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Nous avons réuni 10 tests du Supremacy MMA. Les experts notent Supremacy MMA 4.5/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Supremacy MMA et d'autres Jeux Playstation 3.
Très en vogue depuis maintenant un petit moment, notamment dans la sphère du jeu vidéo, le free fight revient sur nos consoles de salon avec Supremacy MMA, un titre signé 505 Games. Faut-il y voir un sérieux concurrent aux bonnes vitrines que furent UFC Undisputed et EA Sports MMA ? La réponse dans les lignes qui suivent.D'emblée, Supremacy MMA surprend par son orientation arcade. Si ses prédécesseurs se sont évertués jusque-là à rendre une copie très proche de la simulation sportive, le titre de 505 Games joue dans une toute autre cour. Preuve en est son mode Histoire, dont l'approche nous rappelle davantage les jeux de baston traditionnels (Tekken, Street Fighter) que le plus réaliste Fight Night. Toutes proportions gardées, bien entendu.Le jeu propose ainsi pas moins de douze scénarios à suivre pour autant de combattants. Première déception : avec un casting aussi limité, Supremacy MMA ne s'impose pas comme le jeu qui vous occupera des mois durant. Des efforts ont pourtant été consentis sur le contenu, avec des scénarios étonnamment bien narrés, intégralement doublés dans la langue d'origine de chaque protagoniste. Il est également possible de leur faire gagner de l'expérience à la fin de chaque combat, ce qui permet de débloquer certains éléments tels que de nouvelles tenues pour notre poulain.
Après EA et THQ, c'est au tour de 505 Games de monter sur le ring en nous proposant sa vision du MMA. Le public visé n'est certainement pas le même que celui de ses concurrents et nous allons voir ensemble si le titre mérite sa place dans la catégorie désormais bien remplie du free fight. La discipline compte de plus en plus d'adeptes et le monde du jeu vidéo a tout naturellement misé sur ces combats violents où chaque coup porté nous fait mal rien qu'en les regardant. Les petits gars de Kung Fu Factory l'ont bien compris et espèrent avoir leur part du gâteau, mais la mission est loin d'être accomplie, comme nous allons le voir ensemble. Le premier coup que l'on se prend avec Supremacy MMA, c'est lorsque l'on jette un oeil aux combattants disponibles. Nous sommes loin des rosters qui donnent le tournis de la concurrence puisque le titre ne vous proposera que 12 personnages... Oui, vous avez bien lu 12 seulement et, histoire de faire déborder le vase, même s'il est possible de jouer avec Le Banner par exemple, la plupart des compétiteurs sont inconnus au bataillon. Voilà de quoi calmer les ardeurs de beaucoup.
UFC Undisputed, EA Sports MMA et désormais Supremacy MMA : en deux ans, trois séries de jeux de combat libre ont vu le jour sur consoles, la première ayant pour elle la licence officielle et sa technicité, la seconde son gameplay bien pensé et la troisième…bah pas grand-chose. Supremacy MMA a beau débarquer seulement maintenant, bien longtemps après la concurrence, il n’est pas en mesure de survivre un seul round dans l’octogone face à ses deux adversaires poids lourd. Le titre édité par 505 Games partait pourtant d’un bon sentiment, en visant à simplifier l’accès au grand public à une discipline par essence riche et complexe. Voici en quelques lignes les raisons de cet incroyable KO technique… Un contenu très limite La première chose qui frappe quand on lance le jeu, c’est le nombre de combattants présents. Malheureusement pas dans le sens positif du terme, puisque seuls une douzaine de fighters sont disponibles de base et que le total dépasse à peine la quinzaine avec les DLC et les persos bonus. C’est bien maigre en comparaison des 80 d’EA Sports MMA ou de la grosse centaine proposée par UFC Undisputed 2010. Au sein de la sélection de combattants, on retrouve quelques noms connus parmi lesquels l’éternel Jerome Le Banner ou Jens Pulver, ancien champion du monde poids léger UFC.
