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Nous avons réuni 16 tests du Resident Evil : The Darkside Chronicles. Les experts notent Resident Evil : The Darkside Chronicles 6.7/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Resident Evil : The Darkside Chronicles et d'autres Jeux Wii.
S'il est un genre qui a parfaitement sa place sur , c'est le shoot sur rail. Capcom a d'ailleurs été le premier à se lancer dans l'aventure avec le très bon bien qu'imparfait. Puis d'autres ont suivi comme Sega avec ou encore Electronic Arts et l'excellent. Deux ans après un premier jet, le pionnier récidive en partant sur les mêmes bases que son ainé, et tente d'en corriger les défauts en couvrant les épisodes non traités de la saga. Pari tenu ? Réponse plus bas. On débute l'aventure en incarnant au choix Leon S. Kennedy, héros du deuxième opus de la série, ou Jack Krauser, que l'on a pu découvrir dans . Ces deux personnages sont envoyés en mission en Amérique du Sud pour enquêter sur des phénomènes étranges. Une fois sur place, Leon reconnaît de suite l'apparence "zombique" des habitants, la même que celle de Racoon City. S'en suit alors un récit de ses aventures qui offre une bonne occasion de se (re)plonger dans les scénarii de et a, avec néanmoins quelques différences de narration, comme la rencontre entre Leon et Claire. Entre chaque chapitre, on reviendra auprès de nos deux héros pour suivre leur épopée inédite, dont les dénouements, car il y en a plusieurs à découvrir, clôtureront le jeu.
Le nouveau jeu de Capcom est modeste, sans le sou, décroché de la modernité, mais il m'a réchauffé le coeur. Elle est à toi cette chanson Toi le zombie qui sans façons M'as donné quatre coups de crocs Quand dans ma vie il faisait chaud Les hommes se divisent en deux catégories de personnes : les zombies, et ceux qui n'ont pas encore été mordus par un zombie. La série des Resident Evil, qui n'est pas la moitié d'une série futée, a eu l'idée géniale, en 1996, de confronter ces deux populations. Mais échec de l'immigration, la rencontre s'est assez mal passée : la première catégorie tente de coloniser la seconde, ce qui provoque de vifs débats sur l'identité nationale à Raccoon City, ville dont est issue l'épidémie de zombite (une variante de chat-bite, mais avec les dents). Toi qui m'a fait flipper quand Les croquantes et les croquants Tous les morts bien intentionnés Gisaient agonisant sur le plancher Quatre suites majeures sont sorties depuis, ainsi qu'un épisode zéro (parce que l'histoire de l'oeuf et de la poule, hein, eh bien ça marche aussi pour le zombie, qui vous dit que le premier homme n'en était pas un, mais qui aurait-il mordu alors ? Et si le premier homme n'est pas un zombie, qui a pu le mordre ?).
Depuis maintenant de nombreuses années, Capcom a pris l'habitude de nous abreuver annuellement de nouveaux titres estampillés Resident Evil, alternant entre véritables nouveaux épisodes et titres un peu plus annexes. Ainsi, après avoir découvert il y a un peu plus de deux ans de cela un Resident Evil : The Umbrella Chronicles, voilà que l'éditeur revient sur le devant de la scène avec un nouveau rail-shooter reprenant les mêmes bases que son aîné, baptisé Resident Evil : The Darkside Chronicles. Alors, le titre parvient-il à gommer les défauts bien trop nombreux de son prédécesseur ou se révèle-t-il n'être au final qu'un jeu très moyen ? Eléments de réponse dans notre test complet, sans plus tarder. La saga Resident Evil est à n'en pas douter l'une des plus complexes et poussées du jeu vidéo de ces dernières années. Les épisodes, nombreux, n'ont de cesse de s'entremêler, faisant appel à des événements passés pour perpétrer la tradition du massacre de zombies dans les règles de l'art. En plus d'épisodes classiques, la série n'a eu de cesse de faire des flashbacks et autres détours en proposant des épisodes situés antérieurement à leurs aînés d'un point de vue chronologique, etc.
