28 tests d’experts - 1 avis d'internautes
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Nous avons réuni 28 tests et 1 avis du StarCraft 2 : Wings of Liberty. Les experts notent StarCraft 2 : Wings of Liberty 9.2/10 et les internautes 10/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du StarCraft 2 : Wings of Liberty et d'autres Jeux PC.
Pourquoi un test aussi tardif ? C’est assez simple… Je voulais avoir le temps de finir la campagne solo, mais également de faire le tour du propriétaire de la partie multijoueur. Pour faire simple : je vous propose un test relativement rapide de la chose, en vous parlant de ce que j’ai aimé, de ce que je n’ai pas aimé, que soit dans le solo, ou le multi ! Dire que Starcarft II n’est qu’une version 1.5 du premier volet disposant simplement d'une partie graphique remise au goût du jour serait réducteur. Je pense d’ailleurs que ceux arborent l'argument sont à la fois de mauvaise foi, et loin d'être fans de StarCraft premier du nom... D’ailleurs le moteur graphique, s’il est agréable à l’œil, ne révolutionne pas vraiment le genre, et est surtout (et c’est une habitude chez Blizzard) suffisamment léger pour tourner sur un grand nombre de configurations. Donc ce deuxième opus progresse sur tout ce qui pouvait vraiment être amélioré par rapport au premier opus. Mais éloignons-nous de l'aspect graphique pour nous recentrer sur la partie solo du jeu, qui comporte un nombre conséquent de subtilités et de personnalisation de votre force de frappe.
Univers Games
Ajouté le : 08/2010
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12 ans après la sortie du premier Starcraft en 1998, Starcraft 2 attendu comme le messie des jeux vidéo par une foultitude de sud-coréens les yeux injectés de sang, s?invite enfin sur notre disque dur. 12 ans séparent les deux opus, 12 longues années au cours desquelles les développeurs de Blizzard ont pu tester de nouveaux équilibrages entre races, imaginer un nouveau scénario détonnant, concevoir un nouveau design?Ils ont surement testé, imaginé et conçu mais finalement ils ont conclu que c?est dans les plus vielles marmites que l?on fait les meilleurs soupes. Et quand cette marmite s?appelle Starcraft, on sait déjà qu?ils manipuleront cette corne d?abondance avec la plus grande minutie. Starcraft 2 Wings of Liberty ressemble à s?y méprendre à son ainé. Côté bâtiments, il y a très peu de surprises, à part peut être le ver de nydus pour les Zergs qui est plus pratique et qui a plus de style que le canal de nydus gélatineux du premier volet. Les Terrans ont gagné un pilonne détecteur de mouvement et les Protoss? on cherche encore. Niveau unité, c?est la grande rigolade côté Terran : on pourrait croire que Blizzard a pris ses responsabilités en enlevant le flammeur de l?arsenal de l?humanité pour le remplacer par le maraudeur et ses missiles.
Avant de débuter, posons-nous une question: ce test a-t-il un réel intérêt? Est-ce que les 8000 signes que je m’apprête à coucher seront réellement lus? Permettez-moi d’avoir quelques doutes, car, Starcraft II étant disponible depuis mardi dernier, vous avez sans doute mieux à faire que de le lire l’avis «éclairé» d’un journaliste. Allez plutôt y jouer, allez casser du Zerg ou sprinter chez votre dealer le plus proche pour acquérir le précieux. Car, … Et c’est surtout sacrément addictif. Bon, d’ailleurs on va arrêter là, j’ai un rush Zergling à contrer. Ce test s’achève ici, vous avez compris de toute façon qu’il mérite son 19/20, point final. Hum, bon, puisque je suis rémunéré aux signes et que j’ai des vacances à Bora Bora à payer, développons le sujet. Premièrement, impossible de nier que Starcraft II, en surface, ressemble énormément à son ainé. Difficile d’assurer la continuité d’un mastodonte qui, douze ans après sa sortie, est encore joué par des centaines de milliers de poulpes capables d’enchainer les actions d’éclat à coups de raccourcis claviers improbables. En ce sens, . Nous sommes donc dans un jeu de stratégie en temps réel tout ce qu’il y de plus classique, avec ses péons qui récoltent des ressources, ses bâtiments à construire et ses grappes d’unités à balancer le plus vite possible sur le camp ennemi.