Et de trois ! Suite au succès de la série UFC Undisputed de THQ et à l'arrivée l'année dernière d'un challenger sympathique avec EA Sports MMA, voilà que le monde du free fight voit arriver Supremacy MMA sur les consoles HD. Seulement voilà ; y a-t-il de la place pour un troisième adversaire sur le ring ? Rien n'est moins sûr...Bon, on ne va pas vous faire l'affront de vous expliquer de nouveau ce qu'est le Free Fight, on préfère plutôt vous renvoyer vers le test de EA Sports MMA qui revient succinctement sur ses spécificités et ses origines. Pour faire court quand même, il s'agit d'une pratique sportive qui mélange divers arts martiaux pour un résultat souvent brutal où les giclées de sang ne sont clairement pas à proscrire. Bien sûr, Supremacy MMA reprend la même recette, même si peu d'éléments jouent en sa faveur sur le papier ; à commencer par le nombre de combattants qui est réduit à une dizaine (dont le célèbre Jerome Le Banner), là où UFC Undisputed 2010 affichait 100 cogneurs contre 80 pour EA Sports MMA. Aïe !
Le MMA (Mixed Martial Arts) c'est un peu The King Of Fighters in real life sans les boules de feu mais avec encore plus de seins. Et sur consoles, c'est THQ qui a senti le filon le premier en éditant une série de jeux sous licence officielle UFC. Electronic Arts a bien essayé de lui croquer un peu de bénéfices avec son EA Sports MMA mais sans beaucoup de succès. Alors quand les courageux de chez 505 Games viennent à leur tour contester l'hégémonie de THQ, on s'attend forcément à un bain de sang ... Dès le premier abord, Supremacy MMA souffre de la comparaison avec ses concurrents. Son roster de combattants comptent en effet une poignée de têtes connues - Jerôme Le Banner en tête - perdues au milieu d'une petite galerie de personnages fictifs. Du coup, pas évident d'achalander l'amateur des retransmissions télévisées. Et il y a encore plus handicapant : à peine quatorze combattants contre une grosse centaine chez UFC, la lutte est inégale. Vidéo-Test de Supremacy MMA Mais passons, l'essentiel n'est pas là mais au coeur de l'arène. Et ce qui frappe immédiatement dès les premiers échanges de coups, c'est une identité visuelle et sonore très différente de celles des titres de THQ et EA.
D’entrée de jeu, Supremacy MMA souffre d’un handicap de taille par rapport à ses concurrents. Faute de ligues et de combattants de renom disponibles, . Si des noms comme Jens Pulver ou Jérôme Le Banner peuvent parler aux amateurs de sports de combat, la majorité des personnages du titre sont loin d’être des stars de MMA. Cela étant dit, il faut noter que le jeu de 505 Games est le premier du genre à proposer des femmes parmi ses personnages jouables. L’intention est louable, mais avec seulement deux représentantes, la catégorie féminine n’a que très peu d’intérêt. Malgré tout, le constat n’est pas entièrement négatif puisque chacun des poètes du jeu dispose de son propre mode histoire, narré par ses soins. On est loin des Misérables, mais la démarche n’en est pas moins originale et appréciable. Si la variété est de mise dans les histoires, il n’est pas possible d’en dire autant au sujet du gameplay. Dans Supremacy MMA, diverses disciplines sont représentées sans que cela se ressente véritablement. Les techniques changent, mais la manière de jouer demeure. Et c’est encore pire lorsque les deux combattants représentent le même sport.
A la télé comme en jeux vidéo, les sports de combat ont le vent en poupe et tous les éditeurs veulent leur part du gâteau : THQ, avec la licence officielle de la ligue UFC, Electronic Arts avec EA Sports MMA et maintenant 505 Games avec Supremacy MMA. Si les deux premiers adoptent une approche simulation proche des combats édulcorés retransmis sur les chaînes du câble, Supremacy MMA veut lui nous emmener dans l’univers underground des combats illégaux où tous les coups sont vraiment permis. Supremacy MMA prend donc le contrepied de la concurrence et nous entraîne dans le monde mal famé des combats illégaux. Le jeu adopte également un gameplay différent en proposant une expérience orientée arcade plutôt que simulation. On retrouve donc quatorze combattants réels, douze hommes et deux femmes, qui ont accepté de prêter leurs traits au jeu de Kung Fu Factory. Parmi eux, les chauvins que nous sommes retiendront bien sûr essentiellement Jérôme Le Banner, champion mondial de kick-boxing natif du Havre. On peut cependant aussi souligner la présence du médiatique poids léger américain Jens Pulver et sa crête iroquoise ou encore Joe Schilling. Les fans de Mixed Martial Arts devraient donc être comblés.
