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Nous avons réuni 12 tests du Split/Second : Velocity. Les experts notent Split/Second : Velocity 7.1/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Split/Second : Velocity et d'autres Jeux Xbox 360.
Aussi vieux que la roue (enfin presque), les jeux de course automobile ont déjà fait couler pas mal d'huile sous les ponts de contrôle technique et roulé leur bosse aux quatre coins des genres possibles : simulation, conduite arcade, futuriste, joyeux avec ou sans bonus de destruction et même taxi. Rien d'étonnant donc qu'il faille désormais s'aventurer sur des routes non indiquées par les GPS pour inventer de nouveaux concepts, ou en tout cas de nouvelles variantes. Vous l'aurez compris, fait partie de ces éclaireurs de l'extrême. Tous phares au xénon allumés, il ouvre une nouvelle route avec les avantages que cela procure (un premier part toujours avec une longueur d'avance, forcément), mais également avec les inconvénients de la découverte. Que va dire le contrôle technique ? La contre-visite sera-t-elle de mise ? Le néon bleu sous la caisse fait-il joli ? On peut déjà répondre par une négative ferme et définitive à cette dernière question, mais pour les autres, il est temps de rentrer dans le vif du sujet... Pour résumer , une expression un rien grivoise suffit : , ça pète.
Black Rock Studio nous avait épaté à la sortie de Pure, un jeu que l'on n'attendait pas forcément mais qui s'est révélé être une très bonne surprise dans le genre course arcade. Alors, quand le studio a annoncé travailler sur un nouveau titre dans la veine des Burnout, nous étions plus que ravis. Seulement voilà, le jeu sort à une semaine d'intervalle d'un autre du même style, à savoir Blur d'Activision. S'il est évidemment trop tôt pour juger lequel de ces deux jeux s'en sortira le mieux, nous pouvons d'ores et déjà nous concentrer sur le premier, dans un test complet qui ne vous épargne rien. Fort du succès critique de Pure, les développeurs de chez Black Rock Studio ne pouvaient pas en rester là. Ils ont donc annoncé il y a quelques temps Split/Second, qui est suivi d'un petit Velocity pour la version occidentale. Split/Second Velocity n'est plus un jeu de course off/road comme le précédent titre du studio mais on peut dire, en une moindre mesure, qu'il joue à peu près dans la même catégorie. Comme Pure, il s'agit ici d'un jeu typiquement arcade qui met l'accent sur les sensations de jeu et le fun avant tout. En revanche, il est ici question de courses de voiture qui, vu de loin, évoquent grandement la série mythique de Criterion, Burnout.
Voilà sans aucun doute le leitmotiv de ce jeu de course pas comme les autres. Split Second va vous proposer des courses à la maniabilité arcade (voir accessoire) où le principal attrait réside à exploser le décor environnant afin d'envoyer vos adversaires dans le décor. Mais avant de faire parler la poudre, il vous faudra au préalable remplir un cran de votre jauge à la manière de Burnout, c'est à dire en faisant aspiration, dérapage et saut. Une fois ceci fais vous aurez la possibilité de faire exploser certains éléments dès qu'un adversaire visible passera à proximité. Vous l'aurez compris, il s'agit ici d'élément scriptés que vous prendrez un malin plaisir à mémoriser afin au final devenir quasi intouchable. Mais si cela ne suffit pas, sachez que si vous remplissez complètement les 3 niveaux de votre jauge vous aurez la possibilité de déclencher des super-explosions qui auront pour conséquence de modifier de manière permanente le tracé. Au-delà du côté spectaculaire et particulièrement meurtrier du déraillement d'un train, de l'explosion d'un barrage ou de l'effondrement d'un building ; sachez que ces nouvelles portions sont des raccourcies qui vous permettront de rattraper les concurrents les plus éloignés.