Voilà maintenant plus de 12 ans que Starcraft 1 est sorti sur PC & Mac. Ce jeu de stratégie a su rallier à lui des millions de joueurs, des nations même ! En plus d'être un jeu relativement bien équilibré, il est devenu une référence en sport électronique (en Corée du Sud par exemple). Blizzard était ainsi obligé de sortir un second épisode, ne serait-ce que pour le mettre au gout du jour. Avec une première suite d'un jeu tel que Starcraft, il n'y a pas de grosse prise de risque à prendre. Vous retrouvez les 3 races préalablement rencontrées dans le premier épisode. Les Terrans sont des sortes d'humains au profil génétique modifié qui errent dans l'espace. Les Zergs sont des insectes avec une conscience collective qui ont pour principal but de coloniser de nouvelles planètes (et en général pas de façon pacifique). Et enfin les Protoss sont des humanoïdes à la technologie supérieure aux deux autres races qui se battent pour leur planète "Aiur". Le jeu est décomposé en deux modes bien connus : solo et multijoueurs. Dans les deux cas vous aurez besoin d'une connexion internet car chaque version du jeu doit être associé à un compte BattleNet. Ceci pour (principalement) éviter le piratage, mais aussi apporter plus de plaisirs sur internet grâce à un meilleur "matchmaking" (on en reparlera plus tard).
Mine de rien, la tâche qui incombe à StarCraft II : Wings of Liberty est particulièrement lourde. Le nouveau titre de Blizzard doit non seulement succéder à l'un des plus grands jeux de stratégie de tous les temps, mais également confirmer la maestria du studio de développement californien, habitué depuis de nombreuses années à enchaîner les hits comme d'autres enfilent des perles. Autrement dit : la suite de Starcraft se doit d'être culte, et plutôt deux fois qu'une. Mais la bonne nouvelle de l'été, c'est que ce pari est remporté haut la main !Le souci du travail bien fait se ressent dès l'installation du jeu, qui met à profit le temps de copie des fichiers pour nous rappeler en quelques phrases et images les évènements majeurs de l'univers de Starcraft. Une bonne manière de souhaiter la bienvenue aux novices de la série tout en rafraîchissant la mémoire des fidèles. Vient ensuite l'heure de lancer pour la première fois le jeu et de s'émerveiller bêtement devant l'écran de chargement, qui nous balance en pleine poire un superbe artwork représentant de manière extrêmement détaillée le héros humain Jim Raynor. La séquence d'introduction générale enfonce le clou, et confirme une nouvelle fois tout le talent de Blizzard dans le domaine des cinématiques précalculées.
Douze ans, une éternité dans le monde du jeu vidéo. Mais quand on s'appelle Blizzard Entertainment, que l'on fait rêver des millions de joueurs avec trois des licences PC les plus populaires, on peut presque tout se permettre. Alors peu importe si les fans de StarCraft ont dû patienter plus d'une décennie pour avoir la suite, ils n'auraient manqué pour rien au monde le rendez-vous. Mais après tant de temps, les développeurs, eux, peuvent-ils réellement répondre à toutes les attentes ? Tout joueur qui se respecte a au moins entendu parler de StarCraft une fois dans sa vie. Véritable sport national en Corée du Sud, le jeu de Blizzard Entertainment est depuis douze ans un pilier de l'e-sport mondial. Mais StarCraft ne se résume pas à qu'à un mode multijoueur. Dans la grande tradition des ?uvres du studio américain, la licence présente aussi et surtout un univers d'une richesse quasi-inégalée pour le genre. Puisque tout le monde ne se souvient pas forcément des événements et des rebondissements du premier opus (et de son add-on Brood War), Blizzard Entertainment a eu la bonne idée de tout résumer pendant l'installation du jeu. Douze ans après, on apprécie.
Après sept ans de développement, le premier opus de la trilogie StarCraft II atterrit sur nos PC ! Rock'n roll ! StarCraft est un jeu de stratégie en temps réel qui se passe dans un futur lointain. Trois races s'affrontent pour la domination des systèmes planétaires et des ressources. Les Terrans incarnent l'Humanité, les Zerg sont des insectes-aliens sanguinaires et diablement pervers et enfin les Protoss, une race extraterrestre technologiquement avancée. Ils se battent pour leur survie. Plusieurs héros se sont distingués dans chacune des factions durant les affrontements du premier StarCraft et seront, successivement, vos avatars dans les trois épisodes de StarCraft II dont Wings of Liberty constitue le premier opus qui se consacre aux Terrans. Dans le premier volet de la trilogie, vous incarnez donc Jim Raynor, le Terran. Paria aux yeux de ses pairs, il lutte contre les Zergs, le Dominion et lui-même. Il s'est transformé en un contrebandier tourmenté au service des autres, un Han Solo dans l'univers de Blizzard. Quatre ans se sont passés depuis le premier opus et il ne se pardonne pas d'avoir abandonné Kerrigan, plus qu'une soeur d'arme.
