc en charmante compagnie dans un restaurant chic, avant d'être soufflé par une explosion et traîné en lieu sûr par un sous-fifre, le tout en faisant du tir aux pigeons avec un puis deux revolvers sur ses nombreux assaillants.
Le jeu n'étant encore qu'au stade de la pré-alpha, nous n'avons pas pu prendre la manette en mains. Mais le niveau qui nous a été présenté dans les locaux français de 2K Games valait tout de même le détour. Tout commence par une séquence plutôt choc, puisqu'elle prend la forme d'une crucifixion vécue en vue subjective. C'est en effet l'un des crédo du titre : ne jamais laisser le joueur passif face à une simple scène cinématique. On nous promet ainsi une narration totalement interactive. Cela semble se confirmer par la suite car, un flahsback plus tard, on retrouve le héros pour une petite balade d'ambiance. Cette fois, Jackie se trouve dans une bien meilleure posture. Accueilli comme un prince dans un sympathique restaurant, il suit docilement l'homme qui le conduit à sa table. Mais une fusillade éclate et voilà que notre homme, blessé, doit jouer des flingues alors qu'on le traîne à terre jusqu'à un endroit sûr. Cette mise en bouche donne le ton : violent, et sanglant ! Puis le moment est venu de redécouvrir ce qui fait l'une des spécificités de la licence, à savoir les tentacules qui sortent du corps du héros.
Jackie revient et il n'est pas content ! Toujours possédé par une entité démoniaque qu'il a du mal à maîtriser, le bougre nous est apparu plus en forme que jamais dans la présentation du titre à laquelle nous avons assisté pour vous à la GDC de San Francisco. Premier contact avec la suite de l'adaptation du comics éponyme et première claque. The Darkness II ne fait pas dans la dentelle et si vous êtes effrayé à la vue du sang ou que les scènes de torture et autres démembrements vous font tourner de l'œil, ne vous aventurez pas plus loin dans la lecture de cet aperçu. Vous êtes encore là ? Alors c'est parti ! L'action de cette séquelle se déroule deux années après les événements contés dans le premier opus. La démo commence alors que votre personnage est littéralement crucifié à l'aide de clous gigantesques à une planche dans un lieu inconnu. Votre ennemi ne tarde pas à se dévoiler derrière le bourreau et avec lui une revendication bien simple : il veut récupérer votre pouvoir, le fameux Darkness. Mais voilà, pour ce faire, il faut que vous lui transmettiez volontairement. Une condition bien regrettable qui pousse votre belliqueux adversaire à vous faire subir les pires supplices afin que vous ne coopériez pas...
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