Comment renouveler un genre (le jeu de course arcade) présent dans le monde du jeu vidéo depuis ses débuts ? C’est bien cette question que ce sont posés les développeurs de Split/Second Velocity. Depuis le tout premier Need for Speed du milieu des années 90, au dernier Burnout, le genre a bien peu évolué : de la vitesse, des carambolages et de l’action. La réponse des développeurs de Pure tient en un mot : du spectacle ! Split/Second ne s’embarrasse pas vraiment d’un scénario. Split/Second, c’est le nom d’une émission de télé réalité dans laquelle des pilotes s’affrontent sur des circuits très particuliers. Si le but du jeu est comme toujours de franchir la ligne d’arrivée en tête, les moyens sont beaucoup moins conventionnels. Les pilotes peuvent en effet déclencher des explosions dans le décor pour ralentir ou exploser ses concurrents. Le jeu est divisé en 12 épisodes, qui contiennent chacun 5 à 7 courses dans différents modes de jeu. Et évidemment, plus on est présent sur le podium, plus on engrange de points permettant de débloquer de nouvelles caisses et nouveaux épisodes. Mais revenons au gameplay. Vous vous en doutez, dans Split/Second, on ne peut pas faire exploser n’importe quoi, n’importe quand.
Grâce à Pure et ses sauts vertigineux, Black Rock a révélé un goût pour le grand spectacle qu'on ne sentait pas forcément du temps où le studio britannique s'appelait encore Climax Racing et sortait des jeux de course bien sous tous rapports comme MotoGP 2. Avec Split/Second, le studio anglais enfonce encore d'avantage la pédale d'accélérateur et sort un concept d'un cynisme à faire trembler Endemol : dans un studio télé-réalité grand comme une ville, des pilotes de l'extrême s'alignent au départ d'une course où "la mort les attend à chaque virage"... sic. En 2010, se foncer dedans à des vitesses que la morale réprouve ne suffit plus. Pour être sûr de froisser la tôle autant qu'elle le mérite, les jeux de caisse doivent avoir leur petit plus. Split/Second a trouvé le sien et il est plutôt séduisant : les pilotes ont la possibilité de faire exploser certains éléments du décor afin de réduire leurs adversaires en bouillie. Pour cela, le titre mise tout sur le cocktail vitesse/simplicité de prise en main. Dans la lignée des Burnout ou autres Flatout, les voitures atteignent leur vitesse de pointe en quelques secondes et réapparaissent à leur vitesse de croisière en cas d'accident, afin de ne laisser aucun répit. Le message est clair : on n'est pas là pour jouer les tacticiens de la route, mais pour laisser parler la poudre.
Attendu au tournant, c'est le cas de le dire, Split/ Second Velocity est loin d'être le pétard mouillé auquel on aurait pu penser de prime abord. Développé par les gars de Black Rock Studio, déjà créateurs en 2008 du très réussi jeu de quad Pure, les voilà qui récidivent ici en tentant d'apporter au genre "course arcade pure" le grain de folie qui lui manquait sans doute. Le pari est-il réussi ? C'est ce que nous allons voir ensemble, si vous voulez bien, dans le Test complet. Prenez donc mon aspiration...Les versions étant similaires, les tests le sont également. Il était une fois un nouveau genre de jeu de télé-réalité complètement barré, qui mettait en scène des fous du volant dans des caisses extrêmement puissantes... C'est le postulat de départ de ce Split/Second Velocity. Ce jeu d'un nouveau genre devait enterrer tout ce qui s'était fait sur Terre, depuis le Loft de Loana en passant par Relooking Extreme et autres bidules télévisuels du genre, en y ajoutant des ingrédients tels que le sexe la vitesse, la destruction massive de décors, une prise en mains rapide, du fun à gogo, et pas mal de challenges à relever. Cela suffit-il pour autant à en faire un digne héritier de Burnout, auquel il fait immédiatement penser ? Pas impossible ma foi. Vous le savez, la particularité de Split/Second Velocity, c'est de pouvoir interagir, en pleine course, avec les décors.