Enfin ! Après douze ans de diète et 11 millions de Starcraft et Broodwar vendus, Blizzard sort Starcraft II. Autant dire que l’attente était longue. Nous avons patienté avec le premier épisode, rejoué moult et moult fois la campagne solo quand on n’était pas sur Battle.net pour mettre du plomb dans la gueule de certains Zerg. Il était temps que ce second épisode arrive. C’est chose faîte depuis le 27 juillet dernier. Le temps pour nous d’arpenter le secteur Koprulu. Quatre ans ont passé. Jim Raynor n’est plus que l’ombre de lui-même. L’ex-marshall croupi dans un bar mal famé, à la tête d’un mouvement de résistance connu sous le nom des Rebelles de Raynor sur Mar Sara. Le Dominion Terran, dirigé par Arturus Mengsk, le traque dans tout le secteur à cause des secrets que possède Jim. Sans moyen et marginalisé par la propagande de son ancien allié, la lutte de notre héros est donc difficile pour ne pas dire désespérée. De plus, il n’arrive toujours pas à digérer la trahison de Mengsk sur Tarsonis, à l’époque chef des Fils de Korhal, lorsqu’il a abandonné Sarah Kerrigan au milieu des troupes Zerg.
Douze ans, c'est long. Surtout dans le petit monde du jeu vidéo, où quelques années suffisent à transformer les canons d'hier en vieilleries tout juste bonnes à prendre la poussière sur les étagères et égayer les soirées entre geeks nostalgiques. Pourtant, StarCraft a su traverser toutes ces années sans encombre, mais pas sans rebondissements. Une longévité exceptionnelle qui s'explique d'une part par le soutien indéfectible d'une communauté fédérée autour d'un noyau compétition toujours très actif, surtout en Corée du Sud, où jouer à un STR 2D en 640x480 sur PC et faire des groupes de 12 unités au maximum ne dérange visiblement pas. Mais aussi, bien sûr, par les excellentes qualités intrinsèques du titre, ainsi que l'actualité rebondissante de la saga depuis 2002 et son fameux projet Ghost, officiellement toujours en suspens (si si). Une occupation du terrain médiatique à son apogée lorsque Blizzard présente pour la première fois Starcraft II (en Corée, bien évidemment) en 2007. Une suite finalement découpée en trois parties, dont voici - ENFIN - le premier volet : Wings of Liberty. Saura-t-il donc faire entrer Starcraft de plain pied dans le XXIème siècle ?
Douze années se sont écoulées depuis la sortie du premier StarCraft et pourtant, le RTS de Blizzard jouit toujours d'une popularité hors norme et d'une longévité inégalée qui inspire le respect. Alors plutôt que de chercher, comme bon nombre de ses rivaux, à réinventer la roue, Wings of Liberty, première partie de la trilogie StarCraft II, s'appuie largement sur cet héritage légendaire pour tenter d'asseoir une nouvelle fois sa suprématie. Mission réussie ?Quand il a fait son apparition dans les rayons en avril 1998, StarCraft a, n'ayons pas peur des mots, révolutionné le genre et filé un bon coup de massue à la concurrence. La clé de ce succès ? Un gameplay d'une richesse incroyable, grâce à ses trois races complètement distinctes qui offraient autant de manières d'appréhender le jeu. Aujourd'hui, Terrans, Protoss et Zergs font enfin leur grand retour. Et à voir la foule qui campait devant la FNAC de Paris lundi dernier, ou l'impressionnante quantité de précommandes à travers le monde, il est indéniable qu'il était âprement attendu. Quatre ans après les événements narrés dans le premier opus, rien n'a vraiment changé dans le secteur de Koprulu : Jim Raynor, le rebelle bourru, poursuit sans relâche son bras de fer avec le Dominion, toujours emmené par le vil Arcturus Mengsk.