Conscient que Resident Evil : The Umbrella Chronicles a failli ruiner la carrière de la Wiimote deux ans plus tôt, Capcom tente de se faire pardonner cette fois-ci avec Resident Evil : The Darkside Chronicles, une suite qui intercale des chapitres ignorés par le premier épisode. Mais la donne n'est plus tout à fait la même : Dead Space : Extraction est sorti entre-temps et les zombies de Raccoon City n'inspirent plus vraiment la peur. C'est dans ce contexte difficile que les développeurs de Cavia vont tenter de donner définitivement le goût du sang sur rail.Incarner Leon S. Kennedy aux cotés de Jack Krauser - ou inversement -, un vieux fantasme que permet d'assouvir Resident Evil : The Darkside Chronicles en pleine jungle sud-américaine, d'entrée de jeu tant qu'à faire. Ceux qui ont goûté à Resident Evil 4 apprécieront la démarche, c'est certain. Mais la trame scénaristique du jeu repose avant tout sur des épisodes dédiés à Resident Evil 2 et Resident Evil : Code Veronica, une pirouette efficace pour éclaircir certaines zones d'ombre et faire de jolis clins d'oeil aux fans de la série. Le titre de Cavia ressuscite ainsi Ada Wong, William Birkin et même l'armurier de Resident Evil 2 ; quand même.
La capacité de Capcom à recycler des façons les plus improbables qui soient ses licences “bankables” m’étonnera toujours. Ainsi, qu’importe si The Umbrella Chronicles, précédant donc The Darksides Chronicles chronologiquement (bref, vous m’avez compris…) étant déjà très moyen. Les petits gars de Cavia, sans doute conscients d’avoir un sacré piège à fans entre les mains ont remis le couvert, et se sont décidés à nous resservir la même soupe. Ou presque… Si on peut bien reconnaître une qualité à la Wii, c’est sa capacité à s’adapter facilement aux shooters et autres rail-shooters. On remerciera le combo Wiimote + nunchuck, qui une fois collé au Wii Zapper offre des sensations assez sympathiques. Oui mais voilà. Encore faudrait-il se donner les moyens d’utiliser de façon correcte les périphériques qu’on vous colle entre les pattes. Et comme vous aurez pu le déduire à la lecture de ces quelques lignes, non, Cavia n’a pas réalisé le miracle attendu avec son Darkside Chronicles. Pire : en jouant, on a parfois le sentiment de voir l’une de ses séries préférée reprendre après avoir été stoppée, mais avec des acteurs différents. Le genre du truc complètement frustrant, en fait.
Deux ans après The Umbrella Chronicles qui, à vrai dire, ne nous a pas laissé un souvenir impérissable, Capcom nous propose de retrouver le même concept de jeu dans Darkside Chronicles. Pour résumé, au lieu de nous livrer un titre complètement nouveau, Capcom nous livre ici quelques éléments du deuxième et quatrième volet de la saga, suppléés ici et là par quelques niveaux inédits. Vous aurez donc droit à du condensé de la série Resident Evil, une méthode qui, il faut bien l'avouer, n'aide pas vraiment à l'immersion. Le scénario tente tant bien que mal de suivre un fil rouge, auquel on accrochera plus ou moins. L'ensemble fleure plus ou moins bon le déjà-vu et le seul intérêt finalement sera de réaliser les meilleurs statistiques sur les niveaux. Pour ce qui est des passages inédits, puisqu'il y en a quelques uns, ils vous mèneront dans une jungle dense, où là aussi le virus s'est répandu à tous les habitants. L'occasion pour vous d'incarner Krauser. Le reste des niveaux vous fera incarner selon vos choix, Claire, Leon ou encore Steve. Voilà pour les protagonistes. Notez qu'au lancement d'une partie, le choix vous sera donné de jouer en solo ou à deux.
