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Nous avons réuni 10 tests du Tales of Graces F. Les experts notent Tales of Graces F 8/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Tales of Graces F et d'autres Jeux Playstation 3.
Sorti en premier lieu sur Wii en 2009, uniquement au Japon, Tales of Graces a été envisagé peu de temps après sur PlayStation 3. Dans une version encore plus complète cette fois. Paru sur la console de Sony dans l'Archipel fin 2010, Tales of Graces F débarque enfin dans nos contrées avec près de 2 ans de retard. Cela valait-il le coup d'attendre ? La réponse dans nos lignes.Si cela n'a rien de véritablement révolutionnaire, il est toutefois assez rare dans un RPG de cette génération d'en suivre les protagonistes principaux sur plusieurs années de leur vie. C'est en tout cas ce qu'entreprend Tales of Graces F, douzième épisode de la série principale, en commençant par le tout début...Les premières minutes de jeu nous permettent ainsi de faire la connaissance d'Asbel Lhant, jeune garçon intrépide et héros de ce nouvel épisode, destiné à hériter de la seigneurie du paternel. Père avec lequel les relations ne sont pas vraiment au beau fixe, ce dernier lui reprochant constamment son comportement irresponsable. C'est que le môme a encore l'insouciance des enfants de son âge...
Si vous aimez les RPG japonais, vous avez forcément entendu parler, et sans doute déjà gouté, à la série des Tales of. Sous l'égide de Namco Bandai, cette licence fait son bonhomme de chemin depuis plusieurs années maintenant et remporte un franc succès à chaque épisode quelle que soit la plateforme concernée. Tales of Graces F, l'épisode qui nous intéresse aujourd'hui, débarque sur la PlayStation 3 pour le plus grand bonheur des amateurs du genre. Et c'est encore réussi. Tout commence dans la petite ville de Lhant. Asbel et son frère, tous deux fils du seigneur local, partent en expédition à proximité de la ville malgré l'interdiction formelle de leur père. Ils débouchent sur une clairière fleurie au milieu de laquelle gît une demoiselle inconsciente. Cette dernière se révèle être amnésique et les deux frangins décident de lui venir en aide. Ils rejoignent alors leur amie Chéria, qui souffre d'une maladie chronique, et décident de baptiser la jeune inconnue du prénom de Sophie. La position politique de leurs parents va provoquer leur rencontre avec le prince du Royaume de Windor, un certain Richard. Tous les cinq se lient rapidement d'amitié et promettent de se revoir le plus rapidement possible. Ce qu'ils tentent de faire.
Après un Vesperia sorti sur Xbox 360, un Abyss sur 3DS et un Xillia attendu pour l'an prochain dans nos contrées, la série des Tales of s'étoffe encore un peu plus aujourd'hui en proposant un nouvel épisode en Occident et cette fois-ci sur PlayStation 3. Baptisé Graces F, il est tout nouveau pour nous et pourtant pas tellement inédit que ça puisqu'il s'agit en fait du portage d'un jeu Wii disponible depuis 2009 au Japon. Comme toujours avec cette licence, les fans ont dû attendre un certain temps avant de pouvoir tester la bête. Le titre mérite-t-il cette longue attente ? Asbel Lhant est un petit garçon de 11 ans qui ne rate pas une occasion de désobéir à son père autoritaire, qui est accessoirement le seigneur des lieux. Alors qu'il décide un jour d'aller explorer une colline en compagnie de son petit frère Hubert, le jeune héritier rencontre une fille amnésique. Après avoir fait connaissance, il la ramène en ville en espérant que quelqu'un puisse les renseigner sur son identité. Manque de chance, personne ne semble connaître Sophie ? car ils ont fini par l'appeler ainsi en raison de l'intérêt qu'elle porte à la fleur Sopheria. Mais alors qu'Asbel décide de la prendre sous son aile, une série d'évènements plus ou moins dramatiques les séparent.
