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Nous avons réuni 15 tests du The Conduit. Les experts notent The Conduit 6.5/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du The Conduit et d'autres Jeux Wii.
High Voltage Software a présenté l'an dernier un FPS exclusivement destiné à la Wii, en annonçant d'ailleurs qu'il réconcilierait les hardcore gamers avec le support à orientation familiale de Nintendo. Plus d'un an et bon nombre de médias convaincants après, le First Person Shooter répondant au nom de The Conduit est arrivé dans les bacs. Wiimote dans une main et bazooka en plastique dans l'autre, il est temps de sauver le monde. Une fois de plus. Dans un avenir alternatif (et apparemment peu enviable), des extra-terrestres surnommés les Vermines ont commencé leur invasion de la Terre, l'état de Washington en tête. John Adams, le chef d'une organisation ultra-secrète nommée Le Cartel, recrute Michael Ford, un agent retraité des services secrets et ce afin d'enquêter sur les envahisseurs et surtout sur leur leader présumé, un certain Prométheus. Trêve de paperasse administrative, épaulé par vos supérieurs via une liaison radio permanente, vous êtes voilà directement envoyé dans l'arène. Le jeu démarre ainsi avec un rapide didacticiel - jouable - dans lequel les diverses actions et équipements du jeu sont passés en revue.
En avril 2008 l'équipe de High Voltage Software a annoncé le développement de The Conduit, en promettant aux joueurs de leur offrir un titre capable de montrer ce que la Wii a dans le ventre. Un peu plus d'un an plus tard et avec toujours autant de belles promesses, le FPS débarque sur la console de Nintendo par le biais de Sega. Une expérience à la hauteur des espérances ? Pas si sûr... Ça commence mal pour The Conduit dont le scénario s'avère aussi peu intéressant qu'un épisode de soap opera. Des extraterrestres probablement cousins des Covenants, un complot politique mené par une société secrète et l'espoir de l'humanité qui ne repose plus que sur les épaules d'un seul homme, autant de clichés qui ne montrent rien d'inédit. Heureusement pour lui, le soft gagne un peu en intérêt sur les dernières heures de jeu, mais c’est malheureusement trop tard pour donner envie de repartir une seconde fois à l'aventure. Cette dernière se boucle d'ailleurs en 8 heures en mode normal, une moyenne toutefois honorable pour les jeux du genre, sachant que les plus acharnés pourront toujours s'essayer au niveau très difficile et partir à la chasse de tous les bonus cachés dans les niveaux.
The Conduit ou l'histoire de Michael Ford, un agent secret qui trouva trop bien les raccourcis vers des hordes d'extraterrestres qu'il dut ensuite dézinguer tout seul comme un grand: le scénario de The Conduit flirte évidemment avec le déjà-vu. Il rappellera aux amateurs quantité d'autres jeux tels Half Life, pour la récupération des armes des ennemis, ou Perfect Dark, sur Nintendo 64, puisqu'il s'agissait déjà d'un shoot sur fond de conspiration et d'envahisseurs débarqués des tréfonds de l'espace. L'histoire des jeux vidéo ne serait-elle donc qu'un éternel recommencement? Pas tout à fait, puisque la technologie, à savoir l'interface de contrôle pour le moins révolutionnaire de la Wii, change quelque peu la donne! Le premier atout de The Conduit réside dans sa prise en main exemplaire. Adapter les mécanismes de jouabilité des FPS à l'ergonomie de la Wii n'était pas gagné d'avance. De ce point de vue, The Conduit s'impose comme une nouvelle référence. Le rythme du jeu, moins nerveux que sur d'autres plates-formes, est parfaitement minuté pour un maniement opéré ici à l'aide du couple Wiimote-Nunchuk.
GamePro.fr
Ajouté le : 07/2009
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Voilà un chapeau qui résume bien l'idée générale de cette critique de The Conduit, le FPS de High Voltage Software – studio de seconde zone – édité par SEGA. Car en effet, la firme au hérisson bleu n'a pas tari d'éloges à propos de The Conduit et nos premiers tête à tête avec le jeu avaient su nous rassurer. Du coup, un peu comme la plupart de nos confrères, on y croyait. Malheureusement, après avoir bouclé l'aventure solo et s'être un peu dégourdi les pattes en multi, notre verdict est plus mitigé que jamais. La faute – surtout ! – à une ambiance générale bâclée et plombée par un design en carton, mais aussi à une certaine répétition maladive. Si bien que l'intérêt que l'on a pu porter à The Conduit est retombé petit à petit que l'on progressait dans ses couloirs cybernétiques... D'ailleurs, ce ne sont pas tant les carences techniques du jeu qui nous ont gêné, même si l'on attendait clairement The Conduit comme un jeu Wii enfin ambitieux d'un point de vu graphique. Il faut dire que par rapport à la moyenne de la production sur Wii, le jeu est plutôt bien fichu, affichant une bonne fluidité dans l'action, osant quelques textures un peu plus fouillées qu'à l'accoutumée et s'offrant même quelques effets pyrotechniques malins et qui rendent bien.
