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Nous avons réuni 9 tests du F.3.A.R.. Les experts notent F.3.A.R. 7.3/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du F.3.A.R. et d'autres Jeux PC.
Avec Ring en 1998, le réalisateur japonais Hideo Nakata contribue à populariser un monstre terrifiant sous les traits d’une innocente jeune fille. Le teint blafard, les longs cheveux d’encre qui tombent devant les yeux et la fâcheuse manie de suggérer sa présence de manière pernicieuse plutôt que de sauter à la gorge du premier venu, c’était ça, Sadako. Dans les années qui ont suivi, de nombreuses œuvres ont tenté de s’inspirer de cette nouvelle égérie horrifique, aussi bien au cinéma (The Grudge) que dans le jeu vidéo, notamment avec la fantastique trilogie Project Zero. Ensuite, F.E.A.R est arrivé. Sous l’égide de Monolith, ce FPS brutal et nerveux à première vue cachait une dimension terrifiante incarnée par Alma. En deux épisodes, plus quelques add-ons, cette gamine est devenue l’un des « méchants » les plus réputés du jeu vidéo. Ses apparitions soudaines, ses cris déchirants, les cauchemars éveillés dans lesquels elles embarquent les protagonistes, tout cela n’a pas tardé à devenir culte. D’autant plus que toute une intrigue politico-scientifique a été créée autour de cette Nemesis qui a été contrainte de donner vie à deux garçons : Point Man et Paxton Fettel, respectivement héros et boss de fin du premier épisode.
La première bonne nouvelle concerne le scénario, qui prend directement la suite du deuxième épisode. Contrairement à ce qu'on pouvait redouter, le changement de développeurs et l'apparition de deux personnages jouables dans la campagne solo n'auront donc pas détourné la série de son droit chemin (comme ont pu le faire par le passé les extensions "alternatives" F.E.A.R. Extraction Point et F.E.A.R. Perseus Mandate). En contrepartie, l'histoire risque de paraître confuse aux joueurs qui ne connaitraient pas les deux premiers épisodes. Les rappels aux évènements passés sont brefs, et pas toujours explicites. Ce n'est pas bien grave : même le premier épisode proposait déjà un scénario relativement confus, dont on ne comprenait pas forcément tous les tenants et aboutissants du premier coup. L'important est de savoir que cette fois, on peut à la fois incarner le Point Man (le héros du premier F.E.A.R.) et Paxton Fettel (son frère décédé). La campagne solo s'articule en réalité autour de trois axes. Un joueur déconnecté devra dans un premier temps la parcourir en prenant forcément les commandes du Point Man. Chaque mission terminée pourra alors être rejouée avec Paxton. Mais le mieux reste encore de jouer en ligne et d'activer le mode coopératif.
Le Mal est immortel et revient quand on s'y attend le moins. Alma, elle, mettait déjà les pendules à l'heure en 2006 en affichant sa volonté de réduire le monde à l'état de cendres. Cinq ans plus tard, la turbulente fillette n'a pas lâché un pouce de terrain et se montre même plus véhémente que jamais. L'ambiance devient dès lors apocalyptique tout en étant synonyme de troisième épisode plus énergique. Pour autant, John Carpenter est là pour assurer une certaine respectabilité au scénario mais le résultat est-il finalement à la hauteur ? Les lignes ci-dessous vous livrent quelques clés pour vous permettre d'y voir plus clair. A la base, F.E.A.R. fut pensé comme un juste équilibre entre survival-horror et FPS pur et dur. Sur ce plan, les p'tits gars de Monolith s'en étaient brillamment sortis et ce malgré les quelques défauts émaillant l'oeuvre. Une fois mis en place les protagonistes, l'intrigue et les enjeux, les équipes de production purent faire parler leurs bas instincts via un deuxième épisode bien plus orienté action. Nerveuse, rythmée et s'appuyant sur une mise en scène efficace, la franchise vécut de beaux jours à l'inverse des personnages de l'histoire condamnés à courir encore et encore pour arrêter Alma et les équipes d'Armacham.