Les jeux de stratégie m'ont toujours accompagné dans ma vie de joueur. J'ai joué au premier qui a marqué l'histoire du jeu vidéo - Dune II - je l'ai terminé, je crois avoir joué à toutes les franchises ayant un peu marqué le genre. À Command and Conquer. Puis Alerte Rouge. Puis Command and Conquer. Puis re-Alerte Rouge. En fait, au départ, dans la guerre qui opposait Blizzard à Westwood, j'étais plutôt pour la franchise d'EA. Pour une raison simple : la non-limite de construction des unités. Cela donnait des improbables combats avec des centaines d'unités. Avec Warcraft et Starcraft, on était plus dans la finesse. Puis mes goûts ont évolué, comme tout le monde j'imagine. On cherche toujours à avoir des choses plus sophistiquées, plus fines. Et Warcraft III est arrivé. Avec son micro-management parfait, sa recherche de l'équilibre tout en proposant quatre races aux gameplays incroyablement différents (que celui qui a pigé la différence fondamentale entre le NOD et le GDI de Command and Conquer nous l'explique).Warcraft III était le jeu de stratégie que j'attendais au moment où il est sorti. Depuis, re-Command and Conquer, re-Alerte Rouge. À tel point que je ne sais même plus où on en est. C&C 4 ? Oui, je crois. Alerte Rouge 3 ?
Douze ans ! Douze longues années que les Protoss, les Terrans et leurs petits copains Zergs n'avaient plus fait parler d'eux... Enfin, pas exactement puisque depuis l'annonce de StarCraft 2 par Blizzard, on peut dire que le studio n'a rien laissé au hasard, enchaînant les communiqués, les vidéos et les présentations avant de terminer par une phase de bêta de plusieurs mois. Du coup et alors qu'il vient seulement de sortir, on a pour ainsi dire l'impression de le connaître déjà par c?ur ce Wings Of Liberty. Se pourrait-il que les apparences soient trompeuses ? Se pourrait-il que Blizzard se soit loupé et que StarCraft 2 ne soit finalement pas au niveau ? Histoire de mettre les choses à plat - et tant pis pour ceux qui connaissent déjà cela par c?ur - commençons cet article par une brève mise au point. Alors que StarCraft premier du nom est encore l'un des jeux les plus joués en Corée du Sud, il n'était évidemment pas question pour Blizzard de révolutionner le gameplay de son titre référence, même douze ans après. En digne successeur des Command & Conquer et autres WarCraft, Wings Of Liberty repose donc sur le triptyque collecte de ressources, construction de bases et gestion des troupes.
Douze ans à attendre la suite de Starcraft, c'est certes long, mais qui les a vus passer ? Pour beaucoup, la sortie de Brood War, c'était hier. Starcraft n'est pas un de ces jeux plébiscités l'espace d'un moment puis mis de côté en attendant le second opus. Pratiqué assidument sur Battle.net ou en réseau depuis son lancement, son succès ne s'est jamais démenti, notamment en Corée où il est devenu sport national. Du coup, une chose est sûre : le pire ennemi de Starcraft II, ce ne peut être que Starcraft. Pour éviter la comparaison, Blizzard a donc choisi d'inscrire cette suite dans la prudente continuité de l'épisode précédent. Du coup, Starcraft II, c'est drôlement bien, mais c'est aussi vachement classique. Mais n'ayez crainte, parce que ça marche aussi dans l'autre sens : Starcraft II, c'est classique, mais c'est drôlement bien ! Si Starcraft a autant marqué le genre, c'est essentiellement grâce à ses trois races dissymétriques. Dans un Alerte Rouge, un Warcraft II ou un Age of Empires, on notait bien quelques différences réelles entre les factions. Mais dans Starcraft, les particularités de chaque race induisent un gameplay spécifique et une approche tactique triangulaire.
Alors que la beta multi-player se termine, j’ai eu l’occasion, ce matin, d’essayer un petit peu la campagne solo de Starcraft 2 : Wings of liberty… Campagne donc “quasi” 100% Terran. Mais vous savez quoi ? Ce n’est pas grave ! Tout ce que M. Frank Pearce a bien voulu nous dire sur la campagne solo (et un peu sur Battle.net), vous le trouverez, dans la suite ! “Hell, it’s about time…” C’est dans le très beau cadre du Loft de la Cité de la Roquette que nous avons pu ce matin suivre une présentation de Battle.net portant sur la campagne solo de Starcraft 2 : Wings of liberty. Nous avons ensuite eu l’occasion d’essayer quelques missions de la campagne solo. C’est M. Frank Pearce, un des fondateurs de Blizzard qui nous a présenté le titre, en commençant par détailler quelques fonctionnalités du nouveau Battle.Net. En plus de vous permettre d’être connecté en permanence avec vos amis jouant à Starcraft 2, vous pourrez aussi voir lorsqu’ils jouent à WOW et (dans un futur relativement proche, en année Blizzard) par la suite si ils jouent à Diablo III (pas la peine de demander, je n’ai pas de détail à ce sujet).
