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Nous avons réuni 7 tests du S.T.A.L.K.E.R. : Call of Pripyat. Les experts notent S.T.A.L.K.E.R. : Call of Pripyat 8.2/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du S.T.A.L.K.E.R. : Call of Pripyat et d'autres Jeux PC.
Sorti en 2007 après plusieurs années d'un développement chaotique, S.T.A.L.K.E.R. : Shadow of Chernobyl aura longtemps marqué les mémoires comme la plus grosse arlésienne du monde vidéoludique. Depuis, Gran Turismo 5 est passé par là et c'est quelques années et une suite sous forme de préquelle plus tard que les Ukrainiens de GSC Game World nous reviennent avec une nouvelle mouture de leur licence fétiche. L'occasion pour tous les amateurs de mutants et de gunfights entre mercenaires crasseux de ressortir rangers et combinaison antiradiation. La destination n'a pas changé : direction la Zone, avec quelques mois de retard sur le test... mais mieux vaut tard que jamais. Sans surprise, les développeurs ne se sont pas pris d'une soudaine envie de placer leur nouvel opus sous des latitudes tropicales et c'est une nouvelle fois sur le site de Tchernobyl que le joueur débutera l'aventure, quelques semaines après la fin du premier épisode. Nous sommes en 2012 et la destruction du "Scorcher", un puissant émetteur d'ondes psychiques capable de réduire en purée tous les cerveaux alentours en quelques secondes, a ouvert la voie de la région de Pripyat, jusqu'ici inexplorée et dont le sol serait truffé d'artefacts.
Stalker ? Call of Pripyat est la seconde extension officielle de Stalker ? Shadow of Chernobyl. Cette fois-ci, les évènements se déroulent dix ans après l?arrivée de Strelok dans la Centrale de Chernobyl. Autant dire qu?il y a pas mal de changements en perspective même si l?esprit de la série reste inchangé. C?est donc avec un plaisir évident que l?on va pouvoir arpenter de nouveau la zone le détecteur dans une main et la kalachnikov dans l?autre? Call of Pripyat vous propose d?incarner le major Degtyarev dans son enquête qui le mènera jusque dans la ville de Pripyat. Se faisant passer pour un simple stalker de passage, le major est chargé d?élucider les circonstances du crash de cinq hélicoptères militaires à divers endroits de la Zone. Tout comme dans les épisodes précédents, vous serez amené à vadrouiller aux quatre coins de la carte sachant que seule votre progression au sein de l?intrigue principale vous permettra d?accéder à de nouvelles aires de jeu. Par contre, une des grandes différences par rapport aux précédents opus concerne les missions secondaires qui s?avèrent bien plus prenantes et lourdes de conséquences. On reviendra dessus par la suite.
Dévoilé en novembre 2001, S.T.A.L.K.E.R. : Shadow Of Chernobyl avait alors tout - sur le papier - pour faire fondre les amateurs de jeux d'action vue subjective. Hélas, de contraintes techniques en impératifs budgétaires, le cahier des charges a été allégé et la sortie du jeu a malgré tout été entachée de nombreux bugs. Ce S.T.A.L.K.E.R. : Shadow Of Chernobyl reste toutefois une référence qui a poussé son développeur à retenter sa chance avec Clear Sky et surtout à nous en proposer aujourd'hui une véritable suite, Call Of Pripyat. Trois ans après, ce n'est pas un peu tard ? Les plus fidèles d'entre-vous ont sans doute déjà consulté la preview que nous avons publiée en octobre alors que venait de sortir la version russe de S.T.A.L.K.E.R. : Call Of Pripyat. Basée sur une version partiellement localisée, cette preview nous donnait un bel aperçu des qualité de ce troisième opus. Des qualités que nous avons évidemment chercher à vérifier dans cette version intégralement française (textes + voix) et nous n'avons pas été déçus ! Autant être clairs d'entrée, Call Of Pripyat est bel et bien le meilleur des S.T.A.L.K.E.R. : il est le plus intéressant, le plus riche et, cerise sur le gâteau, le moins buggué de la série.
S.T.A.L.K.E.R. nous invite une nouvelle fois à visiter les abords de Tchernobyl. Flippant, mais passionnant. Totalement autonome, cette extension de S.T.A.L.K.E.R. fonctionne sans le jeu original. Cependant, une pratique préalable de la survie en milieu radioactif reste recommandée pour aborder l'aventure sans frustration et adopter d'emblée les bons réflexes (courir se mettre à l'abri en cas d'émission nucléaire, ne pas traverser inconsidérément les zones d'anomalies, baisser son arme face à un personnage neutre...). De plus, le scénario suit directement les événements racontés dans Shadow of Chernobyl et nous plonge sans ménagement au beau milieu du périmètre contaminé. On y incarne un militaire ayant chaussé les bottes d'un stalker, afin d'obtenir la confiance de ces chasseurs de prime et de leur soutirer un maximum de renseignements. Ce préambule étant posé, nous considérerons donc que Call of Pripyat s'adresse essentiellement aux fans de la série. A ce titre, il remplit parfaitement sa mission et prolonge très efficacement l'aventure. On retrouve avec plaisir l'ambiance de désolation post-apocalyptique que seuls des développeurs ukrainiens pouvaient rendre aussi intense et crédible.