Tout récent sous les néons blêmes des revendeurs, Tales of Graces F a pourtant 3 ans d'expérience derrière lui. Sorti en 2009 sur Wii dans sa première version, sans le F qui veut dire remake, le jeu de Namco Bandai a été adapté sur PlayStation 3 en 2010. Tout cela se passait au Japon et il aura donc fallu attendre une très longue localisation, et un portage 3DS de Tales of the Abyss, pour avoir un vrai nouvel épisode. Plus très frais dans les esprits, Tales of Vesperia avait pourtant réussi l'exploit de réunir de nombreuses qualités nécessaires à la réussite d'un J-RPG, dans un contexte morose, voire triste. Avec un paysage un tout petit plus verdoyant, parsemé de champs de The Last Story et de parterres de Xenoblade, ce dernier épisode traduit peut-il lui aussi s'élever faute de grands massifs ? Réponse dans notre test Tales of Graces F.Depuis la sortie du précédent épisode de la lignée "mothership" de la série de Bandai Namco en Europe, Final Fantasy XIII a eu le temps d'arriver, de se vendre très correctement, et de lancer son petit neveu, Final Fantasy XIII-2, à l'assaut du marché. En renfort. Tales of Graces F arrive lui après l'orage, tranquille, pas vraiment soucieux de la concurrence, le sourire en coin.
Injustement privés de la version PS3 de Tales of Vesperia pourtant sortie au japon, les fans européens de la saga «Tales of» vont enfin pouvoir se rattraper avec la venue de l'un des épisodes les plus appréciés de la série. Bien que conçu à l'origine sur Wii, Tales of Graces f s'est offert un joli lifting HD et un contenu enrichi pour inciter les joueurs PS3 à succomber à ses charmes. Une initiative dont on ne se plaindra pas puisque la version Wii n'était jamais sortie en Occident et qu'il s'agit donc pour nous d'un opus complètement inédit. Que faire lorsque votre meilleur ami devient votre pire ennemi ? Futur héritier du titre de seigneur de Lhant, le jeune Asbel se souvient encore du pacte d'amitié qu'il avait scellé, à 11 ans, avec le prince Richard, alors qu'il ignorait jusqu'à son rang. La colline couverte de fleurs qu'ils arpentèrent ensemble fut le témoin de leur rencontre avec une étrange jeune fille amnésique qu'Asbel et son frère Hubert prirent sous leur aile et baptisèrent Sophie, en raison de la fleur Sopheria qui la fascinait tant. Et puis tout bascula. Le sort prit la vie de la jeune fille dans des circonstances encore troubles dans la mémoire d'Asbel qui fut ensuite brutalement séparé de son cadet adopté par une famille étrangère alors que tous deux ignoraient qu'ils étaient sur le point de devenir orphelins.
Les « Tales of » apparaissent aujourd'hui comme les derniers représentants du JRPG à l'ancienne. C'est d'ailleurs assez ironique lorsqu'on sait que le tout premier épisode en 1995, Tales of Phantasia sur Super Nintendo, tranchait avec les autres productions de l'époque où le tour par tour régnait en maître. Les choses se révèlent bien différentes aujourd'hui. Dragon Quest fait de l'œil au MMO avec l'épisode X sur Wii tandis que Final Fantasy se renouvelle d'épisode en épisode, les autres séries se destinant à un public plus restreint (les Persona, par exemple) ou empiétant sur plusieurs genres à la fois. On a vite fait alors de pointer du doigt les clichés de la saga de Namco Bandai, ses personnages kawaii ou sa (relative) niaiserie. Mais ce serait faire un faux procès à Tales of Graces f car derrière ces éléments qui constituent aussi la marque de fabrique de la série, se cache une indéniable profondeur de jeu, à l'image des précédents épisodes. Le JRPG fait presque figure d'anachronisme en 2012. Pas techniquement, bien que le portage sur PS3 de ce jeu Wii (sorti fin 2009 au Japon) n'offre pas de grosses différences.
Les JRPG si simples, si purs, sont devenus tellement rares qu'il serait dommage de passer à côté de Tales of Graces, déjà le douzième (!) jeu de la série.Je vais vous confesser une activité ludique avec mes amis joueurs de JRPG qui essayons de suivre de près cette industrie : tout faire pour se souvenir des noms des héros des "Tales of". Le nom complet, sinon ça ne serait pas drôle. Lloyd Irving, Reid Hershel, Cress Alban ou encore Luke fon Fabre. Essayez, c'est vraiment plus compliqué qu'il n'y parait. Qui se souvient encore de "Yuri Lowell" du pourtant très apprécié Tales of Vesperia qui a beaucoup profité qu'il était le seul gros RPG japonais HD au même moment. Le truc, ce n'est pas que les blases des héros "Nomuresques" de Final Fantasy soient plus mémorables, c'est juste qu'il y en a moins. Le douzième jeu de la série. Avant d'écrire cette article, j'avais déjà oublié le sympathique "Jude Mathis", médecin qui se bat à mains nues dans Tales of Xillia, le treizième, pourtant sorti il y a moins d'un an au Japon. Et Grand Dieu, il fallait être limite maniaque pour se souvenir d'Asbel Lhant, orthographe correcte incluse.