Gamekult
Ajouté le : 05/2010
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Alors que la bêta de StarCraft II : Wings of Liberty vit actuellement ses toutes dernières journées, Blizzard Entertainment pense à ceux qui ne jurent pas uniquement par le multijoueur en nous invitant à une séance d'essai sur la campagne solo du STR le plus attendu de la décennie. Au programme, un coup d'oeil sur les nouvelles mécaniques de gameplay introduites dans cette très attendue suite, un aperçu de trois missions solo en compagnie de Jim Raynor et Zeratul et la découverte d'une cinématique made in Blizzard qui retourne forcément le cerveau. Que demande le peuple. Souvenez-vous ; en août 2007, Blizzard Entertainment faisait saliver le monde entier avec les premiers détails de la campagne solo de StarCraft II : Wings of Liberty et une invitation surprise à bord du BattleCruiser Hyperion en compagnie de l'imperturbable Jim Raynor. Ce qui ressemblait alors à une aventure potentiellement digne des tribulations d'un certain Coeur de Tigre dans Wing Commander nous revient trois ans plus tard et en détails pour cette énième prise en main du jeu, qui dévoilait (presque) tous les secrets de cette nouvelle manière de présenter le solo.
Vous savez ce qu'on dit de l'artisanat ? Si le fabricant prend son temps, une fois achevé, le travail sera de bonne qualité, presque une oeuvre d'art. C'est sur cette réputation que mise Blizzard en produisant peu de jeux, mais en prenant son temps pour les sortir. Le succès de World of Warcraft alors que la société n'avait pas d'expérience précédente dans les MMORPG en est une preuve éclatante. Avec la sortie de StarCraft II : Wings of Liberty, douze ans après les deux premiers épisodes de la série, l'éditeur veut une nouvelle fois réussir son pari. Depuis l'ouverture de la version bêta, et l'annonce que cette nouvelle histoire sera divisée en trois parties vendues séparément (une pour chaque camp jouable : les humains Terrans, les insectoïdes Zergg, et les télépathes hippies Protoss), les fans les plus exigeants s'annoncent déjà déçus et le font savoir sur les forums. Ainsi, Andrej qui reproche le manque de versatilité des unités de la bêta - une est conçue pour détruire spécialement une autre et ne servira à rien contre les autres comme un appui aérien ne pouvant s'attaquer aux tanks au sol, est particulièrement véhément : « à la limite, ils auraient sorti un autre add-on pour StarCraft 1 avec simplement les nouveaux scénarios, les nouvelles unités en sus et les nouvelles cartes, j'aurais préféré.
Alors que la beta multijoueur bat son plein, donnant aux équipes de Blizzard l'occasion de procéder à quelques ajustements, nous avons été invités à découvrir plus avant le mode solo de la première galette de la trilogie Starcraft II à Irvine en Californie. L'occasion de faire le point sur la campagne de Wings of Liberty... Quelque peu sceptique à l'idée de faire des heures d'avion pour jouer à la campagne d'un jeu dont la beta multi occupe nombreuses heures de notre quotidien, nous avons vite changé d'avis une fois sur le campus de Blizzard. Première surprise : la découverte du vaisseau dans son ensemble. Comme vous le savez désormais, entre chaque mission le joueur retournera dans son vaisseau faisant office de quartier général, disposant de plusieurs secteurs distincts à la manière d'un Mass Effect. Outre la passerelle dont nous vous parlions dans un précédent aperçu, et qui sert principalement à choisir sa prochaine mission ou rejouer une mission réussie, le vaisseau dispose d'une armurerie, d'un laboratoire ainsi que d'une cantine. L'armurerie vous offrira la possibilité de dépenser l'argent durement acquis en remplissant vos missions dans l'amélioration d'unités et de structures.
