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Nous avons réuni 9 tests du Star Wars : Le Pouvoir de la Force 2. Les experts notent Star Wars : Le Pouvoir de la Force 2 5.5/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Star Wars : Le Pouvoir de la Force 2 et d'autres Jeux Xbox 360.
Paru il y a deux ans de cela, le premier Pouvoir de la Force avait permis aux fanatiques de la saga Star Wars de comprendre un peu mieux ce qui avait pu se passer entre les épisodes III et IV. Véritable référence en matières d'adaptation vidéoludiques de la licence de Georges Lucas - aux côtés des excellents Knight Of The Old Republic, notamment - le titre se paye aujourd'hui le luxe d'une suite sur toutes les consoles du marché. Que vaut réellement ce titre ? Les développeurs parviennent-ils à nous faire rêver en nous emmenant une nouvelle fois dans les tréfonds d'une galaxie lointaine, très lointaine.... ? Réponse sans plus tarder dans ce test complet. Souvenez-vous du premier opus : le titre nous plongeait dans la peau de Starkiller, l'apprenti secret de Dark Vador, l'un des plus puissants de tous les Siths. Histoire d'éviter de vous gâcher tout le plaisir de découvrir le scénario du premier comme du second opus, sachez que Star Wars : Le Pouvoir de la Force II s'inscrit dans la continuité directe du premier épisode et qu'il est donc fortement recommandé de l'avoir bouclé avant de se lancer dans cette nouvelle aventure. Tout commence sur Kamino, planète entièrement recouverte d'océans et spécialisée dans le clonage.
Deux années après un Star Wars : Le Pouvoir de la Force dont l'écho résonne encore dans la tête des fans de la saga Star Wars, LucasArts Entertainment nous propose de retrouver Starkiller dans un second épisode attendu de pied ferme. Une histoire aussi captivante que cohérente et un gameplay perfectible mais solide, les premières péripéties de l'apprenti secret de Dark Vador avaient su convaincre. Une bonne raison pour espérer du Pouvoir de la Force II une suite au moins aussi attrayante que son aînée, même si l'équipe de développement en a apparemment décidé autrement. Avis à ceux qui n'auraient pas encore bouclé le premier épisode, les quelques lignes qui vont suivre pourraient faire office de spoiler quant à l'histoire de Star Wars : Le Pouvoir de la Force. Selon la fin choisie, le joueur assistait à la mort de Starkiller mais surtout à la naissance de la Rébellion, un postulat à partir duquel le scénario de Le Pouvoir de la Force II se base. Tout commence sur la planète Kamino où l'on retrouve le sombre Seigneur Vador dans un centre de clonage, alors qu'il vient aux nouvelles de celui à qui il apprend qu'il est un clone imparfait de Starkiller.
Je n'ai pas joué au premier Pouvoir de la Force. Lors des tests précédents, je n'ai pas vraiment compris que certains sites et magazines collent parfois des notes très basses à ce titre alors qu'il était tout de même magnifique. Et surtout, surtout, avec un background comme Star Wars...Les jeux Star Wars, on en a pourtant eu des mauvais, de très mauvais même ; les pires sont ceux de l'époque de la sortie de l'épisode I, il me semble. Mais les développeurs avaient l'excuse de pondre un film sortant en même temps que le film. Là, non, on est sur des cycles de développement normaux et on se retrouve face au jeu le plus inintéressant du monde. À la question : "est-ce que j'ai eu l'impression de perdre mon temps ?", la réponse est oui. Je ne sais pas si ça vous est déjà arrivé de vous retrouver dans un repas de famille ; il y a toujours un emmerdeur pour vous poser cette question simple : "Mais pourquoi joues-tu ?". Pour lui, le fait de prendre du plaisir devant un ordinateur ou une console est aussi improbable que de savourer le moment où l'on s'ébouillante. Argumenter devant ces types est une totale perte de temps.
LucasArts a eu 2 ans pour donner une suite au Pouvoir de la Force. Deux ans pour pondre une histoire à la hauteur du premier volet, penser à des lieux cultes à nous faire visiter ou en inventer de nouveaux, créer de s belles scènes d'action... Mais visiblement ils ont plutôt passé le temps en jouant à la crapette. Le premier volet du Pouvoir de la Force était franchement fort sympathique, surtout pour le fan de Star Wars d'ailleurs. Mieux que ça, il réussissait un joli tour de force, introduire un nouveau personnage capital dans l'univers pourtant bien touffu de la saga. Un Jedi surpuissant carrément à l'origine de l'Alliance Rebelle qui trouvait sa place sans provoquer d'incohérence majeure dans le codex Star Wars. Le tout dans un déluge de pouvoirs que l'on exerçait aux quatre coins de la galaxie. L'impatience était donc grande de voir sa suite arriver, d'autant que LucasArts avait su donner envie en présentant le jeu. La déception n'en est que plus grande. En premier lieu, il est clair que l'histoire de Starkiller aurait dû prendre fin dans le volet original. Oubliez le scénario épique et l'épopée de ce personnage voué à disparaître après avoir contribué à l'édifice Star Wars.