Voici, monsieur le producteur, le concept dans ses grandes lignes : un show télévisé violent, un jeu de sports mécaniques sans merci dans lequel les participants doivent éviter des pièges, des explosions et des catastrophes programmées - autant de méchancetés qu'ils gagnent le droit de se balancer les uns sur les autres grâce à un pilotage adroit. Le décor : des aéroports, des centrales électriques, des barrages, des quais, n'importe quel endroit que l'on peut faire exploser de façon à ce que les pierres, le béton et le métal tordu pleuvent du ciel. Les vedettes : des super voitures élégantes, des pick-up robustes et d'énormes voitures menaçantes cherchant tous à s'éliminer les uns les autres. C'est un reality show pimenté de trois éléments forts. C'est Star Academy avec de la dynamite, X Factor avec les pieds dans le gaz. Et nos trois éléments forts : la vitesse ! Les explosions ! et... encore plus de vitesse et d'explosions. Comme les films Hollywoodiens et les shows télévisés qu'il imite, Split/Second : Velocity est d'une grande simplicité. Il repose sur une seule idée, à la fois audacieuse, téméraire et basique ; tout le monde peut comprendre.
De l’aveu même des développeurs, Split/Second Velocity ressemblerait à une série télé, basée sur les courses de rue, dont on aurait confié la mise en scène à Michael Bay. La réalisation du jeu s’appuie en effet sur une surenchère d’explosions et d’accidents en tous genres à laquelle le réalisateur d’Armageddon nous a habitués. . Concrètement, on dispose d’une jauge qui permet d’enclencher, à la manière d’un QTE (Quick Time Event), des attaques «scriptées» symbolisées par des icônes bleus ou rouges. Ces attaques peuvent prendre diverses formes mais se montrent toujours plus spectaculaires si votre jauge est entièrement remplie. Et à chaque fois, le but est le même, gêner l’adversaire le plus possible pour prendre la première place. On l’imagine, une telle mise en place de l’action demanderait une logistique colossale digne des plus grands blockbusters du cinéma hollywoodien (et encore). C’est sans doute pour cette raison que le titre de Black Rock Studio se révèle aussi jouissif dans sa proposition de placer le joueur dans un véritable rêve de (télé)spectateur. . Citons, du moins impressionnant au plus impressionnant, des bus enflammés qui explosent sur le côté de la route pour barrer votre chemin, un camion benne accroché à un hélicoptère qui vient littéralement ravager un tunnel avant de se crasher en beauté mais aussi un paquebot à terre qui se détache pour venir le long du quai et ainsi emporter tous les concurrents sur son passage.
Déjà à l'origine du très bon Pure en 2008, Disney fait son retour sur le marché du jeu de courses arcade. Cette fois, plus question de quad, plus question non plus de réutiliser un concept pour le rendre plus fun, l'heure est à l'innovation. Split/Second : Velocity n'est sans doute pas révolutionnaire mais vous allez découvrir une nouvelle façon de vivre des courses de voitures. Et rien que ça, c'est énorme. Avec Split/Second : Velocity, le jeu de courses arcade entre dans une nouvelle ère. Non, ce n'est pas le principe d'émission télévisée commentée par une voix off exécrable qui nous a conquis mais bien le fin détournement du principe de power-up opéré par les développeurs. Ici, pas d'arme, pas de turbo, pas de bouclier. En réalité, le joueur n'a pas la moindre munition embarquée dans sa caisse, souvent redesignée depuis un modèle existant dans la réalité. Et pourtant, les courses vont être explosives comme dans peu de jeux du genre, les décors vont pâtir d'une guerre sans merci entre les huit furieux en course et les carrosseries vont se tordre à répétition dans des crashs qui ne sont pas sans rappeler ceux de Burnout. Comment ? Simplement à l'aide de scripts agissant sur les décors, sur le tracé et sur les différents raccourcis à débusquer.