Enfin, serait-on tenté de soupirer. La Wii accueille enfin un jeu qui n'est pas un party-game, un jeu familial destiné au grand public. La console s'intéresse de nouveaux aux "vrais" joueurs, ce qui n'a pas été très souvent le cas ces derniers temps. The Conduit n'est un moindre jeu, puisqu'il fait sans doute partie des grosses attentes des joueurs. Et pour cause, le titre de Sega a été, depuis son annonce, présenté comme le plus beau jeu de la Wii. Bien sûr, qui dit beau ne dit pas forcément intéressant. The Conduit a donc pour lourde tâche de se montrer à la hauteur des compliments qu'ont fait les développeurs mais doit également prouver sur le fond, sur son aventure intrinsèque et sur sa réalisation. Premier point donc, le jeu est-il le plus beau de la Wii ? Les goûts et les couleurs, cela ne se discutent pas vraiment. Visuellement parlant, le titre ne nous ébahit pas et ne suscite pas non plus des cris d'enthousiasme à chaque nouvelle zone traversée. Mais il est vrai que les graphismes se montrent soignés, détaillées, les textures particulièrement fluides. Rien n'accroche à la rétine, visuellement parlant, on ne note pas de défauts.
Pas franchement habitué au First Person Shooter, les petits gars de High Voltage Software nous proposent tout de même le premier titre du genre exclusif à la Nintendo Wii ! Pas un portage au budget anémique mais une nouvelle licence flambant neuve pour une console sans grandes références dans le genre (non, Metroid Prime 3 n'est pas un FPS c'est un FPA). Malheureusement, le studio de l'Illinois loupe en partie le coche en livrant cette production timorée et sans grande envergure. Dommage ... La réflexion qui a présidé au développement de The Conduit est simple : cette génération de consoles a consacré le FPS comme le genre dominant pour les années à venir; or, la Nintendo Wii, qui a pourtant déjà fait les preuves de son aptitude à épouser les grandes lignes du genre (MP3, Medal Of Honor), s'en trouve totalement dépourvue. Un constat d'autant plus surprenant que la machine de Big N dispose d'un contrôleur que l'on croirait taillé pour le genre. Fort de cette niche laissée vacante, le studio de l'Illinois s'est donc mis en tête t'apporter à la Wii sa propre référence du « simulateur de meurtre » pour ainsi satisfaire toute une frange de joueurs assoiffés de frags.
High Voltage Software et SEGA se sont lancé un pari difficile : développer le meilleur et le plus beau FPS de la Wii. C’est ainsi qu’est né The Conduit, un titre aux atouts indéniables et à la plastique séduisante mais cela suffit-il pour en faire un grand jeu ? Michael Ford est un agent secret comme les autres. Remplissant ses missions une à une avec brio, c’est logiquement que ses supérieurs se penchent sur son cas. Il est choisi pour une mission des plus délicates : faire la lumière sur les évènements étranges survenus à Washington D.C. ces derniers temps. C’est un certain John Adams, plus haute autorité du Cartel, qui mandate Ford pour cette périlleuse mission. Rapidement, la maladie envahissant la ville et les perturbations atmosphériques au-dessus de la capitale américaine se profilent comme un souci mineur. Les membres du Cartel eux-mêmes se retournent inexplicablement contre vous tandis que des extraterrestres vous agressent à leur tour. L’agent Ford résiste et progresse jusqu’à découvrir que les ennemis ne sont pas ceux que l’on croyait.
