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Nous avons réuni 13 tests du Saw. Les experts notent Saw 4/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Saw et d'autres Jeux Playstation 3.
Il faut un certain talent pour réussir à faire une maxi-compilation de tous les films dans une histoire différente. Quand on découvre le scénario, on pense au jeu Lost qui arrivait à survoler plusieurs saisons dans un seul et même jeu. A la différence de Lost, on retrouve dans Saw un personnage important l'inspecteur Tapp qui est coincé dans asile psychiatrique et qui va devoir résoudre bien des énigmes pour survivre aux différents pièges qui vous attendent. Pour la durée de vie, le jeu va vous prendre environs 8h, ce qui n'est déjà pas si mal même si le jeu ne dispose pas de mode en ligne. Au niveau de la réalisation graphique, on ne peut guère être enthousiaste par ce qui nous est offert. Alors que le jeu nécessite plus de 2Go d'installation et nous offre des graphismes indignent d'une console HD. Le jeu offre des décors glauques à souhait mais l'ensemble manque terriblement de finesse, et le côté sombre du jeu permet surtout de cacher une faiblesse graphique terrible. La caméra et les animations ne sont pas non plus au top de la technologie, le personnage semble avoir une enclume sur chacun de ses pieds vu sa manière de se déplacer. C'est lourd, mou et franchement pas précis.
Alors que la saga cinématographique Saw sombre lentement dans le ridicule après un premier épisode digne d'un chef-d'oeuvre, nous retrouvons aujourd'hui l'adaptation vidéoludique du titre avec Konami aux commandes. Habitués du survival horror avec la licence Silent Hill, on pouvait espérer un jeu à la hauteur de la réputation de cette série. Ce test va donc nous permettre de nous rendre compte si le jeu SAW est plus proche de l'oeuvre originale sortie au cinéma en 2004 ou bien du fameux SAW VI qui fait rire les spectateurs rien que par son nom. Le titre vous propose de vivre une aventure placée entre les deux premiers opus cinématographiques de la saga. Pour ce faire, nous retrouvons quelques uns des personnages principaux du début de l'histoire en la personne de l'inspecteur Tapp et d'Amanda la droguée devenue la disciple de Jigsaw. Le tout saupoudré de sauvages prêts à vous faire la peau avec comme décors de fond un asile désaffecté infesté de pièges. En effet, Konami a pris le parti de faire un titre plutôt axé réflexion que basé sur l'action. Le scénario du jeu ne vole pas très haut, mais fait de nombreuses références à la saga cinématographique, ce qui permettra aux fans de passer de bons moments en compagnie de notre tueur énigmatique, tandis que les autres louperont une bonne partie de l'intérêt des dialogues à défaut de les comprendre.
fait partie de ces nombreuses adaptations cinématographiques qui font le plus souvent l'objet de titres moyens. Quelques rares exemples (...) viennent contredire ce fait cette année, mais il ne faut pas s'y tromper, en général ces conversions sont d'une piètre qualité par rapport à des softs originaux. , c'est aussi un film d'horreur qui a révolutionné le genre, notamment grâce un twist final renversant et qui du coup, a accouché de nombreuses suites : cinq, dont une actuellement au cinéma. Ce premier jeu vidéo estampillé sera-t-il aussi mémorable que le film ? Le fait que le jeu ne sorte que maintenant peut perturber le joueur. En effet, sur quel film le soft va-t-il se baser ? Eh bien sur tous ! En clair, c'est une histoire originale que Konami nous offre (entre le un et le deux), mais sans oublier de référencer sans cesse les six premiers films, notamment en ce qui concerne les pièges qui vous paraîtront bien familiers, si vous avez bien entendu visionné tous les films. C'est donc un bon point et il est très plaisant de parcourir des lieux connus manette en mains.Concrètement, votre aventure va se dérouler au sein d'un asile psychiatrique et ce sera bien là l'un des défauts du jeu, les environnements se ressemblant trop, mais nous y reviendrons plus tard.