Révolutionnaire il y a une décennie pour son mélange d'orthodoxie et de combats orientés action, la série des « Tales of » occupe et domine désormais le créneau du J-RPG traditionnel. On serait même tenté de dire par manque de concurrence, chaque nouveau Dragon Quest suivant un rythme quasi bissextile. Les Tales of proposent méthodiquement les mêmes éléments distinctifs du genre, déclinés année après année. Ce qui compte, c'est que la sauce prenne : un monde heroic fantasy un peu passe-partout, où le héros et ses camarades vont exalter la justice et l'amitié. S'ajoutent quelques petites subtilités d'écriture plutôt mature où il est parfois question de problème raciaux « car, tu vois, les hommes-loups, ils ont un cœur tout comme nous », ou classique avec le chancelier qui prétextera un conflit frontalier pour chiper la couronne de son roi et lancer une guerre massive (il faut toujours se méfier des chanceliers dans les RPG). Tales of Graces bascule plutôt dans la deuxième solution, mais avec un certain panache. Comme à chaque fois, il y a un thème dont la traduction fait plutôt sourire. Celui de Graces donne quelque chose de ronflant du genre « RPG où l'on recherche la force de protéger ».
En 2011, que reste-t-il des vrais défis du monde moderne ? Acheter un chez-soi, renverser une dictature, pratiquer un sport de combat, se reproduire ou encore se refaire Final Fantasy XIII depuis le début sans rigoler. Sûr de son coup, Namco Bandai nous adresse une ultime bravade : nous emballer avec ce Tales of Graces F, pourtant transposé de la Wii à la PlayStation 3. Et c'est fait avec tellement de sérieux que ça force le respect. Un portage pour les 15 ans de la saga, une décision qui sonne comme l'heure du bilan, calmement. La simplicité, c'est peut-être le maitre mot de Tales of Graces dont le thème (tous les Tales of ont un thème) donne en français quelque chose comme : "le RPG de la recherche de la force de protéger". On ne rigole pas. Ce slogan pourrait être le motto adaptable à tous les Tales s'il ne convenait parfaitement à son héros, Asbel Lhant, le fils aîné du châtelain local. Le jeune garçon a été élevé dans l'optique de succéder à son père, un peu comme dans toutes les familles, jusqu'à ce qu'il fasse la rencontre de la mystérieuse Sophie. Lui et ses amis se lient d'amitié à cette gamine guerrière. Et pas grave si elle a deux énormes couettes violettes un peu ridicules qui trainent presque par terre.
Toujours aussi prolifique dans son pays d'origine, la saga Tales of prend un malin plaisir à maltraiter les joueurs occidentaux, les rares épisodes édités sous nos latitudes n'étant pas forcément les plus fameux. Et bien que l'annonce d'un prochain Tales of Xillia ait de quoi faire fantasmer les plus optimistes parmi les possesseurs de la machine de Sony, ces derniers ont encore en travers de la gorge la non distribution de la version PS3 de Tales of Vesperia. Autant dire que le devenir de Tales of Graces f sous nos latitudes est encore très incertain. Sorti fin 2009 sur Wii, Tales of Graces fait partie des nombreux épisodes de la série qui restent injustement réservés au public japonais. On peut comprendre que Namco Bandai n'ait pas voulu prendre de risques en préférant sortir chez nous la suite de Tales of Symphonia, mais Dawn of the New World reste tout de même largement moins convaincant que Tales of Graces. Ce dernier avait d'ailleurs reçu des critiques très élogieuses au moment de sa sortie sur Wii en décembre dernier, et il n'est finalement pas étonnant de le retrouver transposé un an plus tard sur PS3 dans une version remaniée.
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