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Nous avons réuni 11 tests du SolatoRobo : Red the Hunter. Les experts notent SolatoRobo : Red the Hunter 7.7/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du SolatoRobo : Red the Hunter et d'autres Jeux DS.
Soyons clairs, on s’ennuie pas mal sur consoles portables en ce moment en France. Après la salve de titres développés par Square-Enix, la PSP vient de retomber dans ses travers et attend sagement la sortie de Final Fantasy Type-0 avant de définitivement s’éteindre pour laisser sa place à la PS Vita. Sur 3DS, le constat n’est pas forcément plus reluisant. Si l’on excepte deux ou trois titres, dont The Legend of Zelda : Ocarina of Time 3D, l’été s’annonce bien calme. A vrai dire, il ne reste plus qu’à se tourner vers une Nintendo DS en fin de vie pour espérer se mettre quelque chose sous la dent. Et ce quelque chose, c’est Solatorobo : Red the Hunter. Suffisant pour nous inciter à emporter notre bonne vieille portable tactile sur la plage ? Pas forcément puisque le titre parlera d’abord aux joueurs ayant connu Tail Concerto, auquel il fait de multiples clins d’œil, et ensuite aux plus jeunes d’entre nous. Sous bien des aspects, Solatorobo : Red the Hunter apparaît, pour les plus jeunes, comme une belle entrée en matière dans l’action-RPG. De fait, s’il n’invente rien, on y retrouve tous les ingrédients du genre mais proposés de manière plus accessible.
Le personnage de Red the Hunter est un chien avec un corps d'homme affublé d'un chapeau, une sorte de croisement entre le fantastique Mr Fox et Biggles, qui pilote un robot et mâche un os comme s'il s'agissait d'un énorme cigare. Il a besoin d'utiliser la moindre parcelle de son charme de hâbleur patenté : il est après tout dans un jeu qui s'appelle Solatorobo. Vous voulez que je répète? C'est la suite spirituelle de Tail Concerto, un titre PlayStation qui s'était vendu si médiocrement qu'il a fallu 13 ans pour faire ce jeu et l'on se demande si les développeurs de CyberConnect2 sont des idéalistes, des fous furieux ou tout simplement s'ils aiment que leurs jeux ne se vendent pas. C'est d'une insondable tristesse, car Solatorobo mérite beaucoup mieux que l'obscurité. C'est un RPG d'aventure original manifestement concocté avec amour et admirablement réalisé. Il s'articule autour d'un système alerte de combat en temps réel et d'une structure de quêtes rapides qui transportent Red autour du monde, propulsant soudainement de nouvelles idées au premier plan avant de les abandonner tout aussi rapidement. Il a par ailleurs ce côté « pie voleuse» qu'ont tous les grands jeux : cette faculté de repérer tout ce qui brille et qui a fonctionné ailleurs, pour se l'approprier et l'intégrer sans autre forme de procès.
L'univers de Tail Concerto a finalement droit à une seconde chance. L'élu n'est autre que Solatorobo : Red the Hunter, une production Nintendo DS signée par les mêmes développeurs de CyberConnect2. Se présentant davantage comme une suite spirituelle, cet opus nomade en gestation depuis plus de trois ans est bien décidé à nous plonger dans une aventure pleine d'action, d'hommes-chiens et d'hommes-chats, pour un périple capable de s'attirer les faveurs de nouveaux joueurs tout en titillant la nostalgie d'une poignée d'autres. On peut d'ores et déjà affirmer une chose, Solatorobo possède au moins autant d'atouts que celui dont il est le successeur. Difficile de s'en plaindre. Solatorobo : Red the Hunter, c'est l'histoire de Red Savarin, un chasseur Caninu (homme-chien) courageux quoiqu'un peu insouciant, chargé de récupérer un document à bord d'un vaisseau. Évidemment, la mission ne se déroule pas comme prévue et notre ami va se retrouver truffe-à-truffe avec Elh, une Felineko (homme-chat) alors inconsciente, tout en mettant la patte sur un mystérieux médaillon. Une rencontre synonyme de début d'une grande aventure durant laquelle notre chasseur, sa complice Cholocat et leur nouveau compagnon Elh vont faire face à de nombreux dangers, combattre les soldats du Kurvaz et surtout découvrir le réel pouvoir du médaillon.