PlayLipse
Ajouté le : 12/2009
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Après six longs métrages, la licence SAW arrive sur nos consoles avec une adaptation vidéoludique qui accompagne justement la sortie du célèbre (merci le titre) SAW 6. Pour la petite histoire, c’est en juin 2007 que le projet du jeu vidéo a été abordé pour la première fois. A cette époque, c’était le studio Brash Entertainment qui l’avait pris sous son aile. Mais après la fermeture de ce dernier, Zombie Studios s’est retrouvé seul, à tel point que beaucoup ont pensé que le projet serait annulé. Mais c’était sans compter sur l’intervention de Konami qui a décidé de se lancer dans l’aventure en tant qu’éditeur. C’est donc environ deux ans et demi plus tard que nous pouvons insérer la galette du titre dans le lecteur de notre console. Le résultat est-il satisfaisant malgré les hauts et les bas connus lors du développement ? SAW le jeu vidéo n’est pas l’adaptation d’un film de la licence en particulier. Il s’agit plutôt d’une sorte de spin off reprenant quelque peu la structure du dernier volet en date pour l’enchaînement des situations, le tout agrémenté de la présence de personnages comme David Tapp, que l’on retrouve dans le premier, et de nombreux clins d’œil à l’ensemble de la saga.
Après six longs-métrages au cinéma, la surexploitation de la licence SAW passe désormais par le jeu vidéo.Remarqué au festival de Gérardmer lors de sa sortie en 2004, le premier volet de la série SAW est un huis-clos efficace, habilement ficelé, dont la fin en a surpris plus d'un. Fortes de ce succès, les suites se sont alors enchainées comme des perles, perdant un peu plus de leur efficacité et de leur cohérence à mesure que les numéros croissaient. La violence, elle, prend du volume chaque année à la demande des fans. En attente d'un septième volet en 3D prévu pour octobre 2010, le jeu vidéo arrive dans les bacs avec quelques bonnes idées et beaucoup de faux pas. Explications.Plutôt que d'adapter un film en particulier - tuant au passage tout l'intérêt - les développeurs de Zombie Studio nous livrent une histoire chronologiquement située entre le premier et le second volet de la saga. On y incarne le détective David Tapp, campé à l'écran par l'acteur Danny Glover, celui qui menait la danse dans le premier opus. Capturé par « Le Tueur au Puzzle », notre fin limier est prisonnier dans un ancien asile psychiatrique dans lequel il devra déjouer de nombreux pièges pour sauver sa peau. Histoire de corser son jeu à lui, Jigsaw lui a implanté la seule clé de sortie à l'intérieur du poitrail.
Sur le papier, Saw est un parfait terrain de jeu pour amateur de survival horror. Mais le trip vire un peu au nanard. Le drame : le jeu vidéo Saw n'est absolument pas adapté du dernier épisode en date. Du coup, impossible de caser le moindre calembour sur Saw VI, ou même VII. L'aventure que les rabat-joie de Zombie Inc nous proposent ne retrace d'ailleurs l'histoire d'aucun film. A la place, on retrouve l'inspecteur Tapp, fameux Danny Glover, laissé pour mort à la fin du premier épisode, ici miraculeusement réanimé par le Tueur au Puzzle, et plongé dans un des dédales morbides dont il a le secret. Là, Tapp va devoir expier ses crimes supposés (avoir laissé mourir son collègue Sing) ou mourir. Et connaissant la définition pas très catholique qu'a le Tueur de la rédemption, on devine que ça ne va pas être une partie de plaisir. Malheureusement, pour le joueur non plus, cela ne s'annonce pas comme une franche partie de rigolade. Le jeu se présente comme un survival horror, dans la veine d'un Silent Hill ou d'un Dead Space. Tapp se traîne tant bien que mal dans un univers fortement anxiogène, de puzzles tordus en pièges pervers, pressé par des comptes à rebours stressants, obligé de s'escrimer sur des minijeux un peu bidons.
Série à succès dans les salles obscures, SAW se décline désormais en jeu vidéo à cause de l'initiative de Konami et Zombie Studios. Comme souvent dans pareil cas, l'opportunisme de l'éditeur saute assez rapidement aux yeux, pour le plus grand malheur de notre bien-être vidéoludique. Ainsi, la torture du Jigsaw ne fait que débuter... On ne va pas passer par quatre chemins : oui, SAW est mauvais. Même très mauvais par moment. En marge d'un scénario qui pourrait tenir sur une feuille de papier toilette (ce qui, pour le coup, est aussi valable pour les films), on retrouve un survival-horror qui n'a d'horreur que le nom et les sensations une fois manette en main. Coincé des fesses, lent à en mourir (au sens propre comme au figuré), l'inspecteur Tapp se réveille bien malgré lui dans un asile devenu le terrain de jeu du Jigsaw, ce psychopathe qui terrorise les gens avant de les finir à la petite cuillère. Tapp, et donc le joueur par extension, va chercher à s'enfuir tout en évitant les nombreux pièges malsains de son adversaire, qui n'est plus vraiment à une tête explosée près. Derrière ce pitch qui aurait pût donner naissance à un survival original, on se retrouve en fait avec un clone de tout ce qui se faisait du temps de la PSone.