Depuis la sortie du premier épisode de UFC Undisputed en 2009, le free fight ou combat libre intéresse de plus en plus les développeurs de jeux vidéo. Après un EASports MMA tout à fait correct l'an passé, Supremacy MMA monte à son tour sur le ring pour défier le roi UFC. Ce dernier a-t-il du souci à se faire ? Inutile de rappeler le principe du free fight ; depuis quelques années, tout le monde connaît ce genre de combats violents encadrés par des règles, certes bien précises, mais néanmois très permissives. Peu importe les techniques utilisées et les écoles d'arts martiaux dont se réclament les divers combattants, ce qui compte ici, c'est envoyer son adversaire au tapis. Coups de poing, coups de pied, prises de judo ou soumissions, tous les moyens sont bons pour sortir vainqueur de duels aussi virils qu'impitoyables. A la mode depuis le succès de la série UFC Undisputed, le free fight revient aujourd'hui sur Playstation 3 et Xbox 360 grâce aux efforts du studio Kung Fu Factory. Malheureusement, on ne peut pas dire que Supremacy MMA soit à la hauteur de ses prédécesseurs. Tout d'abord, alors que le roster du dernier UFC compte pas moins de 106 combattants et que celui de EA Sports MMA en comprend environ 80, on découvre non sans surprise que Supremacy MMA propose à peine une douzaine de personnages jouables !
Du sang, de la sueur, du vécu... Sans frein et sans limites... Avec une telle promesse, on peut s'attendre à ce que Supremacy MMA ne soit pas un énième jeu de sport de combat sous licence fédérale, comme il commence à s'en accumuler en rayon (EA Sports MMA, UFC : UIndisputed) depuis que le catch est un divertissement TV du samedi soir et que l'ultimate fight est devenu le sport à la mode pour tout minet en mal de reconnaissance virile. Alors de quoi s'agit-il ? « Nous voulons retourner aux sources du MMA : le NHB, » expliquent les développeurs de Kung Fu Factory. C'est clair ? Non ? Bon alors, un petit cours rapide d'acronyme. Le MMA (Mixed Martial Art) désigne des combats entre compétiteurs venant de différents sports de combat (kung fu, muay thai, boxe anglaise, kick-boxing, judo, savate, karaté, etc.) qui s'affrontent sans les entraves habituelles à leurs sports respectifs. Si le MMA encadré par des ligues a désormais quelques règles de sécurité (temps des combats, quelques rares coups interdits, etc.), ses ancêtres (Shooto et Vale tudo) du début du XXe siècle ne connaissaient pas de limites. La seule règle était alors le NHB ou No Hold Barred (aucun coup interdit) et seul l'usage des armes était interdit sur le ring.
Depuis 2009 et le carton réalisé par THQ avec UFC Undisputed, l'industrie du jeu vidéo a compris que le free fight, discipline en vogue s'il en est, pouvait attirer un nombre conséquent de joueurs. Résultat, la concurrence s'organise et se densifie. Après un EA Sports MMA honorable signé Electronic Arts, c'est au tour du nouveau développeur Kung Fu Factory de prendre part à la bataille avec Supremacy MMA. Un titre original qui souhaite rester accessible à tous les publics tout en proposant des combats extrêmement brutaux qu'aucune véritable règle ne vient entraver. Attention, âmes sensibles, s'abstenir. Pour comprendre ce qui a motivé le développement de Supremacy MMA, il convient de se tourner vers ses créateurs. Nouveau venu dans le monde du jeu vidéo, le studio Kung Fu Factory affiche d'ores et déjà un discours rodé et des ambitions élevées. Et pour cause, puisqu'on retrouve au sein des équipes des personnes d'expérience ayant déjà œuvré pour Rockstar ou encore Yuke's Media Creation et son impitoyable UFC Undisputed. C'est d'ailleurs la complexité excessive du titre édité par THQ qui a poussé les fondateurs de Kung Fu Factory à monter leur société, histoire d'exposer leur propre vision du jeu de combat.
TestMateriel.com ne regroupe pas de serial, no cd, warez, torrent et crack pour Supremacy MMA. Inutile de nous contacter pour se faire rembourser d'un jeu, obtenir de l'aide pour le lancer, demander une soluce, une astuce Supremacy MMA.