Dans une volonté flagrante de changer de registre et de proposer aux joueurs des productions plus matures et plus abouties, Disney Interactive s'est associé avec Black Rock Studio afin de nous offrir Les développeurs anglais restent ainsi plus ou moins dans le même registre que leur précédent titre, , puisqu'il s'agira encore une fois d'un jeu de caisses. Cependant, le parti pris est totalement différent et devrait proposer une sensation bien différente.C'est en effet en ville et sur du bitume que se dérouleront les courses de S. Le tout fait parti d'une sorte de reality show survitaminé, produite par un malade dans la même veine que Bruckheimer. On ne sera donc pas surpris de croiser sur notre route des explosions dantesques et des voitures qui volent pour aller s'écraser contre des murs quelques dizaines de mètres plus loin.Du côté de la conduite, on est beaucoup plus proche d'un Burnout que d'une quelconque simulation, cela va de soit. Il est même plus que conseillé de faire du drift dès que possible, et ce afin de remplir une jauge sur laquelle nous nous attarderons plus tard. Le tout est extrêmement rapide et prenant, si bien que les courses sont éreintantes et franchement compliquées. Il faut être concentré de bout en bout, ce qui n'est pas évident lorsque l'on rajoute ces satanées explosions.
Gamekult
Ajouté le : 03/2010
Plus accessible...
Disney Interactive Studios serait-il en train de faire bouger durablement son catalogue, garni autrefois de produits dérivés (et d'un Turok) ? L'éditeur n'hésite pas à mettre en avant de nouvelles franchises de jeux de course depuis qu'il possède dans son escarcelle un spécialiste du genre : Black Rock Studio, à qui l'on doit notamment Pure, sorti fin 2008. Alors que ce jeu de course extrême approche les 3 millions d'exemplaires vendus, ses créateurs espèrent bien réitérer la performance avec Split/Second Velocity, dont voici un nouvel aperçu. "Imaginez que l'on donne un budget illimité à Michael Bay..." Voilà comment Julien Carron, senior designer chez Black Rock Studio, introduit sa présentation de Split/Second Velocity. Et si le développeur ne craint pas les comparaisons de l'extrême, c'est sans doute que le réalisateur de Transformers n'aurait pas renié le projet. Très cinématographique dans l'esprit, Split/Second est un jeu de course arcade à la Burnout avec un petit truc en plus : des éléments de décor destructibles disposés tout au long des tracés. À la faveur d'un système baptisé power play et d'une jauge, les joueurs ont donc la possibilité de démolir certains à-côtés en pleine course, afin de piéger leurs adversaires.
Nous avons jeté un nouveau coup d'oeil à Split Second Velocity qui, s'il a hérité d'un titre enrichi, est resté fidèle à son principe où les vitesses indécentes se conjuguent avec des destructions à haute teneur en explosifs. Quand "Vroum !" rime avec "Boum !"... Alors que mi-mars annonçait l'arrivée très prochaine du printemps, Disney avait investi le cinéma MK2 Bibliothèque pour présenter tous ses projets dans différents domaines : cinéma, télé, etc. Le jeu vidéo n'était pas en reste puisque Split Second Velocity était venu faire rugir les chevaux de ses bolides. Au passage, vous noterez la modification de son titre. Renseignement pris, le mot Velocity a été ajouté pour le territoire européen uniquement dans le but de pallier un éventuel litige autour d'un film portant le même titre. Ce point précisé, et comme nous n'étions pas venus pour discuter marketing, il était largement temps de prendre le volant dans les courses proposées par ce jeu qui mêle délinquance routière et transformation agressive du plan d'occupation des sols. Par rapport à la version que nous avions vue lors de notre passage au studio du développeur Black Rock à Brighton en décembre dernier, celle présentée dans le cadre de cet événement proposait quatre circuits : Downtown Central, Express Highway, Construction Site et Power Plant.
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