Après deux reports de sortie, F.3.A.R (ou Fear 3 pour les non initiés) est enfin dans les starting-blocks. Outre deux campagnes (solo et coop), le jeu compte quatre modes multijoueurs inédits qui viennent de nous être dévoilés. Voici nos impressions à quelques semaines de la sortie. La licence Fear, en tombant dans l'escarcelle de Day 1 Studios, le développeur en charge du portage sur console du premier titre de la saga, semble négocier un virage sans pour autant renier le caractère gore/paranormal qui caractérise le titre. En effet, la campagne solo est doublée d'une campagne en coop inédite mettant en scène deux personnages emblématiques de la série (Paxton Fettel et Point Man). Surtout, les modes multijoueurs sont entièrement repensés. Une remise à plat qui se traduit par quatre modes multijoueurs de deathmatchs, pour quatre joueurs maximum, qui ont le mérite de proposer des expériences très différentes les unes des autres. Le tout est judicieusement placé sous le patronage d'Alma et de ses pouvoirs destructeurs, ce qui permet de faire le lien avec les campagnes solo et coop. Le premier, intitulé “Fu**ing Run !” (non, ça n'est pas une censure de Jeuxvideo.com mais bel et bien le nom du mode), fait appel à la collaboration entre joueurs, et il est un des plus prometteurs.
Je connais peu de choses aussi assommantes qu'un FPS de plus qui s'attend à ce que vous dépensiez votre argent dans les mêmes modes multijoueurs, avec les mêmes armes, dans le même genre de décor. Day 1 Studios, le développeur de FEAR 3, espère éviter ce piège avec un tout nouveau mode baptisé tout simplement « Fucking Run ». Une séance de test révèle que, comme prévu, l'objectif principal est bien de courir comme un dératé, tout de suite, et vite. Un « Mur de mort » géant vous poursuit, vous et vos partenaires, et vous rencontrez en chemin des ennemis qui essaient de ralentir votre progression. En jetant un coup d'oeil en arrière, vous voyez un mur de débris et de poussière formant des nuages qui prennent la forme de crânes et autres manifestations diaboliques. Cela dit, il vaut mieux continuer à regarder devant soi. Et courir comme un dératé. C'est un mode en coopération conçu pour quatre joueurs. Si l'un des joueurs meurt, les autres peuvent le ressusciter, mais le mur gagne toujours du terrain. Par contre, si l'un d'entre vous se fait rattraper, la partie est terminée pour tout le monde. J'ai joué le niveau de démonstration de FEAR 3 deux fois, et mon équipe n'a réussi qu'une seule partie du niveau, avant que le mur ne rattrape les traînards.
Un tant prévu pour la fin de cette année, F.E.A.R. 3 ne sortira finalement pas avant début 2011, les développeurs de Day 1 Studios et leurs partenaires ayant visiblement décidés qu'un petit laps de temps supplémentaire ne serait pas de trop pour affiner les choses. Un décalage qui n'a toutefois pas empêché les créateurs de faire le voyage jusqu'à Cologne afin de présenter leur bébé et - notamment - d'insister sur LA grande nouveauté de ce troisième opus : le mode coopératif à deux joueurs... un mode que nous n'avons hélas pas été en mesure d'essayer directement. Histoire de changer un peu de registre, les développeurs de Day 1 Studios ont décidé de nous confier les rôles principaux et, dans F.E.A.R. 3, il est donc question d'incarner rien de moins que les fils d'Alma, Point Man et Paxton Fettel. Ce dernier, revenu d'entre les morts pour l'occasion, est une sorte de fantôme doté de pouvoirs particulièrement impressionnants alors que Point Man est un personnage plus classique, le « grosbill » de service. Précisons d'entrée que Point Man est l'unique héros de l'aventure lorsqu'on la joue en solitaire : en effet, ce n'est qu'en mode coopératif que l'on peut incarner Paxton Fettel, son frère ennemi.