La canicule fait rage. Votre premier réflexe en sortant du bureau est de vous installer à la terrasse d'un café et d'attendre que la température ne daigne enfin se rafraîchir ? Pour vous accompagner dans ce moment de farniente intense, rien de tel qu'un jeu d'aventure nippon. Concentrons-nous donc sur le prétendant au titre de jeu de l'été : Solatorobo : Red The Hunter. Test.Solatorobo... Cette licence vous paraît inconnue ? Laissez-moi vous rafraîchir la mémoire. Nous sommes en 1998, les développeurs de CyberConnect2 viennent de terminer un soft répondant au doux nom de Tail Concerto destiné à la PlayStation. Vous savez, la One. Déjà édité à l'époque par Bandai, ce soft permettait aux joueurs d'incarner Waffle Ryebread, un chien-policier, équipé d'un robot humanoïde, qui devait mettre un terme aux agissements de la guilde des Chats Noirs dans le royaume de Prairie, un havre de paix constitué d'îles flottantes. Treize longues années plus tard, le studio fête ses 15 ans et à cette occasion, l'équipe décida de se concentrer sur un autre chantier que la production quasi-industrielle des Naruto Ultimate, ou encore Shippuden : la suite spirituel de Tail Concerto.
Terre ayant troqué les nuages contre la mer, Shepherd est un monde flottant qui se compose d'îles habitées par les Caninus et les Felinekos, deux races anthropomorphiques se rapprochant des chiens d'une part et des chats de l'autre. Si les animaux ont ici le pouvoir, leur comportement n'a rien à envier à celui des êtres humains et un groupe mystérieux cherche à prendre le contrôle de ce monde éclaté. Pris dans cette quête de pouvoir par les évènements, Red est un chasseur qui ne demandait rien à personne et se contentait d'effectuer quelques missions pour de l'argent. Mais sa rencontre avec Elh Mélizée va changer la donne. Mettant longtemps à démarrer et paraissant relativement cliché lors des premières heures, le scénario de Solatorobo : Red The Hunter est bien plus ambitieux qu'il le laisse penser. Fonctionnant comme une série animée, le jeu se découpe en petits épisodes qui se concluent par un "à suivre", d'ailleurs pas forcément placé après l'habituel climax qui attrape le spectateur. Parfois assez artificielle, cette idée permet toutefois d'avoir l'impression de suivre une grande épopée, avec, sophistication étonnante, un principe de saison.
Si votre Nintendo DS prend la poussière au fond d'un tiroir, SolatoRobo risque bien de vous faire ressortir la machine à vitesse grand V. En effet, cet jeu d'action-aventure s'apprête à changer votre existence avec une histoire palpitante et un univers particulièrement complet. Prêt à découvrir les folles aventures de Red Savarin ? Il est fort possible que le nom CyberConnect2 ne vous dise rien du tout. En fait, si vous n'êtes pas fan de la série dot.hack ou de celle des Naruto : Ultimate Ninja, vous avez peu de chances d'avoir entendu parler de cette boîte de développement. Pourtant, c'est à ces joyeux drilles que l'on doit l'excellent Tail Concerto, un jeu d'action-aventure à l'univers riche qui n'a malheureusement pas eu le succès commercial escompté malgré les bonnes critiques. Du coup, il faut bien dire que les fans ne pensaient pas voir poindre un jour une éventuelle séquelle. Mais les mystères du jeu vidéo sont insondables et CyberConnect2 nous offre SolatoRobo, suite spirituelle de Tail Concerto qui se situe dans le même univers, appelé Little Tail Bronx. On retrouve donc un monde fait de petites îles au-dessus d'une mer de nuages, où cohabitent chiens et chats, et où la langue la plus parlée est le... français.
La petite DS qui continuera de se vendre encore un peu, alimentée par des jeux de toutes sortes, est en train de tirer sa révérence au profit de sa cadette la 3DS. On ne s'émouvra pas outre mesure de cette situation car la nouvelle portable de Nintendo permet de s'amuser avec la ludothèque massive de son aînée et on se rappellera plutôt qu'un titre de grande qualité aura accompagné le crépuscule de cette DS, en Europe : Solatorobo, la suite spirituelle de Tail Concerto.Tail Concerto était le premier jeu développé par CyberConnect2, sorti en 1998 sur PlayStation. Aujourd'hui, ce studio japonais célèbre pour son travail sur les licences .hack et Naruto, et dont on attend fébrilement de voir ce que donnera Asura's Wrath, fête ses 15 ans avec un retour aux sources, en proposant Solatorobo : Red the Hunter, un action-RPG dans la droite lignée de Tail Concerto. Avec ses protagonistes chiens et chats et son univers fait de cités dans les cieux, Solatorobo semble puiser ses inspirations dans le travail de Hayao Miyazaki (Le Château dans le ciel, Porco Rosso...) et nous rappelle tout particulièrement la série d'animation Sherlock Holmes, sur laquelle le japonais était réalisateur.