Près de deux ans après un Resident Evil : The Umbrella Chronicles dont on se souvient encore la mollesse, The Darkside Chronicles débarque sur une console de Nintendo devenue une véritable terre promise pour les amateurs de rail shooter. Bien décidé à faire mieux que son prédécesseur et à creuser un peu plus les évènements qui encadrent la franchise Resident Evil, ce nouvel opus signé Cavia a t-il les moyens de nous convaincre ? Là où The Umbrella Chronicles nous proposait de revivre les évènements clés de l'ensemble de la saga de Capcom, Resident Evil : The Darkside Chronicles se concentre quant à lui à Resident Evil 2 et Resident Evil : Code Veronica. Le mode principal du jeu impose donc logiquement des chapitres d'abord consacrés au premier jeu cité avant de nous plonger dans l'univers de Code Veronica, le tout en faisant quelques détours vers un troisième scénario inédit du nom de Opération Javier, sorte de fil conducteur de The Darkside Chronicles. Si l'évolution dans les scénarios déjà connus réserve parfois quelques surprises, avec notamment des entorses assez grossières aux histoires originelles, le plus intéressant du jeu demeure le scénario inédit dans lequel Leon progresse aux côtés de Krauser, avec des révélations sur les évènements qui précèdent Resident Evil 4.
Chargé à craquer de créatures horriblement laides et parfois ridicules, déversant des hectolitres de sang et rejouant éternellement les mêmes scènes cultes qui ne seront jamais égalées, Resident Evil : The Darkside Chronicles a bien revu sa copie. Le second volet de la série des Chronicles, saga spin-off de jeux de tir, remplace aujourd'hui les survival horror de l'époque et fait frissonner notre Wii. De plaisir plus que de peur, mais il faudra s'en contenter. Ce test est une republication de celui paru originellement en exclusivité française le 13 Novembre 2009. Elles ont bien changé les soirées pyjama. Il y a quelques années, on se retrouvait entre filles pour regarder avec indulgence un film moyen et manger des sucreries. Aujourd'hui, on affectionne plutôt de dégommer quelques zombies gentiment disciplinés accompagnés d'une part de pizza et d'une petite bière. Si les accessoires ont changé, les sensations sont les mêmes. On se marre à l'écoute des bruitages toujours catastrophiques, on couine lorsque Leon Biiiip Ada... (Oh my God !), on sombre dans une nostalgie euphorique et on parle même à la télé : "Si tu savais, mon pauvre Steve, tu ferais moins le malin". Et même, parfois, on tremble un peu. Bien sur mes copines et moi, on a toutes joué à la série originale.
La Wii aura au moins vu la résurgence des jeux de tir à l'ancienne, grâce aux efforts conjoints des éditeurs, trop heureux d'exploiter le pointeur de la Wiimote sans avoir le moindre périphérique à fournir. Certains en ont profité pour sortir leurs franchises du placard (Sega et ses House of The Dead), d'autres pour poursuivre les adaptations de leurs séries en rail shooters. Après Dead Space Extraction chez EA à la rentrée, c'est désormais au tour de Capcom de relancer un nouveau Resident Evil façon stand de tir, deux ans après le très mitigé Umbrella Chronicles. Petit rappel pour ceux qui auraient eu d'autres chatons à fouetter : fin 2007 sortait The Umbrella Chronicles, un jeu de tir sur rails façon House of The Dead, mais en beaucoup plus fade et mou. Méthode Capcom oblige, Umbrella "omettait" de transposer certains volets de la série, histoire de laisser le champ libre à une éventuelle suite que voici, The Darkside Chronicles. L'astuce scénaristique est ici un peu plus finement amenée : le jeu débute d'emblée sur la mission inédite en Amérique du Sud, en compagnie de Leon S. Kennedy et de Krauser, à une époque où les deux compères de Resident Evil 4 ne s'entretuaient pas encore.