Attendu tel le messie comme la plupart des autres jeux Blizzard avant lui, StarCraft II vient de passer en phase de beta fermée. Une poignée de privilégiés de par le monde peut donc d'ores et déjà tester les affrontements multijoueurs. Si vous n'en faites pas partie, il vous faudra certainement patienter jusqu'à la beta ouverte, voire attendre la sortie encore indéterminée du jeu. Pour vous faire patienter, nous vous livrons nos premières impressions après avoir tâté et affronté du Terran, du Protoss et du Zerg sur de nombreuses parties.Ce n'est une surprise pour personne, on retrouve en effet les trois races emblématiques du premier épisode quasiment dans l'état où on les avait laissées. Évidemment, le moteur graphique a fait de sérieux progrès depuis 1998 mais on reprend ses marques en quelques minutes. Le passage à la 3D ne change rien au gameplay, qui reste fidèle aux principes les plus emblématiques de la stratégie temps réel. Les parties se déroulent donc selon le schéma immuable de la récolte de ressources, de l'érection de bâtiments et de la création d'unités toujours plus puissantes. Ces dernières ont quelque peu évolué depuis le premier Starcraft mais le schéma directeur de chaque race reste globalement inchangé.
Gamekult
Ajouté le : 03/2010
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Ce n'est plus une surprise pour personne : Blizzard rime toujours avec retards. La preuve en est une nouvelle fois avec la bêta multijoueur de StarCraft II qui a fini par ouvrir ses portes le 18 février dernier après des mois d'attente et une phase d'inscriptions débutée en... mai 2009. Le studio d'Irvine nous avait pourtant fait miroiter une sortie rapide pour son STR à la BlizzCon 2008 suite à son découpage en trois épisodes, chacun se consacrant à l'une des trois races du jeu dans sa partie solo. Toujours est-il que StarCraft II : Wings of Liberty semble maintenant bel et bien sur les rails pour une arrivée à la mi-2010, tout du moins si l'on en croit les dernières déclarations de Mike Morhaime (le dirigeant de Blizzard) et cette bêta, qui a pour difficile tâche non seulement de peaufiner tout l'aspect multijoueur, mais aussi de mettre à l'épreuve diverses fonctionnalités notamment liées au portail de jeu en ligne du développeur : Battle.net 2.0. Après nos impressions en vidéo (voir Gamekult, l'émission #95), voici donc celles par écrit de cette phase de test qui augure de belles raclées en ligne en 2010 à base de Terrans, Protoss et Zergs. Déjà rencontré à de nombreuses reprises ces trois dernières années, StarCraft II se dévoile donc cette fois-ci sans limite de temps, ni contenu tronqué, tout du moins en multi.
Si les joueurs de Starcraft 2 pouvait être classés selon une forme pyramidale, au sommet de cette pyramide invisible, il y aurait ceux qui y jouent en compétition. Viendraient ensuite ceux qui sont vraiment, étonnamment, incroyablement bons à ce jeu, puis ceux qui sont simplement bons, et enfin ceux qui se débrouillent correctement. En dessous de cela, au milieu de l'immense masse reléguée bien plus loin dans cette hiérarchie, il y a un petit point microscopique, c'est-à-dire moi et mon manque criant de compétences sur Starcraft. J'ai l'air assez pathétique, pas vrai ? Mais attendez! Encore en dessous, il y a une foule innombrable de gens qui sont encore pires que cela. Des gens qui n'arrivent tout simplement pas à cliquer assez rapidement. Des gens qui ne jouent pas à des jeux de stratégie en ligne et des gens qui ne jouent tout simplement pas à des jeux de stratégie. Je sais qu'à force de travail je pourrais finalement devenir au moins compétent à Starcraft 2. Par contre, pour atteindre le niveau des gens cités en début d'article, c'est un long chemin. Sous sa forme bêta actuelle, Starcraft 2 n'est pas ce que l'on pourrait qualifier d'accessible.
Ca y est, nous y sommes ! Blizzard s'est enfin décidé à donner le coup d'envoi de la bêta multijoueur de Starcraft II, la suite d'un des jeux de stratégie les plus populaires de tous les temps. Depuis plus d'une journée, Terrans, Protoss et Zergs se déchirent à nouveau sur les écrans de joueurs privilégiés et assoiffés de sang. Et comme nous avons la chance de faire partie des heureux élus, nous allons évidemment prendre quelques minutes, entre deux parties, pour vous faire part de nos impressions sur ce qui s'annonce d'ores et déjà comme un jeu d'anthologie. Avant de plonger dans le tumulte des champs de bataille futuristes du bébé de Blizzard, il convient tout d'abord de faire un petit tour d'horizon du nouveau Battle.net. La plate-forme multi du studio a effectivement subi un relooking majeur et offre maintenant tout le confort qu'un joueur fanatique de Starcraft était en droit d'attendre. Limpide, élégante, l'interface Battle.net permet de farfouiller librement dans les différentes listes de serveurs ou de lancer une recherche automatique d'adversaires de même niveau, tout en continuant à vaquer à d'autres occupations.