Principalement connu pour ses jeux Naruto et dans une moindre mesure sa série .hack, le studio CyberConnect2 est également responsable d'un titre enfantin (coup de coeur du Journal de Mickey à l'époque), mais apprécié des possesseurs de PlayStation : Tail Concerto. Après plus d'une décennie à demander une suite, les fans ont vu leur voeu exaucé avec Solatorobo : Red the Hunter, une aventure à l'esprit et à l'univers similaires mais avec de nouveaux personnages et sur une console portable à deux écrans. Nom d'un chien ! Il y a trois prérequis essentiels pour apprécier Solatorobo : supporter les personnages bavards, les furries et le fait d'être guidé en toutes circonstances. Si l'on a aucun grief contre ces trois points, on pourra se lancer sans problème dans l'histoire de Red Savarin, chien mercenaire dont le destin va basculer à la suite d'une simple mission d'infiltration. Son chemin va croiser celui d'Elh Mélizée, une jeune chatte issue d'une famille légendaire qui va demander au héros canin d'empêcher les militaires du Kurvaz de réveiller le Lares, un être maudit capable de détruire le monde... Pas question de rentrer dans les détails de la trame narrative, mais il faut s'attendre à un scénario efficace bien que très classique pour les habitués de productions japonaises, avec tout un discours au ton plutôt léger sur le courage, le fardeau des peuples élus et l'importance d'avoir des amis, même quand on pilote des robots à grands bras.
Intentionnel ou pas, c'est en entrant en force dans une sphère drolatique encore inédite que Solatorobo se forge une personnalité de « wouf ». Imaginez un monde rempli de chiens et de chats avec des corps humains, l'anthropomorphisme à son meilleur, du Disney avec ce rien de classe que les japonais savent mettre dans leurs personnages. Imaginez qu'ils volent d'une île volante à l'autre à bord d'engins ou de robots. Jusque là, rien d'anormal pour du jeu nippon. Maintenant, imaginez que leur langue officielle n'est autre que le français. Pas possible ? Et pourtant « imepusibleu » n'est pas français. « Nomdamchien ! », c'est la réaction que tout joueur francophone aura en tendant l'oreille et en décodant ces comédiens qui donnent dans l'exclamation française de Fukuoka. « Shaprishti », « salyu ! ». Alors pour tout comprendre, bah « Bonkuraj ! ». Solatorobo est un action Rpg en 3D développé par CyberConnect2 à qui l'on doit une bonne partie des Narutimate et autres Shippûden. Et même s'ils travaillent encore avec Namco Bandai, on peut, sans se mouiller, dire que cette aventure de chiens et de chats est un peu leur projet perso comparé à cette production de jeux « Ninjas » en flux tendu.
Pris en sandwich entre Dragon Ball : Raging Blast 2 et Dragon Ball Z : Tenkaichi Tag Team sur le stand de Bandai Namco Games, Solatorobo est considéré comme la suite de Tail Concerto, même si les développeurs de CyberConnect2 réfutent cette thèse. Les ressemblances entre les deux titres sont pourtant assez frappantes, et c'est sans doute pour offrir un aspect tactile à sa nouvelle production que le studio japonais a choisi la DS comme écrin pour Solatorobo. Le jeu répond-il à toutes les attentes ? Premiers éléments de réponse.Comme il ne faut surtout pas parler des points communs entre Solatorobo : Sore Kara Coda He et Tail Concerto, on évitera de préciser que le jeu met en scène des chiens et des chats capables de s'exprimer et de se prendre le chou. Comme il ne faut surtout pas parler des points communs entre Solatorobo et Tail Concerto, on évitera aussi d'expliquer que des personnages du jeu sorti il y a plus de dix ans maintenant sur PSOne, feront une apparition dans cette nouvelle aventure ; fan service oblige sans doute. Le scénario de Solatorobo se déroule des milliers de mètres au-dessous de nos tête, sur un royaume flottant plus précisément où le joueur devra incarner Red, un homme-chien qui n'a pas vraiment l'air d'avoir froid aux yeux et dont le destin sera étroitement lié à un mystérieux médaillon.
Gamekult
Ajouté le : 09/2010
Plus accessible...
Abonné aux jeux Naruto, CyberConnect2 caressait depuis longtemps l'espoir de redonner vie au projet qui a marqué ses premiers pas dans le monde du jeu, Tail Concerto. Longtemps bridé par d'autres impératifs, le studio de Fukuoka - et bientôt Tokyo - a visiblement su convaincre les grands pontes de Namco Bandai, tant Solatorobo évoque son premier jeu PSone. Un héritier spirituel, donc, sauf que cet espoir de l'action-aventure tourne cette fois sur DS. Comme Tail Concerto, l'univers de Solatorobo voit se côtoyer des hommes-chats et des hommes-chiens, contraints de cohabiter sur une nuée de continents volants, non sans une certaine animosité. Aviateur et chasseur de primes de son état, notre héros, l'intrépide Red, se retrouvera bientôt au coeur de ce conflit sous-jacent, mais il pourra compter sur l'aide de sa cadette Chocolat pour se tirer des situations les plus périlleuses. Red ne se contentera pas de sa banale épée pour rosser les vilains : il est aussi pilote émérite de robot, une grosse armure mobile dotée de bras articulés. Là encore, la filiation avec Tail Concerto est évidente.
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