Alors que les fans de la saga Resident Evil attendent de Capcom qu'il revienne au style horrifique qui fit la gloire de la franchise, l'éditeur semble faire la sourde d'oreille à ces revendications. Pour seule réponse, les nostalgiques des premières heures de la série devront à nouveau se contenter d'un produit dérivé à haute teneur en fan service : Resident Evil The Darkside Chronicles. Suite du mollasson Umbrella Chronicles, ce nouveau rail shooter a-t-il au moins la décence de corriger les impairs de ce dernier ? Tandis que Resident Evil : Umbrella Chronicles retraçait les évènements de Resident Evil 0, Resident Evil et Resident Evil 3 pour se clore sur une quatrième partie inédite, sa suite revisite logiquement les épisodes 2 et Code : Veronica tout en proposant à son tour un nouveau scénario intitulé Opération Javier. The Darkside Chronicles part donc avec un certain capital sympathie puisque Resident Evil 2 et Code Veronica figurent parmi les épisodes les plus populaires de la saga. Mais un tel choix implique aussi une sacré responsabilité : celle de respecter autant que faire se peut la narration des jeux originaux. Un impératif dont Cavia - le studio en charge de cet opus - s'est accommodé avec plus ou moins de réussite.
Aussi puérilement plaisant qu'était « The Umbrella Chronicles », l'absence des thèmes narratifs de Resident Evil 2 et Code Veronica se voyait trop manifestement. Capcom avait déclaré avoir manqué de temps pour intégrer l'histoire complète, il a essayé de rectifier le tir en sortant une suite à sa franchise de shooters linéaires à succès. À l?instar de nombreux titres Capcom, The Darkside Chronicles reprend presque intégralement la formule du jeu précédent. Présenté comme shooter à l'arme légère old school, il permet aux joueurs de revivre les moments mémorables des titres Resident Evil importants dans un contexte linéaire, le but étant entièrement de truffer des zombies de plomb. Claire Redfield est rejointe par le flic débutant Leon Kennedy et le prisonnier en fuite Steve Burnside, respectivement vus dans Resident Evil 2 et Code Veronica. Ensemble, ils doivent éliminer la menace des mutants grâce à ces petites merveilles que sont les pistolets à munitions illimitées.Pour commencer les opérations, le chapitre d'ouverture nous emmène dans le scénario « Opération Javier » jamais vu auparavant, qui se déroule juste avant les événements de Resident Evil 4 en 2003.
Portant bien haut l'étendard de la société vidéoludique la plus écolo de la planète, Capcom milite activement pour le recyclage de ses licences et ce depuis de nombreuses années. De fait, si la série des Gun Survivor n'a jamais eu bonne presse, la société japonaise avait malgré tout réussi à faire évoluer le concept en misant sur le rail-shooter. Plus limité mais à même d'induire une action frénétique grâce à des déplacements automatiques, le genre nous avait offert The Umbrella Chronicles, chouette petit jeu mais bourré de défauts. The Darkside Chronicles lui emboîte donc le pas et c'est sans surprise qu'on se retrouve devant un produit formaté procurant cependant de bonnes sensations. Chronique des chroniques. Après nous avoir proposé une sorte de résumé de la saga avec The Umbrella Chronicles, Cavia et Capcom se sont cette fois intéressés aux deuxième et quatrième opus de la série Resident Evil. Intéressant d'autant qu'en marge de ces segments, on y trouve toujours des chapitres inédits cette fois regroupés sous l'égide de Krauser et Leon embarqués au fin fond d'une jungle pour le moins inhospitalière. Le principe ne change donc pas d'un iota.