Avec sa nouvelle façon de jouer pour le moins innovante, Nintendo avait tout pour attirer les FPS sur sa Wii. Mais les jeux de tir à la première personne semblent bouder cette console de salon et même lorsque les grosses licences s’y attaquent, le résultat n’est guère à la hauteur. Si la déception est au centre des débats, SEGA relève le challenge en créant une toute nouvelle franchise capable de faire oublier ce passage à vide. The Conduit sera-t-il le FPS incontournable de la Wii ? Pas si sûr… Alors que certains ne jurent que par le combo clavier/souris, d’autres préfèrent la jouabilité au pad en ce qui concerne les FPS. Et dans cette guerre interminable, on oublie bien vite les "nouvelles façons de jouer" qui sont (dignement ?) représentées par la DS et la Wii. Et c’est surtout sur cette dernière console que les polémiques sont les plus houleux. Tout d’abord parce qu’en se remémorant les dires de Nintendo, on espérait bien voir émerger des FPS nouvelle génération grâce à l’utilisation de la Wiimote et du Nunchuk. Certes, un titre tel que Metroid Prime 3 : Corruption mérite le détour malgré son côté aventure très prononcé, mais pour combien d’échecs ?
Autant être clair : c'est tellement la dèche sur Wii en matière de FPS traditionnels valables, que c'en est honteux. Pourtant, avec la combo Wiimote Nunchuk, on ne peut pas dire qu'il n'y a pas quelque chose à faire. C'est sûr, du point de vue hardware, on n'est pas forcément au top pour faire du grand spectacle, mais ne vous y trompez pas : The Conduit prouve qu'il est techniquement possible d'atteindre un bon niveau graphique sur Wii. C'est malheureusement une des seules promesses qu'il tiendra... Bon, j'exagère un peu. Tout n'est pas à jeter dans The Conduit, très loin de là. Mais, pour résumer simplement, c'est un peu comme une très jolie femme engoncée dans des couleurs à vomir et des vêtements d'un âge assez ancien pour qu'on se moque d'elle, mais trop récent pour qu'on y trouve un charme vintage. En plus de ça, elle n'est pas très futée... mais elle fait beaucoup d'efforts pour s'adapter. Bref, on ne peut pas l'envoyer paître méchamment, mais on ne peut pas l'épouser non plus. J'ai beau faire des efforts, apprécier les prouesses d'un moteur graphique qui gère profondeur de champ et motion blur, surfaces liquides et bump mapping à gogo, effets pseudo-HDR et tout un tas de trucs techniques dont on se fout pas mal au final, sauf quand ça tourne sur une Wii, je dois me rendre à l'évidence : la direction artistique de The Conduit est catastrophique.
Si vous voulez, avant d’y jouer, vous faire une idée d’un shooter SF avec pour thème une invasion extraterrestre, regardez juste le nom donné aux ennemis. Les seuls noms dont les développeurs affublent leurs menaces interstellaires ou interdimensionnelles révèlent souvent sans le vouloir la nature profonde du jeu. Les Covenant et les Flood de Halo évoquent une fresque biblique et la dévotion religieuse. Les Combines de Half-Life 2 suggèrent une intégration naturelle et une technologie astucieuse et puissante. Les Helghast de Killzone font penser à de redoutables bellicistes Teutons. Les envahisseurs extraterrestres du FPS The Conduit sur Wii s’appellent les Drudge. Qu’est-ce que cela vous évoque ? Un travail ingrat et fastidieux, une absence d’imagination, une adhésion stricte et déterminée aux conventions ? Quelque chose de gris, d’uniforme, de banal, de moyen ? Vous avez malheureusement raison sur tous les plans. La règle se vérifie pour ce shooter techniquement correct mais désespérément peu inspiré : dis-moi le nom de tes ennemis, je te dirai qui tu es.
Si les FPS se font plutôt rares sur Wii, ceux qui proposent un mode multijoueur alléchant se comptent tout simplement sur les doigts d'une main. C'est donc tout naturel qu'un titre comme The Conduit attise la curiosité des possesseurs de la console de Nintendo. Certains d'entre eux y verront certainement le digne successeur de Perfect Dark tandis que d'autres trouveront tout de même que le mode solo ne tient pas toutes ses promesses. Si la Wii ne manque pas de party-games, elle se montre en revanche bien moins généreuse en ce qui concerne les FPS, et la grande majorité de ceux-ci ne proposent pas de mode online. Les amateurs de frags en ligne qui ne possèdent que la console de Nintendo ont donc souvent un peu de mal à trouver quoi que ce soit à se mettre sous la dent. Dans ce contexte, le studio High Voltage a fait quelques heureux en annonçant The Conduit : le jeu nous était d'emblée présenté comme le plus beau de la Wii et il devait proposer un mode multijoueur digne de ce nom. C'est donc avec les mains tremblantes d'appréhension que l'on s'apprête à vérifier que le titre tienne bien toutes ses promesses.