Comme beaucoup de franchises, SAW nous a offert, après un excellent premier épisode synonyme de huis clos méthodique et malsain, une tripotée de suites ne cessant de tirer la saga vers le bas. Mélangeant scénario abracadabrantesque censé remplir le vide entre deux séquences de torture, la série semble plus que jamais destinée à finir sa carrière en capitalisant outrageusement sur le gore craspec au détriment d'un quelconque équilibre scénaristique. Du coup, se retrouver avec l'adaptation vidéoludique du film n'avait rien d'évident surtout au moment où arrive en salles le dispensable SAW VI qui a quand même le mérite de faire rire les petits Français que nous sommes rien qu'avec son titre. Pour celles et ceux qui se demanderaient comment on adapte une série de six films en un seul jeu vidéo, voici un début de réponse. Prenez un personnage emblématique, disons l'inspecteur Tapp du premier film. Rajoutez-y au moins un caméo qui a déjà fait ses preuves, Amanda par exemple. Plongez ces deux personnages dans un asile psychiatrique, SAWpoudrez le tout de pièges pervers, d'énigmes, de quelques combats et d'apparitions de Jigsaw.
Non contents de fournir des vannes pour quinze ans de soirées ciné avec leur titre de film ridicule, les producteurs de Saw VI ont eu la bonne idée de céder les droits de leur saga à Konami. L'éditeur japonais avait la lourde tâche de réaliser enfin un jeu vidéo autour des enfantillages du boursouflé Jigsaw. Résultat : deux blagues pour le prix d'une. Comme une bonne séance de torture, ça ne refuse pas. Contrairement à ce que l'on pourrait croire, l'intrigue de SAW ne débute ni à Morteau ni à Strasbourg, mais dans un asile en ruine. Le joueur se réveille aux commandes du très raide inspecteur David Tapp incarné dans le premier film par Danny Glover. Coincé par le Jigsaw, le policier va devoir s'échapper en sauvant d'autres prisonniers. Bien évidemment, le tueur au puzzle ne l'entend pas de cette oreille. Ce sadique a piégé chaque recoin de l'asile pour en faire le théâtre d'un véritable survival horror. Brrrr... Gros frisson en perspective, donc ? Pas exactement. SAW se contente de regrouper scènes gores et casse-têtes Picsou Mag dans un labyrinthe de couloirs. Pour tout dire, on a vraiment l'impression que les développeurs ont cherché à multiplier les effusions de sang sans trop se soucier du reste.
Quand on y réfléchit, et au vu du succès rencontré par la franchise Saw, il est étonnant qu’une adaptation vidéoludique basée sur cette célèbre saga axée « torture- porn » ne nous arrive que maintenant. Peut être est- ce pour redonner un regain de vitalité à une série qui s’essouffle depuis un bout de temps et qui a rapidement montré ses limites en termes de mécanismes scénaristiques. Après tout pour faire six films (et deux jeux de mots involontaires vu qu’il y aura bien un Saw VII) sur un étalage gratuit de séquences sado/gerbif, y’a plutôt intérêt à être imaginatif. Un petit air de déjà vu ?Saw le jeu souffle le chaud et le froid. Non seulement est- il basé sur le moteur de Silent Hill 2, mais il en reprend également bon nombre d’ingrédients qui ont fait de cet illustre aîné un monument de flippette mémorable, surtout au niveau de l’ambiance. Le problème, c’est qu’appliquer ainsi une formule « copier- coller » n’est pas nécessairement synonyme de réussite. Ainsi le théâtre des opérations se trouve être ici un hôpital psychiatrique désaffecté dans lequel Jigsaw, le tueur au puzzle, aurait séjourné. Bien décidé à régler ses comptes avec l’inspecteur Tapp, héros du premier film, il a enfermé ce dernier ainsi qu’un certain nombre d’autres pauvres gusses dans le but de les faire participer à son petit jeu sadique.
