Soul Sacrifice
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Nous avons réuni 8 tests du Soul Sacrifice. Les experts notent Soul Sacrifice 7.9/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Soul Sacrifice et d'autres Jeux PS Vita.
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Test Soul Sacrifice
Test Soul Sacrifice
Revenir au mot, à une narration à la première personne, tel est le challenge que se fixe Soul Sacrifice Et ça marche, comme on est happé, intrigué par les pages du carnet de Magusar, mage maudit dont on essaye de fuir les geôles. Rapidement, on en apprend plus sur son passé, sur Sortiara – chut ! – sur les sorciers d'Avalon, sur les états d'âme du magicien désormais voué au mal. En fait, depuis Wings de Cinemaware (1990, sur Amiga), aucun jeu n'avait su rendre aussi intéressante, aussi pertinente l'intégration d'un journal intime dans sa narration. Et ce d'autant plus que la forme, unique, de Soul Sacrifice se combine à son fond, le livre, en tant qu'objet, n'étant pas simple prétexte, mais pleinement incorporé : on feuillette en arrière pour recommencer une quête, revivre les événements-clés ou anodins, quotidiens, qui ont émaillé l'existence de Magusar, on passe d'un chapitre de sa vie à un autre…Le prix du sangLes missions, elles, renvoient aux concepts de Monster Hunter, modifiés, condensés, pour s'intégrer dans un contexte de Dark Fantasy gothique et un usage nomade: on y terrasse du démon, gagne des éléments pour lancer des sorts, récolte des ressources et sorts sur le champ de bataille, ou améliore son avatar (santé ou magie) en sauvant ou sacrifiant les âmes des ennemis ou alliés tombés, etc.
Soul Sacrifice
Partir à la chasse aux monstres en enchaînant des quêtes qui vous opposent à des adversaires toujours plus puissants et imposants, voilà le postulat de base du petit dernier de Keiji Inafune que les fans de jeux vidéo connaissent pour son travail sur Resident Evil, Onimusha ou Dead Rising. Mais alors que Soul Sacrifice ainsi résumé fait irrémédiablement penser au Monster Hunter de Capcom, quelques minutes console en main suffisent pour comprendre que l'on a ici affaire à tout autre chose !Le moins que l'on puisse dire, c'est que les premières minutes de jeu n'ont rien de très engageant pour votre héros : l'aventure démarre en effet dans une cage jonchée de crânes et autres os humains, dans laquelle vous ne pouvez que ramper péniblement en attendant la suite des évènements. Celle-ci ne tarde pas à se faire connaître lorsque deux colosses débarquent et s'emparent du prisonnier occupant la cage d'à-côté, le conduisant auprès d'un sorcier nommé Magusar qui a visiblement grand besoin de sang frais. On vous laisse imaginer la suite !Mais alors que notre avatar semble bel et bien promis à un avenir des plus sombres, un curieux personnage fait son apparition : il s'agit de Librom, un livre parlant qui vous invite à parcourir ses pages afin de devenir un grand sorcier capable de défier Magusar. Rapidement, vous comprenez que l'auteur de ces écrits est lié d'une manière ou d'une autre à votre ennemi, et plongez ainsi au coeur d'un récit particulièrement bien conçu sur lequel nous reviendrons plus tard.
Soul Sacrifice
Les aventures vidéoludiques ont tendance à verser dans le trop rapide et le peu fringant, ces dernières années, sur consoles portables. Soul Sacrifice arrive, sévèrement armé avec ce qu'il faut là où il faut pour vous procurer de très nombreuses heures de plaisirs... Soul Sacrifice, c'est à la base un concept ultra simple : des magiciens (vous), des monstres, des arènes, trois boutons (coups, coups chargés, objets), une pléthore d'armes et d'armures... Vous y ajoutez la possibilité de roulades et un système de lock des ennemis et vous obtenez là un beat'em all assez classique... Du moins en apparence. Car dans Soul Sacrifice, le grand principe du jeu est basé sur le sacrifice et la résurrection. De nombreux choix s'offrent dès lors qu'un ennemi est près de mourir. En décidant de l'achever, le joueur récupère de la magie. Si, au contraire, ce dernier décide de lui redonner de la vie, il verra sa propre jauge augmentée. De véritables choix nourriront les combats, d'autant plus que ce principe est aussi valable pour les alliés. Une stratégie d'autant plus compliquée que certains sorciers vaincus s'allieront (jusqu'à 4) avec vous si vous décidez de les épargner. Tout ceci procure une véritable sensation de puissance grisante.
Test de Soul Sacrifice
Il y a des jeux qui suscitent dès leur annonce une certaine curiosité. Soul Sacrifice en fait partie, ne serait-ce que grâce à son géniteur, le brillant Keiji Inafune, dont la seule évocation du nom suffit à réveiller chez les joueurs connaisseurs une sorte de vénération. Après tout, le Monsieur en question a été producteur de nombreux hits : de Mega Man dont il a accompagné presque toute l'évolution, en passant par Dead Rising et même le très bon The Legend of Zelda : The Minish Cap, le CV est impressionnant. C'est dire si l'on attendait cette production exclusive à la PlayStation Vita ! Après une longue preview, place maintenant à notre verdict. Le jeu débute de manière brutale : l'avatar créé par le joueur à l'aide d'un éditeur de personnage (sommaire, mais suffisant pour varier les apparences) se retrouve emprisonné dans une cage faite d'os et de chairs. Avouez qu'il y a mieux pour passer une bonne journée. D'autant plus que les chances de survie sont minimes puisqu'il doit normalement être sacrifié par Magusar, un sorcier surpuissant qui n'arrive pas à étancher sa soif de domination et de sang. Celui-ci est en effet en quête de toujours plus de pouvoir et capture ainsi des âmes pour les absorber.