Entre S.T.A.L.K.E.R. et moi, ça a toujours été une histoire d'amour impossible. De celles auxquelles on revient sans cesse, en se disant que cette fois-ci, ça va marcher, mais qu'on quitte irrémédiablement avec un goût amer en bouche, lassé des imperfections. En attaquant le test de ce Call Of Pripyat, j'ai essayé de faire table rase de ce passé douloureux, bien décidé à laisser à la franchise de GSC Game World une dernière chance.L'histoire de ce nouvel opus débute en 2012. Bien décidé à atteindre le coeur de la Zone, le gouvernement ukrainien lance une mission d'envergure baptisée Operation Fairway. Plusieurs hélicoptères sont envoyés à la découverte de cette terre inexplorée mais malgré une préparation minutieuse, aucun n'en reviendra intact. Dans une ultime tentative de comprendre ce qui a pu se passer, les services secrets dépêchent alors sur place leur meilleur agent, avec un objectif simple : investiguer les sites où se sont crashés les hélicos. Déguisé en stalker, vous débarquez donc à l'orée de la Zone, équipé d'armes plutôt rudimentaires et de quoi survivre deux semaines dans cet environnement hostile.
Je rampe dans une salle souterraine, crasseuse et infestée de mutants, à 20 m au-dessous de la surface d'un désert ukrainien irradié, serrant fortement ma kalachnikov des mauvais jours. Soudainement, mon compteur geyser grésille de façon inquiétante ; je marque un temps d'arrêt et me demande pourquoi j'aime tellement S.T.A.L.K.E.R.C'est vrai que tout est d'une effroyable tristesse dans S.T.A.L.K.E.R. : Call of Pripyat. Jouer environ une heure à n'importe quel jeu de la série s'apparente à passer un mois dans les travées d'un magasin de hard-discount. Très vite, assassiner un total inconnu avec une grenade à main semble plus pragmatique que lâche. Il pourrait avoir une bouteille de vodka. Même les couchers de soleil les plus «cartes postales» sont assombris par la conscience terrifiante que les ennemis sortent surtout la nuit. Surtout. Et c'est là que rentre en jeu quelque chose d'autre que je n'aime pas beaucoup d'habitude : la terreur incessante. C'est un mélange de bruits inquiétants. Des trottinements. Des meuglements. Des plaintes. Des grondements nasillards qui ressemblent à ceux d'un phoque en colère et souffrant des végétations s'accouplant au fond d'un puits (encore une fois, l'ambiance sonore des magasins hard-discount).
En deux volets, la série Stalker s'est taillée une solide réputation chez les amateurs de FPS. Avec sa Zone irradiée peuplée de mutants, son côté RPG et sa grande liberté d'action, le titre des Ukrainiens de GSC Game World a su réunir une belle base de fans. Des fans qui se sont d'ailleurs emparés du jeu pour l'améliorer à grands coups de mods. A l'écoute de leur communauté, les développeurs ont intégré certaines de ses idées dans Call of Pripyat, un troisième épisode jouable indépendamment des précédents. L'épisode de la maturité, serait-on tenté de dire, tant il frôle la perfection dans tous les domaines. 2012. Le gouvernement ukrainien, muni d'une carte des anomalies de la Zone, pense pouvoir atteindre son cœur. L'armée envoie alors 5 hélicoptères en direction de la centrale de Chernobyl. Nom de l'opération : Fairway. Mais les choses tournent rapidement au fiasco : les appareils se crashent pour une raison inconnue. Afin d'enquêter sur les circonstances de cet événement tragique, les services secrets ukrainiens (SBU) envoient l'agent Alexander Degtyarev dans la Zone. C'est ce nouveau protagoniste que vous incarnez dans Call of Pripyat, infiltré sous l'apparence d'un stalker lambda.
TestMateriel.com ne regroupe pas de serial, no cd, warez, torrent et crack pour S.T.A.L.K.E.R. : Call of Pripyat. Inutile de nous contacter pour se faire rembourser d'un jeu, obtenir de l'aide pour le lancer, demander une soluce, une astuce S.T.A.L.K.E.R. : Call of Pripyat.