Presque synchrone avec l'arrivée de Saw 6 sur les écrans (et pas dans nos assiettes, dommage), Saw, le jeu vidéo, débarque sur consoles et PC avec la promesse déroutante de placer les joueurs que nous sommes dans quelques inconfortables postures, dont seul le Jigsaw à le secret. Un survival-horror poisseux et dérangé signé Konami, qui pourrait s'avérer être une petite surprise. "Que la partie commence", comme dirait l'autre. Depuis quelques années, la peur semble porter un nouveau nom : Saw. Une franchise inégale certes mais ô combien lucrative et qui a lancé la mode du "torture-porn", un sous-genre horrifique faussement trashouille, jouant la carte du gore organique, du voyeurisme malsain et surtout d'un prêchi-prêcha de cul-bénis potentiellement nauséeux. Et pendant que Saw 6 déboule en salle en ce mois de novembre, voici qu'un jeu inspiré de la licence pointe le bout de son nez. On entend déjà les hurlements des joueurs avertis pestiférant contre ces titres adaptés de films, qui sont souvent des ratages. Pourtant, un motif d'espoir, et pas des moindres, vient diminuer nos appréhensions : la présence aux commandes de Konami et de Zombie Studios, qui œuvrent actuellement ensemble sur Silent Hill : Shattered Memories.
Alors qu'en France, plus que n'importe où ailleurs, on attendait impatiemment la sortie de Saw 6 en salle, un jeu vidéo tiré de la saga du Jigsaw Killer débarque en même temps. La tendance étant aux adaptations de film un minimum soignées (Avatar, Harry Potter, Bourne...), Saw saura-t-il reproduire les mêmes émotions qu'au cinéma ? Dans cette adaptation, on se retrouve dans la peau du détective David Tapp. Un personnage que l'on a déjà vu dans le premier Saw, incarné par Danny Glover, chargé d'enquêter et de découvrir l'identité du tueur en série. Alors que dans le film il finit mal en point avec une balle dans le ventre, on le retrouve cette fois dans la chambre d'un asile psychiatrique à l'abandon, paradoxalement guéri par Jigsaw lui-même, qui comme d'habitude veut lui faire passer un de ses fameux tests dont il a le secret. Pas la pleine d'aller plus loin dans le scénario, ce dernier est assez tarabiscoté pour que même les habitués de la saga s'y perdent par moments. Cela dit, il permet toutefois de justifier le gameplay du titre, à savoir un jeu d'action vu à la troisième personne, dans lequel on explore l'asile à la recherche du Jigsaw, le tout en sauvant des personnages connus de la série, dont le retour a été plus ou moins finement intégré à l'histoire.
Comme certains ont grandi en flippant devant Halloween, Massacre à la Tronçonneuse ou encore L'Exorciste, d'autres, plus jeunes, tirent leurs plus grands frissons de séries gentiment trashs dont Saw est sans aucun doute l'emblème. Fait surprenant en ce troisième millénaire, il aura fallu attendre la sortie du sixième film (pas de blague, c'est promis) pour voir débarquer la première adaptation en jeu vidéo. Un survival-horror de la part de Konami, est-ce le Saw d'un titre de qualité ? Saw, le jeu, reprend évidemment l'univers des films éponymes. Sans doute pas autorisé à toucher à la pourtant peu ragoutante continuité scénaristique des longs métrages, Zombie Studio a du se contenter de faire une sorte de spin-off du premier épisode. On y incarne donc le détective Tapp, qui n'a physiquement plus grand-chose à voir avec Danny Glover, qui incarnait pourtant le personnage à l'écran. Enfermé dans l'asile White Hurst, il devra réussir un tas d'énigmes pour espérer se sortir vivant du chemin parsemé de pièges que lui a préparé le tueur aux puzzles. Tout un programme. Mais Tapp n'est pas seul. Cherchant à extraire de son corps la clé de leur liberté, soigneusement placée là par le tueur lui-même, de nombreuses énergumènes peuplent l'asile, dont on apprendra plus au fur et à mesure de l'aventure.
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