Avec son couple Wiimote/Nunchuk, la Wii avait tout pour devenir un support de choix pour les FPS. Quelques années après le lancement de la machine, force est pourtant de constater que Brothers in Arms, Call of Duty, Far Cry, ou encore Red Steel n'ont pas convaincu sur la machine qui ne peut presque compter que sur Metroid Prime 3 : Corruption pour étancher la soif des amateurs de shoot. La situation n'a toutefois pas échappé à High Voltage Software et Sega qui espèrent bien profiter des gadins de la concurrence pour imposer The Conduit sur la petite Wii. Un titre exclusif et plus ambitieux que les autres sur le plan technique, nous dit-on, censé offrir enfin aux possesseurs de la machine de quoi se friter dans de bonnes conditions contre de gros monstres, et avec de gros flingues, en solo comme en multi. Tout pareil que les petits copains qui friment avec leur console HD, en somme. Promesses tenues ? Si les jeux exclusifs sont une espèce en voie de disparition, ils restent aussi souvent l'occasion pour les créateurs de sortir des sentiers battus en osant davantage. The Conduit, lui, est pourtant un titre assez désespérément générique.
Le croirez-vous ? Le FPS sur Wii a encore de beaux jours devant lui. La preuve avec The Conduit que nous sommes allés découvrir dans les locaux parisiens de Sega. C'est indéniable, la Wii est une console résolument orientée "famille". La grande majorité de ses jeux sont pensés pour fédérer un maximum de tranches d'âge et un éventail de joueurs le plus large possible. Il faut donc éviter de choquer certaines sensibilités en proposant notamment des principes trop violents, à commencer par le shoot à la première personne qui est très mal représenté sur cette machine. Le problème c'est que, petit à petit, ce qu'il convient d'appeler les " core gamers ", des joueurs qui sont au jeu vidéo ce que les cinéphiles sont au cinéma, se sont détournés de cette console car elle ne leur proposait pas de quoi assouvir les différentes tendances de leur passion. C'est en partant de ce constat que les développeurs de The Conduit, High Voltage, ont décidé que leur titre serait un FPS pur jus, avec de vrais morceaux de caméra subjective dedans...
Très attendu par les fans de la Wii, The Conduit se présente de lui-même comme le plus beau jeu de la console. Mais pas seulement, puisqu’il se targue également d’être le FPS le pointu qui soit sorti jusqu’alors sur la console de Nintendo. Nous avons pu approcher le jeu dans les locaux de SEGA et force est de constater que High Voltage réalise là un véritable tour de force. Jugez plutôt. Les développeurs, à l’aide de leur moteur graphique fait maison, le Quantum Engine 3, sont parvenus à modéliser et texturer leur jeu comme aucun autre studio ne l’a fait auparavant sur Wii. C’est indéniable, The Conduit est splendide et enterre toute la concurrence allègrement. Mais il n’a pas que les dernières technologies graphiques comme argument de poids. High Voltage s’est penché sérieusement sur les options et paramètres accessibles au joueur pour optimiser l’expérience de jeu et l’adapter à toutes et à tous.
Gamekult
Ajouté le : 10/2008
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Lorsque la Wii fût dévoilée, beaucoup de personnes s'attendaient à voir fleurir des FPS maniables et innovants. Dans les faits, en dehors de Metroid Prime 3 : Corruption, aucun titre n'a vraiment réussi à exploiter intelligemment le duo Wiimote-Nunchuk, sans parler de la réalisation constamment vue à la baisse par rapport aux supports HD, quand il ne s'agissait pas de portages fainéants de versions PS2. Avec The Conduit, les développeurs de High Voltage Software ont décidé de montrer aux possesseurs de Wii ce que leur console a véritablement dans le ventre. Premières impressions manette en main d'un jeu plein de promesses. Plutôt habitués aux commandes d'éditeur sur des licences comme Family Guy, Charlie et la chocolaterie ou Ben 10, les studios de High Voltage Software se sont lancés il y a un peu plus d'un an dans le développement de leur première licence originale, The Conduit. Partant du principe qu'un jeu Wii peut en imposer techniquement si on s'en donne les moyens, l'équipe en charge du projet a commencé par concevoir un moteur propriétaire solide et polyvalent - le Quantum 3 de son petit nom - destiné à faire tourner leur futur FPS, ainsi que d'autres types de jeux par la suite.
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