Lors du rassemblement des fans de l’éditeur à la Blizzcon 09, nous avons enfin pu essayer la campagne solo de Starcraft II. Victime de son succès, les files d’attente devant le stand, où des centaines de PC attendaient les joueurs, ne désemplissaient pas. Au travers de ces quelques lignes, vous allez découvrir ce à quoi vous devez vous attendre avec la future référence du RTS... Comme vous le savez déjà, la campagne de Starcraft II sera découpée en trois volets. Le scénario du premier, Wings of Liberty, met en avant les Terrans. Principal changement par rapport au jeu originel, les développeurs de Blizzard ont tenu à habiller l’entre-mission. Au lieu de se retrouver face à une interface figée, nous avons découvert un intérieur de vaisseau spatial, et plus précisément un centre de commandement. Là, un général, un marine et Jim Raynor ; la star de cet épisode, nous faisaient face. A l’aide du curseur il était possible d’entamer une discussion avec chacune de ces personnalités distinctes. Le moyen d’en apprendre plus sur l’histoire, d’avoir le point de vue de chaque intervenant, et de dégoter des astuces quant aux prochaines missions qui nous attendent.
Gamekult
Ajouté le : 08/2009
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Déjà croisé à de nombreuses reprises sur divers salons au cours des deux dernières années, StarCraft II : Wings of Liberty occupait logiquement une large place sur le stand public de Blizzard à cette gamescom, aux côtés de Diablo III. Bien évidemment jouable, la suite du phénoménal StarCraft (sorti en 1997 aux Etats-Unis et 1998 chez nous) se dévoilait cette fois-ci non seulement en multijoueur, mais surtout en solo, un aspect jusqu'alors peu dévoilé par Blizzard. Ce fut donc l'occasion de vérifier les promesses du développeur américain, qui avait notamment expliqué le développement interminable du titre et sa séparation en trois volets à cause de sa partie solo, annoncée comme particulièrement immersive et plus élaborée que la moyenne. Et le résultat est, il est vrai, assez saisissant. Explications. Premier volet d'une série de trois titres, StarCraft II : Wings of Liberty renfermera la campagne solo des Terrans, l'une des trois races historiques de la saga de Blizzard - les deux autres étant bien évidemment les Zergs et les Protoss, également au rendez-vous dans cette suite. Logiquement, la démo gamescom du jeu nous invitait à découvrir le solo du jeu aux commandes des Terrans, avec deux missions différentes à choisir après avoir choisi son niveau de difficulté (au nombre de quatre) et assisté à une longue cut-scene.
A côté du stand fermé aux caméras de Diablo 3, Blizzard montrait pour la troisième année consécutive Starcraft 2. La différence, cette année, c’est que le mode solo était montré pour la première fois au public. Une campagne dont on ne savait finalement pas grand-chose et que nous avons tâtée pendant une trop courte session. Blizzard ne dis pas grand-chose quant au scénario de Starcraft 2, et on les comprend un peu. Des milliers de fans attendent de suivre enfin la suite des évènements de Brood War, l’extension de Starcraft premier du nom. Tout ce que l’on peut dire, c’est que le début de Starcraft 2 se déroule une poignée d’années après Brood War. Le joueur incarne alors Jim Raynor, le malheureux terrien du premier épisode. Lors de notre essai, la campagne était amputée du tutorial et donc de la mise en bouche scénaristique pour se concentrer sur le gros morceau du solo : la préparation avant chaque mission. Exit les briefings longuets du premier épisode où l’on se contentait de lire de longs rapports de subordonnés et place à l’Hyperion, un battlecruiser qui fait office de QG.