Le pouvoir de la Force, comme son nom l'indique, était une manière détournée d'offrir aux fans tolérants de la saga Star Wars de quoi satisfaire leur faim de surenchère Jedi/Sith. Et bien sachez que LucasArts n'a pas lâché son idée de départ. Ce nouveau volet met même les bouchées double ! Mais certains défauts, corriger, il aurait fallu...Les versions étant similaires, les tests le sont également. Je me souviens encore avec émotion de la première présentation de Star Wars : Le Pouvoir de la Force II. Axée sur le scénario, cette mise en bouche nous a permis d'apprendre la renaissance de Starkiller sous forme de clone, ce dernier préferant partir à la recherche de son amour perdu (enfin, celui du Starkiller original) plutôt que de se laisser découper par un Vador à la recherche du clone parfait. Mais comme le dit si bien le seigneur noir : "le clonage est encore imparfait". Et il a bien raison à plus d'un titre ! Il est clair que SWLPDLF II a gagné en qualité graphique. Des environnements très soignés à la 3D souvent superbe montrent que les développeurs ont vraiment cherché à livrer un univers Star Wars parfaitement crédible.
Soyons honnête, entre incarner le gentil Obi-Wan Kenobi ou le sombre Dark Vador, le commun des mortels n'hésitera pas bien longtemps. Tenir la porte aux vieilles dames ou balancer des éclairs sur le premier venu, avouez que le choix est vite fait. Fort de cet implacable constat, LucasArts Entertainment nous proposa il y a deux ans une aventure bourrée d'action dans l'univers de Star Wars et nous mettant dans la peau d'un jeune Sith aux pouvoirs destructeurs. Hélas, ce premier Pouvoir de la Force avait un sérieux goût d'inachevé qui lui avait sérieusement nui à l'époque. Autant dire que l'on attend beaucoup de sa suite qui s'apprête à rejoindre notre galaxie. Reste à savoir s'il s'agit d'un nouvel espoir ou de la pire contre-attaque. Nous revoilà donc parti pour un tour dans une galaxie lointaine, très lointaine, plus précisément sur l'humide planète Kamino. On y découvre un Dark Vador toujours malicieux qui vient rendre visite à un prisonnier qui ressemble comme deux gouttes d'eau à Starkiller, son apprenti secret, héros du premier Pouvoir de la Force. Clone ? Modèle original au cerveau lavé ? Toujours est-il que le bougre n'a rien perdu de son insolence et s'empresse de fausser compagnie à son patron à la première occasion.
On ne le dira jamais assez, l'univers élargi de Star Wars est l'un des plus conséquents qui existe, aussi bien en termes de romans, de bandes dessinées, de séries ou de jeux vidéo. Une industrie à part entière ! Le Pouvoir de la Force s'était inscrit dans cette logique d'apporter un récit supplémentaire à l'univers de Georges Lucas. L'histoire de l'apprenti caché de Dark Vador, dont la trahison manipulée est une des origines de la naissance de l'Alliance Rebelle. Il en faut des épaules bien larges pour supporter le poids d'une telle responsabilité et endosser le rôle de lien entre les deux trilogies cinématographiques. Malgré quelques petites incohérences, le Pouvoir de la Force est un jeu qui a su séduire les fans de Star Wars et de jeux d'action. Même si le héros décède à la fin du Pouvoir de la Force (dans l'une des deux fins tout du moins, l'autre entre en totale contradiction avec les événements de la saga car la mort de Dark Vador n'est pas très crédible), Activision n'allait pas enterrer pour autant un de ses succès de l'année 2008. L'avantage de l'univers de Star Wars c'est qu'on peut faire à peu près n'importe quoi, tant que ça reste cohérent d'un point de vue narratif.
Avec plus de sept millions d'unités écoulées à travers le monde, Star Wars : le pouvoir de la Force premier du nom a reçu de la part du public un accueil plus qu'enthousiaste. De quoi motiver les équipes de LucasArts à remettre le couvert avec une nouvelle version. Voici les premières informations que nous avons récoltées lors d'une visite des bureaux du développeur à San Francisco. « La mort fait partie intégrante de la vie ». C'est avec cette phrase éclairée du sage maître Jedi Yoda que commence la bande-annonce de la deuxième itération du pouvoir de la Force. Et ce n'est pas un hasard... Étant donné que Starkiller, le personnage que l'on incarnait dans le premier opus, se sacrifie à la fin de celui-ci, il fallait bien que les développeurs trouvent un subterfuge pour faire revenir ce héros charismatique. Et ce ne sont pas les idées prétextes qui manquent dans l'univers de la Guerre des Étoiles. Ainsi, lorsqu'ils ont eu besoin de ressusciter Starkiller, l'équipe en charge du scénario de ce second opus a opté pour la bonne vieille technique du clone. En d'autres termes, ils font un énorme pied de nez aux joueurs de Star Wars : Le pouvoir de la Force, en leur avouant qu'ils ont joué avec un clone alors que le véritable Starkiller était retenu prisonnier dans l'usine de clones contrôlée par Dark Vador.
Si vous partez dans l'espace, vous aurez très certainement envie de choisir un attirail adéquat. Pour Star Wars : The Force Unleashed, ce kit est constitué, entre autres, de middleware. Il est difficile de ne pas prendre son pied quand vous avez à votre disposition des outils informatiques comme Euphoria ou DMM. Le premier est un système de simulation de matériau qui peut effectuer les transformations les plus folles en un instant, comme faire fondre et craquer de la glace pour obtenir, par exemple, un brocoli. Le deuxième est un système de rendu des animations qui donne souvent des résultats comiques, comme lorsque votre cheval meurt avec honneur dans Red Dead Redemption.En association avec Havok, les développeurs de chez LucasArts se sont assurés que la première aventure au pouvoir de la Force serait aussi bien un régal pour les fans de physique qu'un plaisir pour tous les gens qui ont osé appeler leur premier enfant Rankor. Bien que le jeu ne soit pas parfait, je me rappelle très bien du jour où j'ai attrapé par la force de la pensée un vaisseau TIE Fighter qui passait par là, pour l'envoyer valser. (Véridique, c'était un mardi.).
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