Soul Sacrifice
On n'a jamais rien sans rien. C'est bien ce que vous répétait votre mère quand elle vous demandait d'aller réviser vos leçons ? Par contre, elle ne s'attendait peut-être pas à ce que vous preniez cette maxime au pied de la lettre. Evitez donc d'aller lui dire gaiement que vous êtes sur le point de vous couper un bras ou de sacrifier un petit camarade pour acquérir de fantastiques pouvoirs magiques. Il s'agit pourtant bel et bien du point de départ de Soul Sacrifice. Vous avez certainement déjà entendu parler de Keiji Inafune. Ce producteur japonais a laissé sa marque sur une foule de jeux estampillés Capcom. De la série des Megaman aux Dead Rising en passant par les Lost Planet et les Onimusha, on le retrouve crédité au générique d'un nombre considérable de titres sortis ces vingt dernières années. Ça ne l'a pas empêché de tenir récemment des propos particulièrement durs concernant l'industrie nippone du jeu vidéo et même de quitter Capcom pour tenter de voler de ses propres ailes. Autant dire que le bonhomme est plutôt attendu au tournant concernant ses nouveaux projets. Pour aller droit au but, il ne lui serait pas pardonné d'accoucher maintenant d'un jeu se contentant de reproduire des recettes trop connues.
Test Soul Sacrifice : la PS Vita en état de grâce ?
Ah les sacrifices humains, cette charmante pratique héritée des origines de l'Humanité… Les jeux vidéo sont peut-être une des rares réminiscences de cet acte religieux qui est aujourd'hui classé barbare (à raison, cela va sans dire). Keiji Inafune, qui est juste le papa de Megaman mais aussi et surtout d'Onimush, a pris le parti d'en faire la base de son nouveau titre exclusif à la PS Vita. Oui, oui, c'est bien glauque comme il faut et le titre ne s'en cache pas. Le glauque, le baroque, le mélancolique : tout ça résume Soul Sacrifice à merveille. Mais au-delà de cette ambiance alléchante, si on gratte un peu sous la surface, se révèle aussi un gameplay bien rôdé, qui met un sérieux coup dans les lampions de Monster Hunter.Dans la famille des Sorcières et Sorciers, on peut trouver, au pif, la vieille peau qui a refilé une pomme empoisonnée à Blanche-Neige (qui s'est quand même pas montrée super fut-fut' sur le coup), cette tête à gifles d'Harry Potter, mais aussi des mecs qui sont près à se priver temporairement de peau ou de bras pour pouvoir lancer un sort digne de Michael Bay et ainsi se débarrasser d'une des abominations qui peuplent la Terre.
Test de Soul Sacrifice
Après être passé plusieurs fois dans nos mains depuis l'E3 dernier, Soul Sacrifice débarque enfin sous nos latitudes. Souvent comparé à tort - et à raison - à la série Monster Hunter, le titre développé par Marvelous AQL et supervisé par Keiji Inafune se retrouve au coeur d'enjeux importants : donner un coup de boost à une machine manquant de gros titres depuis le début d'année - du moins en Europe - et prouver qu'il n'est pas un clone de la licence monstre de Capcom. Rien que ça. Après avoir passé de nombreuses heures en sa compagnie, il est temps de dresser le bilan de cette plongée en enfer. Enfermé dans une cage en plein milieu d'un manoir démoniaque : un homme lié aux pouvoirs du magicien Magusar ; un homme, hélas, voué à une mort certaine. Esclave en ce lieu morbide, l'être s'apprête à être sacrifié quand surgit un vieux livre magique aux pages jaunies par l'épreuve du temps : Librom. Regroupant les récits de batailles passées entre monstres et sorciers, le bouquin arborant deux yeux difformes et une bouche crasseuse invite alors le joueur à revivre ces combats d'un autre âge pour mieux les comprendre voire les modifier...
Test : Soul Sacrifice
Voilà sept ans, Monster Hunter Freedom avait revigoré une PSP mal en point, un miracle que Sony espère rééditer avec Soul Sacrifice, histoire de sauver la PS Vita du funeste sort que certains lui prédisent. Mais derrière cette machine de guerre en ligne aux sombres airs de Demon's Souls, y a t-il une âme ? Difficile d'imaginer un tableau plus sombre que celui dépeint par le prologue de Soul Sacrifice : impassible, un mage sanguinaire nommé Magusar exécute inlassablement les hommes qui attendent fiévreusement leur tour dans l'antre de la mort, et il se pourrait bien que l'on soit le prochain sur la liste... Heureusement, il n'y a pas que des cafards pour nous tenir compagnie dans ce cachot et réagir aux tapotements sur l'écran tactile (l'une de ses rares applications). En effet, sous ce tas d'ossements et de chairs putrides se cache Librom, un livre ensorcelé. Car cet effrayant bouquin parle, avec une voix sensiblement moins démoniaque que dans la version japonaise, ce qui rajoute une touche d'humour - fût-il noir - à ses intrigants commentaires.
TestMateriel.com ne regroupe pas de serial, no cd, warez, torrent et crack pour Soul Sacrifice. Inutile de nous contacter pour se faire rembourser d'un jeu, obtenir de l'aide pour le lancer, demander une soluce, une astuce Soul Sacrifice.
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Soul Sacrifice : (7.9/10)
8 tests d’experts
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