JeuxVideo.fr
Ajouté le : 08/2009
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Dévoilé il y a déjà deux longues années, StarCraft II ne sortira pas fin 2009 comme de nombreux joueurs l'espéraient. Cela ne surprendra pas les fidèles de Blizzard qui connaissent évidemment la réputation de perfectionniste du studio. Que la sortie ne soit pas prévue avant encore six mois ne doit cependant pas empêcher Blizzard de parler du projet, de présenter son bébé, voire mieux : de nous laisser l'approcher ! En plus du mode multijoueur, nous avons ainsi été parmi les premiers à découvrir la fameuse campagne solo, celle dont le découpage en trois opus a déjà fait couler des hectolitres d'encre. Impressions. Histoire de ne pas perdre trop de monde en route, il nous faut débuter par quelques rappels. Suite de ce qui reste l'un des plus mémorables titres de stratégie temps réel, StarCraft II se découpera donc en trois parties intitulées Wings Of Liberty, Heart Of The Swarm et Legacy Of The Void. Alors que la date de sortie du premier opus n'est pas encore connue avec exactitude, il n'est évidemment pas question pour nous d'aborder le cas des deux autres volets. Précisons tout de même que chaque partie est focalisée sur une faction - dans l'ordre les Terrans, les Zergs, les Protoss - et que le scénario de StarCraft II formera un tout.
Ce n'est probablement pas délibéré, mais Blizzard semble déterminé à mettre en exergue à quel point je suis un joueur pitoyable. À peine arrivé à l'imposant siège californien de la firme – il paraît que la statue géante d'un orque chevauchant un loup qui trône dans la cour est en train d'être rénovée par un groupe de maçons – on m'assoit dans une salle de cinéma privée pour regarder se dérouler quelques matchs de StarCraft II . Tout en observant les matchs par le biais du mode spectateur énormément amélioré du jeu, assisté par un commentateur en direct compétent, je regarde la balance de la puissance et des ressources pencher d'un côté et puis d'un autre à une vitesse ahurissante. StarCraft a toujours été un jeu rapide et StarCraft II n'a rien perdu de cette vitesse. Quant deux joueurs expérimentés s'affrontent, le jeu repose entièrement sur une stratégie d'ensemble et un timing parfait. Ils testent expertement leurs défenses respectives à la recherche d'un moyen de gagner un avantage en ressources, se distrayant l’un l’autre avec des feintes et prenant des risques calculés alors que l'équilibre entre une victoire éclatante et une défaite écrasante repose sur le fil d'un rasoir.
Gamekult
Ajouté le : 07/2008
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Star du Blizzard Worldwide Invitational de l'année dernière en Corée du Sud où il fut annoncé en grande pompe, StarCraft II réapparaissait le week-end dernier à l'édition 2008 de cet événement communautaire de Blizzard dans une version cette fois-ci jouable par le public. Plutôt généreuse, cette grosse démo permettait de prendre tour à tour en main les trois factions du titre (Terrans, Protoss et Zergs) au cours d'affrontements contre un autre joueur présent sur place, ou bien contre l'ordinateur. Après deux petites heures passées à éplucher les nouveautés proposées, et surtout celles associées aux Zergs que l'on découvrait ici pour la première fois depuis leur lifting, voici donc nos impressions mises à jour sur ce STR ô combien attendu. Et on comprend pourquoi. S'il y a bien un élément de Starcraft qui mérite aujourd'hui d'être complètement revu, ce n'est sans doute pas ses concepts de jeu encore tout à fait d'actualité, ni son équilibrage quasi parfait après une longue série de patchs, mais bien sa partie visuelle.
Créée il y a dix ans de cela, la saga Starcraft a su à l’époque s’imposer comme l’un des meilleurs jeux de stratégie alliant complexité de jeu et peaufinage de haut vol. Une fois n’est pas coutume, la firme Blizzard avait entrepris la création d’une toute nouvelle série vidéoludique bien distincte des Warcraft et autres Diablo. Ce pari osé aboutira quelques années plus tard sur de nombreuses récompenses et un incontestable statut de référence stratégique. Starcraft délaisse en effet les époques moyenâgeuses pour se consacrer à des batailles militaires on ne peut plus futuristes impliquant trois grandes races que sont les Humains, les Protoss ainsi que les Zergs. Ce tripartisme s’inspire sans aucun doute de la série Warcraft opposant Humains, Elfes et Orcs. Mais contrairement à cette dernière, le nouveau bébé de Blizzard a su dans le même temps exploiter l’avènement des technologies de communication afin de retranscrire d’interminables batailles. La présence de la plateforme Battle.net a véritablement pesé sur la balance en proposant un système de classement efficace et de réguliers bannissements des joueurs indésirables.
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