Bien qu'il a été repoussé à la fin du mois de janvier, F.3.A.R. était au rendez-vous de la gamescom. L'occasion pour l'équipe de développement de nous présenter ce qui fera le charme de ce troisième opus : l'aventure en coopération. Fini l'incarnation d'un soldat effacé ou dont la personnalité n'a aucune incidence sur l'histoire. Dans F.3.A.R., les joueurs auront la chance d'incarner MM. Point Man et Paxton Fettel, deux frères ennemis que tout oppose et dont l'absence totale de confiance ne va pas empêcher de les voir évoluer en coopération. C'est là l'originalité de ce volet : il compte une campagne solo et une autre jouable en coopération, mais uniquement humaine. Comprenez qu'il ne vous sera pas possible de vivre l'aventure à deux avec l'aide de l'IA, les développeurs ayant jugé inopportun que le joueur soit suivi par un allié, ôtant par la même occasion le sentiment de solitude et d'oppression qui émane généralement des F.E.A.R., lorsque l'on progresse isolé. Pourtant, la remarque ne vaut visiblement pas pour la coopération entre deux humains, tout simplement parce qu'il nous a été répété que les deux personnages en question s'opposent et se détestent et qu'il sera tout à fait possible de transformer cette coopération en chacun pour sa poire dans une certaine limite.
Annoncé un peu par inadvertance en novembre 2009 par nos soins, F.3.A.R. a finalement attendu l'E3 2010 pour véritablement dévoiler ses premiers atours. C'est d'ailleurs sur le stand de Warner Bros. Interactive, à l'intérieur d'une salle dédiée et décorée pour l'occasion que nous avons pu découvrir les premiers pas des fistons d'Alma, désormais enceinte d'une nouvelle progéniture. Cette année, la belle a décidé qu'il était temps de flipper à nouveau. Voici donc le résumé de ce que nous avons pu voir à Los Angeles.S'il a fallu quatre longues années pour que Monolith Productions se décide à donner une suite au premier FEAR, l'arrivée du troisième épisode arrivera sur le marché un peu moins de deux ans après le sympathique mais perfectible FEAR 2. Conscient de tenir là une licence prometteuse et aussi parce qu'ils sont certainement occupés à développer d'autres projets, les petits gars de chez Monolith Productions ont fait appel au studio Day 1 Studios (que l'on connaît pour avoir mis sur pied les deux épisodes de MechAssult sur Xbox et Fracture sur Xbox 360) afin d'apporter un nouveau souffle à la série. Un pari osé mais qui a vraisemblablement été relevé avec enthousiasme et qui se traduit pour commencer par une histoire qui paraît saugrenue dit comme ça.
On le sait depuis un petit moment maintenant, le troisième épisode de la saga F.E.A.R. n'est plus développé par Monolith Productions mais plutôt par Day 1 Studios, à qui l'on devait le portage console du premier volet de la série. Toujours inquiétant pour les fans de la première heure, ce genre de changement de casting devait impérativement se justifier lors de cette première rencontre avec le FPS à l'E3 2010 de Los Angeles. Ou pas. Qu'on se le dise, les sacrosaintes errances solitaires de la série F.E.A.R. font partie du passé, ce troisième épisode étant ouvertement présenté comme un titre 100% coopératif par ses créateurs. L'idée de jouer à F.3.A.R. en solo semblait presque tenir de l'aberration pour les développeurs présents à l'E3, qui nous ont clairement fait comprendre par un martelage systématique proche de la propagande qu'il fallait absolument jouer à deux pour "exploiter tout le potentiel de F.3.A.R.". Soit. On retrouve du coup un duo composé des fils maudits d'Alma avec d'un côté le très barbu Pointman (héros du premier F.E.A.R.) et de l'autre son charmant frère Paxton Fettel, revenu d'entre les morts pour l'occasion.
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