Chargé à craquer de créatures horriblement laides et parfois ridicules, déversant des hectolitres de sang et rejouant éternellement les mêmes scènes cultes qui ne seront jamais égalées, Resident Evil : The Darkside Chronicles a bien revu sa copie. Le second volet de la série des Chronicles, saga spin-off de jeux de tir, remplace aujourd'hui les survival horror de l’époque et fait frissonner notre Wii. De plaisir plus que de peur, mais il faudra s’en contenter. Elles ont bien changé les soirées pyjama. Il y a quelques années, on se retrouvait entre filles pour regarder avec indulgence un film moyen et manger des sucreries. Aujourd’hui, on affectionne plutôt de dégommer quelques zombies gentiment disciplinés accompagnés d’une part de pizza et d’une petite bière. Si les accessoires ont changé, les sensations sont les mêmes. On se marre à l’écoute des bruitages toujours catastrophiques, on couine lorsque Leon Biiiip Ada… (Oh my God !), on sombre dans une nostalgie euphorique et on parle même à la télé : "Si tu savais, mon pauvre Steve, tu ferais moins le malin". Et même, parfois, on tremble un peu.
Bien que Resident Evil : The Darkside Chronicles se base principalement sur Resident Evil 2 et Resident Evil Code Veronica, le titre incorporera, tout comme son aîné, un chapitre totalement inédit. C'est justement ce niveau qui a été présenté au Tokyo Game Show, ceci nous permettant de revenir brièvement sur ce rail shooter très attendu sur Wii. Dans l'absolu, Resident Evil : The Darkside Chronicles se veut un copier/coller de Resident Evil : The Umbrella Chronicles. Il s'agit toujours d'un jeu de tir en vue subjective sur Wii. Nous sommes à nouveau tributaires de déplacements automatiques et il est bien entendu possible de jouer seul ou avec un camarade de classe. Bref, rien de nouveau dans le concept. A contrario, cet opus s'attardera cette fois sur les deuxième et quatrième épisodes de la saga mettant ainsi en vedette d'autres duos que sont Steve et Claire, cette dernière faisant également équipe avec Leon. Et justement, c'est de ce dernier dont il s'agit aujourd'hui vu que nous avons pu jouer au chapitre inédit où l'homme du président apparaît en compagnie de son compagnon d'armes, Jack Krauser, qui avait déjà fait une apparition remarquée dans l'excellent Resident Evil 4.
The Darkside Chronicles s’annonce comme un énième remake du deuxième épisode de la série Resident Evil, mais pas n’importe lequel puisque c’est le rail-shooter qui revient sur le devant de la scène dans une formule résolument graphique et dynamique. Lors de la démonstration le test fut proposé avec le Wii Zapper, l’avantage avancé étant le caractère réaliste de cet accessoire une fois tenu en main. Ne reste plus qu’à savoir si la plongée dans l’aventure fut complète. Outre l’inintérêt du Wii Zapper de par son inconfort mais également à cause de la difficulté d’interagir avec le bouton A, ce qui s’avère un inconvénient d’importance compte tenu des interactions possible avec certains objets, et bien la prise en main se révèle simple et immédiate. Au départ, et pour ceux qui n’auraient pas joué au précédent Umbrella Chronicles, c’est un peu déroutant de ne pas pouvoir se diriger à sa convenance. Néanmoins, le principe fait vite monter le stress car cela correspond parfaitement au vieux syndrome « écran fixe » qui suggèrerait une impossibilité dans les tous premiers épisodes de la série de voir ce que l’on voulait quand on le voulait.
Les chroniques de Resident Evil continuent avec un nouveau chapitre permettant de revisiter en vue subjective le second épisode de la série. En 2007, Capcom choisissait de développer Resident Evil : The Umbrella Chronicles sur Wii. Le principe de jeu consistait à transposer le titre original en jeu de tir sur rail. Le joueur n'avait donc pas ou peu d'influence sur son cheminement mais devait rapidement viser les zombies à la Wiimote pour les éliminer. La formule semble avoir plu à l'éditeur puisque nous aurons prochainement droit à une suite s'attardant cette fois sur les événements de Resident Evil 2 mais aussi de Resident Evil : Code Veronica puisque la présence de Steve Burnside semble être maintenant confirmée. Le principe de jeu n'a pas changé et nous invite à suivre un parcours prédéfini tout en visant à la Wiimote les ennemis en putréfaction qui pullulent à l'écran.
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